[24] NanCycles (1962-90) Mars 1964

[Zuff]

Le niveau moyen est assez bas dans la db pour bien faire ressortir les grands noms donc sur les petites courses c'est assez jouable. Idem en tout début de saison avant que les autres soient en forme.
Et ma stratégie est simple: je fais toutes les courses à fond, les petites comme les grandes. Alors que les équipes IA ciblent beaucoup plus et font donc moins de courses.. Du coup même si mes coureurs sont pas au top, on marque un peu à chaque course et ça booste bien le classement par équipes

Pour ce qui est de l'internationalisation, c'est dans les moyennes de l'époque pour les équipes françaises et belges: elles avaient aussi bien des coureurs français, belges, néerlandais, luxembourgeois, allemands, suisses ou espagnols et même britanniques ou irlandais. Seuls les Italiens avaient tendance à rester entre eux, que ce soit au niveau des effectifs des équipes ou au niveau des courses auxquelles ils participaient. Les équipes espagnoles avaient aussi tendance à être très nationalistes mais il y avait des coureurs espagnols dans des équipes étrangères (Bahamontes chez Margnat qui était une équipe française, par exemple)

[Duxili]

Le niveau moyen est assez bas dans la db pour bien faire ressortir les grands noms donc sur les petites courses c'est assez jouable. Idem en tout début de saison avant que les autres soient en forme.
Et ma stratégie est simple: je fais toutes les courses à fond, les petites comme les grandes. Alors que les équipes IA ciblent beaucoup plus et font donc moins de courses.. Du coup même si mes coureurs sont pas au top, on marque un peu à chaque course et ça booste bien le classement par équipes

Pour ce qui est de l'internationalisation, c'est dans les moyennes de l'époque pour les équipes françaises et belges: elles avaient aussi bien des coureurs français, belges, néerlandais, luxembourgeois, allemands, suisses ou espagnols et même britanniques ou irlandais. Seuls les Italiens avaient tendance à rester entre eux, que ce soit au niveau des effectifs des équipes ou au niveau des courses auxquelles ils participaient. Les équipes espagnoles avaient aussi tendance à être très nationalistes mais il y avait des coureurs espagnols dans des équipes étrangères (Bahamontes chez Margnat qui était une équipe française, par exemple)

Bonne strategie !

Comme quoi l'internationalisation ne date pas d'hier

[Zuff]

En fait l'internationalisation, c'est à partir des années 80 avec déjà un peu avant Phil Anderson (Australie) et puis surtout les Colombiens (Herrera, Parra, Ramirez, les équipes Varta/Café de Colombia) et les Américains (Lemond, Hampsten, l'équipe 7-Eleven). C'est l'arrivée de coureurs et d'équipes en dehors des pays traditionnels (France, Bénélux, Italie, Suisse, Espagne, GBR, RFA) mais non, il n'y avait pas tant de cloisonnement que ça entre ces pays dans les années 60/70. J'avoue que je l'ai découvert en bossant sur cette db, je pensais comme tout le monde que c'était plus cloisonné. Je pense que c'est dû en partie au TdF couru par équipes nationales qui donne cette fausse impression...

[haroldillon]

En fait l'internationalisation, c'est à partir des années 80 avec déjà un peu avant Phil Anderson (Australie) et puis surtout les Colombiens (Herrera, Parra, Ramirez, les équipes Varta/Café de Colombia) et les Américains (Lemond, Hampsten, l'équipe 7-Eleven). C'est l'arrivée de coureurs et d'équipes en dehors des pays traditionnels (France, Bénélux, Italie, Suisse, Espagne, GBR, RFA) mais non, il n'y avait pas tant de cloisonnement que ça entre ces pays dans les années 60/70. J'avoue que je l'ai découvert en bossant sur cette db, je pensais comme tout le monde que c'était plus cloisonné. Je pense que c'est dû en partie au TdF couru par équipes nationales qui donne cette fausse impression...

Quand on consulte la liste d'engagés du Tour de France en 1982 (pas de colombien, peu d'anglo-saxons), puis en 1984 (les colombiens installés, Peugeot qui fait massivement confiance à des britanniques/irlandais), et enfin 1986 (1ère équipe américaine, qui amène au passage le mexicain Alcala), on a l'impression d'une espèce de saut dans le temps. Et ce sont surtout les belges qui morflent, hormis Criquiélion tous ceux qui ne sont pas sprinteurs ou flandriens n'arrivent plus à rivaliser avec cette nouvelle concurrence, ils avaient visiblement des puncheurs moyens qui avaient quand même quelques résultats avec un plateau faiblard. Et en une douzaine d'années les belges passent de 6 équipes dans le Top 20 mondial, à une seule qui a du mal à tenir sa place.

[Duxili]

En fait l'internationalisation, c'est à partir des années 80 avec déjà un peu avant Phil Anderson (Australie) et puis surtout les Colombiens (Herrera, Parra, Ramirez, les équipes Varta/Café de Colombia) et les Américains (Lemond, Hampsten, l'équipe 7-Eleven). C'est l'arrivée de coureurs et d'équipes en dehors des pays traditionnels (France, Bénélux, Italie, Suisse, Espagne, GBR, RFA) mais non, il n'y avait pas tant de cloisonnement que ça entre ces pays dans les années 60/70. J'avoue que je l'ai découvert en bossant sur cette db, je pensais comme tout le monde que c'était plus cloisonné. Je pense que c'est dû en partie au TdF couru par équipes nationales qui donne cette fausse impression...

Quand on consulte la liste d'engagés du Tour de France en 1982 (pas de colombien, peu d'anglo-saxons), puis en 1984 (les colombiens installés, Peugeot qui fait massivement confiance à des britanniques/irlandais), et enfin 1986 (1ère équipe américaine, qui amène au passage le mexicain Alcala), on a l'impression d'une espèce de saut dans le temps. Et ce sont surtout les belges qui morflent, hormis Criquiélion tous ceux qui ne sont pas sprinteurs ou flandriens n'arrivent plus à rivaliser avec cette nouvelle concurrence, ils avaient visiblement des puncheurs moyens qui avaient quand même quelques résultats avec un plateau faiblard. Et en une douzaine d'années les belges passent de 6 équipes dans le Top 20 mondial, à une seule qui a du mal à tenir sa place.

On est vraiment aux sources la
Apres les equipes de marques, ce sera la 2e revolution qui accelerera la professionalisation.

[Zuff]

L'internationalisation des années 80 c'est une volonté assumée et donc une démarche volontaire, notamment des organisateurs du Tour. A l'origine, ils espéraient rameuter d'abord les équipes de l'Est. Les Colombiens qui arrivent en 1983 en tant qu'amateurs ("amateurs" entre gros guillemets), ça fait partie de cette volonté, les coureurs de l'Est étant autant "amateurs" que les Colombiens. Félix Lévitan, le patron du Tour, rêvait d'un Tour de France "open" où s'affronteraient les professionnels et ces "amateurs".

[Zuff]

[Zuff]

[HPRMP]

L'Espagne, ça vous gagne

[Duxili]

Klein a vraiment franchi un cap

[Zuff]

Klein a vraiment franchi un cap

Oui.. Pis moi aussi, je n'avais pas joué en mode manager depuis l'arrivée du mode pro-cyclist donc genre 10 ans et je prenais toujours un coureur de grand tour, et même avant, je jouais avec Système U qui n'avait pas de grand sprinter... donc les sprints, c'est vraiment pas mon point fort à la base

[Zuff]

Petite précision par rapport au maillot Peugeot qui a changé à mi-course: c'est pour rattraper une erreur de ma part. Il aurait dû changer à l'intersaison