Les pavés oubliés : de nouveaux secteurs

Les pavés oubliés : de nouveaux secteurs

En plus de ceux par laquelle la course ne passe plus et de ceux « à l’abandon », il reste de nombreuses parcelles utilisables. Certains sont empruntés par les 4 Jours de Dunkerque, tels ceux de Briastre ou surtout celui d’Escaudœuvres à Thun-Saint-Martin, avec une arrivée à Iwuy qui s’est répété dans la course par étapes nordiste ces dernières années. Lire la suite »


Les pavés oubliés : par l’organisation

Les pavés oubliés : par l’organisation

Il semblerait que les organisateurs de Paris-Roubaix cherchent systématiquement des nouveaux pavés, afin de les ajouter à ceux déjà présents pour augmenter la distance kilométrique, tombée bien trop bas dans les années 1960. Cependant, depuis une vingtaine d’années, le kilométrage total des pavés est stable, tout en découvrant de nouveaux secteurs. Lire la suite »


Les pavés oubliés : Les Immortels

Les pavés oubliés : Les immortels

La lutte contre l’asphalte

Lorsque l’asphalte remplace le pavé, souvent, on ne retire pas les blocs de pierre : on se contente d’étaler le bitume sur l’ancienne voie. Les pavés restent ainsi intacts, alors qu’au-dessus, la chaussée se fissure avec le temps, exposant à nouveau les pavés.

Pour une route majeure, le moindre nid de poule entraînera de rapides travaux pour au moins reboucher. Mais dans les axes mineurs, tels les chemins de campagne, les « trous » restent. Avec le temps, la route se casse se plus en plus. Les voitures y sont rares, mais les engins agricoles, bien plus lourds, permettent aux pavés d’avoir une seconde vie. Lire la suite »


Les pavés oubliés : Introduction

Les pavés oubliés : Introduction

Dès que sont évoqués conjointement le sport cycliste et les routes pavés, vient en tête la classique Paris-Roubaix, mettant en avant ces routes d’un ancien temps. A un tel point que l’expression « Enfer du Nord » est aujourd’hui utilisée pour ce que subissent les coureurs, étant secoués sur ces routes cabossées, remplies de poussière ou de boue, selon les conditions météorologique (alors que l’expression date de 1919 et est due à Eugène Christophe, évoquant les dégâts de la guerre dans les villages et la campagne traversés par la course). Lire la suite »