ContadordeEstorias a écrit:2. J'ai écrit : "Si pour un gamin génie qui ne sait pas écrire, il y en a 9 autres qui ne savent pas écrire car ils sont nuls" tu as compris "Ne sait pas écrire = nul".
....J'espère que tu as compris l'erreur de logique monumentale... Au cas où ce n'est pas le cas, je transforme rapidement les assertions en raisonnement logique. Ce que j'ai dit dans un univers B (ils ne savent pas écrire), il y en a A (problèmes) et C (nuls). Autrement dit C implique B. Ce que tu as compris de mes propos : B implique C.
WTF, déjà tu n'as pas dit C implique B (on pourrait être "nul" mais savoir écrire). Tu as le don de noyer des choses évidentes dans des problèmes de logique hors-sujet (cf. le cas où tu avais répondu à Beobachter avec un PDF de 100 pages sur la théorie des ensemble qui était complètement hors-sujet). Là c'est très simple ce que tu dis, inutile de prendre les gens de haut.
Et surtout, Mats a très bien compris, il me semble : tu dis clairement que 90% des enfants ne sachant pas écrire sont nuls. D'où sort ce chiffre ? de l'
American Journal of Pifometry ? Que veut dire nul ? L'usage du présent de vérité générale a-t-il un sens ?
Sur le sujet du redoublement, il semble que c'est très coûteux par rapport aux résultats sur l'élève en question, c'est un point assez largement acquis de la recherche en pédagogie (voir
lien. De mon temps
, sur une classe de 20 au collège, il devait y avoir une petite dizaine d'années de redoublement (deux ou trois élèves avec deux, quatre avec une), ce qui l'air de rien, sur un scolarité de 10 ans, induit rapidement un excès de 5% d'années de scolarité pour un groupe. De l'autre, la pédagogie différenciée semble aussi avoir des aspects positifs (mais un redoublement n'est pas une pédagogie différenciée). Enfin, la confiance en soi est un des aspects les plus impactants de la réussite scolaire. Bref, comment concilier tout cela ? Ce n'est sans doute pas évident.