[2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - E21 (P.292)

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Modérateur: Animateurs cyclisme pro

Quelle note pour cette Vuelta cru 2019 ?

Le sondage s’est terminé le 21 Sep 2019, 10:37

- 0/10, charisme à deux sous des leaders.
1
2%
- 1/10, pour les fans de Burgos-BH.
0
Aucun vote
- 2/10, histoire de dire qu'on a vu quelques maillots DDD.
2
4%
- 3/10, c'est pour Guerreiro, pas pour Katusha.
0
Aucun vote
- 4/10, le quatuor au Mas de la Costa n'était pas le bon.
3
5%
- 5/10, car le remix de Bergen aurait été mieux sans la pluie.
3
5%
- 6/10, les étapes étaient pas si mal agencées.
15
27%
- 7/10, pour le spectacle qu'à offert la Movistar.
19
35%
- 8/10, c'est pas tout les jours qu'un papy est sur le podium.
3
5%
- 9/10, hommage au top 5 de Quintana, faire rager Klira.
2
4%
- 10/10, pour les fans des slovènes et de Deceuninck.
3
5%
- Hors concours : On attend la victoire de Bevin.
4
7%
 
Nombre total de votes : 55

[2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - E21 (P.292)

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 18:56

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(c) GomezSport

Alors que se clôture presque le mois d'Août, que les vents en rafales ont décoiffé les coureurs sur le BinckBank Tour, que la Grande Messe de Juillet s'est terminée dans les larmes, les confettis et les fumigènes, il est temps de relancer le 3e Grand Tour de la saison, à savoir la Vuelta. Annonçant la fin de la saison et les feuilles mortes, les 3 dernières semaines de Grand Tour de l'année 2019, après la domination des Sud-Américains sur le Giro avec Carapaz et le Tour avec Bernal, vont bientôt se lancer. Au programme, de nombreuses étapes malplates, mais souvent annonciatrices de pourcentages à deux chiffres, caractérisant les routes prises par le Grand Tour Espagnol, les chemins de chèvres pentus amenant souvent à des courses de côtes et à réduire d'autant les possibilités de coups tactiques, même si ces dernières années n'ont pas été forcément exemptes de trafalgars.

Une première semaine exigeante avec le retour du Mas de la Costa et de Cortals d'Encamp via un Sterrato, et l'arrivée inédite à l'Observatoire de Javalambre. Une deuxième semaine s'amorçant par un difficile effort individuel, une traversée rapide du Pays-Basque pour retrouver les pentes infernale de Los Machucos puis de l'inédit Alto de Acebo puis de la Cubilla pour terminer la deuxième semaine. Une troisième partie de course qui s'avérera donc plus courte, avec plusieurs sprints bien que jamais d'affilée, et surtout deux étapes de montagne où l'on ne retrouve pas de course de côte, et qui s'avéreront décisives pour tenter de retourner le général. Mais avant l'arrivée à Madrid, il reste à apprécier les dernières traversées désertiques à coup d'autoroutes et de bitume...


Présentation réalisée à l'aide de : Wikipédia (Fr & Es) - Site de la Vuelta - La Vuelta (site historique) - Roadbook de la Vuelta

Remerciements à Klira et Tazio pour leur participation

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DIFFUSION TV : EUROSPORT


E1 : Samedi 24/08 à 18h45
E2 : Dimanche 25/08 à 15h00
E3 : Lundi 26/08 à 15h00
E4 : Mardi à 27/08 15h00
E5 : Mercredi 28/08 à 15h00
E6 : Jeudi 29/08 à 15h00
E7 : Vendredi 30/08 à 15h00
E8 : Samedi 31/08 à 15h00
E9 : Dimanche 01/09 à 14h50
Repos - Lundi 2 Septembre
E10 : Mardi 03/09 à 15h00
E11 : Mercredi 04/09 à 15h00
E12 : Jeudi 05/09 à 15h00
E13 : Vendredi 06/09 à 15h00
E14 : Samedi 07/09 à 15h00
E15 : Dimanche 08/09 à 12h50
E16 : Lundi 09/09 à 13h25
Repos -Mardi 10 Septembre
E17 : Mercredi 11/09 à 15h00
E18 : Jeudi 12/09 à 12h25
E19 : Vendredi 13/09 à 15h00
E20 : Samedi 14/09 à 12h00
E21 : Dimanche 15/09 à 17h05






Maillot rouge, leader classement général :

En cas d’égalité, les centièmes de seconde enregistrés lors des étapes de contre-la-montre individuel sont réincorporés dans le temps total pour les départager. Si l’égalité persiste, ou si aucun contre-la-montre n’a encore été disputé, il est fait appel à l’addition des places obtenues à chaque étape, à l’exception des étapes de contre-lamontre par équipe, et, en dernier recours, on prendra en compte la place obtenue par les coureurs dans la dernière étape disputée.

Bonifications : Sprint intermédiaire : 3, 2 et 1 secondes aux trois premiers coureurs classés Arrivée (hors étapes 1 à 10) : 10, 6 et 4 secondes aux trois premiers coureurs classés

Maillot Vert, classement par points :

Sprint intermédiaire (du 1er au 3e) : 4 points, 2, 1
Etapes (du 1er au 15e) : 25 points, 20, 16, 14, 12, 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1

Maillot Blanc à Pois Bleu, classement meilleur grimpeur :

3e catégorie : 3 points, 2, 1 2e catégorie : 5 points, 3, 1 1er catégorie : 10 points, 6, 4, 2, 1 Hors Catégorie : 15 points, 10, 6, 4, 2 H.C. Cima Alberto Fernández : 20 points, 15, 10, 6, 4, 2

Maillot Blanc, classement meilleur jeune :

Ce prix récompense le coureur le plus jeune du Classement général individuel à l’issue de chaque étape. Ce prix est réservé aux coureurs nés à partir du 1er janvier 1994.

Dossard Rouge, classement meilleure équipe : Ce prix est obtenu en additionnant les trois meilleurs temps individuels de chaque équipe lors de toutes les étapes disputées, l’équipe la mieux classée étant celle ayant totalisé le moins de temps.

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 18:56

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1935 : G.Deloor l M.Canardo (+13:28) l A.Dignef (+20:10)
1936 : G.Deloor l A.Deloor (+11:39) l A.Bertola (+17:54)
1937 : ---
1938 : ---
1939 : ---
1940 : ---
1941 : J.Berrendero l F.Trueba (+1:07) l J.Jabardo (+6:32)
1942 : J.Berrendero l D.Cahfer (+8:38) l A.A.Sancho (+13:12)
1943 : ---
1944 : ---
1945 : D.Rodriguez l J.Berrendero (+30:08) l J.Gimeno (+37:18)
1946 : D.Langarica l J.Berrendero (+17:32) l J.Lambrichs (+23:54)
1947 : E.Van Dyck l M.Costa (+2:14) l D.Rodriguez (+11:04)
1948 : B.Ruiz l E.Rodriguez (+9:07) l B.Capo (+20:45)
1949 : ---
1950 : E.Rodriguez l M.Rodriguez (+15:30) l J.S.Gil (+16:05)
1951 : ---
1952 : ---
1953 : ---
1954 : ---
1955 : J.Dotto l A.J.Quiles (+3:06) l R.Géminiani (+5:05)
1956 : A.Conterno l J.Lorono (+0:13) l R.Impanis (+1:54)
1957 : J.Lorono l F.Bahamontes (+8:11) l B.Ruiz (+9:34)
1958 : J.Stablinski l P.Formara (+2:51) l F.Manzaneque (+3:01)
1959 : A.Suarez l J.Segu (+1:06) l R.Van Looy (+7:00)
1960 : F.De Mulder l A.Desmet (+15:21) l M.Pachero (+19:24)
1961 : A.Soler l F.Mahé (+0:51) l J.P.Francés (+2:23)
1962 : R.Altig l J.P.Francés (+7:14) l S.Elliott (+7:17)
1963 : J.Anquetil l J.M.Colmenarejo (+3:06) l M.Pacheco (+3:32)
1964 : R.Poulidor l L.Otano (+0:33) l J.P.Francés (+1:26)
1965 : E.Wolfshohl l R.Poulidor (+6:36) l R.Van Looy (+8:55)
1966 : F.Gabica l E.Velez (+0:39) l C.Echeverria (+0:44)
1967 : J.Janssen l J-P.Ducasse (+1:43) l A.G.Puente (+1:45)
1968 : F.Gimondi l J.P.Francés (+2:15) l E.Velez (+5:08)
1969 : R.Pingeon l L.Ocana (+1:54) l .Wagtmans (+5:10)
1970 : L.Ocana l A.Tamames (+1:18) l H.Van Springel (+1:27)
1971 : F.Bracke l W.David (+0:59) l L.Ocana (+1:51)
1972 : J.M.Fuente l M.M.Lasa (+6:34) l A.Tamames (+7:00)
1973 : E.Merckx l L.Ocana (+3:46) l B.Thévenet (+4:16)
1974 : J.M.Fuente l J.Agostinho (+0:11) l M.M.Lasa (+1:09)
1975 : A.Tamames l D.Perurena (+0:14) l M.M.Lasa (+0:34)
1976 : J.Pesarrodona l L.Ocana (+1:03) l J.Nazabal (+1:41)
1977 : F.Maertens l M.M.Lasa (+2:09) l P.Thaler (+3:27)
1978 : B.Hinault l J.Pesarrodona (+3:02) l J-R.Bernaudeau (+3:47)
1979 : J.Zoetemelk l F.Galdos (+2:43) l M.Pollentier (+3:21)
1980 : F.Ruperez l P.Torres (+2:15) l C.Criquielion (+3:00)
1981 : G.Battaglin l P.Munoz (+2:09) l V.Belda (+2:29)
1982 : M.Lejarreta l M.Pollentier (+0:18) l S-A.Nilsson (+1:17)
1983 : B.Hinault l M.Lejarreta (+1:12) l A.F.Blanco (+3:58)
1984 : E.Caritoux l A.F.Blanco (+0:06) l R.Dietzen (+1:33)
1985 : P.Delgado l R.Millar (+0:36) l F.Rodriguez (+0:46)
1986 : A.Pino l R.Millar (+1:06) l S.Kelly (+5:19)
1987 : L.Herrera l R.Dietzen (+1:04) l L.Fignon (+3:13)
1988 : S.Kelly l R.Dietzen (+1:27) l A.Fuerte (+1:29)
1989 : P.Delgado l F.Parra (+0:35) l O.De Jesus Vargas (+3:09)
1990 : M.Giovannetti l P.Delgado (+1:28) l A.Fuerte (+1:48)
1991 : M.Mauri l M.Indurain (+2:52) l M.Lejarreta (+3:11)
1992 : T.Rominger l J.Montoya (+1:04) l P.Delgado (+1:42)
1993 : T.Rominger l A.Zülle (+0:29) l L.Cubino (+8:54)
1994 : T.Rominger l M.Zarrabeitia (+7:28) l P.Delgado (+9:27)
1995 : L.Jalabert l A.Olano (+4:22) l J.Bruyneel (+6:48)
1996 : A.Zülle l L.Dufaux (+6:23) l T.Rominger (+8:29)
1997 : A.Zülle l F.Escartin (+5:07) l L.Dufaux (+6:11)
1998 : A.Olano l F.Escartin (+1:23) l J.M.Jimenez (+2:12)
1999 : J.Ullrich l I.Gonzalez de Galdeano (+4:15) l R.Heras (+5:57)
2000 : R.Heras l A.Casero (+2:33) l P.Tonkov (+4:55)
2001 : A.Casero l O.Sevilla (+0:47) l Non Attribué (L.Leipheimer)
2002 : A.Gonzalez l R.Heras (+2:14) l J.Beloki (+3:11)
2003 : R.Heras l I.Nozal (+0:28) l A.Valverde (+2:25)
2004 : R.Heras l S.Perez (+0:30) l F.Mancebo (+2:13)
2005 : R.Heras l D.Menchov (+4:36) l C.Sastre (+4:54)
2006 : A.Vinokourov l A.Valverde (+1:12) l A.Kashechkin
2007 : D.Menchov l C.Sastre (+3:31) l S.Sanchez (+3:46)
2008 : A.Contador l L.Leipheimer (+0:46) l C.Sastre (+4:12)
2009 : A.Valverde l S.Sanchez (+0:55) l C.Evans (+1:32)
2010 : V.Nibali l P.Velits (+3:04) l J.Rodriguez (+4:22) *suite au déclassement d'E.Mosquera pour dopage.
2011 : C.Froome l B.Wiggins (+1:26) l B.Mollema (+1:50) * suite au déclassement de J.J.Cobo pour dopage.
2012 : A.Contador l A.Valverde (+1:16) l J.Rodriguez (+1:37)
2013 : C.Horner l V.Nibali (+0:37) l A.Valverde (+1:36)
2014 : A.Contador l C.Froome (+1:10) l A.Valverde (+1:50)
2015 : F.Aru l J.Rodriguez (+0:57) l R.Majka (+1:09)
2016 : N.Quintana l C.Froome (+1:23) l E.Chaves (+4:08)
2017 : C.Froome l V.Nibali (+2:15) l I.Zakarin (+2:51)
2018 : S.Yates l E.Mas (+1:46) l M.A.Lopez (+2:04)

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 18:57

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1935 : Toute première Vuelta de l’histoire, se déroulant déjà sur deux semaines. Les belges sont les premiers à phagocyter le classement, Antoine Dignef premier vainqueur d’étape, et Gustaf Deloor premier vainqueur du général en s’envolant face à une concurrence réduite –due au Giro se déroulant en même temps- vers Bilbao. Il n’y aura aucun suspens pour le général, si ce n’est la bagarre entre l’espagnol Canardo et le belge Dignef pour la place de dauphin. 14 jours de course. Maillot Naranco du leader de la course.

1936 : Passage à 21 jours de course. Canardo en déroute suite à une chute dès le deuxième jour de course, Gustaf Deloor n’a aucun mal à contrôler Escurier, l’espagnol lui opposant la plus farouche résistance. Le belge se permet un doublé après 1935 et fait monter son frère Alfons sur la boîte !

1941 : 4 années de disette réduisent le peloton à une trentaine d’unités, pour la moitié seulement à l’arrivée finale. Plus longue édition de la Vuelta, avec plus de 4400 kilomètres au compteur, la première semaine affole les compteurs avec une moyenne kilométrique de 234,5 kilomètres. Il s’agit donc également de la Vuelta la plus lente de l’histoire, franchissant à peine les 26 km/h. 1941 est également l’apparition, pour quelques temps, du maillot blanc, qui vient remplacer le Naranco. Les coureurs affrontent déjà les cols des Asturies (Sia, Ason…), ainsi que le premier contre-la-montre individuel de l’épreuve, sur 53 kilomètres entre Gijon et Oviedo. L’Espagne est enfin sacrée, en la personne de Julian Berrendero. Delio Rodriguez remporte 12 des 22 étapes, commençant sa moisson.

1942 : La tenue de l’épreuve est décalée d’une semaine pour permettre la venue des français, emmenés par René Vietto. Berrendero file sacrer sa victoire dans le Puerto de Alisas, lors de la 10e étape, ayant écrasé la concurrence, via 124 kilomètres d’échappée solitaire. Le premier contre-la-montre par équipe disputé ne sera qu’anecdotique. Louis Thiétard est le premier vainqueur d’étape français sur les routes espagnoles, en s’imposant à Oviedo. Retour du maillot Naranco pour sa dernière année d’apparition.

1945 : Toute première apparition du maillot Rojo, bien longtemps avant 2010. Seulement des espagnols et des portugais au départ. Auteur d’une échappée magistrale sur les routes reliant Salamanque à Caceres, Delio Rodriguez s’impose avec plus d’une demi-heure d’avance sur ses principaux concurrents. Berrendero et Rebelo n’ont plus qu’une seule alternative : le maillot à pois. La bataille fait rage, jusqu’à la dernière étape. A égalité parfaite au soir de la 19e étape, veille de l’arrivée, les deux espagnols sortent et s’affrontent sur les pentes du Puerto de Guadarrama, déjà juge de paix de la première édition. Finalement, c’est Berrendero qui s’impose, au sprint, d’une demi-roue seulement, pour décrocher le maillot du meilleur grimpeur de cette Vuelta !

1946 : Déjà dominateurs l’an passé sous les couleurs de la Galindo, Rodriguez et Berrendero sont rejoints par Dalmacio Langarica, vainqueur de la Subida al Naranco et du championnat d’Espagne de la Montagne. Cependant, une échappée folle de l’espagnol Manuel Costa et du néerlandais Jan Lambrichs, avec près d’une demi-heure d’avance lors de la 6e étape, les obligera à chasser. Héroïque, Costa défendra bec et ongle son maillot sous les offensives et les coups de pénalité, avant de sombrer et de terminer à 25 secondes seulement du podium, au terme des 23 étapes de l’édition.

1947 : Belges, italiens et hollandais au départ, pour une édition de 25 étapes, dont deux efforts solitaires. Ce diable de Manuel Costa refait des siennes lors de la 12e étape en enfilant à nouveau le maillot de leader avec une dizaine de minutes de marge. Le belge Edward Van Dyck sera ensuite son bourreau lors des deux contre-la-montre et laissera Costa sur le bas-côté, à seulement deux minutes du sacre.

1948 : Passation de pouvoir chez les espagnols. Julian Berrendero, sur le déclin, à 36 ans, quitte définitivement la course après la mort de son père. De son côté, Dalmacio Langarica subit désillusion après désillusion alors qu’il portait encore le maillot à 10 jours de l’arrivée. Renversé lors d’une longue étape dans le Pays Basque par son compatriote Bernardo Ruiz, 23 ans, le vétéran tente plus d’une vingtaine de fois de renverser le général lors de la dernière semaine. Rien n’y fait et le sort finit par s’abattre sur la route d’Ourense, victime d’une chute spectaculaire, qui l’éjecte même du podium.

1950 : Les éditions se suivent et se ressembleraient presque. Comme il y a 13 ans, avec la victoire acquise très rapidement par Deloor, et la 2e place pour son frère, un scénario similaire s’opère pour les frères Rodriguez, Emilio et Manuel, en l’absence des plus grands noms, si ce n’est Bernardo Ruiz. Ce dernier ne terminera que 4e, à près de 20 minutes d’Emilio, qui s’imposera avec un quart d’heure d’avance environ dans les rues de Madrid.

1955 : Après 4 nouvelles années d’absence, la Vuelta repart dans le faste avec la barre des 100 participants dépassée, des participants belges, néerlandais, autrichiens, français, italiens, suisses, allemands et anglais au départ ! Sur seulement 15 étapes, les italiens raflent la plupart des étapes (8), tandis que les français se placent au général, emmenés par Raphaël Géminiani, 2e du Tour 1951. Pourtant, c’est un autre français, Jean Dotto, qui surprend. 4e du Tour en 1954, le français profite d’un bon de sortie laissé par les espagnols lors de la 10e étape, plus occupés à se déchirer de l’intérieur qu’à se battre contre les français. Ce sera la bonne, et la seule victoire au général d’un Grand Tour pour Dotto, alors âgé de 27 ans. Première victoire française. Première fois que les 10 premiers du général se tiennent en moins de 10 minutes, Georges Gay terminant à 9 minutes et 44 secondes de la première place. Première apparition de Federico Bahamontes, 21e du général. La longueur totale de l’épreuve passe sous la barre des 3000 kilomètres, le temps passe sous les 100 heures, la vitesse moyenne passe au-dessus de 30 km/h, les 3 pour la première fois.

1956 : Neuf équipes de 10 coureurs se présentent sur la route de la Vuelta, Jean Dotto, Roger Walkowiak, Hugo Koblet, Federico Bahamontes, Raymond Impanis et Rik Van Steenbergen notamment au départ. C’est cependant l’italien Conterno qui prend les rênes du général le deuxième jour pour ne plus les lâcher. Tandis que Miguel Poblet et Van Steenbergen se départagent les sprints, Bahamontes se montre le plus fort lors des dernières étapes de montagne, mais victime auparavant de diverses crevaisons et chutes l’ayant retardé. Tout se joue sur la dernière étape, où Conterno sauve son maillot malgré une pénalité, littéralement poussé dans les dernières ascensions. L’écart entre le vainqueur et son dauphin passe pour la première fois en dessous de la minute.

1957 : Fin de deux années de domination étrangère malgré le retour de Géminiani. Alors que Federico Bahamontes semblait bien parti pour remporter l’édition, il laisse Lorono, qui avait échoué à 13 secondes de la victoire l’an passé, prendre une vingtaine de minutes d’avance lors de la 10e étape, sur ordre de son directeur sportif, et voit définitivement le maillot amarillo s’envoler, puisqu’il ne figurera plus jamais dans les 5 premiers du classement général.

1958 : Bahamontes et Lorono reviennent sur les routes de la Vuelta, avec chacun la victoire finale dans la tête. Cette mésentente entretenue depuis plusieurs années leur coûte la victoire finale. Personne ne veut rouler pour l’autre, ils se surveillent, s’épient même, mais doivent freiner leurs ambitions face aux ordres de leur directeur sportif. Jean Stablinski et Rik Van Looy en profitent pour se disputer la victoire. Si le belge abandonne à la douzième étape, après 6 succès, le français s’impose tranquillement face à la concurrence tandis que les deux leaders espagnols ne terminent que 6 et 8e !

1959 : Pour la première et la dernière fois de sa carrière, Fausto Coppi, au crépuscule de sa carrière, est au départ de la Vuelta, payé 11 000 pesetas par jour de course terminé. Le champion italien sera transparent sur les routes espagnoles, avant d’abandonner lors de la 14e journée, pour sa dernière course par étapes disputée. Des 10 italiens au départ, seul Guido Boni parviendra à l’arrivée, 17e d’un classement dominé par Antonio Suarez Vasquez, champion d’Espagne la même année.

1960 : Aligné par demande des organisateurs, Bahamontes ne vient que sur les coups de 12 000 pesetas par jour. Vainqueur de la 13e étape, il est pris au cœur d’un scandale lorsqu’il accuse une heure de retard à Bilbao, puis quitte la course, hué, pour protester contre l’exclusion d’un de ses coéquipiers. Dans la tourmente, le belge Frans De Mulder s’impose à la surprise générale, alors que le grand rival de l’aigle de Tolède, Lorono, échoue à la 9e place au général.

1961 : Présent au départ de l’édition, Frans De Mulder abandonne dès la première semaine de course de cette 16e Vuelta, disputée sur 16 étapes. Orpheline de son leader, la sélection belge semble néanmoins en mesure de l’emporter à 2 jours de l’arrivée, le maillot sur les épaules d’André Messelis. La traversée du Pays-Basque, la veille de l’arrivée, le fait sombrer à la 11e place du général tandis que le jeune Angelino Soler, 21 ans, remporte sa seule Vuelta (il ne reviendra sur l’épreuve qu’en 1966 puis 1967 !).

1962 : Première participation de Jacques Anquetil, annoncé comme grand favori de l’épreuve, accompagné de Rudi Altig, Jean Graczyk, Seamus Elliott et Jean Stablinski notamment. Alors que l’irlandais et l’allemand s’intervertissent au général, la formation d’Anquetil, Saint-Raphael-Helyet, se permet en plus d’écraser la course, remportant 12 des 17 étapes. Anquetil n’est cependant pas au mieux. Relégué à 5 minutes au général d’Altig, et même vaincu par l’allemand lors du contre-la-montre de 82 kilomètres entre Bayonne et Saint-Sébastien, Anquetil abandonne la veille de l’arrivée alors qu’il pointait à la deuxième place du général. Antonio Karmany devient le premier coureur à remporter 3 maillots de la montagne de suite.

1963 : L’année de Jacques Anquetil, puisque le français revient, sans Rudi Altig pour le barrer, sur un parcours globalement peu difficile, conçu pour les coureurs de classiques comme Rik Van Looy, qui renoncera finalement à participer. Sans véritable concurrence, Anquetil prend le maillot dès la première journée pour ne plus le lâcher, même si, victime d’une intoxication alimentaire durant l’épreuve, il cède le deuxième contre-la-montre au 3e du général, Miguel Pacheco. Au bout des deux semaines de course seulement, Anquetil rentre définitivement dans la légende, premier coureur à remporter les trois grands tours. Dernière participation du français à l’épreuve.

1964 : Si Jacques Anquetil s’impose cette année là sur le Giro, pendant ce temps, Raymond Poulidor vient chercher le succès sur les routes espagnoles, qui préfigurera le terrible duel qui aura lieu sur les routes du Tour quelques semaines plus tard. La première sélection est opérée dès la première journée, suite à un coup de bordure initié par Rik Van Looy, qui se retirera quelques jours plus tard. Les espagnols, emmenés par plusieurs figures de proue, José Perez Frances, Miguel Pacheco, Francisco Manzaneque ou encore Luis Otana, se sabordent. Le français n’a alors plus qu’à les aligner lors du dernier contre-la-montre d’une soixantaine de kilomètres disputé autour de Valladolid…

1965 : Redite de 1962, avec l’allemand Wolfshohl dans le rôle d’Altig, et de Poulidor dans le rôle d’Anquetil. Si le français parait favori après avoir pris le maillot à Rik Van Looy après 4 jours suite au premier contre-la-montre disputé cette année là, il vient le céder au germanique dès la mi-parcours via une première échappée, puis une deuxième, qui lui est fatale. Avec plus de 12 minutes de retard au général, Poulidor ne réussira pas à remonter ce déficit jusqu’à Madrid.

1966 : Victime des problèmes économiques de l’Espagne, la Vuelta tarde à être organisée, affaiblissant grandement le plateau international au départ, ayant préféré se déplacer sur les routes italiennes. Sans concurrence, les espagnols n’ont aucune difficulté à s’imposer aux 7 premières places du général, mettant fin à 7 années de disette au général de leur plus grande épreuve.

1967 : Contrairement à l’an passé, le gratin est au rendez-vous, avec Raymond Poulidor, Guido Reybrouck, Jan Janssen, Rolf Wolfshohl, Jean Graczyk ou encore l’infortuné Tom Simpson au départ. En jaune suite à un très court prologue en deuxième partie de première journée, Jan Janssen le cède rapidement, d’abord aux espagnols, puis à Jean-Pierre Ducasse, son coéquipier, pour finalement le retrouver juste avant l’arrivée dans un contre-la-montre aux conditions dantesques remporté par Poulidor, distancé au général. Jan Janssen devient le premier néerlandais vainqueur de l’épreuve espagnole.

1968 : Edition particulière, l’évènement ayant retenu l’attention n’étant pas les qualités physiques déployées par les coureurs mais un attentat terroriste lors de la 15e étape (revendications étudiantes et sociales) ayant échoué de peu à noircir le bilan de l’épreuve. Si José Perez Frances retrouve le goût du podium, et que les stars s’affichent avec Janssen, Aimar ou Ducasse, c’est bien Felice Gimondi qui s’impose, après avoir remporté Tour et Vuelta précédemment. Pour sa seule participation, Gimondi devient le deuxième coureur à remporter les 3 Grands Tours.

1969 : Sans grande figure de proue depuis le retrait de Federico Bahamontes, les espagnols retrouvent le goût du sourire grâce au jeune Luis Ocana, qui bataille avec Roger Pingeon pour le classement général. S’il ne peut résister au français, il ravit le premier maillot de leader et remporte les 3 efforts individuels de l’épreuve, se positionnant pour l’avenir !

1970 : La confirmation, pour Luis Ocana. Le champion espagnol, au coude-à-coude avec les leaders étrangers sur les épreuves du début de saison, remporte sans faillir le premier prologue à Cadix, puis gère tranquillement son débours pour coiffer au poteau, sur le contre-la-montre de Madrid, l’ensemble de ses concurrents, dont l’espagnol Agustin Tamames. Premier Grand Tour de José Fuente, qui sera l’un des espagnols, avec Ocana, à se battre contre le cannibale.

1971 : Confrontés au jeune Joop Zoetemelk et à un Raymond Poulidor allant sur ses 35 ans, le duo de l’an passé est le grand favori de cette Vuelta. C’est cependant une grosse désillusion qui les attend, puisque le duo qui monte sur les deux premières marches du podium est belge : Ferdinand Bracke s’impose devant Wilfried David. Pire, les espagnols ne s’imposent que 3 fois, et ne remportent que le classement par équipe.

1972 : Sans vrai leader étranger au départ, les espagnols roulent sur le général, et plus particulièrement l’équipe KAS, qui place José Fuente et Miguel Lasa aux deux premières places du général, et 6 coureurs parmi les 10. Si le second devait être le leader de l’équipe au départ après sa 4e place de l’an passé (et l’abandon de Fuente), c’est bien le premier, à la suite d’une échappée dantesque vers la station de…Formigal, qui renverse le général !

1973 : Sur une édition peu montagneuse, le roi Eddy Mercx n’a besoin que d’un seul essai pour s’imposer sur l’unique Vuelta à laquelle il participe, devançant un Ocana forcené mais malheureux sur les possibilités du parcours, et un Bernard Thévenet dans ses jeunes années.

1974 : Recruté pour être équipier de Luis Ocana, c’est bien le portugais Joaquim Agostinho qui joue les premiers rôles de cette 29e Vuelta, face à Domingo Perurena, Miguel Lasa, Bernard Thévenet et José Fuente, qui s’impose une nouvelle fois, égalant Deloor et Berrendero, après avoir cédé son titre l’an passé, sans avoir participé à l’épreuve, ayant préféré les routes du Giro.

1975 : Si le vainqueur est espagnol cette année, il n’en est pas moins surprise. Mis à mal par une infection rénale, Fuente est contraint à l’abandon, et participe là à son dernier Grand Tour et l’une de ses dernières courses professionnelles. Toujours placé, mais jamais gagnant, le grimpeur Agustin Tamames, revenu encore comme équipier de Luis Ocana, est 3e lors du contre-la-montre final, avec un débours dépassant la minute, sur Perurena et Lasa. Pourtant peu référencé dans l’exercice, Tamames prend la 3e place des 31 kilomètres du parcourir et remporte à la surprise générale cette 30e Vuelta !

1976 : Avec pour seule référence sa 4e place en 1973, José Pesarrodona n’est, pour ainsi dire, pas vraiment pointé comme l’un des favoris au départ au départ d’Estepona, face à Ocana, Dietrich Thurau, Hennie Kuiper et autres Joaquim Agostinho. S’il ne remporte aucune étape, l’espagnol se montre le plus régulier. Ocana est imbattable en montagne, mais concède trop sur le chrono final, tout comme Kuiper, laissant le champ libre à Pesarrodona.

1977 : Venu pour concurrencer son grand rival Eddy Mercx, Freddy Maertens réalise la même performance, en remportant la seule édition de la Vuelta à laquelle il participera dans toute sa carrière. Sa performance est cependant encore plus remarquable, puisqu’il remporte 13 étapes, et porte le maillot de leader de la première à la dernière journée ! A noter cependant que le peloton n’est pas passé par le Pays-Basque, en raison des risques politiques sous-jacents.

1978 : Le jeune Bernard Hinault égale ses compères belges en remportant la Vuelta pour sa première participation. Le français, bien aidé par son coéquipier Jean-René Bernaudeau, 3e de cette même édition, ne sera jamais mis en danger par ses adversaires, à commencer par José Pesarrodona. La dernière étape, qui devait se disputer encore une fois à San Sebastian, est annulée à cause d’actions indépendantistes.

1979 : Changement d’organisateur à la veille de cette édition. El Correo Espanol se désengage, et Unipublic prend place. En l’absence de Maertens, Hinault et autres figures espagnoles, Joop Zoetemelk (après sa première participation en 1971) s'impose sans faillir devant Michel Pollentier et Lucien Van Impe notamment.

1980 : Une Vuelta très ouverte au départ, qui s’offre la présence d’une nouvelle garde avec Claude Criquielion, Sean Kelly, ou encore, côté espagnol, Faustino Ruperez ou Marino Lejarreta. C’est le premier de ces deux hommes qui remporte la première édition des années 80 en assomant la concurrence dès la première étape de montagne, arrivant à La Seu d’Urgell, et ce malgré la présence menaçante de son compatriote Pedro Torres de bout en bout.

1981 : Régis Clère, jeune néo-professionnel, profite du prologue disputé à Santander pour revêtir le maillot de leader pendant une semaine, avant d’en être dépouillé par Giovanni Battaglin, qui ne sera guère inquiété jusqu’à la fin de l’épreuve, en l’absence de vraie concurrence.

1982 : Depuis la victoire de Bernard Hinault, l’épreuve survit en ne réussissant à attirer que quelques personnalités étrangères. L’année 1982 est un coup de massue avec la déclassification d’Angel Arroyo au profit de Marino Lejarreta pour dopage, seulement quelques jours après la fin de l’épreuve. Cela permet également à Sven Ake Nilsson d’être le seul suédois sur le podium de la Vuelta.

1983 : Question d’orgueil ? Après ses déboires, la Vuelta se relance de la plus belle des manières avec la première diffusion en direct sur les routes espagnoles ! En outre, le spectacle est au rendez-vous. Bernard Hinault est de retour, et doit faire face à Lejarreta, Gorospe, Fernandez ou encore Pino. Souffrant d’une blessure, battu à trois jours de l’arrivée, le breton se rebelle, fait exploser le peloton et enfile la tunique de leader pour la garder devant la colonie espagnole.

1984 : 6 secondes, l’écart le plus petit enregistré entre le premier et le second d’une Vuelta, seule et unique édition ayant vu moins de 10 secondes entre le vainqueur et son dauphin. Eric Caritoux d’un côté, Alberto Fernandez de l’autre. Les passes d’armes sont terribles, d’abord sur les pentes de Rasos de Peguera, puis sur celle des Lagos de Covadonga. Le français est toujours en jaune aux abords du dernier contre-la-montre, mais la presse s’accord pour dire qu’il va le perdre. C’était sans compter sur la pluie, qui vient limiter Fernandez sur l’exercice et lui coûte la victoire. L’espagnol, après deux podiums, sera également victime d’un accident de la route, qui lui prit la vie en fin d’année.

1985 : Si le prologue d’ouverture permet d’entrevoir tout le potentiel du jeune Miguel Indurain, premier leader de cette Vuelta, Robert Millar semble bien embarqué pour remporter l’épreuve espagnole à la veille de l’arrivée. C’est sans compter sur une avant-dernière étape dantesque et soumise à polémique. Pedro Delgado pointe à plus de 6 minutes au matin, mais collabore avec José Recio tandis que Millar est livre à lui-même derrière, les autres coureurs classés au général lui laissant abattre tout le boulot, jusqu’à épuisement et perte du maillot.

1986 : La revanche de Robert Millar ne suffit pas à lui faire gagner l’épreuve. Le britannique échoue une deuxième à moins d’une minute du leader, cette fois incarné en la personne d’Alvaro Pino. L’espagnol résiste à l’écossais dans les montagnes au dessus de Madrid, puis dans la Sierra Nevada, tandis que l’irlandais Sean Kelly vient s’intercaler à la 3e place du général, mais à près de 5 minutes.

1987 : Piètre rouleur, discret dans la plaine mais magnifique grimpeur, Luis Herrera devient le premier coureur non-européen et outre-Atlantique à remporter la Vuelta, face à des pointures comme Sean Kelly, Laurent Fignon, Pedro Delgado, Raimund Dietzen, et alors qu’Alvaro Pino est absent sur blessure. Incontesté sur les arrivées au sommet, et notamment Covadonga, le colombien souffre face à Kelly lors du dernier contre-la-montre, mais profite de son abandon en raison d’une inflammation de la zone périnéale pour s’imposer sans coup férir.

1988 : Enfin ! Déjà vainqueur de 14 étapes, et podium de la Vuelta, Sean Kelly s’impose pour sa dernière participation à la Vuelta, en profitant d’une édition aux difficultés légères et avec de nombreuses bonifications distribuées. Pas le plus fort, mais le plus régulier, il profite de la défaillance de Cubino puis s’impose sur le contre-la-montre final, de 30 kilomètres, pour chiper la tunique de leader à Fuerte, finalement 3e pour deux secondes derrière…Dietzen, et son 3e podium. A noter la présence d’un coureur mexicain au départ : Felipe Enriques Rojas.

1989 : Grand favori de l’édition, Pedro Delgado doit faire face à l’armada colombienne. Mis à mal en début d’épreuve face aux « Coléoptères », l’espagnol en dispose à Cerler, les 4 seuls à s’être accroché à sa roue, mais est toujours en retard au général. Lors du contre-la-montre en côté à Valdezcaray, Delgado s’impose une nouvelle tandis que le colombien Farfan quitte la course après un contrôle positif alors qu’il venait de revêtir le jaune. L’espagnol en profite ainsi pour conserver suffisamment d’avance pour résister aux grimpeurs colombiens !

1990 : Profitant d’une grosse échappée sur les hauteurs de la Sierra Nevada, l’italien Marco Giovanetti empoche un crédit de presque 10 minutes d’avance qui lui permet de résister aux retours des favoris, alors que son compagnon de fuite Gorospe (6e en 1984), explose, terminant 21e. Pedro Delgado échoue à une minute trente seulement du transalpin.

1991 : Connu pour ses talents de rouleur, Miguel Indurain doit cette fois s’incliner devant Melchior Mauri dans les deux exercices plats de l’épreuve, et de son attitude habituellement défenseive, se mettre à l’attaquer en montagne. Cela sera cependant insuffisant pour détrôner Mauri, auteur de sa meilleure saison chez les professionnels, et de son unique podium sur la Vuelta.

1992 : Déjà vainqueur de plusieurs courses par étapes d’une semaine, Tony Rominger se profile pour la deuxième fois sur la Vuelta après une édition 1990 terminée à la 16e place. Profitant du marquage de Jésus Montoya sur Pedro Delgado, le suisse remporte, à 31 ans, son premier Grand Tour.

1993 : C’est un duel de suisse qui s’opère loin devant les leaders espagnols, entre le trentenaire Rominger et le jeune Alex Zülle. Par ailleurs, le maillot de leader ne sera porté que par les deux suisses durant toute la durée de l’épreuve, mais le changement à lieu lors d’une course de côte à Valdezcaray, avant que Rominger ne le pousse à la faute vers l’Alto del Naranco.

1994 : La 49e édition de la Vuelta se présente come une tournée d’adieu pour Pedro Delgado, dans sa dernière année professionnelle. Zülle et Rominger se présentent comme les principaux favoris, mais le premier déçoit, et le second assomme la course en Sierra Nevada, puis à Cerler, alors que Delgado, à l’expérience, vient gratter la troisième place derrière Mikel Zarrabeitia, grand espoir du cyclisme espagnol…et qui signera là son seul top 10 sur un Grand Tour ! Laurent Jalabert s’impose aux Lacs de Covadonga.

1995 : Jalabert avait déjà montré sa mue l’an passé, il confirme cette année en ne laissant aucune chance à ses adversaires, grâce à une équipe ONCE dominatrice (Bruyneel 3e, Mauri 4e, Zülle 20e). Seul Abraham Olano, chez les espagnols, s’impose en dominant les trois contre-la-montre individuels. Première et meilleure Vuelta de Richard Virenque, 5e du général.

1996 : C’est une Vuelta exceptionnelle qui s’annonce, avec Jalabert, Zülle, Casgrande, Dufaux, Rominger, Rebellin, Mauri, Escartin, Jimenez et Indurain au départ. En difficulté, 11e du Tour après l’avoir remporté à 5 reprises, Miguel Indurain se bat pendant plusieurs jours au contact des favoris mais finit par céder et abandonner aux Lagos de Covadonga (pour prendre sa retraite quelques mois plus tard). Le festival espagnol prend des allures traumatiques pour ses coureurs : aucune victoire d’étape, aucun maillot distinctif, un seul coureur dans les 10 premiers du général, Escartin, 10e, cette 51e édition est sans contexte la pire, bilan comptable, côté hispanique, mais sacre le seul triplé suisse sur un Grand Tour !

1997 : Premier départ à l’étranger, de Lisbonne, avec Olano, champion du monde, au départ. L’espagnol abandonne cependant dès la première arrivée en montagne, en Sierra Nevada, quand Escartin, Zülle, Dufaux et Tonkov se détachent. Le russe remporte deux étapes, mais abandonne à quelques jours de l’arrivée pour assister à la naissance de son enfant, laissant un boulevard à Zülle pour réaliser le doublé.

1998 : Olano, revanchard après l’édition passée, et un Tour de France avorté, s’impose sur un triplé espagnol, malgré la présence d’Armstrong, Jalabert, Zülle, Dufaux, Heras ou Virenque, et ce, sur une édition montagneuse pour la course espagnole (Xorret de Cati, Pal, Cerler, Neila, Navacerrada notamment). Il construit son succès sur les contre-la-montre, résistant à ses compatriotes (dont son coéquipier Jimenez) en montagne, et ce, même en cédant le maillot à deux jours de l’arrivée !

1999 : Cette édition marque-t-elle le début d’une nouvelle ère ? Peut-être, si l’on considère la venue du maillot or. Mais certainement encore plus avec la première apparition du redoutable Angliru alors que l’édition ne manquait déjà pas de montagne (Pla de Beret, Arcalis, Rasos de Peguera, Abantos). La montée soulève la gronde, et en fait tomber plus d’un, mais José Maria Jimenez parvient à s’y imposer au plus grand bonheur du peuple espagnol, bien qu’il soit ensuite incapable de déstabiliser Jan Ullrich, bien aidé par une chute d’Olano.

2000 : L’entrée dans un nouveau millénaire sourit aux espagnols, qui retrouvent le goût de la victoire grâce à Roberto Heras et Luis Casero. Les premiers jours sont pourtant le théâtre de la bataille entre Zülle et Olano, qui finissent par sombrer aux portes des Pyrénées, entre Molina et Ordino. Casero enfile la tunique, mais Heras lui porte un coup fatal aux Lacs de Covadonga, avant de rempiler dans l’Angliru puis dans Abantos.

2001 : David Millar s’adjuge le premier maillot or, quand Zabel écrase ensuite les sprints. La surprise vient plutôt de Santiago Botero, qui s’adjuge le deuxième chrono de l’épreuve, enfilant la tunique de leader ! S’il la cède bien vite à Joseba Beloki, puis Oscar Sevilla, il remet le couvert pour s’imposer dans le contre-la-montre final de Madrid, où Casero vient chiper le graal à Sevilla.

2002 : Pour célébrer le centenaire du Real Madrid, la Vuelta en termine dans le Stade Santiago Bernabéu. Mario Cipollini fait parler de lui en remportant 3 étapes, quand le général, malgré la présence de Casagrande ou Di Luca, se joue rapidement entre espagnols, à savoir Aitor Gonzalez, Casero, Heras, Beloki, Sevilla et Iban Mayo. Malgrés des nouveautés, comme la Sierra de la Pandera, le classement général se joue une nouvelle fois le dernier jour, quand Aitor Gonzalez remporte le contre-la-montre final en infligeant une déculottée à ses adversaires !

2003 : Commençant dans les Asturies, le Vuelta se dirige vers la France et Cauterets, puis vers Andorre, pour compléter la montagne avec la Pandera ou la Sierra Nevada. Petacchi remporte 5 étapes quand Zabel réussit à percer la vigilance de l’italien pour s’imposer à deux reprises. Isigo Nozal, jusque là presque inconnu, se révèle au grand public, portant le maillot de leader pendant deux semaines, avant de craquer, l’avant-dernier jour, dans le cronoscalata de l’Abentos, aux portes de Madrid, offrant un 2e sacre à Heras. Après un premier essai sur la Vuelta, cette 58e édition est également l’occasion de voir exploser le jeune Alejandro Valverde, 3e final !

2004 : Si la présence des italiens se fait ressentir dans les étapes (victoires de Petacchi et Piepoli), les espagnols écrasent la course au général suite à l’abandon de Menchov : Garzelli, 11e, est le premier étranger, et on ne retrouve que Cunego (16e), Valjavec (26e), Piepoli (27e) et Cardenas (29e) dans les 30 premiers ! Devenu coéquipier de Roberto Heras chez la Liberty Seguros, Nozal contribue à son succès, acquis de justesse face au remuant Santiago Perez, victorieux du chrono final.

2005 : Première Vuelta dans le cadre de l’UCI Pro Tour. Roberto Heras et Denis Menchov s’affrontent sur les pentes de Valdelinares, Ordino, Cerler ou encore Pajares, où Heras renverse le russe et le général pour s’imposer. Contrôle positif à l’EPO sur la 20e étape, l’espagnol se voit d’abord retiré sa victoire au profit de Menchov. En 2012, suite à des irrégularités dans l’analyse des échantillons, Heras retrouve sa 4e Vuelta, et devient seul détenteur du record de victoires.

2006 : Avec Zabel, Millar, Menchov, Sastre, Cancellara, Vinokourov, Brajkovic, Valverde…au départ, le plateau est au rendez-vous de cette 61e édition, qui tourne bien vite à la bagarre entre Valverde et Vinokourov. Le Murcian parait bien parti pour s’imposer en ayant fait le trou à La Covatilla puis au Morredero, mais le kazakh remporte deux étapes coup sur coup donc celle de la Cobertoria pour revenir à sa hauteur. Grâce à l’aide de son coéquipier et compatriote Kaschechkin, Vinokourov renverse Valverde dans le Monachil sur la 17e étape, puis sur la Sierra de la Pandera le lendemain !

2007 : En l’absence des trois premiers de l’an passé (Vinokourov et Kaschekin suspendus pour dopage, Valverde préparant les Championnats du Monde), Denis Menchov n’a aucun mal à assurer sa légitimité sur les routes espagnoles. Bien vite, il s’envole, laissant Carlos Sastre, Samuel Sanchez et Cadel Evans se battre pour les marches du podium. L’australien terminera finalement 4e, à seulement 25 secondes de Sastre, et 10 de Sanchez !

2008 : Avec seulement 19 équipes au départ, suite aux retraits de la Columbia (calendrier) et de la Scott-American Beef (dopage de Ricco), l’Astana de Contador ne sera jamais vraiment inquiétée malgré une valse des maillots dans la première semaine. Laissant les Pyrénées et l’ascension inédite de la Rabassa aux échappés et à Egoi Martinez, « El Pistolero » frappe à deux reprises, d’abord sur l’Angliru, de retour après 6 ans d’absence, où il enfile la tunique de leader, puis à la station de Fuentes de Invierno, sur les pentes du Puerto de San Isidro. Le chemin jusqu’à Madrid ne sera qu’un tranquille défilé où Leipheimer réalise le doublé avec son leader : Astana réalise un incroyable doublé aux deux premières places du général, mais également aux deux dernières (Bazayev & Muravyev) !

2009 : S’élançant des Pays-Bas, la Vuelta va d’abord visiter Allemagne et Belgique avant de rentrer en Espagne, faisant de cette édition la plus internationale de toutes. La première étape, un prologue sur le circuit automobile d’Assen, permet à Cancellara de prendre le premier maillot or, dépossédé par Greipel ensuite, puis par Valverde, qui met les favoris d’accord dès Xorret de Cati avant de contrôler les multiples arrivées au sommet (Velefique, Sierra Nevada, Pandera).

2010 : Première apparition du maillot rouge. Pour cette occasion, la Vuelta s’élance en soirée pour un contre-la-montre par équipe dans les rues de Séville, permettant à Cavendish et la HTC d’enfiler le maillot de leader. Le lendemain, la FDJ décroche une victoire surprise grâce au biélorusse Yauheni Hutarovitch, puis Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) réussit à s’emparer du leadership, avant qu’Anton ne prenne le dessus sur les favoris à Xorret de Cati. Vaincu par une chute sur la route de Pena Cabarga, l’espagnol voit Nibali prendre son relais et gérer tranquillement son avance pour s’imposer à Madrid.

2011 : Retour au Pays-Basque après plus de 30 ans d’absence ! Alors que Wiggins (Sky) et Menchov (Geox) sont les favoris de l’édition, ce sont deux équipiers qui viennent se révéler pour la lutte au général : l’espagnol Juan José Cobo Acebo (Geox), et le britannique Christopher Froome (Sky). Leur duel atteint son paroxysme sur les pentes de la dernière étape de montagne, ou plutôt montée, celle de Pena Cabarga : Cobo dégaine le premier, à la flamme rouge, suivi et contré par Froome, qui semble s’envoler vers le maillot…mais l’espagnol recolle aux 150 mètres, repasse devant aux 100 mètres pour finalement être débordé dans le dernier virage par le britannique. Mais l’essentiel est là et Cobo conserve son maillot rouge grâce aux bonifications…avant d’être déclassé le 23 Juin 2019. Le 17 Juillet 2019, Christopher Froome est ainsi devenu le premier vainqueur britannique d’un Grand Tour…et le dernier de la décennie ?

2012 : Edition particulière, puisque se contentant du Nord de Madrid comme terrain de jeu, entre Asturies, Pays-Basque, Pyrénées et Galice. Alors que Joaquim Rodriguez sort grand vainqueur des trois arrivées au sommet asturiennes (Ancares, Angliru, Cuitu Negro) et semble en passe de pouvoir remporter le général, Alberto Contador renverse le général entre Santander et Fuenté De en attaquant à plus de 50 kilomètres de l’arrivée, dans le Collado de Hoz. Retombant sur ses équipiers issus de l’échappée matinale, il creuse et met « Purito » en difficulté dans l’ascension finale pour prendre le maillot de leader, avant de gérer le Bola Del Mundo, où l’espagnol de la Katusha ne retrouve pas assez de couleurs pour reprendre les 2 minutes 30 qu’il avait cédé.

2013 : A presque 42 ans, Christopher Horner devient le plus vieux vainqueur d’un Grand Tour, que ce soit au général (battant Firmin Lambot) ou sur les étapes (battant Pino Cerami). Guère cité parmi les grands favoris, et seulement titulaire d’un seul top 10 en Grand Tour avant cette 68e Vuelta, Horner renverse Nibali sur les arrivées de Pena Cabarga, Naranco et surtout de l’Angliru, où il écrase les autres favoris et termine juste derrière le français Kenny Elissonde, échappé. Avec 11 arrivées au sommet, cette édition constitue un record (dans la volonté affirmée des organisateurs de proposer des « muritos » depuis l’an passé).

2014 : C’est la première fois depuis plus de vingt-ans que l’arrivée finale ne se déroule pas à Madrid, finissant à Saint-Jacques-de-Compostelle pour célébrer les 800 ans de la venue de Saint-François d’Assise. Lors des 10e et 11e étapes, Nairo Quintana est victime de chutes, ce qui le force à quitter la Vuelta, donnant le leadership à Alberto Contador, pourtant dans l’inconnu après son abandon sur le Tour, où il ne se contente pas de gérer son avance, s’imposant au sommet de La Farrapona puis d’Ancares.

2015 : Décrite comme « étape la plus dure dans l’histoire du cyclisme » par Eusebio Unzué, la première étape 100% andorrane de la Vuelta cumule 5200 mètres de dénivelé positif en 138 kilomètres seulement, avec les cols de Beixalis, Ordino, Rabassa, Gallina, Comella et le finish à Els Cortals d’Encamp. Si l’étape permet aux favoris de s’expliquer et de faire sombrer Froome (et d’assister à la victoire de Mikel Landa), elle est loin d’être décisive (8 coureurs en moins de deux minutes au général), et paradoxalement, le podium à Madrid sera le plus serré depuis 1985 : Majka, 3e, ne termine qu’à 1:09 de Fabio Aru.

2016 : Alors que Quintana et Froome semblent les plus forts pour se disputer la victoire finale, le colombien profite d’un coup de bordure lancé par Alberto Contador et ses équipiers pour repousser Froome à presque 4 minutes sur l’étape d’Aramon Formigal, un écart que le britannique ne pourra jamais boucher ensuite.

2017 : Partie de Nîmes, la Vuelta travers très tôt les Pyrénées et Andorre, où Christopher Froome s’empare d’ores et déjà du maillot de leader, qu’il ne lâchera plus pendant 18 jours. Cette 72e édition marque également le jubilé de Contador, sa dernière course en tant que cycliste professionnel, et où il parvient à s’imposer au sommet de l’Angliru sur l’avant-dernière étape, après avoir tenté de même dans l’ascension inédite de Los Machucos. Christopher Froome parvient ainsi à réaliser le troisième doublé Tour-Vuelta de l’histoire, et ce malgré un contrôle antidopage anormal qui agitera la saison 2018.

2018 : Pour la première fois depuis 10 éditions, un contre-la-montre individuel ouvre les routes espagnoles. Les ascensions inédites de Les Praeres et du Monte Oiz sont programmés et permettent, avec les autres étapes de montagne, de vidanger le général. Simon Yates, après sa déconvenue sur les dernières étapes du Giro, remporte l’édition devant Enric Mas et Miguel Angel Lopez, sacrant le plus jeune podium (24,8 ans) de la Vuelta depuis 1936, et de Grand Tour depuis le Tour 1965.

2019 : L’ascension par un versant inédit de l’Observatoire de Javalambre, d’Els Cortals d’Encamp par Engolasters, du Santuario del Acebo et le retour de Los Machucos semblent être les principaux points-clés des deux premières semaines, avant une troisième dépourvue d’arrivée au sommet franche!

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 18:58

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1935 : 29 Avril > 15 Mai – 14 étapes – 3425kms – Madrid > Madrid – 28.5537km/h de moyenne pour le vainqueur – 120h00m07s pour le vainqueur – 50 coureurs au départ – 21 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1936 : 15 Mai > 31 Mai – 21 étapes – 4407kms – Madrid > Madrid – 29.068km/h de moyenne pour le vainqueur – 150h07m54s pour le vainqueur – 50 coureurs au départ – 24 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1941 : 12 Juin > 6 Juillet – 22 étapes – 4406kms – Madrid > Madrid – 26.108km.h de moyenne pour le vainqueur – 168h45m26s pour le vainqueur – 32 coureurs au départ – 16 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1942 : 30 Juin > 19 Juillet – 19 étapes – 3688kms – Madrid > Madrid – 27.505km/h de moyenne pour le vainqueur – 134h05m09s pour le vainqueur – 40 coureurs au départ – 22 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1945 : 10 Mai > 31 Mai – 19 étapes – 3803kms – Madrid > Madrid - 28.018km/h de moyenne pour le vainqueur – 135h45m55s pour le vainqueur – 52 coureurs au départ – 26 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1946 : 7 Mai > 30 Mai – 23 étapes – 3797kms – Madrid > Madrid - 27.679km/h de moyenne pour le vainqueur – 137h10m38s pour le vainqueur – 48 coureurs au départ – 19 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1947 : 12 Mai > 5 Juin – 24 étapes – 3893kms – Madrid > Madrid – 29.392km/h de moyenne pour le vainqueur – 132h27m00s pour le vainqueur – 47 coureurs au départ – 20 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1948 : 13 Juin > 4 juillet – 20 étapes – 3990kms – Madrid > Madrid – 25.723km/h de moyenne – 155h06m30s pour le vainqueur – 54 coureurs au départ – 28 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1950 : 17 Août > 10 Septembre – 24 étapes – 3932kms – Madrid > Madrid – 29.118km/h de moyenne pour le vainqueur – 134h49m19s pour le vainqueur – 42 coureurs au départ – 16 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1955 : 23 Avril > 8 Mai – 15 étapes – 3566kms – Madrid > Madrid – 33.799km/h de moyenne pour le vainqueur – 81h04m02s pour le vainqueur – 106 coureurs au départ – 43 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1956 : 26 Avril > 13 Mai – 17 étapes – 3531kms – Madrid > Madrid – 33.426km/h de moyenne pour le vainqueur – 105h37m52s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 50 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1957 : 26 Avril > 12 Mai – 16 étapes – 2967kms – Bilbao > Bilbao – 35.008km/h de moyenne pour le vainqueur – 84h44m96s – 90 coureurs au départ – 36 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1958 : 30 Avril > 15 Mai – 16 étapes – 3251kms – Bilbao > Madrid – 32.248km/h de moyenne pour le vainqueur – 94h54m21s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 45 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1959 : 24 Avril > 10 Mai – 19 étapes – 3048kms – Madrid > Bilbao – 36.012km/h de moyenne pour le vainqueur – 84h36m20s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 49 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1960 : 29 Avril > 15 Mai – 17 étapes – 3566kms – Madrid > Bilbao – 34.575km/h de moyenne pour le vainqueur – 103h05m57s pour le vainqueur – 80 coureurs au départ – 56 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1961 : 26 Avril > 11 Mai – 16 étapes – 2823kms – San Sebastian > Bilbao – 36.377km/h de moyenne pour le vainqueur – 77h36m17s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 43 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1962 : 27 Avril > 13 Mai – 17 étapes – 2806kms – Barcelona > Bilbao – 35.684km/h de moyenne pour le vainqueur – 78h35m27s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 42 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1963 : 1 Mai > 15 Mai – 15 étapes – 2442kms – Gijon > Madrid – 37.694km/h de moyenne pour le vainqueur – 64h46m20s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 35 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1964 : 30 Avril > 16 Mai – 17 étapes – 2922kms – Benidorm > Madrid – 36.633km/h de moyenne pour le vainqueur – 78h23m35s pour le vainqueur – 80 coureurs au départ – 31 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1965 : 29 Avril > 16 Mai – 18 étapes – 3410kms – Vigo > Bilbao – 36.954km/h de moyenne pour le vainqueur – 92h36m93s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 49 abandons - 1 pays traversé (Espagne)

1966 : 28 Avril > 15 Mai – 18 étapes – 2951kms – Murcia > Bilbao – 37.605km/h de moyenne pour le vainqueur – 78h53m55s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 35 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1967 : 27 Avril > 14 Mai – 18 étapes – 2941kms – Vigo > Bilbao – 38.724km/h de moyenne pour le vainqueur – 76h38m04s pour le vainqueur – 110 coureurs au départ – 37 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1968 : 25 Avril > 12 Mai – 18 étapes – 2990kms – Vigo > Bilbao – 37.958km/h de moyenne pour le vainqueur – 78h29m00s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 39 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1969 : 23 Avril > 11 Mai – 18 étapes – 2921kms – Badajoz > Bilbao – 39.843km/h de moyenne pour le vainqueur – 73h18m45s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 32 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1970 : 23 Avril > 12 Mai – 19 étapes – 3568kms – Cadix > Bilbao – 39.576km/h de moyenne pour le vainqueur – 89h57m12s pour le vainqueur – 109 coureurs au départ – 50 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1971 : 29 Avril > 16 Mai – 17 étapes – 2983kms – Almeria > Madrid – 37.829km/h de moyenne pour le vainqueur – 73h50m05s pour le vainqueur – 110 coureurs au départ – 42 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1972 : 27 Avril > 14 Mai – 18 étapes – 2079kms – Fuengirola > San Sebastian – 37.284km/h de moyenne pour le vainqueur – 82h34m14s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 43 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1973 : 26 Avril > 13 Mai – 18 étapes – 3062kms – Calp > San Sebastian – 36.098km/h de moyenne pour le vainqueur – 84h40m50s pour le vainqueur – 80 coureurs au départ – 18 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1974 : 23 Avril > 12 Mai – 19 étapes – 2987kms – Almeria > San Sebastian – 34.420km/h de moyenne pour le vainqueur – 86h48m18s pour le vainqueur – 88 coureurs au départ – 33 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1975 : 22 Avril > 11 Mai – 19 étapes – 3104kms – Fuengirola > San Sebastian – 34.945km/h de moyenne pour le vainqueur – 88h00m56s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 36 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1976 : 27 Avril > 16 Mai – 19 étapes – 3340kms – Estepona > San Sebastian – 35.814km/h de moyenne pour le vainqueur – 93h19m10s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 51 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1977 : 26 Avril > 15 Mau – 20 étapes – 2785kms – Orihuela (Dehesa Campeamor) > Miranda de Ebro – 35.294km/h de moyenne pour le vainqueur – 78h54m36s pour le vainqueur – 70 coureusr au départ – 16 abandons - 1 pays traversé (Espagne)

1978 : 25 Avril > 14 Mai – 19 étapes – 2995kms – Gijon > San Sebastian – 35.014km/h de moyenne pour le vainqueur – 85h24m14s pour le vainqueur – 99 coureurs au départ – 47 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1979 : 24 Avril > 13 Mai – 19 étapes – 3373kms – Jerez de la Frontera > Madrid – 35.529km/h de moyenne pour le vainqueur – 94h57m03s pour le vainqueur – 90 coureurs au départ – 25 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1980 : 22 Avril > 11 Mai – 20 étapes – 3225kms – Murcia (La Manga) > Madrid – 36.486km/h de moyenne pour le vainqueur – 88h23m21s pour le vainqueur – 110 coureurs au départ – 47 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1981 : 21 Avril > 10 Mai – 19 étapes – 3446kms – Santander > Madrid – 35.135km/h de moyenne pour le vainqueur - 98h04m49s pour le vainqueur – 80 coureurs au départ – 25 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1982 : 20 Avril > 9 Mai – 19 étapes – 3442kms – Santiago de Compostela > Madrid – 35.929km/h de moyenne pour le vainqueur – 95h47m23s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 24 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1983 : 19 Avril > 8 Mai – 19 étapes – 3399kms – Almussafes > Madrid – 35.975km/h de moyenne pour le vainqueur – 94h28m26s pour le vainqueur – 100 coureurs au départ – 41 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1984 : 17 Avril > 6 Mai – 19 étapes – 3354kms – Jerez de la Frontera > Madrid – 37.214km/h de moyenne pour le vainqueur – 90h08m03s pour le vainqueur – 130 coureurs au départ – 33 abandons - 1 pays traversé (Espagne)

1985 : 23 avril > 12 Mai – 19 étapes – 3474kms – Valladolid > Salamanca – 36.417km/h de moyenne pour le vainqueur – 95h58m00s pour le vainqueur – 169 coureurs au départ – 68 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1986 : 22 Avril > 13 Mai – 21 étapes – 3675kms – Palma de Mallorca > Jerez de la Frontera – 37.398km/h de moyenne pour le vainqueur – 98h16m04s pour le vainqueur – 170 coureurs au départ – 63 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1987 : 23 Avril > 15 Mai – 23 étapes – 3922kms – Benidorm > Madrid – 37.143km/h de moyenne pour le vainqueur – 105h34m25s pour le vainqueur – 179 coureurs au départ – 91 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1988 : 25 Avril > 15 Mai – 20 étapes – 3425kms – Santa Cruz de Tenerife > Madrid – 38.506km/h de moyenne pour le vainqueur – 89h19m23s pour le vainqueur – 180 coureurs au départ – 64 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1989 : 24 Avril > 15 Mai – 23 étapes – 3656kms – La Coruna > Madrid – 39.309km/h de moyenne pour le vainqueur – 93h01m17s pour le vainqueur – 189 coureurs au départ – 46 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1990 : 24 Avril > 15 Mai - 21 étapes – 3711kms – Benicassim > Madrid – 39.224km/h de moyenne pour le vainqueur – 94h36m40s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 65 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1991 : 29 Avril > 19 Mai – 21 étapes – 3213kms – Merida > Madrid – 3213kms – 38.797km/h de moyenne pour le vainqueur – 82h48m07s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 82 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1992 : 27 Avril > 17 Mai – 20 étapes – 3395kms – Jerez de la Frontera > Madrid – 35.275km/h de moyenne pour le vainqueur – 96h14m50s pour le vainqueur – 189 coureurs au départ – 50 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1993 : 26 Avril > 15 Mai – 21 étapes – 3605kms – La Coruna > Santiago de Compostela – 37.508km/h de moyenne pour le vainqueur – 96h07m03s pour le vainqueur – 170 coureurs au départ – 57 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1994 : 25 Avril > 15 Mai – 20 étapes – 3531kms – Valladolid > Madrid – 38.333km/h de moyenne pour le vainqueur – 92h07m48s pour le vainqueur – 170 coureurs au départ – 49 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1995 : 2 Septembre > 24 Septembre – 21 étapes – 3750kms – Zaragoza > Madrid – 39.246km/h de moyenne pour le vainqueur – 95h30m33s pour le vainqueur – 181 coureurs au départ – 63 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1996 : 7 Septembre > 29 Septembre – 22 étapes – 3898kms – Valencia > Madrid – 39.986km/h de moyenne pour le vainqueur – 97h31m46s pour le vainqueur – 180 coureurs au départ – 65 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1997 : 6 Septembre > 28 Septembre – 22 étapes – 3773kms – Lisboa > Madrid – 41.334km/h de moyenne pour le vainqueur – 91h15m55s pour le vainqueur – 198 coureurs – 73 abandons – 2 pays traversés (Espagne, Portugal)

1998 : 5 Septembre > 27 Septembre – 22 étapes – 3774kms – Cordoba > Madrid – 40.262km/h de moyenne pour le vainqueur – 93h44m08s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 90 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

1999 : 4 Septembre > 26 Septembre – 21 étapes – 3576kms – Murcia > Madrid – 39.449km/h de moyenne pour le vainqueur – 89h52m03s pour le vainqueur -189 coureurs au départ – 74 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2000 : 26 Août > 17 Septembre – 20 étapes – 3904kms – Malaga > Madrid – 41.090km/h de moyenne pour le vainqueur – 70h26m14s pour le vainqueur – 180 coureurs au départ – 56 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2001 : 8 Septembre > 30 Septembre – 21 étapes – 3012kms – Salamanca > Madrid – 42.164km/h de moyenne pour le vainqueur – 70h49m05s pour le vainqueur – 189 coureurs au départ – 50 abandons - 1 pays traversé (Espagne)

2002 : 7 Septembre > 29 Septembre – 21 étapes – 3134kms – Valencia > Madrid – 41.590km/h de moyenne pour le vainqueur – 75h13m52s pour le vainqueur – 207 coureurs au départ – 75 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2003 : 6 Septembre > 28 Septembre – 21 étapes – 2957kms – Gijon > Madrid – 42.536km/h de moyenne pour le vainqueur – 68h31m52s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 39 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2004 : 4 Septembre > 26 Septembre – 21 étapes – 2925kms – Leon > Madrid – 39.060km/h de moyenne pour le vainqueur – 77h42m46s pour le vainqueur – 189 coureurs au départ – 70 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2005 : 27 Août > 18 Septembre – 21 étapes – 3192kms – Granada > Madrid – 38.747km/h de moyenne pour le vainqueur – 82h22m55s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 72 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2006 : 26 Août > 17 Septembre – 21 étapes – 3213kms – Malaga > Madrid – 39.480km/h de moyenne pour le vainqueur – 81h24m07s pour le vainqueur – 189 coureurs au départ – 55 abandons - 1 pays traversé (Espagne)

2007 : 1 Septembre > 23 Septembre – 21 étapes – 3241kms – Vigo > Madrid – 40.486km/h de moyenne pour le vainqueur – 80h59m07s pour le vainqueur – 189 coureurs au départ – 44 abandons – 2 pays traversés (Andorre, Espagne)

2008 : 30 Août > 21 Septembre – 21 étapes – 3134kms – Granada > Madrid – 38.848km/h de moyenne pour le vainqueur – 80h40m08s pour le vainqueur – 171 coureurs au départ – 40 abandons - 2 pays traversés (Andorre, Espagne)

2009 : 29 Août > 20 Septembre – 21 étapes – 3288kms – Assen > Madrid – 37.770km/h de moyenne pour le vainqueur – 87h22m37s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 59 abandons – 4 pays traversés (Allemagne, Belgique, Espagne, Pays-Bas)

2010 : 28 Août > 19 Septembre – 21 étapes – 3338kms – Sevilla > Madrid – 38.232km/h de moyenne pour le vainqueur – 87h18m31s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 42 abandons – 2 pays traversés (Andorre, Espagne)

2011 : 20 Août > 11 Septembre – 21 étapes – 3270kms – Benidorm > Madrid – 38.470km/h de moyenne pour le vainqueur – 84h59m44s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 29 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2012 : 18 Août > 9 Septembre – 21 étapes – 3360kms - Pamplona > Madrid – 39.533km/h de moyenne pour le vainqueur – 84h59m49s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 23 abandons - 2 pays traversés (Andorre, Espagne)

2013 : 24 Août > 15 Septembre – 21 étapes – 3359kms - Villanova de Arousa > Madrid – 39.703km/h de moyenne pour le vainqueur – 84h36m04s pour le vainqueur – 197 coureurs au départ – 53 abandons - 3 pays traversés (Andorre, Espagne, France)

2014 : 23 Août > 14 Septembre – 21 étapes – 3181kms - Jerez de la Frontera > Santiago de Compostela - 39.735km/h de moyenne pour le vainqueur – 81h25m05s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ - 38 abandons – 1 pays traversé (Espagne)

2015 : 22 Août > 13 Septembre – 21 étapes – 3376kms - Marbella (Puerto Banus) > Madrid - 39.003km/h de moyenne pour le vainqueur – 85h36m13s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 40 abandons – 2 pays traversés (Andorre, Espagne)

2016 : 20 Août > 11 Septembre – 21 étapes – 3315kms – Ourense > Madrid – 39.693km/h de moyenne pour le vainqueur – 83h31m28s pour le vainqueur – 198 coureurs au départ – 39 abandons – 2 pays traversés (Espagne, France)

2017 : 19 Août > 10 Septembre – 21 étapes – 3298kms – Nîmes > Madrid – 39.971km/h de moyenne pour le vainqueur – 82h30m02s pour le vainqueur – 198 coureurs – 40 abandons – 3 pays traversés (Andorre, Espagne, France)

2018 : 25 Août > 16 Septembre – 21 étapes – 3271kms – Malaga > Madrid – 39.486km/h de moyenne pour le vainqueur – 82h05m58s pour le vainqueur – 176 coureurs au départ – 18 abandons – 2 pays traversés (Andorre, Espagne)


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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 18:59

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Etape 1 : Salinas de Torrevieja > Torrevieja (24/08)
CLM/equipe - 13.4 kilomètres - ★★☆☆☆

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• Première équipe : 18h56 | • Dernière équipe : 20h16 | • Arrivée : ~14 mins (20h30) - Départs 4 en 4mins

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Fernando Escartin a écrit:Un contre-la-montre par équipes inaugural sur un circuit urbain et plat à travers les rues de Torrevieja. Un tracé présentant peu de difficultés, sur une courte distance qui ne devrait pas avoir trop d’incidence sur le classement général


Regards croisés : *Commentaires réalisés sur le parcours de 18 kilomètres.

L'avis de Bad_Neos :
Un contre-la-montre par équipe assez court et plat dans ses grandes largeurs pour débuter la Vuelta. Il n'est pas très technique non plus. L'on devrait rester sur des écarts minimes pour le général même si la deuxième partie du chrono devrait permettre aux gosses cuisses de bien bourriner. C'est pourquoi il écope de deux étoiles sur 5...surtout que le parcours a été réduit depuis le premier jet.

L'avis de Klira :
Commencer par un TTT, assez classique, il y a quand même 18km il faudra prendre ça au sérieux mais bon, c'est fluide.

L'avis de Tazio :
La Vuelta débute par un contre-la-montre par équipes. Une discipline dont elle a fait une habitude pour lancer l’épreuve : depuis dix ans, la Vuelta n’a commencé que deux fois autrement.

Le parcours est long de 18 kilomètres, soit une distance qui se rapproche de ce qui se fait habituellement puisque la moyenne des contre-la-montre par équipes inauguraux depuis dix ans est de 16,4 kilomètres.

Sur le tracé, en dehors de deux épingles et de quelques virages à angle droit, il y a beaucoup de longues lignes droites full gas.
Le contre-la-montre par équipes n’est pas ce que je préfère pour débuter un Grand Tour mais c’est une approche comme une autre qui permet de boucler l’étape rapidement tout en ayant un aperçu en détail de l’ensemble des équipes.


:arrow: Salinas de Torrevieja : Départ Inédit.
Les salines de Torrevieja se feront belles pour recevoir, pour la première fois, un départ officiel de La Vuelta. La couleur rose qui caractérise ces lagunes salées ne peut être vue qu’entre juillet et septembre, ce qui coïncidera avec le passage de La Vuelta. Le point de départ de la 74ème édition sera donné dans un cadre idyllique et inédit pour l’épreuve, qui connaît cependant déjà Torrevieja, une ville que nous avons visitée en 2015 avec un départ en direction à la Cumbre del Sol (El Poble Nou de Benitatxell).


:arrow: Torrevieja : 1 fois ville-étape.
Torrevieja n’a jamais reçu une arrivée de La Vuelta, mais en 2015, cette petite ville de la province d’Alicante a été la vedette du départ d’une journée d’exception. Un Tom Dumoulin en herbe a été découvert ce jour-là. Le cycliste hollandais remporta l’étape alors qu’il n’avait que 24 ans, sa première victoire dans un Grand Tour, qu’il a été à deux doigts de remporter cette année-là. Deux ans plus tard, il remportait le Giro, confirmant ainsi un potentiel qu’il découvrit, comme beaucoup d’autres, en participant à La Vuelta... et en prenant le départ un jour de Torrevieja.






Etape 2 : Benidorm > Calpe (25/08)
Plaine - Final accidenté - 199.6 kilomètres - ★★☆☆☆

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• Départ réel : 12h20 | • Arrivée : 17h19 (40 km/h), 17h35 (38 km/h), 17h52 (36 km/h)

Km 37.1 : 2°C - Puerto de Confrides (20.2kms à 3.5%)
Km 54.2 : 3°C - Alto de Benilloba (4.5kms à 5.2%)
Km 168.4 : SI - Moraira
Km 174.8 : 2°C - Alto de Puig Llorença (3kms à 9.3%)

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Fernando Escartin a écrit:
La première partie de l'étape couvrira l'intérieur de la province d'Alicante, connue pour son terrain sinueux. Dans la partie finale aura lieu l'ascension de l'Alto de Puig Llorença (Cumbre del Sol), situé à 24 km de la ligne d'arrivée, qui établira une sélection de 70-80 coureurs qui se disputeront la victoire.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Une première étape en ligne plutôt intéressante, dans le sens où les sprinteurs pourront être mis à mal. Malgré sa longueur, la première ascension reste accessible, je me focaliserais plus sur le Puig Llorença, susceptible d'en faire exploser certains. Je le vois cependant trop loin (24 kms) pour permettre des offensives, et avec la fraicheur, on ne devrait pas avoir de "gros noms" en échappé.

L'avis de Klira :
Dès la 2ème étape, on s'élance sur du plat avec une aspérité finale qui compliquera la vie a beaucoup et pimentera parfaitement ce début de Vuelta, très indécise.

L'avis de Tazio :
Une étape intéressante à ce stade de la course. Le très long et roulant 2ème catégorie placé en tout début d’étape va offrir une belle lutte pour la formation de l’échappée avec à la clé le premier maillot à pois.
Dans le final, le Puig Llorenca, placé à 25 kilomètres de l’arrivée, est également le bienvenu : les écarts au général ne seront pas conséquents et les 3 kilomètres à 9,3% de moyenne intéresseront les audacieux avant une descente rapide vers Calpe. Peut-être déjà un premier changement de maillot rouge avec un sprint en comité réduit.


:arrow: Benidorm : Ville-départ pour la 24e fois.
Benidorm, au cœur de la Costa Blanca, est l'une des destinations touristiques les plus fréquentées de notre pays. Chaque année, plus de 10 millions de visiteurs y viennent pour profiter de ses plages et de son climat privilégié. C'est pour toutes ces raisons que cette ville de la province d'Alicante est devenue l'une des destinations préférées de La Vuelta. Benidorm a accueilli trois départs officiels (1964, 1987 et 2011), pour un total de 23 départs d'étapes, 17 arrivées et six étapes intégralement disputées dans ses rues.


:arrow: Calpe : Ville-arrivée pour la 4e fois.
Calpe est un autre joyau touristique de la Costa Blanca. Sa gastronomie, son climat et ses plages attirent de nombreux visiteurs dans la région. Parmi les atouts clés de Calpe, le rocher d'Ifach se distingue par son extension d'un kilomètre et ses plus de 300 mètres de haut. D'autre part, son orographie et son climat agréable en font l'une des destinations préférées des équipes cyclistes pour préparer leurs saisons pendant l'hiver.






Etape 3 : Ibi. Ciudad del Juguete > Alicante (26/08)
Plaine – 188kms – ★☆☆☆☆

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• Départ réel : 12h53 | • Arrivée : 17h21 (40 km/h), 17h35 (38 km/h), 17h49 (36 km/h)

Km 116 : 3°C - Puerto de Biar (3.4kms à 4.5%)
Km 150.2 : 3°C - Puerto de Tibi (6.7kms à 4.2%)
Km 167 : SI - Bussot (faux-plat)

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Fernando Escartin a écrit:
Deux cols de 3ème catégorie mettront les sprinteurs en difficulté, mais ce sera probablement la première arrivée en sprint massif de La Vuelta, car il n'y aura pas encore d'écarts importants au classement général.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
Première vraie étape pour sprinteurs à mon sens. Le Puerto de Tibi présente certes une portion dure, mais ne devrait hônnement rien changer du tout à l’affaire engagée par les sprinteurs. NB : Et il est encore moins dur avec la nouvelle version de l'étape

L’avis de Klira :
Cette 3e étape me donne davantage envie qu’un profil lisse même si celle-ci devrait couronner un sprinteur solide.

L’avis de Tazio :
Là aussi, une étape plutôt bien sentie avec une ascension pas facile à 40 kilomètres de l’arrivée puis un final en faux-plat descendant (-2.5% de moyenne pendant 25 kilomètres après l’ascension). De quoi amener un poil d’incertitude et donner de l’espoir à l’échappée de s’en sortir même si un sprint est attendu.


:arrow: Ibi : Départ inédit
C'est à la « tartana », une voiture tirée par des chevaux en miniature, que la ville d'Ibi doit sa prospérité industrielle. Connue sous le nom de la « Ville du jouet », cela fait plus d'un siècle que cette commune d'Alicante a pris son essor grâce à la fabrication de jouets pour les enfants. Le premier jouet créé dans la ville est aujourd'hui évoqué avec respect, dans un monument emblématique de la localité. Le peloton de La Vuelta retournera en enfance en 2019, avec ce départ d'étape inédit.


:arrow: Alicante : Ville-arrivée pour la 5e fois.
La Vuelta est de retour sur le merveilleux littoral de la ville d'Alicante, l'un des principaux centres urbains de l'est péninsulaire. Terrain d'entraînement habituel de nombreuses équipes du peloton pendant leur pré-saison, la ville a toujours misé sur le sport. La commune d'Alicante a soutenu des équipes et des athlètes qui ont récolté des victoires dans des disciplines aussi diverses que le cyclisme, le basket-ball, le handball ou le judo. Cet art martial a permis à Miriam Blasco, Alicantine d'adoption, de devenir la première médaillée d'or olympique espagnole.






Etape 4 : Cullera > El Puig (27/08)
Plaine – 175.5kms – ★☆☆☆☆

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• Départ réel : 13h19 | • Arrivée : 17h23 (43 km/h), 17h35 (41 km/h), 17h49 (39 km/h)

Km 122.3 : SI - Naqueira
Km 129.5 :
3°C - Puerto de Oronet (8.9kms à 3.6%)

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Fernando Escartin a écrit:
Étape de plat couronnée par la montée du col de l'Oronet, de 3ème catégorie. Il ne devrait toutefois pas représenter un obstacle insurmontable pour les sprinteurs, car le sommet se trouve à 45 km de l'arrivée, ce qui leur laissera donc le temps de récupérer et de se préparer pour une nouvelle arrivée massive.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
Pas de chichis, ce sera pour sprinteurs malgré une petite ascension répertoriée.

L’avis de Klira :
4ème étape qui est cette fois tracée pour un sprinteur pur. Dans ce bloc de 3 étapes, on a trois choses un peu différentes et même s'il n'y a absolument rien de fou, c'est encourageant !

L’avis de Tazio :
RAS, probablement un sprint massif.


:arrow: Cullera : Ville-départ pour la 2e fois
Cullera se distingue par son offre touristique, sa côte et son climat. Cette commune valencienne, visitée pour la première fois par La Vuelta en 1980, surprendra ses visiteurs par son vaste patrimoine gastronomique et son offre culturelle. Citons notamment le singulier Musée du pirate Dragut. Cette grotte, située à proximité du phare de Cullera, illustre la vie des pirates du XVIe siècle, en souvenir de l'attaque lancée contre la ville par le pirate Dragut, le lieutenant du légendaire Barberousse, en 1550.


:arrow: El Puig : Arrivée inédite
Située à une vingtaine de kilomètres de Valence, El Puig a été un lieu clé pendant la reconquête menée par Jacques Ier dans la capitale valencienne. C'est depuis son château qu'il a planifié la stratégie de la bataille et, en souvenir de son triomphe, il a fait construire en 1237 le monastère royal de Santa María de El Puig. Ce bâtiment, déclaré monument historique et artistique national en 1969, conserve encore son Salon royal, qui était réservé à l'usage exclusif des monarques espagnols qui visitaient Valence.






Etape 5 : L'Eliana > Observatorio Astronomico de Javalambre (28/08)
Montagne – 170.7kms – ★★★☆☆

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• Départ réel : 12h51 | • Arrivée : 17h20 (38 km/h), 17h35 (36 km/h), 17h52 (34 km/h)

Km 31.7 : 2°C - Puerto de Alcublas (5.9kms à 4.8%)
Km 98.6 : 3°C - Alto Fuente de Rubielos (5.3kms à 6%)
Km 135 : SI - Manzanera
Km 170.7 : 1°C - Alto de Javalambre (10.2kms à 8.1%) dont 3.2kms à 10.7%

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Fernando Escartin a écrit:
Une étape à l'issue de laquelle les écarts commenceront à se creuser. Le peloton traversera un terrain sinueux qui usera le groupe avant le dernier col. L'ascension finale n'est pas excessivement difficile, mais les différences de temps seront sans doute significatives. Un col inédit qui promet bien des surprises.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
La première arrivée au sommet, et le premier rendez-vous des leaders. L’approche n’est pas forcément simple avec un départ en col roulant et quelques routes répertoriées bien en prise par moment. Les mouvements ne devraient cependant s’effectuer que sur la route de Javalambre. Une bonne première occasion, avec de beaux pourcentages…sans qu’ils soient excessifs.

L’avis de Klira :
Première explication au sommet, des pourcentages corrects, une vraie grosse montée, une ascension solide qui devrait faire mal.

L’avis de Tazio :
Une étape vueltesque. C’est ce qu’il faut à ce stade de la course donc on ne va pas se plaindre : 10,2 kilomètres à 8,1%, dont un passage de 3 kilomètres à près de 11% (sûrement du 25% sur 50 centimètres par endroit 8) ), ca permettra un premier test entre favoris. Le parcours avant n’est pas forcément facile avec pas mal de faux-plats et de petites bosses non répertoriées.


:arrow: L'Eliana : Départ inédit
Durable, ouverte et avec une offre culturelle et festive très variée, L'Eliana est avant tout une ville moderne. Une avant-garde culturelle parfaitement représentée par le groupe local le plus célèbre : La Habitación Roja. Au cours de ses dix années d'activité, le groupe a été l'une des références principales de la scène indie espagnole. Pour la première visite de La Vuelta dans la ville, L'Eliana espère vivre « Un jour parfait ».


:arrow: Observatorio Astronomico de Javalambre : Arrivée inédite
À près de 2 000 mètres d'altitude, depuis la localité d'Arcos de las Salinas, on aperçoit l'Observatoire d'astrophysique de Javalambre. Ce centre scientifique se consacre depuis presque trois décennies à la cartographie astronomique au moyen de deux télescopes qui marquent de leur empreinte le paysage montagneux de la région. Le sommet sur lequel il se situe, dans la province de Teruel, se trouve pour la première fois sur le tracé de la course espagnole, avec ses 12 kilomètres d'un dénivelé moyen de 7 %. Il promet des émotions fortes pour les supporters et des moments difficiles pour un peloton qui n'aura jamais été aussi proche des étoiles.






Etape 6 : Mora de Rubielos > Ares del Maestrat (29/08)
Accidentée – 198.9kms – ★★★☆☆

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• Départ réel : 12h04 | • Arrivée : 17h18 (38 km/h), 17h35 (36 km/h), 17h55 (34 km/h)

Km 21 (19 pour moi) : 2°C - Puerto de Nogueruelas (7kms à 6.2%)
Km 36.5 : 3°C - Puerto de Linares - (6kms à 6.9%)
Km 139 : SI - Cati
Km 173.4 : 3°C - Puerto de Culla (4.2kms à 5.7%) précédé de 2.1kms à 6.5%
Km 198.9 : 3°C - Puerto de Ares (6.8kms à 5.6%)

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Fernando Escartin a écrit:
Longue étape de près de 200 km au cours de laquelle auront lieu les premières échappées avec des possibilités de victoire. Arrivée au col d'Ares de Maestrat : 5 km avec un dénivelé moyen de 5 à 6 %. Les écarts entre les favoris au classement général seront sans doute peu importants.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
Etape valverdesque comme première réaction, un type d’étape que je n’aime pas car la montée finale est roulante, peu dure, pas assez longue et ne devrait pas faire d’écarts, idéal pour le vétéran espagnol. Son placement, après la première occasion des favoris, et avant la deuxième, pourrait cependant la sauver et en faire une belle étape pour baroudeurs avec un départ en prise et le Puerto del Culla pour venir pimenter le final (mais même pour une échappée, je vois plus un sprint en petit comité)

L’avis de Klira :
L'étape 6 n'est pas très reluisante, pour baroudeurs on va dire, il en faut, soit.

L’avis de Tazio :
Une étape pas forcément intéressante mais il faut bien une spéciale Valverde. Ce genre d’étape aurait été plus utile un peu plus tôt dans la course, pourquoi pas en étape 4.


:arrow: Mora de Rubielos : Départ inédit
La première chose qui attire l'attention en arrivant à Mora de Rubielos c'est son impressionnant château et les vestiges de ses murailles. Le bâtiment, très probablement bâti par les Arabes, a été reconstruit au XIIe siècle, après la conquête de la ville par Alphonse II. Nichée dans la Sierra de Gúdar, en Aragon, Mora de Rubielos accueillera le départ de l'une des étapes appelées « casse-pattes », avec un enchaînement de cols et des montées et des descentes constantes.


:arrow: Ares del Maestrat : Arrivée inédite (197 habitants)
Bien que située dans une autre province, Ares del Maestrat partage certaines similitudes avec Mora de Rubielos. Cette localité de la province de Castellón se distingue également par son château, un élément essentiel des conquêtes de Jacques Ier d'Aragon. Située au pied de la Mola d'Ares, cette commune est la deuxième plus haute de toute la Communauté Valencienne, avec une altitude de près de 1 200 mètres. Une étape inédite qui se termine par une montée intense, mais constante qui commence à 10 kilomètres de la ligne d'arrivée.






Etape 7 : Onda > Mas de la Costa (30/08)
Montagne – 183.2kms – ★★★☆☆

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• Départ réel : 12h30 | • Arrivée : 17h19 (38 km/h), 17h35 (36 km/h), 17h53 (34 km/h)

Km 93.7 : 3°C - Puerto de Marianet (3.5kms à 5.6%)
Km 104.5 : 2°C - Puerto de Eslida (5.6kms à 4.4%)
Km 115.7 : 3°C - Puerto de Alcudia de Veo (4.3kms à 4.3%)
Km 130 : SI - Onda
Km 161.1 : 2°C - Puerto del Salto del Caballo (10.4kms à 4.6%) dont 7.1kms à 6%
Km 183.2 : 1°C - Alto Mas de la Costa (3.9kms à 12.2%)

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Fernando Escartin a écrit:
Les 80 premiers kilomètres se déroulent le long de la côte, sur un terrain plat. Dans la deuxième partie, nous découvrons l'intérieur de la province de Castellón avec deux cols de deuxième catégorie et deux autres de troisième catégorie. L'étape s'achève avec l’ascension à Mas de la Costa, qui mettra à l’épreuve les forces des favoris au classement général, qui devront tout faire pour ne pas perdre de temps.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
Premier vrai, bon gros raidard avec le retour du Mas de la Costa. Son approche est de surcroit exigeante avec le Puerto del Salto del Caballo en apéritif. J’aime bien cet enchainement, même si la course de côte est largement à prévoir.

L’avis de Klira :
L'étape 7 est typique, plus difficile qu'il n'y parait dans son approche, avec un mur final bien raide, ça promet une belle explication.

L’avis de Tazio :
Un mur de 4 kilomètres à 12% comme final d’étape, c’est ma Vuelta szûre 8) Bon allez, ca passe encore et on saluera le petit effort de mettre du casse-pattes avant ce mur avec le 2ème catégorie.


:arrow: Onda : Départ inédit
Onda se caractérise par un ancrage profond de ses rues et de ses habitants dans l'époque musulmane. C'est sous la domination de cette culture que la ville a connu son apogée et elle conserve encore une grande partie de cet héritage. Onda a également une histoire cycliste particulière, liée aux frères Cabedo, qui sont nés dans cette localité de la province de Castellon. L'aîné, Víctor, malheureusement décédé en 2012 alors qu'il s'entraînait, et le cadet, Óscar, qui a participé à La Vuelta 18 sous les couleurs de l'équipe Burgos BH.


:arrow: Mas de la Costa : Ville-arrivée pour la 2e fois
Le nom de la localité Mas de la Costa ne vient pas de sa proximité avec la côte, laquelle se trouve à plus de 30 kilomètres, mais à cause de ses pentes ardues. Ce final explosif a été révélé lors de l'édition 2016 de La Vuelta, car il a constitué l'un des moments forts de la dernière semaine de course. Cette année-là, le vainqueur fut le Suisse Mathias Frank, un coureur de l'équipe IAM Cycling, qui n'existe plus aujourd'hui. Il a ainsi remporté la dernière victoire de l'équipe suisse avant sa disparition.






Etape 8 : Valls > Igualada (31/08)
Accidentée – 166.9kms – ★★☆☆☆

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• Départ réel : 13h12 | • Arrivée : 17h22 (40 km/h), 17h35 (38 km/h), 17h50 (36 km/h)

Km 112.1 : SI - Sant Joan de Vilatorrada
Km 139.4 : 2°C - Puerto de Montserrat (7.8kms à 6.6%)

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Fernando Escartin a écrit:
Étape de moyenne montagne en raison du terrain qu'elle traverse et non pas tant de ses cols. Le col de Montserrat, dans la dernière partie de l'étape, sera décisif, car les équipes des sprinteurs devront décider si elles veulent contrôler et chercher un sprint final ou laisser la victoire à l'échappée.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
En soit, c’est plutôt bon pour une étape de baroudeurs. J’aurais peut-être préféré une montée moins dure et un final plus escarpé (petites côtes) encore pour avoir un final intéressant. Ce devrait être repos chez les favoris. De là a dire qu’il aurait été préférable de mettre une étape pour sprinteurs, qui galéreront entre l’étape 4 et l’étape 14 sans rien avoir sous la dent, c’est un pas que je franchis allégrement !

L’avis de Klira :
Transition, compliquant toujours la vie aux sprinteurs.

L’avis de Tazio :
Une étape plutôt typée baroudeurs qui arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Je pense qu’après les trois étapes précédentes et avant l’étape andorrane, une étape de plaine (ou légèrement casse-pattes) aurait été plus utile à cet instant de la course.


:arrow: Valls : Ville-départ pour la 2e fois
On entend souvent affirmer qu'il existe peu de sports qui illustrent aussi bien la dualité entre sport d'équipe et individuel que le cyclisme. Aucun cycliste ne peut gagner sans ses coéquipiers pour le soutenir. Cette leçon, les coureurs de La Vuelta 19 l'apprendront à Valls, le berceau des « castells ». Ces pyramides humaines, des exemples sans pareil d'effort, sont classées depuis près d'une décennie au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO.


:arrow: Igualada : Ville-arrivée pour la 4e fois
Considérée comme la capitale européenne du cuir, Igualada a su préserver son patrimoine associé à cette industrie grâce à son Musée du cuir. On y expose la variété d'utilisations de ce matériel, ainsi que l'évolution de la technique de sa production. Une tradition de qualité et d'excellence qui pourrait également s'appliquer aux relations entre la ville et La Vuelta. Trois étapes de cette course se sont achevées à Igualada, avec des vainqueurs prestigieux comme Agustín Tamames, Giuseppe Perletto ou Bernard Hinault.






Etape 9 : Andorra La Vella > Els Cortals d'Encamp (01/09)
Montagne – 94.4kms – ★★★★★

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• Départ réel : 14h54 | • Arrivée : 17h27 (37 km/h), 17h35 (35 km/h), 17h45 (33 km/h)

Km 17 : 1°C - Coll d'Ordino (16.8kms à 5.5% avant le replat) - palme du placement de CP Wtf
Km 56.6 : Especial - Coll de la Gallina (11.7kms à 8.4%)
Km 70.2 : SI - Santa Coloma
Km 76.4 : 2°C - Alto de la Comella (4.3kms à 8%)
Km 83.8 : 2°C - Alto de Engolasters (4.6kms à 8.5%)
Km 94.4 : 1°C - Alto Els Cortals d'Encmap (5.8kms à 7.8%)

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Fernando Escartin a écrit:
Étape similaire à celles du bouquet final de la Vuelta 18. L’ascension du Coll d’Ordino se fera dans la direction opposée à celle de 2018 et celle du Coll de la Gallina par sa partie la plus difficile. Le final reliera La Comella, le nouveau col inédit d'Engolasters, et un tronçon de 4 km de plat sur le gravier, pour ensuite aborder l'ascension finale à Cortals d'Encamp. Ce sera l'une des étapes clés pour le classement général.


Regards croisés :

L’avis de Bad_Neos :
L’étape s’annonce comme une belle bagarre, dernière opportunité de la semaine. Ordino, roulant, est un bon moyen de lancer des hommes à l’avant. Je n’attends pas forcément grand-chose de la Gallina, surtout de l’écrémage, pas forcément d’attaques, quand je vois la montée en palier finale. Etape difficilement lisible, et pour une fois, ne se finissant pas au sommet du col le plus dur (caté 1 tout pété aussi)

L’avis de Klira :
Je ne sais pas tant que penser de l'étape 9 en Andorre avant le repos. C'est une belle étape, courte et exigeante, la montée finale en paliers va nuire à des grandes manoeuvres au préalable, il y avait sans doute mieux à faire néanmoins on a une vraie étape de montagne qui va faire du dégât j'imagine.

L’avis de Tazio :
Superbe ! C’est bien mieux tracé que 2015 ou 2018. Départ en pied de col avec le roulant Ordino pour user les coureurs, puis la Gallina pour tout faire péter. La montée finale en escaliers effraiera moins les coureurs offensifs que les autres années andorranes. Et le passage de 4 kilomètres en non-goudronné est sympa à voir.

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:00

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Etape 10 : Jurançon > Pau (03/09)
CLM Individuel - 36.2kms - ★★★☆☆

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• Premier coureur : 13h37 | • Dernier coureur : 16h45

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Fernando Escartin a écrit:
36,1 km de lutte contre la montre après le premier jour de repos. Un parcours favorable pour les spécialistes : sinueux, avec quelques rampes, qui demandera de la force physique et mentale. Les spécialistes du contre-la-montre auront l'occasion de rattraper le temps perdu dans la montagne et tenteront de creuser l'écart avec les grimpeurs pour disposer de minutes supplémentaires pour les étapes de montagne restantes.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Un bon chrono, d’une bonne longueur mais qui aurait aussi bien pu être un peu plus long. Autre considération à prendre en compte, il n’est pas tout plat comme pouvaient l’être les derniers ! Deux bosses, irrégulières : 2.1kms à 7.4% puis 2kms à 5%

L'avis de Klira :
Le CLM à Pau change un peu de l'habituel chrono plat ces dernières années, il reste bien sûr roulant mais quand même. Après le repos, à suivre.

L'avis de Tazio :
Point positif, c’est mieux tracé que le contre-la-montre du Tour de France après près de 10 kilomètres supplémentaires. 36 kilomètres d’effort solitaire, c’est quand même le grand minimum pour un Grand Tour… Point négatif : malgré la journée de repos entre les deux, ce contre-la-montre est situé juste après l’étape la plus intéressante de cette Vuelta. C’est vraiment dommage, ca risque de freiner les ardeurs alors qu’en inversant les deux, ca aurait été parfait.


:arrow: Jurançon : Départ inédit
Après une journée de repos bien méritée, La Vuelta disputera une étape complète en France, la troisième de son histoire, après les deux étapes inaugurales de l'édition 2017. Les coureurs partiront de Jurançon et rouleront à travers les vignobles qui font la réputation internationale de cette petite commune du sud de la France. Cette localité se distingue par deux types de vins blancs aux saveurs singulières et très appréciés parmi les amateurs de vin.


:arrow: Pau : Arrivée inédite
Pau, ville clé du Tour de France, accueillera en 2019 le peloton de La Vuelta. La liste des cyclistes qui ont triomphé dans cette ville qui jouit d'un climat unique est longue et variée. Le palmarès inclut des noms comme Fausto Coppi et Marcel Kittel, en passant par Sean Kelly ou, le plus récent, Arnaud Démare, qui a franchi le premier la ligne d'arrivée à Pau lors du Tour 2018.






Etape 11 : Saint-Palais > Urdax-Dantxarinea (04/09)
Accidenté - 180kms - ★★☆☆☆

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• Départ réel : 12h51 | • Arrivée : 17h21 (40 km/h), 17h35 (38 km/h), 17h51 (36 km/h)

Km 77.2 : 3°C - Col d'Osquich (4.9kms à 6.1%)
Km 123.2 : 2°C - Col d'Ispéguy (8kms à 6.4%)
Km 142.8 : 3°C - Col de Otxondo (4.6kms à 5.3%)
Km 171.9 : SI - ???

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Fernando Escartin a écrit:
Étape de moyenne montagne avec un circuit final similaire à celui de 2016 dans les alentours d'Urdax. Les coureurs de l'échappée auront de nombreuses chances de remporte la victoire. La journée servira de transition pour les coureurs qui se disputent la tête du classement général.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Clairement le plus gros raté à mon sens, et qui décrédibilise ce passage en France (le chrono, on pouvait le faire ailleurs, le Pays-Basque français, c’est plus compliqué…). L’étape est clairement tournée vers les baroudeurs mais elle est loin d’être folle. Elle aurait surtout été plus intéressante s’il n’y avait pas cette boucle finale qui comporte certes une toute petite bosse, mais qui prive en bonne partie l’intérêt de l’enchainement Ispéguy-Otxondo, repoussé trop loin, encore plus avec la nouvelle mouture de l'étape.

L'avis de Klira :
L'étape 11 est bien frustrante quand on pense aux possibilités...

L'avis de Tazio :
Vraiment décevant. Ca sent l’étape pour baroudeurs alors qu’il y avait beaucoup mieux à faire sur la frontière franco-espagnole, avec une étape piège utilisant des cols autour de Saint-Jean-Pied-de-Port et un final casse-pattes via Otxondo-Ispéguy…


:arrow: Saint-Palais : Départ inédit
Cette petite commune du sud de la France sera la dernière incursion de La Vuelta hors des frontières espagnoles, même si on peut y observer des éléments parfaitement reconnaissables du nord de la Péninsule. Saint-Palais fait partie du Pays basque français et partage une même tradition culturelle avec le Pays basque espagnol. Un exemple en est le Festival de la force basque, un championnat de sports ruraux basques disputé en août où l'on peut voir des images aussi emblématiques que le découpeur de troncs (« aizkolari ») ou la discipline du « soka -tira » (tir à la corde).


:arrow: Urdax-Dantxarinea : Ville-arrivée pour la 2e fois
La Vuelta voyage jusqu'aux origines de la mythologie basque et, en principe, de la langue basque, l'euskera. Urdax est une commune du Baztan, une région unique et fascinante de la communauté de Navarre. Ses légendes, son climat rigoureux et ses paysages verdoyants attirent voyageurs et curieux depuis des siècles. Cette région, qui a servi de décor à de nombreux romans de la littérature fantastique, a accueilli pour la première fois en 2016 une étape de La Vuelta, remportée par le coureur italien Valerio Conti.






Etape 12 : Circuito de Navarra > Bilbao (05/09)
Accidenté - 171.4kms - ★★★☆☆

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• Départ réel : 13h12 | • Arrivée : 17h22 (41 km/h), 17h35 (39 km/h), 17h49 (37 km/h)

Km 42.4 : 3°C - Alto de Azazeta (5.5kms à 3.6%)
Km 134.7 : 3°C - Alto de Urruztimendi (1.5kms à 13%)
Km 144.8 : 3°C - Alto El Vivero (4.3kms à 7.4%)
Km 158.5 : SI - Bilbao
Km 163.8 : 3°C - Alto de Arraiz (2.1kms à 11.7%)

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Fernando Escartin a écrit:
Une magnifique étape, surtout dans sa dernière partie. Une succession de trois cols de troisième catégorie : courts, durs et consécutifs qui mettront du piment à un final qui s'annonce intense et qui se déroulera sous les yeux passionnés des ardents supporters du Pays basque.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Couplé avec l’étape de la veille, le sentiment de gâchis est toujours présent. A la fois beaucoup et trop peu. 3 bosse répertoriées dans le final, 3 murs, et pourtant l’impression que tout se jouera dans Arraiz, malheureusement, même s’y j’espère me tromper. Le sentiment de gâchis vient plutôt des 120 premiers kilomètres…Quel dommage d’offrir d’abord une étape pour baroudeurs pour ensuite construire une étape pour le général finalement (très) molle, surtout à la veille de Los Machucos ?

L'avis de Klira :
Elle offre un bien meilleur final, ça reste léger mais c'est intéressant. Il reste néanmoins le doute que les choses bougent, ça fait finalement un peu transition, l'agencement serait surement à revoir, l'étape d'après CLM bien densifiée et violente avec un lendemain transitoire aurait été judicieux.

L'avis de Tazio :
Avant l’étape du lendemain, ca sent l’étape un peu « sacrifiée » aux baroudeurs, même si les forts pourcentages dans le final « forceront » au moins une mini-explication entre favoris. Là aussi, il y avait mieux à faire.


:arrow: Circuito de Navarra : Ville-départ pour la 2e fois
Le circuit de Navarre a été inclus en 2017 dans la liste des circuits automobiles présents sur La Vuelta, avec Assen, Jerez et le Jarama. Les virages les plus rapides de la région seront le point de départ d'une étape qui ne sera pas, comme il y a deux ans, un contre-la-montre. Presque 4 000 mètres d'asphalte qui permettront au peloton de souffler un peu avant d'aborder les sommets de la chaîne Cantabrique.


:arrow: Bilbao : Ville-arrivée pour la 43e fois
En 2011, La Vuelta est revenue au Pays basque après des années d'absence et a fixé la ligne d'arrivée à Bilbao. Igor Antón fut ce jour-là le vainqueur et il mis fin, avec tous les honneurs, à sa carrière professionnelle à la fin de La Vuelta 18. Dans la capitale de la Biscaye, berceau du cyclisme dans notre pays, les coureurs et les vainqueurs d'étapes changent, mais chaque année des milliers d'amateurs sont présents pour acclamer le peloton. Une passion qui a fait du Pays basque l'une des régions fétiches du cyclisme international.






Etape 13 : Bilbao > Los Machucos. Monumento Vaca Pasiega (06/09)
Montagne - 166.4kms - ★★★★☆

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• Départ réel : 12h58 | • Arrivée : 17h20 (38 km/h), 17h35 (36 km/h), 17h51 (34 km/h)

Km 39.4 : 3°C - Alto de la Escrita (5.2kms à 4.6%)
Km 56.6 : 3°C - Alto de Ubal (6.7kms à 7%)
Km 86 : 2°C - Collada del Ason (11.3kms à 4.3%)
Km 106 : 2°C - Puerto de Alisas (9.2kms à 5.6%)
Km 137.3 : 2°C - Puerto de Fuente las Varas (5.7kms à 4.9%)
Km 147.2 : 3°C - Puerto de la Cruz de Usano (3.1kms à 5.8%)
Km 154.6 : SI - Arredondo
Km 166.4 : Especial - Alto de los Machucos (6.7kms à 11.4%)

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Fernando Escartin a écrit:
Étape très difficile avec sept cols au menu : quatre de catégorie 3, deux de catégorie 2 et une arrivée hors catégorie à Los Machucos. Ce sera une course difficile à contrôler pour les équipes, avec une arrivée très exigeante qui fera une première sélection parmi les coureurs ayant des chances de remporter la victoire à l’issue de La Vuelta 19.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Apparu une seule fois, et déjà mythique, n’est-ce pas ? Los Machucos et ses pentes affolantes reviennent, et le moins que je puisse dire, c’est que je suis déçu pour la 3e fois en 3 jours. Une grosse impression que les cols ont juste été vidangés. Facile avec la montée finale, mais quand un enchainement avec le Puerto de Alisas (dans l’autre sens) me semblait parfaitement logique et plus intéressant, voici que la Vuelta le repousse à 55 kilomètres du pied pour se contenter des faciles Fuente de las Varas et Cruz de Usano…

L'avis de Klira :
Los Machucos sera un moment spectaculaire et sans doute important, l'arrive au sommet est typique mais on pourrait toujours retravailler ça vu qu'il y a la possibilité ici de redescendre.

L'avis de Tazio :
Une bonne étape éreintante, il en faut, même si son placement n’est pas idéal.


:arrow: Bilbao : Ville-départ pour la 33e fois
Au cours des dernières décennies, Bilbao a su se réinventer pour devenir une ville cosmopolite, moderne et durable. Elle a su aussi conserver l'histoire et la tradition des villes basques. Le pont Bizkaia qui vient de fêter ses 125 ans en est le parfait exemple. Cette structure, classée au patrimoine de l'humanité de l'UNESCO, a été le premier pont transbordeur du monde avec une structure métallique. Il reste aujourd'hui l'un des symboles de Bilbao.


:arrow: Los Machucos : Site arrivée pour la 2e fois
Il y a deux ans, Stefan Denifl a remporté au sommet de Los Machucos la seule victoire de La Vuelta 2017 pour une équipe invitée. Le monument à la vache Pasiega en fut le témoin. Construit sur ce sommet, il évoque la race bovine autochtone que l'on croyait éteinte pendant des décennies. L'animal a assisté en direct à la victoire du cycliste autrichien, qui est arrivé devant Alberto Contador, puis, quelques minutes plus tard, il a accueilli un peloton qui avait atteint ses limites après la montée des dures pentes de ce col de la région de Cantabrie.






Etape 14 : San Vicente de la Barquera > Oviedo (07/09)
Plaine - 188kms - ★☆☆☆☆

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• Départ réel : 12h46 | • Arrivée : 17h21 (41 km/h), 17h35 (39 km/h), 17h50 (37 km/h)

Km 151.6 : SI - Gijón
Km 165.4 : 3°C - Alto la Madera (8.1kms à 3.6%)

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Fernando Escartin a écrit:
Étape de plat qui se déroulera le long de la côte cantabrique jusqu'à Gijón. L’ascension finale à l'Alto de la Madera précèdera l’arrivée à Oviedo. Les sprinteurs feront travailler leurs équipes pour contrôler la journée et tenter d'éviter une victoire de l'échappée.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Les sprinteurs pourront enfin exister. Ce sera facile, avec le faux-plat final enlevé de surcroit.

L'avis de Klira :
Vers Oviedo c'est pour les sprinteurs mais ce ne sera toujours pas le tapis rouge, c'est appréciable.

L'avis de Tazio :
Enfin un terrain plus plat ! Ca fait presque 10 étapes que les rouleurs l’attendent, ca fait beaucoup… En espérant que les sprinters ne seront pas trop lessivés pour se jouer la victoire à Oviedo.


:arrow: San Vicente de la Barquera : Ville départ pour la 3e fois
San Vicente de la Barquera jouit de l'un des plus beaux paysages du nord de la péninsule ibérique. Cette commune de la région de Cantabrie se trouve au sein du parc naturel d'Oyambre et son offre touristique naturelle est incomparable. La combinaison de rias, de falaises, de plages, de dunes, ainsi que la présence d'une infinité de prés et de forêts, dote ce territoire d'une flore et d'une faune exceptionnelle. Après les départs très réussis de 2008 et 2013, 2019 constituera une nouvelle étape décisive dans l'histoire sportive du lieu.


:arrow: Oviedo : Ville-arrivée pour la 11e fois
Bien qu’Oviedo soit une ville habituée à voir passer la Vuelta dans ses rues, au cours des trois dernières décennies le tour d’Espagne a situé tous ses finales à proximité de la ville, concrètement au sommet de l’Alto del Naranco. Les derniers leaders du classement général à avoir franchi la ligne d’arrivée dans la ville d’Oviedo ont été ‘Lucho’ Herrera, Robert Millar et Miguel Induráin. En 2019, La Vuelta devra écrire de nouveaux noms du XXIe siècle au palmarès cycliste les rues de la capitale de la Principauté des Asturies.






Etape 15 : Tineo > Santuario del Acebo (08/09)
Montagne - 154.4kms - ★★★★☆

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• Départ réel : 13h18 | • Arrivée : 17h21 (38 km/h), 17h35 (36 km/h), 17h50 (34 km/h)

Km 29.2 : 1°C - Puerto del Acebo (8.2kms à 7.2%)
Km 73.2 : 1°C - Puerto del Connio (11.7kms à 6.2%)
Km 114.3 : 1°C - Puerto del Pozo de las Mujeres Muertas (10kms à 7.5%) dont 1.5kms à 10% puis 2.9kms à 9.7%
Km 143.2 : SI- El Llano
Km 154.4 : 1°C- Puerto del Acebo (7.9kms à 9.8%)

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Fernando Escartin a écrit:
Quatre cols à l’ordre du jour : trois cols de première catégorie et un col de deuxième catégorie. Une première ascension de l'Acebo aura lieu, sans atteindre la ligne d'arrivée, suivie de la visite à deux cols bien connus de l'ouest des Asturies : le col du Conio et le col du Pozo de las Mujeres Muertas. L’ascension finale est un col inédit et très exigeant, inconnu même par le Tour des Asturies qui passe habituellement par ce col.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
C’est intéressant, mais cela manque de dynamisme quand même, avec 30 bornes de vallée pour rejoindre l’Acebo. Cela reste la Vuelta après-tout. Ça ne devrait pas bouger dans les cols précédents. Je pense clairement qu’il aurait fallait prendre Pozo de las Mujeres Muertas et Connio dans l’autre sens, pour débuter sur une ascension courte mais pentue, puis la face la plus difficile du Connio malgré un final roulant.

L'avis de Klira :
Il est difficile d'appréhender les étapes 15 et 16. Si l'étape 15 offrira une nouvelle arrivée au sommet difficile et plutôt légitime...

L'avis de Tazio :
Nouvelle étape usante. De la bonne course de côte avec des cols pas faciles en cours d’étape et un placement mieux senti que l’étape 13.


:arrow: Tineo : Départ inédit
Tineo est la seconde commune la plus grande de la principauté des Asturies. Avec une tradition minière profondément ancrée, cette région est un exemple parfait de la façon dont la vie s'est organisée depuis des siècles autour de cette activité. Le Musée de l'Or de Navelgas en est la preuve. On y retrace le développement de l'industrie minière depuis l'époque romaine jusqu'à la période la plus récente.


:arrow: Santuario del Acebo : Arrivée inédite
Selon les chroniqueurs de l'époque, c'est en 1575 que le premier miracle de la vierge de l'Acebo a été documenté. Il a eu lieu le 8 septembre, lorsqu'une fille qui assistait à la messe sur le lieu du Sanctuaire fut guérie d'une maladie de naissance. Ce même jour, près de 450 ans après, le peloton devra faire preuve de beaucoup de foi pour affronter l’impressionnante ascension qui conduit jusqu'à l'ermitage. Un col inédit dans le programme de La Vuelta, mais très connu et fréquenté par le Tour des Asturies.






Etape 16 : Pravia > Alto de la Cubilla. Lena (09/09)
Montagne - 144.4kms - ★★★★☆

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• Départ réel : 13h28 | • Arrivée : 17h22 (37 km/h), 17h35 (35 km/h), 17h50 (33 km/h)

Km 60 : 1°C - Puerto de San Lorenzo (10kms à 8.5%)
Km 100.3 : 1°C - Alto de la Cobertoria (8kms à 8.5%)
Km 116.5 : SI - Campomanes
Km 144.4 : Especial - Alto de la Cubilla (18.1kms à 6%)

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Fernando Escartin a écrit:
Étape de montagne avec cinq cols sur le parcours : deux cols de troisième catégorie et trois cols de première catégorie, qui s’enchaînent dans la partie finale : le col du Morabio, La Cobertoria et le final au sommet de La Cubilla, où nous aurons l'occasion de profiter de vues exceptionnelles si le temps le permet. Le coureur qui terminera cette étape en tête du général sera un sérieux candidat à la victoire finale de La Vuelta.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Typical Vuelta. De bonnes grosses montées comme San lorenzo et surtout La Cobertoria où j’ai peur d’un vilain escamotage pour tout donner dans le moins intéressant Puerto de la Cubilla. Celui-ci est tout de même long et il devrait faire des écarts. Mais quand on connait les possibilités autour du Cobertoria, forcément, c’est moins enthousiasmant, surtout quand ça vient en clôture de semaine. Et ce constat est d'autant plus amer avec l'ancien départ, avec quelques petites bosses, que ce départ "facile" vers San Lorenzo...C'est simple, je n'y crois pas.

L'avis de Klira :
...l'étape 16 est beaucoup plus ouverte, ressemblant à une proposition de coup de Trafalgar, néanmoins cette arrivée en pente douce semble trop longue, c'est dommage. Attention tout de même, les plus grosses étapes seront passées et c'est la veille du repos.

L'avis de Tazio :
Une succession de cols mais qui aboutit encore à une course de côte. Je trouve que ca fait vraiment redondant et que cette étape n’est pas nécessaire. Le repos du lendemain incitera peut-être les coureurs à se donner davantage mais j’en doute.


:arrow: Pravia : Départ inédit
Attirés par la fertilité de ses terres, les hommes se sont installés sur le territoire de Pravia dès l'époque paléolithique. La commune a connu sa période faste à partir du VIIIe siècle, lorsque le roi Silo y transféra le royaume Astur. C'est à cette époque que fut construite l'église de Satianes, l'un des exemples d'architecture préromane les mieux conservés, et le plus ancien de toute la principauté des Asturies.


:arrow: Alto de la Cubilla : Arrivée inédite
Malgré les innombrables cols déjà explorés dans les Asturies, la Principauté continue d'offrir, année après année, de nouveaux sommets inédits pour enrichir le tracé de la course. Le col de La Cubilla est digne de ses homologues pyrénéens, par sa longueur, son caractère sinueux et la beauté incomparable de sa montée. Plus de 20 kilomètres d'ascension constante avec des dénivelés d'environ 5 % et des rampes avec un pourcentage d'inclinaison supérieur à deux chiffres. Un col très fréquenté et apprécié par les amateurs de cyclotourisme qui sera présent pour la première fois dans la Vuelta 2019.

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:01

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Etape 17 : Aranda de Duero > Guadalajara (11/09)
Plaine - 219.6kms - ★☆☆☆☆

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• Départ réel : 11h49 | • Arrivée : 17h18 (40 km/h), 17h35 (38 km/h), 17h55 (36 km/h)

Km 103.3 : SI - Atienza

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Fernando Escartin a écrit:
Il s'agit de l’étape la plus longue de la Vuelta 19 : 199 km propices aux échappées, à moins que la coalition des équipes de sprinteurs ne se mette d’accord pour assurer une nouvelle arrivée au sprint.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
J'en suis tout ému, Escartin a compris qu'il n'y avait pas assez d'étapes pour sprinteurs et à donc décidé de rajotuer 20 kilomètres à l'étape la plus plate de l'épreuve.

L'avis de Klira :
La dernière semaine souffre... Et donnera 3 étapes aux sprinteurs, certes elles se sont faites rares au préalable mais c'est sans consteste au moins une de trop. Une propose tout de même un léger faux-plat, bon…

L'avis de Tazio :
RAS. Tout plat, de quoi reprendre son souffle avant le bouquet final.


:arrow: Aranda de Duero : Ville-départ pour la 2e fois
La Vuelta revient à Aranda de Duero plus de dix ans après sa dernière visite (2006). Cette localité de la province de Burgos se distingue par ses nombreux vignobles favorisés par un emplacement privilégié qui donne naissance aux meilleurs crus de l'appellation d'origine contrôlée Ribera del Duero. Dans les rues d'Aranda, on peut déguster ses célèbres vins, mais aussi admirer l'église Santa María la Real, l'un des meilleurs exemples du gothique tardif parmi les nombreuses constructions de ce style architectural dont cette région de la Castille est parsemée.


:arrow: Guadalajara : Ville-arrivée pour la 3e fois
Guadalajara a été élue Capitale européenne du sport en 2018. Il s'agit d’une reconnaissance à l'échelle européenne des politiques mises en œuvre par la municipalité pour promouvoir le sport parmi ses habitants. De nombreux événements internationaux et nationaux d'athlétisme, de badminton ou de gymnastique rythmique, parmi d’autres disciplines, ont eu lieu cette année dans la ville. Cet engagement en faveur du sport sera complété par l'arrivée du peloton de La Vuelta 19 dans ses rues, 13 ans après sa dernière visite.






Etape 18 : Comunidad de Madrid. Colmenar Viejo > Becerril de la Sierra (12/09)
Montagne - 177.5kms - ★★★★☆

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• Départ réel : 12h40 | • Arrivée : 17h20 (38 km/h), 17h35 (36 km/h), 17h53 (34 km/h)

Km 40.3 : 1°C - Puerto de Navacerrada (11.8kms à 6.3%)
Km 78.2 : 1°C - Puerto de la Morcuera (13.2kms à 6.6%)
Km 120.8 : 1°C - Puerto de la Morcuera (10.4kms à 6.8%)
Km 135.5 : SI - Rascafria
Km 151.9 : 1°C - Puerto de Cotos (10.1kms à 5.6%)
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Fernando Escartin a écrit:
Une journée très dure, similaire à l'étape lors de laquelle Fabio Aru ravit à Tom Dumoulin la victoire finale de la Vuelta 15, lors de l'avant-dernière étape. Ascension du col de Navacerrada, La Morcuera sur les deux versants et le col de Cotos qui sera franchi avant de descendre vers Becerril de la Sierra.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Une redite qui avait été efficace pour faire tomber Dumoulin en 2015 alors qu’il portait le maillot rouge. Je pense cependant qu’on ne devrait pas assister à de gros écarts (voire pas du tout) avec les cols utilisés et les coureurs désormais vigilants (enfin, normalement) car on reste sur du plutôt roulant. Je salue néanmoins l’effort de proposer l’étape en 3e semaine.

L'avis de Klira :
Les deux étapes de montagnes tracées cette dernière semaine sont pour moi le point faible de cette Vuelta, pas assez sélectives, pas assez dynamiques, s'il n'y a pas de défaillance pure, le classement ne devrait pas trop bouger, et les offensives qu'on y verra seront difficilement bouleversantes. Le fait de ne pas y voir d'arrivées au sommet est le seule point intéressant m'enfin. L'étape 18 est bien connue, il y a moyen de tenter, mais contre un adversaire fébrile, ça ne me convainc pas.

L'avis de Tazio :
Tiens, une étape de montagne qui se termine en descente ! Bon, l’enchainement est très classique (le même qu’en 2015), les cols sont assez roulants donc pas sûr que ca soit un chantier monstrueux (coucou Tom Dumoulin).. Mais le fatigue aidant, ca peut permettre quelques manœuvres. Et puis j’aime bien ce petit « plateau » au sommet de Navacerrada / Cotos : ca t’asphyxie définitivement ceux qui sont dans le dur dans la montée.


:arrow: Colmenar Viejo : Ville-départ pour la 2e fois
Il y a quarante ans que La Vuelta a vécu le seul et unique départ depuis la localité de Colmenar Viejo (1979). Une ville qui favorise le sport au quotidien, en accueillant de nombreuses épreuves cyclistes pour les jeunes et les amateurs, comme le Défi des cols de Guadarrama, co-organisé par Unipublic et la Fédération madrilène de cyclisme. La ville sera le point de départ du dernier tronçon de La Vuelta 19, sur lequel les coureurs devront lutter pour la victoire sur les routes des montagnes de la chaîne du Système central.


:arrow: Becerril de la Sierra : Arrivée inédite
Becerril de la Sierra partage une histoire commune avec de nombreuses localités de la Communauté de Madrid. Un lieu fondé pour le développement de l'élevage et du pâturage qui a évolué au cours des dernières décennies pour devenir une localité plus complexe et avec une population plus dense. Cette commune située au cœur de la Sierra de Guadarrama est l'un des passages obligés pour les madrilènes amateurs de vélo.






Etape 19 : Avila > Toledo (13/09)
Plaine - 165.2kms - ★☆☆☆☆

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• Départ réel : 13h34 | • Arrivée : 17h24 (43 km/h), 17h35 (41 km/h), 17h48 (39 km/h)

Km 13 : 3°C - Alto de la Paramera (12kms à 2.6%)
Km 134 : SI - Albarreal de Tajo

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Fernando Escartin a écrit:
Étape lors de laquelle les sprinteurs tenteront de contrôler la course. Le finale les surprendra avec 1 km d'ascension dans Tolède sur une route pavée. Un niveau d’exigence accru pour les sprinteurs qui lutteront pour la victoire.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Clairement, là, ça ne sert à rien. Elle aurait du être répartie ailleurs : 3 étapes de plaine assurées en 6 jours lors de la dernière semaine ! Par ailleurs, le kilomètre pavé à 5% est également "bof" sur une étape comme ça. Il n'est pas à sa place.

L'avis de Klira :


L'avis de Tazio :
Un départ d’étape très rapide, un final d’étape en légère bosse et pavé. C’est sympa, j’aime bien.


:arrow: Avila : Ville-départ pour la 20e fois
La ville d'Avila conserve de nombreux vestiges de son époque médiévale. Pendant des siècles, elle a vu cohabiter les trois cultures chrétienne, juive et musulmane. Elles ont pu le faire à l'abri de la muraille du XIIe siècle, le symbole de la ville qui protège encore de nos jours une grande partie de la cité. Elles ont également joué un rôle clé pour le classement de la ville castillane il y a 30 ans au patrimoine de l'humanité de l'UNESCO.


:arrow: Toledo : Ville-arrivée pour la 9e fois
Tolède possède un patrimoine historique, culturel et architectural incomparable, mais aussi une longue histoire sportive. La capitale de la région de La Manche accueille en 2019 une nouvelle fin d'étape de La Vuelta, à l'occasion du 60e anniversaire de la plus grande victoire de l'un des plus grands héros sportifs de la région de Castille-La Manche. En 1959, l'aigle de Tolède, Federico Martín Bahamontes, est devenu le premier cycliste espagnol à remporter le Tour, une prouesse qui, soixante ans plus tard, a été seulement égalée par six autres cyclistes nationaux.






Etape 20 : Arenas de San Pedro > Plataforma de Gredos (14/09)
Montagne - 190.4kms - ★★★★☆

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• Départ réel : 12h11 | • Arrivée : 17h19 (37 km/h), 17h37 (35 km/h), 17h57 (33 km/h)

Km 34 : 1°C - Puerto de Pedro Bernardo (17kms à 4.7%)
Km 45.5 : 2°C - Puerto de Serranillos (9kms à 5%)
Km 69.5 : 2°C - Puerto de Navatalgordo (5.2kms à 7.3%)
Km 119 : 3°C - Puerto de Chia (3kms à 4%) précédé de 3.7kms à 6.3%
Km 156.2 : 1°C - Puerto de Pena Negra (14.2kms à 5.9%)
Km 179 : SI - Hoyos del Espino
Km 190.4 : 3°C - Plataforma de Gredo (4kms à 6.9%)
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Fernando Escartin a écrit:
Étape difficile avec cinq cols au menu. Si une équipe veut jouer sa dernière carte, elle disposera d'un terrain propice aux embuscades. Un parcours très sinueux pour rejoindre le col de Peña Negra (catégorie 1), où le leader devra résister aux attaques de ses adversaires jusqu'au dernier mètre s'il veut remporter La Vuelta.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
Une belle dernière étape de montagne. Certains trouveront à redire sur des pourcentages roulants, mais, honnêtement, vu ce qui a pu être proposé par le passé, je suis conquis par cette étape, qui alterne de la prise, du faux-plat, des descentes, de l’incertitude, sans être si terrible. Pour une fois, la Vuelta a vraiment proposé une belle étape. Et surtout, une belle dernière étape. Comme quoi, c'était pas si compliqué.

L'avis de Klira :
Il y a de l'idée, très casse-patte, ça promet un petit chantier, mais la filière de l'usure n'est pas assez exploiter, et les pentes sont bien trop faibles pour du dynamisme, il aurait fallu une autre étape très difficile liée à ça.

L'avis de Tazio :
A première vue, une étape vraiment cool. Contrairement à ses habitudes, la Vuelta ne termine pas par une étape mongole mais par une étape tactique. La première ascension du jour fait près de 30 kilomètres et est très roulante, idéal pour que ca mette dans le dur certains. C’est blindé de petites montées casse-pattes non répertoriées. Le final en montagne russe n’est pas évident mais pas terrifiant non plus.
Une étape qui ne semble pas inabordable et qui n’aura donc pas forcément été cochée par les favoris comme à surveiller particulièrement. Ca peut générer quelques surprises et donner des idées de stratégie.
Seul petit regret, je pense qu’à la mi-étape il manque une ascension du style « mur » pour faire péter complètement le peloton. Un truc de 4-5 kilomètres à 8-10% de moyenne aux alentours du kilomètre 90-100. Mais c’est pour faire la fine bouche.


:arrow: Arenas de San Pedro : Départ inédit
Fortement marqué par la tradition castillane, le paysage d'Arenas de San Pedro correspond à ce que tout visiteur d'une municipalité classique de la province d'Avila est en droit d'attendre. Cette ville très marquée par l'époque médiévale a dans le pont Aquelcabos son monument emblématique. Il fut construit au XIVe siècle pour franchir la rivière Arenal, l'un des affluents du Tiétar, un cours d'eau qui accompagnera le peloton pendant son passage par la Sierra de Gredos.


:arrow: Plataforma de Gredos : Arrivée inédite
La Vuelta découvre en 2019 ce magnifique col castillan, l'une des zones de passage habituelles pour les randonneurs et les visiteurs partis à la découverte de la Sierra de Gredos. Ce sommet s'élève à plus de 1 700 mètres au-dessus du niveau de la mer, au sein d'une chaîne de montagnes dont la plus importante, l'Almanzor, atteint presque 2 600 mètres d'altitude. Il n'est donc pas étonnant que la province d'Avila ait donné naissance à certains des meilleurs grimpeurs espagnols, notamment des légendes comme Julio Jiménez, José María Jiménez ou Carlos Sastre.






Etape 21 : Fuenlabrada > Madrid (15/09)
Plaine - 106.6kms - ★☆☆☆☆

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• Départ réel : 17h10 | • Arrivée : 19h49 (40 km/h), 19h58 (38 km/h), 10h07 (36 km/h)

Km 60.2 : SI - Madrid

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Fernando Escartin a écrit:
Journée finale en forme d'hommage au porteur du maillot rouge pour son dixième anniversaire. Parcours plus court, sur lequel on roulera lentement, mais avec un sprint intermédiaire et une arrivée pour les sprinteurs explosifs qui veulent se couvrir de gloire lors d'une arrivée aussi prestigieuse que celle de Madrid.


Regards croisés :

L'avis de Bad_Neos :
L'occasion de ressasser trois semaines.

L'avis de Klira :
...

L'avis de Tazio :
...


:arrow: Fuenlabrada : Départ inédit
Fuenlabrada est l'un des noyaux urbains qui se sont développés le plus rapidement dans les années 1980. La population de la localité madrilène a connu une croissance exponentielle jusqu'à devenir la troisième ville la plus peuplée de la Communauté de Madrid, en s'appuyant sur les secteurs des services, des loisirs et du sport. La preuve en est apportée par les équipes issues de la localité qui ont connu de grands succès, notamment la Montakit Fuenlabrada, pour le basket, ou des sportifs de la taille de Fernando Torres, Roberto Dueñas et Dani Moreno.


:arrow: Madrid : Ville-arrivée pour la 75e fois
Chaque année, Madrid accueille le vainqueur de La Vuelta avec tous les honneurs. En 2019, nous fêterons le cinquantième anniversaire des dernières étapes de La Vuelta dans la capitale. Parmi les nombreux coureurs qui ont roulé dans les rues de la ville les bras levés en tant que vainqueurs de la course espagnole, citons des noms de la taille de Gustaaf Deloor (le premier, en 1935), Bernard Hinault, Lucho Herrera, Sean Kelly, Perico Delgado, Tony Rominger, Alberto Contador ou Chris Froome, entre autres. 50 finals de La Vuelta et 75 arrivées d'étape qui font de la capitale l'une des principales références géographiques de la course.






Bilan :

Par Bad_Neos :
Il n'y a pas forcément besoin d'épiloguer de longues minutes. Cette Vuelta alterne le bon et le moins bon. De la course de côte, parfois en légère abondance, se ressent toujours. La première semaine se montre trop montagneuse à mon goût, et la troisième pas assez avec 3 étapes plates en 5 jours. La volonté de proposé des étapes plus ouvertes et notamment pas mal d'étapes au baroudeurs est à louer, même si parfois cela s'apparente à un tracé très (trop) enfantin, et pas assez piégeux.

Par Klira :
Dans l'ensemble, ça donne une Vuelta relativement variée, toujours fidèles à sa typicité, les deux premières semaines semblent bien malgré quelques érrances d'agencement. La dernière semaine est terne, et même si ce sera le moment de jouer son va-tout pour certains, c'est vraiment loin de ce qu'il faudrait proposer pour du grand spectacle. Au final il y a 6 réelles explications au sommet, ça reste un chiffre faible, et aucune en dernière semaine, l'idée était là, dommage de ne pas en profiter pour tracer mieux que ça cette fin, ou surtout de se retrouver dans ce massif peu abondant en délices.
On est loin d'un tracé idéal, mais on est dans un tracé plutôt très correct par rapport à ce qui se fait ces dernières années sur les trois grands tours. Quoi qu'il en soit ce sera toujours intéressant à suivre.

Par Tazio :
Si je devais donner une appréciation sur cette Vuelta, je dirais « En progrès, ne pas relâcher ses efforts » avec une note de 13/20. Il y a de bonnes étapes casse-pattes, de l’audace en montagne (étape 9, 18, 20…) et un tracé plus dynamique que ce qu’on a pu voir par le passé.
Mais il y a toujours des défauts à corriger : l’abus de course de côte, des étapes qui arrivent comme un cheveu sur la soupe et un agencement bancal. Les étapes 6, 8 et 11 ne trouvent pas vraiment leur place. Entre les étapes 13, 15 et 16, il y a une course de côte en trop. Les Pyrénées sont intéressantes mais tracées à l’envers.

Ce que je changerais :
- Inverser le type de final des étapes 5 et 6
- Rendre plus facile l’étape 8 pour permettre aux coureurs de souffler avant les Pyrénées
- Redessiner les Pyrénées en mettant le contre-la-montre individuel en étape 9, la superbe étape andorrane en étape 10, puis le repos et enfin une étape 11 post-repos un peu plus montagneuse et piégeuse. Pourquoi pas dans ce style :

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:01

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Movistar
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61 Victoires d'étape - 4 Généraux
Effectif
1.Alejandro Valverde - 39 ans - 12 Vueltas - 11 Victoire - 1er CG
2.Jorge Arcas - 27 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
3.José Joaquin Rojas - 34 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 22e CG
4.Imanol Erviti - 35 ans - 11 Vueltas - 2 Victoires - 62e CG
5.Nelson Oliveira - 30 ans - 4 Vueltas - 1 Victoire - 21e CG
6.Antonio Pedrero - 27 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 50e CG
7.Nairo Quintana - 29 ans - 5 Vueltas - 1 Victoire - 1er CG
8.Marc Soler - 25 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 47e CG
Objectifs
Podium Final + Victoire(s) d'étape


C'est compliqué de trancher au vu de leurs résultats dernièrement, mais nul doute que la Movistar veut bien figurer sur le seul Grand Tour espagnol, et avec une Startlist pas trop défavorable. Et vu le peu de jeunes (seul trois de 25 ans ou moins) difficile de leur reprocher le choix de l'expérience des vieux briscard comme José Joaquin Rojas, Imanol Erviti ou Nelson Oliveira suite au forfait de Richard Carapaz, principale carte pour le général (?). Jorge Arcas sera là pour rouleur en tête de peloton, et malgré leurs bonnes performances, Antonio Pedrero et Marc Soler, sur le Giro/le Tour, devraient être au service d'Alejandro Valverde et Nairo Quintana...mais pour un résultat plus qu'incertain au sein d'une brouille bien avancée...



AG2R La Mondiale
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6 Victoires d'étapes
Effectif
11.Pierre Latour - 25 ans - 1 Vuelta - 1 Victoire - 28e CG
12.François Bidard - 27 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 94e CG
13.Geoffrey Bouchard - 27 ans - 0 Vuelta
14.Clément Chevrier - 27 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 41e CG
15.Silvan Dillier - 28 ans - 1 Vuelta - 79e CG
16.Dorian Godon - 23 ans - 0 Vuelta
17.Quentin Jauregui - 25 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 95e CG
18.Clément Venturini - 25 ans - 0 Vuelta
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Pierre Latour semble être enfin de retour après un Tour de Pologne terminé à une honorable 6e position. Les premiers jours seront déterminants pour voir s'il joue le classement général ou non. A ses côtés, on retrouve une équipe de baroudeurs typique de l'équipe, avec Silvan Dillier, écarté du Tour sur blessure, Geoffrey Bouchard, auteur d'une belle saison après être passé des rangs amateurs au World Tour, ou encore Clément Chevrier ou François Bidard à un niveau moindre. Ce sera également l'occasion pour Dorian Godon de découvrir un Grand Tour à 23 ans, tout comme Clément Venturini, qui essayera de se frotter aux meilleurs sprinteurs. Dernière pièce de l'équipe, Quentin Jauregui sert un profil plus hybride, mais qui devrait également tenter d'aller dans les échappées, ou d'aider Venturini.



Astana
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17 Victoires d'étapes - 3 Généraux
Effectif
21.Miguel Angel Lopez - 25 ans - 3 Vuelta - 2 Victoires - 3e CG
22.Manuele Boaro - 32 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 114e CG
23.Dario Cataldo - 34 ans - 8 Vuelta - 1 Victoire - 51e CG
24.Omar Fraile - 29 ans - 4 Vuelta - 0 Victoire - 63e CG
25.Jakob Fuglsang - 34 ans - 3 Vuelta - 0 Victoire - 11e CG
26.Gorka Izagirre - 31 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 29e CG
27.Ion Izagirre - 30 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 9e CG
28.Luis Leon Sanchez - 35 ans - 9 Vuelta - 0 Victoire - 9e CG
Objectifs
Podium Final + Victoire(s) d'étape


Ce sera l'une des équipe-clé de cette Vuelta. On retrouve Dario Cataldo et Manuele Boaro dans un pur rôle d'équipier, quand Luis Leon Sanchez, Omar Fraile et Gorka Izagirre pourront alterner ce rôle tout en se glissant dans des échappés pour aller jouer la victoire d'étape ou servir de relais. Ion Izagirre, 9e de sa première Vuelta l'an passé devrait également repasser un cran en dessous pour servir de lieutenant au colombien Miguel Angel Lopez, qui lui a renvoyé l'ascenseur sur le récent Tour de Pologne. Déjà podiumé sur les Grand Tour, mais moins tranchant sur le dernier Giro (7e), le coureur de 25 ans aura à cœur de retrouver les 3 premières places, à minima. Dernier homme de l'armada bleu clair, le danois Jakob Fuglsang s'avance dans le flou. Auteur d'un début de saison exceptionnel, il est retombé dans ses travers de Grand Tour lors du dernier Tour de France, sorti sur chute. Impossible de savoir réellement dans quelle dynamique il se situera.



Bahrain-Merida
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1 Victoire d'étape
Effectif
31.Mark Padun - 23 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
32.Yukiya Arashiro - 34 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 65e CG
33.Phil Bauhaus - 0 Vuelta
34.Heinrich Haussler - 35 ans - 4 Vuelta - 1 Victoire - 54e CG
35.Domen Novak - 1 Vuelta - 0 Victoire - 103e CG
36.Hermann Pernsteiner - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
37.Luka Pibernik - 1 Vuelta - 0 Victoire - 142e CG
38.Dylan Teuns - 27 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 33e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Privée de Pozzovivo, victime d'un accident, la formation bahreïnie s'aligne avec un effectif calqué sur les victoires d'étapes. On retrouve notamment Dylan Teuns, qui s'était illustré l'an passé sans parvenir à décrocher une victoire d'étape. A ses côtes, pour le pôle "montagne", l'autrichien Hermann Pernsteiner, avec de nouvelles bonnes références cette année. Enfin, le jeune ukrainien Mark Padun semble vouloir disputer le classement général après sa victoire sur l'Adriatica Ionica fin juillet...Bonne préparation ou précipitation de la jeunesse ? Côté sprint, Phil Bauhaus sera la carte principale de l'équipe, mais privé de Marcel Sieberg. On retrouve néanmoins Heinrich Haussler, Yukiya Arashiro, Luka Pibernik et Domen Novak à ses côtés.



Bora-Hansgrohe
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2 Victoires d'étape
Effectif
41.Rafal Majka - 29 ans - 6 Vuelta - 1 Victoire - 3e CG
42.Shane Archbold - 30 ans - 0 Vuelta
43.Sam Bennett - 28 ans - 0 Vuelta
44.Jempy Drucker - 32 ans - 2 Vuelta - 1 Victoire - 118e CG
45.Felix Grossschartner - 25 ans - 0 Vuelta
46.Davide Formolo - 26 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 9e CG
47.Gregor Mühlberger - 25 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 114e CG
48.Pawel Poljanski - 29 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 35e CG
Objectifs
Top 5 Final + Victoire(s) d'étape(s)


La formation allemande prend part à l'épreuve espagnole avec deux fronts distincts. D'un côté, Rafal Majka visera un top 5 après sa 6e place sur le Giro. Reste à savoir si Davide Formolo voudra également jouer le général ou les étapes, tandis que le polonais pourra disposer de l'aide de son ombre, Pawel Poljanski, mais également de celle de Félix Grossschartner et Gregor Mühlberger. L'équipe devra se montrer intelligente pour ne pas gaspiller des forces, emportant également l'un des favoris pour les sprints, à savoir l'irlandais Sam Bennett, qui disposera de son poisson-pilote Shane Archbold, et du revenant Jempy Drucker.




CCC Team
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2 Victoires d'étape
Effectif
51.Victor De la Parte - 33 ans - 0 Vuelta
52.William Barta - 23 ans - 0 Vuelta
53.Pawel Bernas - 29 ans - 0 Vuelta
54.Patrick Bevin - 28 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
55.Jonas Koch - 26 ans - 0 Vuelta
56.Szymon Sajnok - 21 ans - 0 Vuelta
57.Nathan Van Hooydonck - 24 ans - 0 Vuelta
58.Francisco Ventoso - 37 ans - 5 Vuelta - 1 Victoire - 78e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Pour simplifier, une équipe de (presque) complet néophytes. Victor de la Parte jouera peut-être le général (un top 20) s'il se sent bien, mais il n'aura pas grand monde pour l'aider. En effet, car Patrick Bevin pourra lui viser des étapes en échappées, sur des arrivées en faux-plat comme à Ares del Maestrat ou Oviedo, mais surtout le chrono de Pau, tout comme le jeune William Barta. Jonas Koch sera une autre alternative au néo-zélandais, passant bien les bosses. Sinon, il sera, avec Francisco Ventoso, présent pour aider le jeune Szymon Sajnok (qui est encore un peu tendre). Nathan Van Hooydonck et Pawel Bernas complètent l'effectif, pouvant faire office de bons baroudeurs.



Deceuninck-QuickStep
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29 Victoires d'étape
Effectif
61.Philippe Gilbert - 37 ans - 8 Vueltas - 5 Victoires - 45e CG
62.Eros Capecchi - 33 ans - 5 Vueltas - 0 Victoire - 21e CG
63.Rémi Cavagna - 24 ans - 0 Vuelta
64.Tim Declercq - 30 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 121e CG
65.Fabio Jakobsen - 22 ans - 0 Vuelta
66.James Knox - 23 ans - 0 Vuelta
67.Maximilano Richeze - 36 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 138e CG
68.Zdenek Stybar - 33 ans - 3 Vueltas - 1 Victoire - 63e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Fabio Jakobsen sera le leader de l'équipe, pour les sprints, disposant de Maximiliano Richeze comme poisson-pilote. L'équipe belge devrait également mettre Philipe Gilbert dans son train de sprint, mais également dans des échappées au profil escarpé. Rémi Cavagna et Tim Declercq seront là pour tirer des bouts droits, et Zdenek Stybar un peu dans le même rôle que Gilber, sûrement. Avant-dernier membre de l'équipe, le grimpeur britannique James Knox, qui devrait peut-être s'essayer au CG, mais plus sûrement à glaner une victoire au sommet, et disposera de l'aide d'Eros Capecchi.



EF Education First
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9 Victoires d'étape
Effectif
71.Rigoberto Uran - 32 ans - 5 Vuelta - 0 Victoire - 7e CG
72.Hugh Carthy - 25 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 125e CG
73.Lawson Craddock - 27 ans - 2 Vuelta - 0 Victoires - 42e CG
74.Mitchell Docker - 32 ans - 5 Vueltas - 0 Victoire - 135e CG
75.Sergio Higuita - 22 ans - 0 Vuelta
76.Daniel Felipe Martinez - 23 ans - 0 Vuelta
77.Logan Owen - 24 ans - 0 Vuelta
78.Tejay Van Garderen - 30 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 10e CG
Objectifs
Top 5 Final + Victoire(s) d'étape


Une grosse équipe, emmenée par Rigoberto Uran. On retrouve cependant le talentueux Sergio Higuita, et le retour de Daniel Martinez suite à sa blessure qui l'a privée du Tour de France. Rajoutons Hugh Carthy à ce trio de base, qui s'est montré irrégulier mais impressionnant sur les routes italiennes et suisses. Derrière, on retrouve Tejay Van Garderen, qui malgré de bonnes performances sur les courses d'une semaine, devrait être là en soutien, surtout pour le Clm/équipes, tout comme ce sera le cas de Lawson Craddock, Mitchell Docker et Logan Owen, dont ce sera le premier Grand Tour.



Groupama-Fdj
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10 Victoires d'étape
Effectif
81.Marc Sarreau - 26 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 77e CG
82.Bruno Armirail - 25 ans - 0 Vuelta
83.Mickaël Delage - 34 ans - 2 Vuelta - 0 Victoire - 112e CG
84.Kilian Frankiny - 25 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
85.Tobias Ludvigsson - 28 ans - 3 Vuelta - 52e CG
86.Steve Morabito - 35 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 35e CG
87.Romain Seigle - 24 ans - 0 Vuelta
88.Benjamin Thomas - 23 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 90e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Surtout des jeunes pousses à former. Marc Sarreau sera la principale carte de l'équipe, sprinteur, épaulé par Mickael Delage, Bruno Armirail et Romain Seigle notamment. Benjamin Thomas, nouveau champion de France du chrono, sera également de la partie pour aider le sprinteur français, comme pour viser le chrono de Pau, tout comme un autre champion national, Tobias Ludvigsson. La composition est encadrée par le jeune grimpeur suisse Kylian Frankiny, et le vieux grimpeur d'expérience Steve Morabito, dont ce sera le dernier Grand Tour.



Lotto-Soudal
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9 Victoires d'étape
Effectif
91.Thomas De Gendt - 32 ans - 6 Vueltas - 1 Victoire - 56e CG
92.Sander Armée - 33 ans - 4 Vueltas - 1 Victoire - 19e CG
93.Carl Fredrik Hagen - 27 ans- 0 Vuelta
94.Tomasz Marczynski - 35 ans - 3 Vueltas - 2 Victoires - 13e CG
95.Tosh Van der Sande - 28 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 49e CG
96.Brian Van Goethem - 28 ans - 0 Vuelta
97.Harm Vanhoucke - 22 ans - 0 Vuelta
98.Jelle Wallays - 30 ans - 3 Vueltas - 1 Victoire - 92e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape(s)


Là aussi, il faudra passer par les échappées pour exister, à commencer par Thomas De Gendt, dont c'est le 3e Grand Tour de la saison. Tosh Van der Sande se mêlera peut-être aux arrivées massives ou légèrement montantes. Le reste, à savoir Sander Armée, Tomasz Marczynski, Carl Fredik Hagen, Brian Van Goethem, Jelle Wallays et le jeune Harm Vanhoucke, devrait alterner dans les échappées et en soutien. Le norvégien pourrait-être, parmi les 5, celui qui s'en sortira le mieux.



Mitchelton-Scott
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12 Victoires d'étape - 1 Général
Effectif
101.Esteban Chaves - 29 ans - 4 Vueltas - 2 Victoires - 3e CG
102.Sam Bewley - 32 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 135e CG
103.Damien Howson - 26 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 45e CG
104.Tsgabu Grmay - 27 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 62e CG
105.Luka Mezgec - 31 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 108e CG
106.Mikel Nieve - 35 ans - 6 Vueltas - 1 Victoire - 8e CG
107.Nick Schultz - 24 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 75e CG
108.Dion Smith - 26 ans - 0 Vuelta
Objectifs
Top 10 Final + Victoire(s) d'étape


L'objectif que je mets pour l'équipe peut paraître faible, mais il est à mon sens ajusté à la toute relative confiance qu'Esteban Chaves montre sur les Grand Tour. Il aura tout de même une belle équipe à ses côtés, avec le grimpeur éthiopien Tsgabu Grmay, Damien Howson et surtout Mikel Nieve. Le puncheur Nick Schultz sera également présent, mais plus comme équipier. Enfin, Luka Mezgec devra prendre part aux sprints, avec l'avantage d'avoir un homme en forme à ses côtés, Dion Smith. On complète avec Sam Bewley pour le contre-la-montre initial et comme équipier.



Team Dimension Data
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3 Victoires d'étape
Effectif
111.Louis Meintjes - 27 ans - 5 Vueltas - 0 Victoire - 10e CG
112.Edvald Boasson Hagen - 32 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 84e CG
113.Nic Dlamini - 24 ans - 0 Vuelta
114.Amanuel Ghebreigzabhier - 25 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 37e CG
115.Ben King - 30 ans - 4 Vueltas - 2 Victoires - 24e CG
116.Ben O'connor - 23 ans - 0 Vuelta
117.Rasmus Tiller - 23 ans - 0 Vuelta
118.Jaco Venter - 32 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 122e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


C'est...compliqué. Louis Meintjes n'a pas reparu depuis qu'il est revenu à la maison, et Ben O'Connor a replongé en Pologne suite à un Tour d'Autriche beaucoup plus abouti. Le miracle viendra peut-être d'Amanuel Ghebreigzabhier, qui après un Giro dans la lignée de sa Vuelta, vient de sortir deux très bons résultats en Autriche et à Burgos, au contraire de Nic Dlamini, qui n'a que peu couru cette saison, et sera présent dans un simple rôle d'équipier, comme Jaco Venter. A défaut de Cavendish, l'équipe renouvelle sa confiance à Edvald Boasson Hagen, qui aura avec lui le néo-pro Rasmus Tiller, encore assez tendre. On complète avec Ben King, revenu dans ses standards plus anonymes.



Team Ineos
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8 Victoires d'étape - 2 Généraux
Effectif
121.Wout Poels - 31 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 6e CG
122.David De la Cruz - 30 ans - 5 Vueltas - 1 Victoire - 7e CG
123.Owain Doull - 26 ans - 0 Vuelta
124.Tao Geoghegan Hart - 24 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 62e CG
125.Sebastian Henao - 26 ans - 0 Vuelta
126.Vasil Kiryienka - 38 ans - 5 Vueltas - 1 Victoire - 16e CG
127.Salvatore Puccio - 29 ans - 5 Vueltas - 0 Victoire - 76e CG
128.Ian Stannard - 36 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 111e CG
Objectifs
Top 5 final


Difficile de dire avec précision ce que peut accomplir la Ineos, mais pour cette équipe, complexe de ne viser qu'un Top 10 avec Wout Poels et le jeune Tao Geoghegan Hart, même s'ils sont lui d'être fiables sur 3 semaines. Ils seront épaulé par un David De la Cruz assez transparent depuis le début de la saison, mais remplaçant d'Elissonde, et du grimpeur Sebastian Henao. Reste les passe-partout Owain Doull et Salvatore Puccio et les gardes du corps Vasil Kiryienka et Ian Stannard.



Team Jumbo Visma
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19 Victoires d'étape - 1 Général
Effectif
131.Primoz Roglic - 29 ans - 0 Vuelta
132.George Bennett - 29 ans - 5 Vueltas - 0 Victoire - 10e CG
133.Robert Gesink - 33 ans - 5 Vueltas - 1 Victoire - 6e CG
134.Lennard Hofstede - 24 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
135.Steven Kruijswijk - 32 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 4e CG
136.Sepp Kuss - 24 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 65e CG
137.Tony Martin - 34 ans - 4 Vueltas - 2 Victoires - Abandons
138.Neilson Powless - 22 ans - 0 Vuelta
Objectifs
Victoire finale


C'est presque le seul objectif viable avec une telle équipe. Mis à part Lennard Hofstede et Sepp Kuss, il n'y aura que des coureurs ayant l'expérience des contre-la-montre, solitaire ou par équipe, dont plusieurs spécialistes. Ces derniers devraient être de simples domestiques, tout comme Tony Martin. Neilson Powless, auteur d'une saison intéressante pour ses 22 ans, devrait pouvoir aider ses leaders si Kuss ne se réveille pas. A noter également le retour de Robert Gesink depuis sa chute sur Liège-Bastogne-Liège, un sérieux équipier...tout comme George Bennett, malgré son statut de leader initial (et co-leader annoncé). Reste à savoir si Steven Kruijswijk est rassasié du Tour, mais comme Primoz Roglic, il sort d'un podium.



Team Katusha-Alpecin
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13 Victoires d'étape
Effectif
141.Daniel Navarro - 36 ans - 5 Vueltas - 1 Victoire - 10e CG
142.Enrico Battaglin - 29 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
143.Steff Cras - 23 ans - 0 Vuelta
144.Matteo Fabbro - 24 ans - 0 Vuleta
145.Ruben Guerreiro - 25 ans - 0 Vuelta
146.Pavel Kochetkov - 33 ans - 3 Vueltas - 39e CG
147.Vyatcheslav Kuznetsov - 30 ans - 0 Vuelta
148.Willie Smit - 26 ans - 0 Vuelta
Objectifs
Victoire(s) d'étape


En soi, c'est peut-être bien l'effectif le plus cohérent et avec le plus de chance de succès sur un Grand Tour de l'année pour la Katusha, et aussi étonnant que cela puisse paraitre, l'effectif me plait assez. Enrico Battaglin aura peut-être bien une chance sur une arrivée en faux-plat, même si Ruben Guerreiro s'est montré beaucoup plus régulier cette année, certes en second rideau, mais intéressant pour les échappées. Les jeunes Steff Cras et Matteo Fabbro ont montré qu'ils pouvaient grimper, l'un en début de saison, l'autre dernièrement, et il auront Dani Navarro pour les épauler, de retour plutôt en forme après sa chute de début de saison. Reste deux bons gaziers, Pavel Kochetkov et Vyatcheslav Kuznetsov, qui pourront toujours se rendre utile en échappée, et la découverte d'un Grand Tour pour Willie Smit -même s'il parait le plus limité des 8.



Team Sunweb
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15 Victoires d'étape
Effectif
151.Wilco Kelderman - 28 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 4e CG
152.Nikias Arndt - 27 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 102e CG
153.Casper Pedersen - 23 ans - 0 Vuelta
154.Robert Power - 24 ans - 0 Vuelta
155.Nicolas Roche - 35 ans - 8 Vueltas - 2 Victoires - 5e CG
156.Michael Storer - 22 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 117e CG
157.Martijn Tusveld - 1 Vuelta - 0 Victoire - 80e CG
158.Max Walscheid - 26 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 156e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Il y a du beau gazier, à l'image de Casper Pedersen, Robert Power, Nikias Arndt ou Martijn Tusveld, mais il ressort tout de même une grande jeunesse de cette équipe, et une certaine irrégularité des résultats - voire aucun- pour certains (Power), plutôt reconvertis en équipiers (Arndt). Michael Storer peut-être intéressant, mais il n'est pas encore au niveau de ses coéquipiers australiens. Une grande partie de la réponse déprendra de Wilko Kelderman, toujours pas remis de sa chute en Catalogne...Max Walscheid devrait être une alternative intéressante, mais pour le sprint, avec l'aide d'Arndt. Enfin, Nicolas Roche sera la carte principale en montagne, mais comme l'a montré le Tour, l'irlandais est vieillissant...



Trek-Segafredo
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10 Victoires d'étape - 1 Général
Effectif
161.Gianluca Brambilla - 31 ans - 4 Vueltas - 1 Victoire - 13e CG
162.John Degenkolb - 30 ans - 5 Vueltas - 10 Victoires - 90e CG
163.Niklas Eg - 24 ans - 0 Vuelta
164.Alex Kirsch - 27 ans - 0 Vuelta
165.Jacopo Mosca - 25 ans - 0 Vuelta
166.Kiel Reijnen - 33 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 132e CG
167.Peter Stetina - 32 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 30e CG
168.Edward Theuns - 28 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 89e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Une équipe plutôt intéressante, centrée autour de John Degenkolb avec Alex Kirsch et Edward Theuns. La surprise vient de Jacopo Mosca, recruté pour pallier au départ d'Irizar, et qui devrait être mangé à toutes les sauces puisqu'il sait grimper convenablement et a connu le train Wilier. Gianluca Brambilla et Niklas Eg sont deux perspectives intéressantes pour les échappées, quand Kiel Reijnen et Peter Stetina devraient être présent également dans le rôle de soutien.



UAE Team Emirates
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20 Victoires d'étape
Effectif
171.Fabio Aru - 29 ans - 4 Vueltas - 2 Victoires - 1er CG
172.Valerio Conti - 26 ans - 4 Vueltas - 1 Victoire - 60e CG
173.Fernando Gaviria - 24 ans - 0 Vuelta
174.Sergio Henao - 31 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 14e CG
175.Marco Marcato - 35 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - Abandon
176.Juan Sebastian Molano - 24 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 150e CG
177.Tadej Pogacar - 20 ans - 0 Vuelta
178.Oliviero Troia - 24 ans - 0 Vuelta
Objectifs
---


L'équipe émiratie comptera essentiellement sur Fernando Gaviria, le sprinteur colombien disposant de Marco Marcato, Oliviero Troia et Juan Sebastian Molano. Le puncheur Valerio Conti, après un Giro réussi où il porté le rose, devrait pouvoir avoir sa chance en échappée, tout comme Sergio Henao, dans le dur cette année. L'équipe comptera également sur Fabio Aru, après une 14e place sur le Tour et qui pourrait, sur un malentendu, retrouver le top 10. Enfin, le néo-pro Tadej Pogacar, une des grandes révélations de la saison, sera également présent, mais devrait abandonner en cours de route. Il est tout de même grandemment attendu.



Burgos-BH
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0 Victoire d'étape
Effectif
181.Angel Madrazo - 31 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 44e CG
182.Jetse Bol - 29 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 67e CG
183.Oscar Cabedo - 24 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 86e CG
184.Jorge Cubero - 26 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 89e CG
185.Jesus Ezquerra - 28 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 98e CG
186.Nuno Bico - 25 ans - 0 Vuelta
187.Diego Rubio - 28 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 125e CG
188.Ricardo Vilela - 31 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 48e CG
Objectifs
Prendre les échappées


Ricardo Vilela était intéressant l'an passé, mais complètement largué cette année la plupart du temps. Malheureusement, ça reste un des "plus forts" de l'effectif aligné avec Angel Madrazo, Jetse Bol ou Diego Rubio. Autant dire que ça ne vole pas bien haut. Comme je suis généraux, je vois bien un des 4 faire top 10 de l'échappée d'Ares del Maestrat. Le reste de la compo servira aussi pour tenter de prendre l'échappée avec Oscar Cabedo, Jorge Cubero, Nuno Bico et Jesus Ezquerra



Caja Rural-Seguros RGA
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1 Victoire d'étape
Effectif
191.Sergei Chernetski - 29 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 92e
192.Jon Aberasturi - 30 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 146e CG
193.Alex Aranburu - 23 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 108e CG
194.Domingos Gonçalves - 30 ans - 0 Vuelta
195.Jonathan Lastra - 26 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 123e CG
196.Sergio Pardilla - 35 ans - 5 Vueltas - 0 Victoire - 15e CG
197.Cristian Rodriguez - 24 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 25e CG
198.Gonzalo Serrano - 25 ans - 0 Vuelta
Objectifs
Victoire(s) d'étape


Sur le papier, je pèse mes mots face à la Cofidis, mais ses grimpeurs étant dans une pâle dynamique, c'est pour moi l'équipe Conti Pro avec le plus bel effectif. Jon Aberasturi semble monter en puissance pour participer aux sprints, Sergei Chernetski se caractérise toujours plus par son inconstance mais demeure capable d'un gros coup, Alex Aranburu et Cristian Rodriguez sont encore de jeunes grimpeurs, Jonathan Lastra et Gonzalo Serrano sont de beaux passe-partout. La sélection du vétéran Sergio Pardilla est beaucoup plus étonnante, mais l'équipe gage peut-être utiliser son bonus Volta, comme Domingos Gonçalves, l'ex-champion du Portugal. Il n'y avait de toute façon pas foule pour remplir le reste de l'effectif même si un Matteo Malucelli absent peut être étonnant.



Cofidis
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16 Victoires d'étape
Effectif
201.Jésus Herrada - 29 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 21e CG
202.Darwin Atapuma - 31 ans - 3 Vueltas - 0 Victoire - 20e CG
203.Nicolas Edet - 31 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 104e CG
204.Jesper Hansen - 28 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 52e CG
205.José Herrada - 33 ans - 4 Vueltas - 0 Victoire - 12e CG
206.Luis Angel Maté - 35 ans - 7 Vueltas - 0 Victoire -19e CG
207.Stéphane Rossetto - 32 ans- 4 Vueltas - 0 Victoire - 52e CG
208.Damien Touzé - 23 ans - 0 Vuelta
Objectifs
Victoire(s) d'étape(s), Maillot à pois


Normalement c'est censé être compétitif...Sauf que la dynamique n'a pas l'air d'être là. J'ai peur pour Jésus Herrada, ressortit très fatigué de son Tour de France, tandis que son frère José Herrada revient de blessure. Même constat pour Luis Angel Maté, dont les meilleures années semblent en plus loin derrière, comme pour Darwin Atapuma. Stéphane Rossetto doublera pour la première fois un Grand Tour, et n'a de toute façon pas vraiment pesé en montagne. Nicolas Edet pourra se consoler après avoir du quitter le Tour, et 15e en Pologne, semble bien revenir. Même constat pour Jesper Hansen même s'il a du abandonné, le danois fait quand même pâle figure en n'ayant de résultat qu'en Californie, alors qu'il était costaud en équipier l'an passé. Damien Touzé sera le benjamin de l'équipe, mais également esseulé pour les sprints.



Euskadi-Murias
Image
1 Victoire d'étape
Effectif
211.Oscar Rodriguez - 24 ans - 1 Vuelta - 1 Victoire - 51e CG
212.Aritz Bagües - 30 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 78e CG
213.Fernando Barcelo - 23 ans - 0 Vuelta
214.Cyril Barthe - 23 ans - 0 Vuelta
215.Mikel Bizkarra - 29 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 17e CG
216.Mikel Iturria - 27 ans - 1 Vuelta - 0 Victoire - 103e CG
217.Sergio Samitier - 23 ans - 0 Vuelta
218.Hector Saez - 25 ans - 2 Vueltas - 0 Victoire - 74e CG
Objectifs
Victoire(s) d'étape


La formation sera emmenée par son jeune grimpeur Oscar Rodriguez, vainqueur d'étape l'an passé et en forme à Burgos. Elle disposera également de plusieurs jeunes qui découvriront un Grand Tour, comme le passe-partout Cyril Barthe, l'irrégulier grimpeur Fernando Barcelo, et un Sergio Samitier s'étant découvert grimpeur récemment. La formation pourra également compter sur Mikel Bizkarra, 17e du général l'an passé, et autres baroudeurs : Aritz Bagües, Mikel Iturria, Hector Saez, et ce malgré l'absence d'Enrique Sanz et sa petite pointe de vitesse.

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:02

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★★★★★


- Primoz Roglic - Jumbo-Visma - 29 ans - UAE Tour, Tirreno-Adriatico, Romandie, 3e Giro 2019 / 4e Tour 2018 - 42 JDC en 2019 : Le slovène écope de 5 étoiles logiquement au vu de son équipe, de ses capacités en contre-la-montre et sa puissance qu'il a démontré dans les raidards, notamment lors de Tirreno-Adriatico. Pour autant, annoncé comme archi-favori du Giro, et seulement troisième final, il n'est pas un 5 étoiles infaillible. Après le choix du Romandie juste avant l'épreuve italienne, Roglic semble avoir fait le choix inverser et se présente sans un jour de course au compteur depuis son championnat national.


★★★★


- Miguel Angel Lopez - Astana - 25 ans - Colombia 2.1, Catalogne, 7e Giro 2019 / 3e Vuelta, 3e Giro 2018 - 50 JDC en 2019 : Le grimpeur colombien à plutôt déçu lors du Giro, seulement 7e et pas des plus aériens comme on avait pu le voir l'an passé. De plus, ses lacunes chronométriques lui seront préjudiciables, surtout face à Roglic, mais il possède lui aussi une très grosse équipe, de quoi renverser la tendance ? Son Tour de Pologne récent à servit à faire des bornes et aider Ion Izagirre, mais il faudra qu'il soit rapidement dans le rythme tout de même.


- Steven Kruijswijk - Jumbo-Visma - 32 ans - 5e Catalogne, 6e Romandie, 3e Tour 2019 / 5e Tour, 4e Vuelta 2018 - 46 JDC en 2019 : Le néerlandais semble avoir atteint son graal personnel avec ce podium sur le Tour de France, et s'y parait peut-être moins à l'aise sur les repechos purs que sur les longs cols, il reste le 4e de la dernière Vuelta, et l'on à tout de même peu de raidards court sur cette Vuelta. La grande interrogation, ce sera de savoir s'il se mettra au service de Roglic ou non, car cela ne s'était pour le moins pas très bien goupillé l'an dernier sur le Tour.


★★★


- Nairo Quintana - Movistar - 29 ans - 5e Colombia 2.1, 2e Paris-Nice, 4e Catalogne, 9e Dauphiné, 8e Tour 2019 / 10e Tour, 8e Vuelta 2018 - 58 JDC en 2019 : Difficile, très difficile de situer le colombien dans la hiérarchie, qui peut réaliser de très grosses performances sur une ou deux étapes, et sombrer par la suite. Ce qui est sûr, c'est qu'il semble moins fringant, ou en tout cas pas au dessus des autres comme il l 'a pu l'être en remportant le Giro et la Vuelta, ou encore face à Dumoulin sur le Giro 2017. Se rajoute à cela des problèmes internes avec son équipe...


- Alejandro Valverde - Movistar - 39 ans -2e UAE Tour, 10e Catalogne, 1er Route d'Occitanie, 9e Tour 2019 / 14e Tour, 5e Vuelta 2018 - 56 JDC en 2019 : Comme son coéquipier colombien, Valverde se présente avec un grand nombre de jours de course au départ de cette Vuelta. A 39 ans, le Murcian à cependant semblé mieux en fin de Tour et dans les hautes altitudes qu'en début de parcours, même s'il n'en reste pas moins limité en haute montagne. Cette année, l'étape Andorrane sera située en début de parcours, ce qui pourrait lui permettre de limiter la casse, puisqu'on ne retrouve ensuite aucun vrai enchainement de cols. Difficile tout de même de le voir décrocher mieux qu'un top 5, ce qui, à son âge, constitue déjà une performance en soi.


- Rafal Majka - Bora-Hansgrohe - 29 ans - 7e Catalogne, 6e Tour des Alpes, 9e Pologne, 6e Giro 2019 / 19e Tour, 13e Vuelta 2018 - 53 JDC en 2019 : Le polonais a terminé 6e du dernier Giro même s'il n'était pas des plus impérials, plus en second rideau. Après l'an passé où il s'est raté à deux reprises, cela constitue tout de même une bonne performance, et il semble bien sortir du récent Tour de Pologne. C'est avant tout sur cette épreuve qu'il conserve son meilleur général, 3e en 2015.


- Rigoberto Uran - EF Education First - 32 ans - 6e Colombia 2.1, 14e Californie, 3e Route d'Occitanie, 7e Tour 2019 / Abandon Tour, 7e Vuelta 2018 - 39 JDC en 2019 : Blessé suite à une chute sur Paris-Nice, le colombien de 32 ans parait quand même moins fort depuis son podium du Tour 2017. Avec un nombre assez réduit de courses et ses capacités à suivre, il n'en reste pas moins un des leaders à surveiller, même si cela devrait pousser derrière lui.


- Wout Poels - Team Ineos - 31 ans - 3e Tour Down Under, 7e Tirreno-Adriatico, 4e Dauphiné, 26e Tour 2019 / 12e Giro, 58e Tour 2018 - 51 JDC en 2019 : L'habituel lieutenant en montagne semble vouloir plus de responsabilités, mais dans son dossier ne reste que la 6e place de la Vuelta 2017 pour l'instant, preuve de son irrégularité. Il peut être l'un des plus forts, comme faire gruppetto, mais une chose est sûre, il part avec le statut de leader chez l'équipe britannique.


★★


- Pierre Latour - AG2R La Mondiale - 25 ans - 6e Pologne 2019 / 13e Tour 2018 - 25 JDC en 2019

- Jakob Fuglsang - Astana - 34 ans - 3e Tirreno-Adriatico, Liège-Bastogne-Liège, Dauphiné, Abandon Tour 2019 / 12e Tour 2018 - 47 JDC en 2019

- Hugh Carthy - EF Education First - 25 ans - 12 Pays-Basque, 11e Giro 2019 / 77e Giro 2018 - 57 JDC en 2019

- Ion Izagirre - Astana - 30 ans - Pays-Basque, 11e Pologne, 36e Giro 2019 / 22e Tour, 9e Vuelta 2018 - 54 JDC en 2019

- Esteban Chaves - Mitchelton-Scott - 29 ans - 6e Slovénie, 40e Giro 2019 / 72e Giro 2018 - 52 JDC

- Tao Geoghegan Hart - Team Ineos - 24 ans - 2e Tour des Alpes, 5e Pologne, Abandon Giro 2019 / 62e Vuelta 2018 - 39 JDC en 2019



- Daniel Felipe Martinez - EF Education First - 23 ans - 3e Colombia 2.1, 18e Paris-Nice, 20e Pays-Basque 2019 / 36e Tour 2018 - 30 JDC en 2019

- Sergio Higuita - EF Education First - 22 ans - 2e Californie, 4e Pologne 2019 - 38 JDC en 2019

- Mark Padun - Bahrain-Merida - 23 ans - Adriatica-Ionica Race / Abandon Vuelta 2018 - 16 JDC en 2019

- Davide Formolo - Bora-Hansgrohe - 26 ans - 11e UAE Tour, 7e Pologne, 15e Giro 2019 / 10e Giro, 22e Vuelta 2018 - 53 JDC en 2019

- James Knox - Deceuninck-QuickStep - 23 ans - 8e UAE Tour, 14e Romandie, 3e Adriatica-Ionica Race, 10e Pologne, Abandon Giro 2019 - 50 JDC en 2019

- Louis Meintjes - Team Dimension Data - 27 ans - 22e Burgos 2019 / Abandon Giro, 58e Vuelta 2018 - 30 JDC en 2019

- Ben O'Connor - Team Dimension Data - 23 ans - 6e Autriche, 32e Giro 2019 / Abandon Giro 2018 - 57 JDC en 2019

- Wilco Kelderman - Team Sunweb - 28 ans - 5e UAE Tour, 14e Paris-Nice, Abandon Tour 2019 / 10e Vuelta 2018 - 43 JDC en 2019

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:03

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Sprinteurs


★★★

Sam Bennett (BOH) / Fernando Gaviria (UAE) / Fabio Jakobsen (DQT)

★★

Marc Sarreau (GFC) / Max Walscheid (SUN) / Phil Bauhaus (BRM) / Maximiliano Richeze (DQT) / John Degenkolb (TFS) / Luka Mezgec (MTS) / Clément Venturini [flag]ALM)[/flag]



Jon Aberasturi (EUS) / Damien Touzé (COF) / Szymon Sajnok (CCC) / Jonas Koch (CCC) / Edvald Boasson Hagen (DDD) ...


Maillot Blanc à pois bleu

★★★

Thomas De Gendt (LTS)

★★

Mikel Nieve (MTS) / Gianluca Brambilla (TFS)… (vous pouvez imaginer)



Ben O'connor (DDD) / Louis Meintjes (DDD) / Daniel Navarro (TKA)... (vous pouvez imaginer)


Maillot de meilleur jeune


★★★

Miguel Angel Lopez (AST)

★★

Sergio Higuita (EFD) / Daniel Felipe Martinez (EFD) / Oscar Rodriguez (EUS) / Hugh Carthy (EFD) / Gregor Mühlberger (BOH) / Tao Geoghegan Hart (INS) / James Knox (DQT) / Mark Padun (BRM)



Kylian Frankiny (GFC) / Amanuel Ghebreigzabhier (DDD) / Sepp Kuss (TLJ) / Niklas Eg (TFS) / Cristian Rodriguez (CJR) / Matteo Fabbro (TKA) / Ben O’Connor (AUS) / Fernando Barcelo (EUS) / Steff Cras (TKA)

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:04

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- Antonio Pedrero - Movistar - 27 ans : L'espagnol à déjà 27 ans mais il est arrivé plutôt tard en World Tour, à 24 ans. C'est sur le Giro de cette année qu'il s'est montré un des éléments les plus importants de son équipe, et notamment dans le redoutable Mortirolo. Depuis, une 16e place sur la Route d'Occitanie et une 4e récemment à Burgos, semblent montrer sa bonne forme, même s'il devrait être un simple équipier au service de ses leaders. Mais à l'avant, il pourrait se montrer intéressant à suivre.

- Geoffrey Bouchard - AG2R La Mondiale - 27 ans : Amateur l'an passé, ses bonnes performances ont convaincu l'équipe savoyarde de le recruter dans ses rangs. Dans un rôle d'équipier, on peut quand même citer sa 19e place sur l'UAE Tour ou sa 29e place sur le Tour de Pologne, signe d'une bonne acclimatation au peloton World Tour. En espérant que cette Vuelta puisse lui permette encore de franchir un cap !

- Dylan Teuns - Bahrain-Merida - 27 ans : Le puncheur belge semble de mieux en mieux, en témoignent sa 3e place sur Il Lombardia l'an passé, sa 6e place sur le Dauphiné cette année ou sa flopée de places en second rideau. S'il est cependant trop faible pour prétendre jouer sur les Grand Tour pour le général, les étapes sont son credo, avec La Planche des Belles filles dans son escarcelle...et 5 places dans le top 5 l'an passé, sans jamais avoir réussi à prendre la victoire. Une revanche à prendre.

- Gregor Mühlberger - Bora-Hansgrohe - 25 ans : Après un début de saison plutôt poussif, le grimpeur passe-partout autrichien semble monter en puissance, d'abord sur le Dauphiné, puis avec un Tour abouti, avec quelques places d'honneur, un solide rôle d'équipier pour son leader Buchmann, et une 25e place finale. S'il devrait bosser pour Rafal Majka, une présence à l'avant de ce jeune coureur sera toujours dangereuse pour ceux l'accompagnant.

- Patrick Bevin - CCC Team - 28 ans : Auteur d'un début de saison en fanfare, le néo-zélandais s'est imposé sur le Tour Down Under avant de rentrer dans le rang suite à une chute, puis une autre lors du Tour l'en écartant de la course, expliquant sa présence. Gros moteur, Bevin dispose d'une pointe de vitesse à faire valoir, surtout lors des arrivées en faux-plat ou des petits murs, mais il visera également le contre-la-montre de Pau.

- Tobias Ludvigsson - Groupama-Fdj - 28 ans : Coureur de contre-la-montre, en témoigne sa 5e place à Vérone cette année ou son titre national, le suédois semble avoir retrouvé une certaine patte en montagne même s'il est plutôt cantonné à un rôle d'équipier. Deuxième à Bessèges, 9e du Tour de Wallonie, 14e du Mont Ventoux Denivelé Challenge, et dernier équipier de Valentin Madouas sur le Giro, il devrait aider au train et prendre les échappées.

- Carl Fredrik Hagen - Lotto-Soudal - 27 ans : Présent en continental depuis plusieurs saisons, le puncheur norvégien à su saisir sa chance pour passer au plus haut niveau. 15e en Romandie, 10e en Norvège ou encore 18e en Pologne, ce sont des performances plutôt en second rideau, mais qui peuvent laisser penser qu'Hagen est en forme et qu'il faudra faire attention à lui puisque son équipe n'aura presque que les échappées pour s'imposer.

- Tsgabu Grmay - Mitchelton-Scott - 27 ans : Moins en jambes cette année, le grimpeur éthiopien est plus un équipier et un franc-tireur, 22e en Pologne et 20e aux UAE cette saison. Tout dépendra grandement de la forme d'Esteban Chaves, mais Grmay pourrait bien avoir sa chance en échappée, comme lors du Tour de Pologne, 4e de la dernière étape.

- Amanuel Ghebreigzabhier - Team Dimension Data - 25 ans : Déjà auteur d'une saison abouti l'an passé en tant que néo-pro avec une 4e place au Langkawi, une 33e en Romandie, une 22e au Dauphiné et à Burgos, une 16e en Slovénie, une 12e en Wallonie et une 37e place sur la Vuelta, l'érythréen semble arriver en forme et plus fort que l'an passé, 8e en Autriche et 6e à Burgos après avoir termine 45e du Giro !

- Matteo Fabbro - Team Katusha Alpecin - 24 ans : Recruté par la Katusha après une 11e place à Aoste et une 17e sur le Tour de l'Avenir, Fabbro a terminé 22e en Californie puis 8e sur les routes Turques. Cette saison semble la continuité de celle entamée l'an passé, 13e aux UAE, 26e en Suisse, dans le bon groupe des championnats d'Italie et 14e du Tour de Pologne.

- Niklas Eg - Trek-Segafredo - 24 ans : 3e du Tour de l'Avenir en 2017, le danois à du prendre ses marques en 2017. S'il semble toujours un peu juste, il a également été cautionné à un rôle d'équipier, encore 12e aux Tre Cime sur l'AIR après avoir travaillé pour Nicolas Conci, et 5e du dernier Tour de l'Utah.

- Tadej Pogacar - UAE Emirates - 20 ans : A peine sorti des espoirs et à seulement 20 ans, le slovène défraye déjà la chronique, 13e du Tour Down Under, vainqueur en Algarve et en Californie, 6e au Pays-Basque, 18e de Liège-Bastogne-Liège, encore 4e du dernier Tour de Slovénie. Aligné pour sa première année professionnelle sur les routes d'un Grand Tour, il devrait cependant abandonner avant la fin pour disputer les Championnats du Monde.

- Sergei Chernetski - Caja Rural - 29 ans : Toujours irrégulier, le russe l'a encore plus été cette année, mais semble revenir en condition avant la Vuelta. S'il peut très bien floppé, n'ayant jamais perfé sur ses 3 Grands Tours disputés, il reste capable de s'imposer ou de faire mal dans une échappée.

- Cyril Barthe - Euskadi-Murias - 23 ans : Ce sera, pour son premier Grand Tour, un apprentissage, lui qui a terminé 24e du Tour de Turquie, 15e des 4 Jours de Dunkerque, 33e du Tour de Yorkshire ou encore 15e des Boucles de la Mayenne. Le français à seulement 23 ans, comme Damien Touzé chez Cofidis, et pourra prendre les échappés pour sa première participation comme prendre de la caisse.

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:04

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Au départ de cette Vuelta 2018, des hommes comme Miguel Angel Lopez, Nairo Quintana, Alejandro Valverde ou encore Steven Kruijswijk sont cités parmi les favoris, auteurs soit d’une bonne saison, ou d’un bon classement général sur un Grand Tour. Ils sont cependant loin d’être les seuls (et les plus) cités au départ de cette 73e édition, puisque s’annoncent également des malchanceux, ayant abandonnés ou craqués lors des autres grande échéances de trois semaines : Vincenzo Nibali, Richie Porte, Thibaut Pinot, Simon Yates, Rigoberto Uran, Ilnur Zakarin, Wilco Kelderman, Bauke Mollema, David de la Cruz, Fabio Aru ou encore Tony Gallopin ont également les joies des pronostiqueurs, quand, du côté des sprints on s’attend à un duel entre Elia Viviani et Peter Sagan, orchestré par des Bouhanni, Trentin, Nizzolo ou Van Poppel…

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(c) GomezSport

L’édition s’élance dans les rues de Malaga via un court contre-la-montre individuel qui vient sacrer Rohan Dennis, impérial sur l’exercice depuis le début de l’année, et futur champion du monde de la discipline quelques semaines plus tard. S’ensuit une arrivée sur les pentes roulantes du Caminito del Rey, où, malgré une première échappée, Alejandro s’impose, condamnant Michal Kwiatkowski à une deuxième deuxième place en deux jours, mais avec le maillot de leader come lot de consolation. Elia Viviani s’impose le lendemain, devançant Nizzolo, Sagan et Bouhanni. La première arrivée au sommet intervient dès le 4e jour, sur les pentes de la Sierra de la Alfaguara. Partis dans la transition menant jusqu’au pied de la dernière difficulté, Ben King et Nikita Stalnov résistent au retour de Pierre Rolland, permettant à l’américain de s’offrir sa première victoire en WT. Le lendemain, une nouvelle échappée se joue la gagne après s’être disloquée dans le roulant « El Marchal ». Simon Clarke règle facilement Mollema et De Marchi pour s’offrir une deuxième victoire WT après celle obtenue en 2012…sur la Vuelta ! L’étape permet également à Rudy Molard d’enfiler le rouge, au déficit de Kwiatkowski.

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(c) GomezSport

Les coureurs continuent ensuite en direct de San Javier, où Bouhanni s’impose, en disette depuis deux mois et sans vraie confiance, devant Van Poppel et Viviani. Il s’agit de sa dernière victoire à l’heure actuelle. Dans le même temps, plusieurs favoris dont Pinot, Kelderman et Majka sont pris dans une bordure. Une arrivée propice au mouvement et aux coups de trafalgar à Pozo Alcon permet ensuite d’éliminer les sprinteurs et à Tony Gallopin de s’offrir une belle victoire en fin tacticien. 2e, Sagan l’est aussi lors de la 8e étape, cette fois battu à Almaden, sur un sprint en côte, par Alejandro Valverde. Les fauves sont enfin lâchés sur les pentes de la Covatilla, bien que Ben King se permette auparavant de doubler la mise. Lopez, Quintana et Kelderman prennent quelques longueurs d’avance, mais c’est bien Simon Yates qui enfile le maillot leader, pour une seconde devant le vétéran espagnol. S’ensuit, après le repos, une étape pour sprinteurs remportée par Viviani, et une étape très accidentée où Pinot tente de renverser le général, sans succès car crédité que de seulement 12 secondes d’avance par rapport au reste des favoris malgré un long raid, duquel s’est extirpé Alessandro De Marchi pour s’imposer.

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(c) GomezSport

Le lendemain, une journée plus calme, mais assez technique dans son final, est un repos de circonstance pour le peloton, qui laisse filer les échappés, et Alexandre Geniez s’imposer après avoir fait le mort dans le final de la course. Le retour dans les terres intérieures s’effectue jusqu’à la Camperona, un des traditionnels raidards instauré ses dernières années. Alors qu’on pense Majka, Teuns ou Lambrecht parti pour s’imposer, le jeune espagnol Oscar Rodriguez leur revient dessus, et les laisse scotcher à la pente pour finir les dernières centaines de mètres en solitaire. Chez les favoris, Quintana se montre le plus costaud. Le deuxième acte du triptyque asturian se joue à Las Praeres, sur une arrivée finale inédite, pentue, non goudronnée, mais sur moins de 4 kilomètres, et à ce petit jeu, c’est cette fois Simon Yates qui prend le dessus sur le reste du peloton alors que Jesus Herrada, qui s’était octroyé le maillot il y a deux jours, sombre. Dernier acte avant le repos, les terribles Lagos de Covadonga, montée mythique de l’épreuve, se dressent face aux coureurs. Pinot profite de son placement au général et d’un moment de flottement entre Lopez, Yates, Valverde, Mas, Quintana et Kruijswijk pour se faire la malle et s’imposer avec la manière !

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Qui dit reprise dit long chrono, autour de Torrelavega. Rohan Dennis, dominateur depuis le début de la saison, s’y impose devant son coéquipier Rosskopf. Buchmann est celui qui perd le plus de temps chez les favoris, laissant le top 10 à Gallopin. Kruijswijk et Mas réalise les meilleures opérations. Se dresse ensuite la terrible ascension, inédite, du Monte Oiz en territoire basque, et ses rampes en béton. Sortant d’une forêt de brume, Michael Woods s’y impose devant Teuns, De la Cruz et Majka ! Alors qu’on ne l’attendait pas forcément à ce niveau de performance, c’est Mas qui prend la meilleure place chez les favoris, Quintana et Kruijswijk cédant une minute, Pinot presque 3. Le dernier sprint avant Madrid est ensuite l’occasion pour Jelle Wallays de tromper la vigilance du peloton en s’imposant devant Sven Erik Bystrom alors que Sagan avait pour une fois pris la première place du peloton.

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(c) GomezSport

Dernier acte de cette Vuelta 2018 et derniers tours de roues de Grand Tour de la saison dans les Pyrénées, sur les terres andorranes. D’abord, une course de côte sur les pentes de la Rabasse permet à Pinot d’enquiller un deuxième succès alors que Valverde est relégué à presque 1m40s de Yates, qui parait désormais (toujours plus) en mesure de s’imposer. Deuxième partie de la scène andorrane, une boucherie de 6 cols en moins de 100 kilomètres où Gallopin perd son top 10 au profit de Kelderman, où Valverde sombre en compagnie de Quintana pour finir respectivement 5e et 8e, et où Yates entérine son succès, finissant derrière Mas, qui empoche étape et 2e place au général, et Lopez, 3e du général en ayant fait tomber Kruijswijk de son piédestal. Les sentes de chèvres de la Vuelta 2018, sa chaleur caniculaire et ses larges routes, se referment sur une victoire de Viviani dans les rues de Madrid, devant Sagan et Nizzolo…

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:05

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Les vainqueurs multiples :
CyclistesVictoires CGAnnées
Roberto Heras 42000, 2003, 2004 et 2005
Tony Rominger 31992, 1993 et 1994
Alberto Contador 32008, 2012 et 2014
Gustaaf Deloor 21935 et 1936
Julian Berrendero 21941 et 1942
José Manuel Fuente 21972 et 1974
Bernard Hinault 21978 et 1983
Pedro Delgado 21985 et 1989
Alex Zülle 21996 et 1997
Cristopher Froome 22011 & 2017


Victoires par pays
PaysVictoires
Espagne 32
France 9
Belgique 7
Italie 6
Suisse 5
Allemagne 3
Royaume-Uni 3
Colombie 2
Pays-Bas 2
Russie 1
Etats-Unis 1
Irlande 1
Kazakhstan 1


Vainqueurs multiples d'étapes
CyclistesEtapes gagnées
Delio Rodriguez 39
Alessandro Petacchi 20
Laurent Jalabert et Rik Van Looy 18
Sean Kelly 16
......
Alejandro Valverde 11
John Degenkolb 10
Joaquim Rodriguez 9


Temps du vainqueur
le plus élevé : 168h45m26s en 1941
le plus court : 64h46m20s en 1963

Distance
la plus longue : 4407kms en 1936
la plus courte : 2442kms en 1963

Vitesse moyenne
la plus rapide : 42.536km/h en 2003
la plus lente : 25.723km en 1948

Nombre de participations
record de participations : 17 entre 1994 et 2010 par Iñigo Cuesta
record de participations consécutives : 17 par Iñigo Cuesta (1994-2010)

Nombre de participants
le plus grand effectif au départ : 207 en 2002
le plus petit effectif au départ : 32 en 1941

Nombre d'abandons
le plus grand nombre d'abandons : 91 en 1987
le plus petit nombre d'abandons : 16 en 1941 (50% des coureurs au départ)
Le plus grand nombre d’abandons (%) : 70% (56 sur 80) en 1960
Le plus petit nombre d’abandons (%) : 8.9% (18 sur 176) en 2018

Nombre d'étapes
25 en 1947 et 1950 (23 étapes normales et 1 journées avec 2 demi-étapes)
14 en 1935

Les premières
Première Vuelta en Septembre : 1950
Première Vuelta à plus de 30km/h de moyenne : 1955
Première Vuelta avec 21 étapes : 1936
Première ville hors Madrid à être Grand Départ : Bilbao en 1957

Arrivées & Départs
Villes Grand-Départ : 40 : Madrid, Bilbao, San Sebastian, Barcelona, Gijon, Benidorm, Vigo, Murcia, Badajoz, Cadiz, Almeria, Fuengirola, Calp, Estepona, Orihuela, Jerez de la Frontera, Murcia, Santander, Santiago de Compostela, Almussafes, Valladolid, Palma de Mallorca, Santa Cruz de Tenerife, La Coruna, Benicassim, Zaragoza, Valencia, Lisboa, Cordoba, Malaga, Salamanca, Leon, Granada, Assen, Sevilla, Pamplona, Marbella, Ourense, Nîmes, Malaga

Villes Arrivée Finale : 7 : Madrid, Bilbao, San Sebastian, Miranda de Ebro, Salamanca, Jerez de la Frontera, Santiago de Compostela

Plus grand nombre de pays traversés : 4 en 2009 (Allemagne, Belgique, Espagne, Pays-Bas)

Maillots annexes
Espagne : 17 victoires aux points pour 13 vainqueurs différents
Belgique : 13 victoires aux points pour 12 vainqueurs différents
Allemagne : 9 victoires aux points pour 5 vainqueurs différents

Recordmans de victoire : 4, Sean Kelly, Laurent Jalabert et Alejandro Valverde
Record de points depuis 1955 : 369 pour Freddy Maertens en 1977

Espagne : 48 victoires de la montagne pour 30 vainqueurs différents
France : 7 victoires pour 4 vainqueurs différents
Colombie : 6 victoires pour 4 vainqueurs différents

Recordmans de victoire : 5 pour José Luis Laguia; 4 consécutifs pour David Moncoutié
Record de points depuis 1955 : 238 pour Laurent Jalabert en 1995

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:05

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1935 : 32 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 2e du général
1936 : 44 espagnols au départ – 11 Victoires d’étape (V.Carretero x5) – 4e, 5e, 6e, 8e, 9e, 10e du général
1941 : 28 espagnols au départ – 22 Victoires d’étape (D.Rodriguez x12) – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
1942 : 31 espagnols au départ – 13 Victoires d’étape (D.Rodriguez x8) – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e du général
1945 : 44 espagnols au départ – 17 Victoires d’étape (D.Rodriguez x6) – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
1946 : 32 espagnols au départ – 20 Victoires d’étape (D.Langarica x6, D.Rodriguez x5) – 1e, 2e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e du général
1947 : 35 espagnols au départ – 17 Victoires d’étape (D.Rodriguez x8) – 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 10e du général
1948 : 40 espagnols au départ – 15 Victoires d’étape (M.Gual x4) – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e du général
1950 : 34 espagnols au départ – 17 Victoires d’étape (E.Rodriguez x5) – 1e, 2e, 3e, 4e, 6e, 7e, 9e, 10e du général
1955 : 60 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 2e, 4e, 5e, 6e, 7e, 9e du général
1956 : 50 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape (M.Poblet x3) – 2e, 4e, 6e, 9e, 10e du général
1957 : 50 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 1e, 2e, 3e, 6e, 10e du général
1958 : 45 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 3e, 5e, 6e, 7e, 8e, 10e du général
1959 : 41 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 1e, 2e, 8e, 10e du général
1960 : 45 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e du général
1961 : 49 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 1e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
1962 : 40 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape – 2e, 4e, 5e, 8e du général
1963 : 38 espagnols au départ – 6 Victoires d’étape – 2e, 3e, 5e, 6e, 7e, 8e du général
1964 : 28 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
1965 : 44 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 4e, 5e, 6e, 9e, 10e du général
1966 : 40 espagnols au départ – 10 Victoires d’étape – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 9e, 10e du général
1967 : 41 espagnols au départ – 6 Victoires d’étape – 3e, 4e, 6e, 7e, 9e, 10e du général
1968 : 39 espagnols au départ – 8 Victoires d’étape – 2e, 3e, 4e, 7e, 8e du général
1969 : 42 espagnols au départ – 11 Victoires d’étape (L.Ocana x3) – 2e, 4e, 8e, 9e, 10e du général
1970 : 46 espagnols au départ – 8 Victoires d’étape – 1e, 2e, 4e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
1971 : 52 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape – 3e, 4e, 5e, 7e, 8e, 10e du général
1972 : 41 espagnols au départ – 11 Victoires d’étape – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e du général
1973 : 34 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape – 2e, 4e, 5e, 7e, 8e, 10e du général
1974 : 33 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 1e, 4e, 5e, 6e, 8e, 9e du général
1975 : 30 espagnols au départ – 10 Victoires d’étape (A.Tamames x5) – 1e, 2e, 3e, 4e, 9e, 10e du général
1976 : 34 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape – 1e, 2e, 3e, 5e, 9e, 10e du général
1977 : 29 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 2e, 4e, 5e, 8e, 9e, 10e du général
1978 : 38 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape – 2e, 4e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
1979 : 54 espagnols au départ – 6 Victoires d’étape – 2e, 4e, 5e, 7e, 8e du général
1980 : 73 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 1e, 2e, 5e, 8e, 9e, 10e du général
1981 : 58 espagnols au départ – 12 Victoires d’étape – 2e, 3e, 5e, 6e, 7e, 8e, 10e du général
1982 : 48 espagnols au départ – 11 Victoires d’étape (J.L.Laguia x3) – 1e, 4e, 5e, 8e, 10e du général
1983 : 49 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape (M.Lejarreta x3) – 2e, 3e, 4e, 6e, 8e, 9e, 10e du général
1984 : 64 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape – 2e, 4e, 6e, 8e, 9e du général
1985 : 64 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 1e, 4e, 8e, 10e du général
1986 : 68 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 1e, 5e, 6e, 9e, 10e du général
1987 : 76 espagnols au départ – 11 Victoires d’étape – 4e, 6e, 7e du général
1988 : 77 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 3e, 4e, 7e, 8e, 10e du général
1989 : 74 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape (P.Delgado x3) – 1e, 4e, 5e, 7e du général
1990 : 71 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape – 2e, 3e, 4e, 6e, 7e du général
1991 : 72 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape (M.Mauri x3) – 1e, 2e, 3e, 4e, 6e du général
1992 : 64 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape – 2e, 3e, 5e, 6e, 9e du général
1993 : 54 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 3e, 5e, 6e, 8e, 10e du général
1994 : 58 espagnols au départ – 1 Victoire d’étape (M.Alonso) – 2e, 3e, 7e, 8e, 9e du général
1995 : 57 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape (A.Olano x3) – 2e, 4e, 7e, 8e du général
1996 : 50 espagnols au départ – 0 Victoire d’étape – 10e du général
1997 : 42 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape – 2e, 5e, 6e, 8e du général
1998 : 52 espagnols au départ – 6 Victoires d’étape (J.M.Jimenez x4) – 1e, 2e, 3e, 6e, 7e, 10e du général
1999 : 54 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 2e, 3e, 5e, 6e, 7e, 10e du général
2000 : 63 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 1e, 2e, 4e, 6e, 7e, 8e, 10e du général
2001 : 73 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape (J.M.Jimenez x3) – 1e, 2e, 4e, 5e, 6e, 7e, 9e, 10e du général
2002 : 80 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape (A.Gonzalez x3) – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 8e, 9e du général
2003 : 90 espagnols au départ – 9 Victoires d’étape – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 9e, 10e du général
2004 : 82 espagnols au départ – 11 Victoires d’étape (S.Perez x3) – 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e du général
2005 : 71 espagnols au départ – 8 Victoires d’étape – 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 9e, 10e du général
2006 : 51 espagnols au départ – 6 Victoires d’étape – 2e, 4e, 5e, 7e, 9e, 10e du général
2007 : 63 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape (O.Freire x3, S.Sanchez x3) – 2e, 3e, 5e, 8e, 9e, 10e du général
2008 : 49 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 1e, 3e, 4e, 5e, 6e, 9e du général
2009 : 61 espagnols au départ – 2 Victoires d’étape – 1e, 2e, 5e, 7e, 10e du général
2010 : 48 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape – 3e, 5e, 7e, 9e, 10e du général
2011 : 44 espagnols au départ – 5 Victoires d’étape – 8e, 9e du général
2012 : 48 espagnols au départ – 7 Victoires d’étape (J.Rodriguez x3) – 1e, 2e, 3e, 5e, 9e, 10e du général
2013 : 38 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape – 3e, 4e, 8e, 10e du général
2014 : 28 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 1e, 3e, 4e, 6e, 10e du général
2015 : 27 espagnols au départ – 3 Victoires d’étape – 2e, 7e, 8e, 9e du général
2016 : 27 espagnols au départ – 1 Victoire d’étape (D.De la Cruz) – 4e, 7e, 8e du général
2017 : 31 espagnols au départ – 1 Victoire d’étape (A.Contador) – 5e du général
2018 : 36 espagnols au départ – 4 Victoires d’étape – 2e, 5e, 9e du général

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:06

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1935 : 3 français au départ – 0 Victoire d’étape – 8e du général
1936 : 1 français au départ – 0 Victoire d’étape – Abandon
1941 : Aucun français au départ
1942 : 9 français au départ – 7 Victoires d’étape – 10e du général
1945 : Aucun français au départ
1946 : Aucun français au départ
1947 : 4 français au départ – 6 Victoires d’étape (F.Adriano x4) – 7e, 8e du général
1948 : 7 français au départ – 0 Victoire d’étape – 7e du général
1950 : Aucun français au départ
1955 : 12 français au départ – 2 Victoires d’étape – 1e, 3e, 10e du général
1956 : 10 français au départ – 4 Victoires d’étape – 7e du général
1957 : 10 français au départ – 3 Victoires d’étape – 5e du général
1958 : 10 français au départ – 2 Victoires d’étape – 1e du général
1959 : 13 français au départ – 2 Victoires d’étape – 4e, 5e, 6e du général
1960 : 9 français au départ – 0 Victoire d’étape – 14e du général
1961 : 11 français au départ – 3 Victoires d’étape – 2e du général
1962 : 5 français au départ – 6 Victoires d’étape (J.Graczyk x4) – 6e du général
1963 : 10 français au départ – 4 Victoires d’étape – 1e, 9e du général
1964 : 6 français au départ – 1 Victoire d’étape – 1e du général
1965 : 18 français au départ – 3 Victoires d’étape – 2e, 8e du général
1966 : Aucun français au départ
1967 : 27 français au départ – 2 Victoires d’étapes – 2e, 8e du général
1968 : 12 français au départ – 0 Victoire d’étape – 9e du général
1969 : 12 français au départ – 2 Victoires d’étape – 1e, 7e du général
1970 : 11 français au départ – 1 Victoire d’étape – 46e du général
1971 : 16 français au départ – 2 Victoires d’étape – 9e du général
1972 : 6 français au départ – 0 Victoire d’étape – 9e, 10e du général
1973 : 14 français au départ – 4 Victoires d’étape – 3e du général
1974 : 23 français au départ – 2 Victoires d’étape – 3e, 7e du général
1975 : 1 français au départ – 0 Victoire d’étape – Abandon
1976 : 1 français au départ – 0 Victoire d’étape – 37e du général
1977 : 2 français au départ – 0 Victoire d’étape – 29e du général
1978 : 8 français au départ – 5 Victoires d’étape (B.Hinault x5) – 1e, 3e du général
1979 : 8 français au départ – 1 Victoire d’étape (C.Levavasseur) – 9e du général
1980 : 3 français au départ – 1 Victoire d’étape (D.Arnaud) – 14e du général
1981 : 9 français au départ – 3 Victoires d’étape – 9e du général
1982 : 11 français au départ – 2 Victoires d’étape – 6e, 9e du général
1983 : 8 français au départ – 5 Victoires d’étape – 1e, 7e du général
1984 : 10 français au départ – 1 Victoire d’étape (E.Caritoux) – 1e du général
1985 : 25 français au départ – 0 Victoire d’étape – 6e du général
1986 : 19 français au départ – 6 Victoires d’étape – 7e du général
1987 : 19 français au départ – 2 Victoires d’étape – 3e, 8e du général
1988 : 7 français au départ – 0 Victoire d’étape – 11e du général
1989 : 17 français au départ – 0 Victoire d’étape – 9e du général
1990 : 12 français au départ – 3 Victoires d’étape – 10e du général
1991 : 10 français au départ – 0 Victoire d’étape – 24e du général
1992 : 2 français au départ – 0 Victoire d’étape – 54e du général
1993 : 4 français au départ – 2 Victoires d’étape – 35e du général
1994 : 8 français au départ – 7 Victoires d’étape (L.Jalabert x7) – 6e du général
1995 : 23 français au départ – 5 Victoires d’étape (L.Jalabert x5) – 1e, 5e du général
1996 : 11 français au départ – 2 Victoires d’étape – 19e du général
1997 : 26 français au départ – 3 Victoires d’étape – 7e, 10e du général
1998 : 26 français au départ – 0 Victoire d’étape – 5e du général
1999 : 7 français au départ – 1 Victoire d’étape (L.Brochard) – 43e du général
2000 : 12 français au départ – 0 Victoire d’étape – 16e du général
2001 : 2 français au départ – 0 Victoire d’étape – 24e du général
2002 : 13 français au départ – 0 Victoire d’étape – 70e du général
2003 : 2 français au départ – 0 Victoire d’étape – Abandons
2004 : 9 français au départ – 0 Victoire d’étape – 36e du général
2005 : 22 français au départ – 0 Victoire d’étape – 63e du général
2006 : 26 français au départ – 0 Victoire d’étape – 29e du général
2007 : 23 français au départ – 0 Victoire d’étape – 13e du général
2008 : 28 français au départ – 2 Victoires d’étape – 8e du général
2009 : 28 français au départ – 2 Victoires d’étape – 18e du général
2010 : 30 français au départ – 1 Victoire d’étape (D.Moncoutié) – 12e du général
2011 : 17 français au départ – 1 Victoire d’étape (D.Moncoutié) – 24e du général
2012 : 22 français au départ – 0 Victoire d’étape – 20e du général
2013 : 20 français au départ – 4 Victoires d’étape – 7e du général
2014 : 27 français au départ – 2 Victoires d’étape – 8e du général
2015 : 30 français au départ – 1 Victoire d’étape (A.Gougeard) – 15e du général
2016 : 33 français au départ – 3 Victoire d’étape – 13e du général
2017 : 20 français au départ – 1 Victoire d’étape (J.Alaphilippe) – 17e du général
2018 : 18 français au départ – 5 Victoires d’étape – 6e du général

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Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:07

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Petit retour sur le Maillot de leader :

Contrairement au Tour, qui mit plusieurs années à se parer du maillot jaune afin d’identifier son leader, le maillot de leader de la Vuelta est intervenu dès sa première édition, en 1935. En revanche, l’histoire de ce maillot de leader a été bien plus chamboulé sur les terres espagnoles, entre suspensions de course et changements d’organisateurs ayant abouti à un changement de la couleur du maillot.


1935 & 1936 : Maillot Orange
1941 : Maillot Blanc
1942 : Maillot Orange
1945 : Maillot Rouge
1946 à 1950 : Maillot Blanc à bande horizontale
1955 à 1976 : Maillot Jaune
1977 : Maillot Orange
1978 à 1998 : Maillot Jaune
1999 à 2009 : Maillot Or
Depuis 2010 : Maillot Rouge





Du Classement par points jusqu’au Maillot Vert.

Introduit en 1945, soit 10 ans après la création de l’épreuve, le record de victoires y est détenu par Sean Kelly, Laurent Jalabert et Alejandro Valverde (4 victoires chacun). Contrairement aux autres Grand Tour, le barême de point reste le même, ce qui a permis à certains leaders de le remporter. Quand au Maillot Vert actuel, il a également connu plusieurs bouleversements depuis son introduction en 1983 seulement.


1983 à 1985 : Maillot Bleu
1986 à 1989 : Maillot Vert
1989 à 2000 : Maillot Bleu
2001 & 2002 : Maillot Blanc et Grenat
2003 : Maillot Blanc à pois Orange
2004 à 2006 : Maillot Bleu
2007 : Maillot Rouge Grenat
2008 : Maillot Bleu
Depuis 2009 : Maillot Vert

1945 l D.Rodriguez (2347 points)
1955 l F.Magni (128 points)
1956 l R.Van Steenbergen (98 points)
1957 l V.Iturat (160 points)
1958 l S.Botella (202 points)
1959 l R.Van Looy (148 points)
1960 l A.Decabooter (189 points)
1961 l A.Suarez (194 points)
1962 l R.Altig (143,5 points)
1963 l B.Maliepaard (130 points)
1964 l J.P.Francés (167 points)
1965 l R.Van Looy (243 points)
1966 l J.Van der Vleuten (147 points)
1967 l J.Janssen (209 points)
1968 l J.Janssen (142 points)
1969 l R.Steegmans (188 points)
1970 l G.Reybrouck (199,5 points)
1971 l C.Guimard (233 points)
1972 l D.Perurena (224 points)
1973 l E.Mercx (215,5 points)
1974 l D.Perurena (210 points)
1975 l M.M.Lasa (249,5 points)
1976 l D.Thurau (147,5 points)
1977 l F.Maertens (369 points)
1978 l F.Van den Haute (218 points)
1979 l F.De Wolf (219 points)
1980 l S.Kelly (313 points)
1981 l F.J.Cedena (211 points)
1982 l S.Mutter (127 points)
1983 l M.Lejarreta (188 points)
1984 l G.Van Calster (204 points)
1985 l S.Kelly (223 points)
1986 l S.Kelly (253 points)
1987 l A.Gutierrez (149 points)
1988 l S.Kelly (248 points)
1989 l M.Elliott (161 points)
1990 l U.Raab (173 points)
1991 l U.Raab (169 points)
1992 l D.Abdoujaparov (157 points)
1993 l T.Rominger (247 points)
1994 l L.Jalabert (243 points)
1995 l L.Jalabert (312 points)
1996 l L.Jalabert (237 points)
1997 l L.Jalabert (206 points)
1998 l F.Guidi (206 points)
1999 l F.Vandenbroucke (129 points)
2000 l R.Heras (136 points)
2001 l J.M.Jimenez (130 points)
2002 l E.Zabel (188 points)
2003 l E.Zabel (181 points)
2004 l E.Zabel (152 points)
2005 l A.Petacchi (169 points)
2006 l T.Hushovd (199 points)
2007 l D.Bennati (147 points)
2008 l G.Van Avermaet (158 points)
2009 l A.Greipel (150 points)
2010 l M.Cavendish (156 points)
2011 l B.Mollema (122 points)
2012 l A.Valverde (199 points)
2013 l A.Valverde (152 points)
2014 l J.Degenkolb (169 points)
2015 l A.Valverde (118 points)
2016 l F.Felline (100 points)
2017 l C.Froome (158 points)
2018 l A.Valverde (131 points)





Du Classement de la montagne jusqu’au Maillot blanc à pois Bleus.

Introduit dès 1935, première année d’existence de la Vuelta, ce maillot est la chasse-gardée des espagnols, qui comptabilisent 48 victoires et 30 vainqueurs différents de ce classement. José Luis Lagia est le détenteur du record de victoire sur ce classement (5), mais le français David Moncoutié est celui ayant le plus de victoires consécutives (4).


1935 à 1985 : Maillot Vert
1986 & 1987 : Maillot Rouge Vermillon
1988 & 1989 : Maillot Blanc à grains de café
1990 & 1991 : Maillot Vert
1992 à 2000 : Maillot Blanc
2001 à 2003 : Maillot Orange
2004 & 2005 : Maillot Rouge Bordeaux
2006 : Maillot Orange
2007 : Maillot Gris
2008 & 2009 : Maillot Rouge Grenat
Depuis 2010 : Maillot Blanc à pois Bleus

1935 l E.Molinar (68 points)
1936 l S.Molina (78 points)
1941 l F.Trueba (32 points)
1942 l J.Berrendero (- points)
1945 l J.Berrendero (45 points)
1946 l E.Rodriguez (39 points)
1947 l E.Rodriguez (28 points)
1948 l B.Ruiz (28 points)
1950 l E.Rodriguez (40 points)
1955 l G.Buratti (35 points)
1956 l N.Defilippis (26 points)
1957 l F.Bahamontes (26 points)
1958 l F.Bahamontes (70 points)
1959 l A.Suarez (56 points)
1960 l A.Karmany (65 points)
1961 l A.Karmany (52 points)
1962 l A.Karmany (59 points)
1963 l J.Jimenez (61 points)
1964 l J.Jimenez (76 points)
1965 l J.Jimenez (62 points)
1966 l G.San Miguel (60 points)
1967 l M.Diaz (59 points)
1968 l F.Gabica (62 points)
1969 l L.Ocana (33 points)
1970 l A.Tamames (69 points)
1971 l J.Zoetemelk (106 points)
1972 l J.M.Fuente (97 points)
1973 l J.L.Abilleira (97 points)
1974 l J.L.Abilleira (108 points)
1975 l A.Oliva (117 points)
1976 l A.Oliva (157 points)
1977 l P.Torres (134 points)
1978 l A.Oliva (112 points)
1979 l F.Yanez (95 points)
1980 l J.F.Martin (94 points)
1981 l J.L.Laguia (144 points)
1982 l J.L.Laguia (90 points)
1983 l J.L.Laguia (123 points)
1984 l F.Yanez (81 points)
1985 l J.L.Laguia (85 points)
1986 l J.L.Laguia (146 points)
1987 l L.Herrera (174 points)
1988 l A.Pino (100 points)
1989 l O.De Jesus Vargas (142 points)
1990 l M.Farfan (123 points)
1991 l L.Herrera (157 points)
1992 l C.H.Bailo (194 points)
1993 l T.Rominger (214 points)
1994 l L.Leblanc (158 points)
1995 l L.Jalabert (238 points)
1996 l T.Rominger (177 points)
1997 l J.M.Jimenez (153 points)
1998 l J.M.Jimenez (184 points)
1999 l J.M.Jimenez (133 points)
2000 l C.Sastre (102 points)
2001 l J.M.Jimenez (162 points)
2002 l A.Oisa (107 points)
2003 l F.Cardenas (204 points)
2004 l F.Cardenas (167 points)
2005 l J.Rodriguez (200 points)
2006 l E.Martinez (129 points)
2007 l D.Menchov (90 points)
2008 l D.Moncoutié (143 points)
2009 l D.Moncoutié (186 points)
2010 l D.Moncoutié (51 points)
2011 l D.Moncoutié (63 points)
2012 l S.Clarke (63 points)
2013 l N.Edet (46 points)
2014 l L.L.Sanchez (58 points)
2015 l O.Fraile (82 points)
2016 l O.Fraile (58 points)
2017 l D.Vilella (67 points)
2018 l T.De Gendt (64 points)

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:08

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.Alava > Granada

Alava

Amurrio : 2 fois ville-étape (1978, x2)

Laguardia : 1 fois ville-étape (1967)

Llodio : 4 fois ville-étape (1969, x2) (1970, x2)

Murguia : 2 fois ville-étape (1976, x2)

Oyon : 1 fois ville-étape (2012)

Vitoria : 36 fois ville-étape (1956, x2) (1957, x2) (1958, x2) (1959, x2) (1960, x2) (1961, x2) (1962, x2) (1963, x2) (1964, x2) (1965, x2) (1966, x2) (1967, x2) (1968, x2) (1969, x2) (1970, x2) (1971, x2) (1972, x2) (2011) (2015)

Albacete

Albacete : 42 fois ville-étape (1942, x2) (1947, x2) (1956, x2) (1961, x2) (1965) (1967) (1973, x2) (1982, x2) (1985, x2) (1986, x2) (1987, x2) (1988, x2) (1989, x2) (1991, x2) (1992, x2) (1993, x2) (1996, x2) (1999) (2000, x2) (2001, x2) (2003, x4) (2014)

Almanse : 6 fois ville-étape (1968, x2) (1969, x2) (1976, x2)

Hellin : 3 fois ville-étape (2007, x2) (2017)

La Roda : 1 fois ville-étape (1999)

Alicante

Aitana (Alto de) : 4 fois arrivée d’étape (2001) (2004) (2009) (2016)

Alcoy : 9 fois ville-étape (1947, x2) (1979, x2) (2001) (2002) (2004) (2009) (2010)

Alicante : 12 fois ville-étape (1936, x2) (1948, x2) (1956, x2) (1959, x2) (1994) (1998) (1999) (2009)

Benidorm : 42 fois ville-étape (1961, x2) (1962, x4) (1964, x5) (1965, x2) (1966, x2) (1967, x2) (1968, x2) (1975, x4) (1977, x4) (1980, x2) (1985, x2) (1987, x3) (1994, x3) (1999) (2000) (2011, x2) (2016)

Benitatxell (Cumbre del sol) (+El Poble Nou) : 2 fois ville-étape (2015) (2017)

Calpe : 9 fois ville-étape (1970, x2) (1971, x2) (1973, x3) (2016)

Denia : 1 fois ville-étape (1990)

Elche : 3 fois ville-étape (1984, x2) (1995)

La Nucia : 1 fois ville-étape (2011)

Orihuela : 6 fois ville-étape (1977, x2) (1972) (2010) (2011) (2017)

Petrer : 1 fois ville-étape (2011)

San Vicente del Raspeig : 2 fois ville-étape (2002) (2004)

Torrevieja : 1 fois ville-étape (2015)

Villena : 1 fois ville-étape) (2010)

Xabia : 1 fois ville-étape (2016)

Xorret de Cati : 6 fois ville-étape (1998) (2000) (2004) (2009) (2010) (2017)

Almeria

Adra : 1 fois ville-étape (2006)

Almeria : 28 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1962, x2) (1970, x2) (1971, x3) (1972, x2) (1974, x5) (1975, x2) (1984) (1990, x2) (1996, x2) (2004) (2006) (2009)

Berja : 1 fois ville-étape (2009)

Calar Alto (Observatorio Astronomico) : 3 fois arrivée d’étape (2004) (2006) (2017)

El Ejido : 2 fois ville-étape (2002) (2004)

Huercal-Overa : 1 fois ville-étape (2018)

Mojacar : 1 fois ville-étape (1984)

Olula del Rio : 2 fois ville-étape (1995) (1998)

Roquetas de Mar : 2 fois ville-étape (2002) (2018)

Velefique (Alto de) : 1 fois arrivée d’étape (2009)

Asturias

Alto de l’Angliru : 7 fois arrivée d’étape (1999) (2000) (2002) (2008) (2011) (2013) (2017)

Alto de la Cobertoria : 1 fois arrivée d’étape (2006)

Alto del Naranco : 14 fois arrivée d’étape (1974) (1984) (1986) (1988) (1990) (1991) (1992) (1993) (1994) (1995) (1996) (1997) (2013) (2016)

Aviles : 8 fois ville-étape (1964, x2) (1981, x2) (2002) (2006) (2011) (2013)

Candas : 1 fois ville-étape (2018)

Cangas de Onis : 24 fois ville-étape (1974, x2) (1976, x2) (1978, x2) (1983) (1984) (1985) (1986) (1987) (1988) (1989) (1991) (1992) (1993) (1994) (1996) (1997) (2000) (2001) (2003, x2) (2005) (2007)

Caso : 1 fois ville-étape (2017)

Colunga : 1 fois ville-étape (2016)

Corvera de Asturias : 1 fois ville-étape (2017)

Cotobello : 1 fois ville-étape (2010)

Cudillero : 1 fois ville-étape (2008)

Cuitu Nigru : 1 fois arrivée d’étape (2012)

Ermita de Alba : 1 fois arrivée d’étape (2015)

Fuentes de Invierno : 1 fois arrivée d’étape (2008)

Gijon : 52 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1958) (1960, x3) (1963, x2) (1965) (1968, x2) (1976, x2) (1978, x5) (1979, x2) (1980) (1982, x2) (1993, x2) (1999) (2000, x2) (2001, x2) (2002, x2) (2003, x3) (2010) (2012) (2017)

La Farrapona : 2 fois arrivée d’étape (2011) (2014)

Lagos de Covadonga : 21 fois arrivée d’étape (1983) (1984) (1985) (1986 (1987) (1989) (1991) (1992) (1993) (1994) (1996) (1997) (2000) (2001) (2005) (2007) (2010) (2012) (2014) (2016) (2018)

Langreo : 1 fois ville-étape (2007)

Les Praeres (Nava) : 1 fois arrivée d’étape (2018)

Luarca : 9 fois ville-étape (1941, x2) (1942, x2) (1947, x2) (1987) (2007) (2015)

Lugones : 2 fois ville-étape (1984) (2016)

Mieres : 5 fois ville-étape (1957, x2) (1963, x2) (1965)

Oviedo : 29 fois ville-étape (1941, x2) (1942, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1956, x2) (1958) (1974) (1984, x2) (1985, x2) (1986, x3) (1987) (1988, x2) (190) (1992) (1996) (1997, x2) (2008) (2014)

Puerto de Pajares : 2 fois ville-étape (1965, x2)

Ribera de Arriba : 1 fois ville-étape (2018)

Salas : 1 fois ville-étape (1993)

San Martin del Rey Aurelio : 1 fois ville-étape (2014)

Sotres (Cabrales) : 1 fois arrivée d’étape (2015)

Tapia de Casariego : 1 fois ville-étape (1995)

Valgrande (Pajares) : 4 fois arrivée d’étape (1988) (1989) (1997) (2005)

Avila

Avila : 43 fois ville-étape (1971, x2) (1974, x2) (1978) (1979, x2) (1983, x2) (1987, x2) (1988, x2) (1989, x2) (1992, x2) (1993) (1994, x3) (1995, x2) (1996, x3) (1997) (1998) (1999, x2) (2000, x2) (2002, x2) (2004, x2) (2005) (2007, x2) (2009, x2) (2015)

El Barco de Avila : 1 fois ville-étape (1987)

El Tiemblo : 2 fois ville-étape (1996) (1999)

Piedrahita : 1 fois ville-étape (2010)

Badajoz

Almendralejo : 8 fois ville-étape (1945, x2) (1994) (1997) (2006, x2) (2013)

Badajoz : 13 fois ville-étape (1945, x2) (1946, x2) (1969, x5) (1988, x2) (1991, x2)

Merida : 8 fois ville-étape (1950, x2) (1981, x2) (1990) (1991, x3)

Montijo : 1 fois ville-étape (1991)

Olivenza : 1 fois ville-étape (2004)

Balears

Alcudia : 2 fois ville-étape (1998, x2)

Cala d’Or : 2 fois ville-étape (1991, x2)

Palma de Mallorca : 10 fois ville-étape (1975, x2) (1986, x4) (1991, x2) (1998, x2)

Barcelona

Baga : 1 fois ville-étape (2013)

Barcelona : 100 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1955, x4) (1956, x4) (1957, x2) (1958, x4) (1959) (1960, x2) (1961, x2) (1962, x3) (1963, x3) (1964, x4) (1965, x4) (1966, x4) (1967, x4) (1968, x4) (1969, x2) (1970, x4) (1971, x2) (1972, x4) (1973, x4) (1975, x4) (1976) (1977, x6) (1978, x4) (1982) (1986, x2) (1987, x2) (1995, x2) (1999, x2) (2012)

Cardona : 1 fois ville-étape (1984)

Castellar de Nuch : 1 fois ville-étape (1983)

Castelldefels : 1 fois ville-étape (2013)

Esparreguera : 2 fois ville-étape (1981, x2)

Gironella : 1 fois ville-étape (1981)

Granollers : 1 fois ville-étape (1959)

Igualada : 5 fois ville-étape (1970, x2) (1977, x2) (1978, x2) (1994)

La Pobla de Lillet : 1 fois ville-étape (1983)

Las Colinas : 1 fois ville-étape (1966)

Manresa : 4 fois ville-étape (1971) (1972) (1973, x2)

Moya : 2 fois ville-étape (1969, x2)

Rasos de Peguera : 3 fois arrivée d’étape (1981) (1984) (1999)

Sabadell : 3 fois ville-étape (2000) (2001) (2003)

Sant Cugat del Valles : 1 fois ville-étape (1991)

Sant Quirze del Valles : 10 fois ville-étape (1980, x2) (1982, x2) (1983, x2) (1984, x2) (1985) (1988)

Sitges : 4 fois ville-étape (1963) (1966) (1967, x2)

Vic : 1 fois ville-étape (1998)

Villanova i la Geltru : 2 fois ville-étape (2010, x2)

Burgos

Aranda de Duero : 1 fois ville-étape (2006)

Belorado : 1 fois ville-étape (2014)

Burgos : 32 fois ville-étape (1966, x2) (1970, x2) (1971, x2) (1980, x2) (1983) (1984, x2) (1992, x2) (1997, x2) (1998) (2002, x2) (2003) (2004, x2) (2005, x2) (2006) (2008, x2) (2010, x2) (2013, x2) (2015, x2)

Laguna Negra de Neila : 1 fois arrivée d’étape (1998)

Miranda de Ebro : 10 fois ville-étape (1973, x2) (1974, x2) (1975, x2) (1977) (1978, x2) (1987)

Parque de Carceno. Oregon : 1 fois arrivée d’étape (2014)

Riaza : 1 fois ville-étape (2015)

Roa : 1 fois ville-étape (2015)

Villadiego : 1 fois ville-étape (2017)

Caceres

Caceres : 20 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1969, x2) (1981, x2) (1990) (1991) (1994) (2004) (2006) (2013)

Plasencia : 3 fois ville-étape (1997) (2004) (2007)

Cadiz

Algeciras : 1 fois ville-étape (2014)

Arcos de la Frontera : 2 fois ville-étape (1992) (2014)

Cadiz : 8 fois ville-étape (1950, x2) (1970, x3) (1998, x2) (2014)

Jerez de la Frontera : 26 fois ville-étape (1950, x2) (1970, x2) (1979, x3) (1984, x3) (1986, x3) (1990) (1992, x3) (1996, x2) (1997, x2) (2013) (2014, x2)

Puerto Real : 2 fois ville-étape (1986, x2)

Rota : 1 fois ville-étape (2015)

San Fernando : 2 fois ville-étape (1992) (2014)

Ubrique : 2 fois ville-étape (1990) (2002)

Vejer de la Frontera : 1 fois ville-étape (2015)

Cantabria

Alto Campoo (Fuente del Chivo) : 4 fois arrive d’étape (1985) (1987) (1993) (2015)

Ampuero : 3 fois ville-étape (1978, x2) (2005)

Cabarceno : 2 fois ville-étape (1996, x2)

Castro Urdiales : 4 fois ville-étape (1942, x2) (1958, x2)

Comillas : 1 fois ville-étape (2015)

Fuente Dé : 1 fois ville-étape (2012)

Laredo : 2 fois ville-étape (1974)

Los Corrales de Buelna : 2 fois ville-étape (1999) (2016)

Los Machucos : 1 fois arrivée d’étape (2017)

Nestlé (La Penilla) : 1 fois ville-étape (2005)

Noja : 2 fois ville-étape (2011)

Pena Cabarga : 5 fois arrivée d’étape (1979) (2010) (2011) (2013) (2016)

Reinosa : 15 fois ville-étape (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1976, x2) (1982, x2) (2001) (2007, x2)

San Vicente de la Barquera : 2 fois ville-étape (2008) (2013)

Santander : 77 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1956, x2) (1957, x2) (1958, x2) (1959, x2) (1960, x2) (1961, x2) (1964, x2) (1966, x2) (1968, x2) (1970, x2) (1980, x2) (1981, x3) (1982, x2) (1984, x3) (1986, x2) (1987) (1988, x2) (1990, x2) (1991, x2) (1992, x2) (1993, x3) (1994, x2) (1995, x2) (1997, x2) (2000, x2) (2002, x2) (2003) (2012) (2014)

Santillana del Mar : 2 fois ville-étape (2006) (2018)

Santo Toribio de Liébana : 1 fois ville-étape (2017)

Santona : 2 fois ville-étape (1989, x2)

Solares : 2 fois ville-étape (2010) (2011)

Suances : 2 fois ville-étape (2008) (2017)

Torrelavega : 18 fois ville-étape (1950, x2) (1963, x2) (1971, x2) (1972, x2) (1973, x4) (1979) (2001, x3) (2006) (2018)

Castellon

Alcala de Xivert : 2 fois ville-étape (1977, x2)

Alcossebre : 1 fois ville-étape (2017)

Alquerias del Nino Perdido : 1 fois ville-étape (1992)

Benicarlo : 1 fois ville-étape (2004)

Benicasim : 16 fois ville-étape (1969, x2) (1971, x2) (1978, x2) (1979, x4) (1989) (1990, x3) (1992) (2017)

Burriana : 3 fois ville-étape (1970, x2) (1990)

Castellon de la Plana : 16 fois ville-étape (1946, x2) (1947, x2) (1950, x2) (1959, x2) (1973, x2) (1976) (1990) (2004, x2) (2015) (2016)

Llucena. Camins del Penyagolosa : 1 fois arrivée d’étape (2016)

Oropesa del Mar : 3 fois ville-étape (1990) (1992) (2007)

Morella : 2 fois ville-étape (2000) (2004)

Nules : 7 fois ville-étape (1964, x2) (1969, x2) (1976) (1982, x2)

Peniscola : 3 fois ville-étape (1981) (2016)

Vilarreal : 2 fois ville-étape (1987) (2017)

Vinaros : 15 fois ville-étape (1967, x2) (1968, x2) (1972, x2) (1975, x2) (1980, x2) (1989) (2000) (2001) (2005) (2009)

Ciudad Real

Alcazar de San Juan : 7 fois ville-étape (1968, x2) (1969, x2) (1973, x2) (2005)

Almaden : 2 fois ville-étape (2011) (2018)

Argamasilla de Alba : 1 fois ville-étape (2005)

Campo de Criptana : 2 fois ville-étape (1982, x2)

Ciudad Real : 9 fois ville-étape (1974, x2) (2005) (2006) (2007) (2008, x3) (2009)

Manzanares : 1 fois ville-étape (1959)

Puertollano : 4 fois ville-étape (2005) (2007) (2008) (2009)

Tomelloso : 2 fois ville-étape (1982, x2)

Valdepenas : 7 fois ville-étape (1948, x2) (1962) (2000, x2) (2003, x2)

Cordoba

Cabra : 2 fois ville-étape (1972, x2)

Cordoba : 36 fois ville-étape (1959, x2) (1962) (1974, x2) (1979, x2) (1992) (1994, x2) (1995) (1996) (1997, x4) (1998, x3) (2000) (2002, x4) (2003) (2005, x2) (2006, x2) (2008, x2) (2009, x2) (2011) (2014) (2015)

Montoro : 1 fois ville-étape (2000)

Priego de Cordoba : 3 fois ville-étape (1976, x2) (2014)

Coruna

A Coruna : 25 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1960, x2) (1982, x2) (1987, x2) (1989, x3) (1993, x3) (1995, x2) (2014)

Betanzos : 1 fois ville-étape (2016)

Faro de Estaca de Bares. Manon : 1 fois ville-étape (2018)

Ferrol : 6 fois ville-étape (1947, x2) (1987, x2) (1993) (2012)

Fisterra : 1 fois ville-étape (2013)

Mirador de Ezaro (Dumbria) : 2 fois arrivée d’étape (2012) (2018)

Ortigueira : 1 fois ville-étape (2014)

Padron : 1 fois ville-étape (1993)

San Andres de Teixido : 1 fois ville-étape (2016)

Santiago de Compostela : 14 fois ville-étape (1942, x2) (1980) (1982, x3) (1985, x2) (1989) (1993) (2007) (2012) (2014, x2)

Cuenca

Carboneras de Guadazaon : 1 fois ville-étape (2014)

Cuenca : 27 fois ville-étape (1955, x2) (1957, x2) (1958, x2) (1963) (1965) (1966) (1973, x2) (1978, x2) (1983, x2) (1996, x2) (2001, x2) (2003, x2) (2005, x2) (2006, x2) (2017)

Motilla del Palancart : 1 fois ville-étape (2006)

Girona

Alp : 2 fois ville-étape (2000) (2001)

Banyoles : 1 fois ville-étape (1972)

Empuriabrava : 2 fois ville-étape (1973, x2)

La Molina (Estacion de esqui) : 2 fois arrivée d’étape (2000) (2001)

La Vall d’En Bas : 1 fois ville-étape (2005)

Lloret de Mar : 5 fois ville-étape (1991, x2) (2005, x3)

Puigcerda : 4 fois ville-étape (1964, x2) (1982, x2)

Sant Feliu de Guixols : 2 fois ville-étape (1969, x2)

Granada

Alfacar (Sierra de la Alafaguara) : 1 fois arrivée d’étape (2018)

Alhendin : 1 fois ville-étape (2014)

Baza : 7 fois ville-étape (1946, x2) (1976, x2) (1981) (1994) (2001)

Granada : 43 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1959) (1972, x2) (1974, x3) (1975, x2) (1979) (1981, x2) (1986) (1994, x2) (1997, x2) (1998) (2002) (2003) (2004, x2) (2005, x2) (2006, x2) (2007) (2008, x2) (2009) (2018)
Guadix : 3 fois ville-étape (1959) (1997) (2010)

Guejar Sierra (Alto de Hazallanas) : 1 fois arrivée d’étape (2013)

La Alpujarra : 1 fois arrivée d’étape (2015)

La Zumbia : 1 fois arrivée d’étape (2014)

Loja : 1 fois ville-étape (1990)

Motril : 1 fois ville-étape (2017)

Puebla de Don Fadrique : 1 fois ville-étape (2015)

Sierra Nevada (+ Hoya de la Mora) : 14 fois ville/arrivée d’étape (1979) (1981) (1986) (1990) (1994) (1995) (1997) (2002) (2003) (2004) (2009) (2011, x2) (2017)

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:08

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.Guadalajara > Segovia

Guadalajara

Azuqueca de Henares : 1 fois ville-étape (1979)

Guadalajara : 7 fois ville-étape (1999, x2) (2001, x2) (2005) (2006, x2)

Guipuzcoa

Eibar (+ Arrate) : 8 fois ville/arrivée d’étape (1959) (1963, x2) (1972, x2) (1974, x2) (2012)

Beasain : 1 fois ville-étape (1975)

Hernani : 1 fois ville-étape (1973)

Irun : 5 fois ville-étape (1950, x2) (1956, x2) (1969)

San Sebastian : 64 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1955, x2) (1956, x2) (1957, x2) (1958, x2) (1959, x2) (1960, x2) (1961, x3) (1962, x2) (1964, x2) (1965, x2) (1966, x2) (1967) (1968, x2) (1969, x2) (1970, x2) (1971, x2) (1972, x3) (1973) (1974, x3) (1975, x2) (1976) (1978, x3)

Tolosa : 6 fois ville-étape (1963, x2) (1968, x2) (1973, x2)

Villabona : 1 fois ville-étape (1967)

Zarautz : 2 fois ville-étape (1967, x2)

Huelva

Huelva : 2 fois ville-étape (1997, x2)

Huesca

Balneario de Panticosa : 3 fois ville-étape (1983, x2) (1985)

Barbastro : 5 fois ville-étape (1960, x2) (1969, x2) (2008)

Benasque : 10 fois ville-étape (1987) (1988) (1989) (1990) (1991) (1993) (1994) (1996) (1998) (2007)

Biescas : 1 fois ville-étape (1998)

Binefar : 1 fois ville-étape (1961)

Cerler : 11 fois arrivée d’étape (1987) (1988) (1989) (1990) (1991) (1993) (1994) (1996) (1998) (2005) (2007)

Formigal : 4 fois ville-étape (1972) (1975) (1977, x2)

Graus : 1 fois ville-étape (2013)

Huesca : 11 fois ville-étape (1942, x2) (1957, x2) (1961) (1966, x2) (1999) (2003) (2007) (2012)

Jaca : 16 fois ville-étape (1964, x2) (1971, x2) (1975) (1978, x2) (1980) (1988, x2) (1989, x2) (1990, x2) (1998) (2012)

Monzon : 2 fois ville-étape (1977, x2)

Sabinanigo : 16 fois ville-étape (1982, x2) (1983, x2) (1985) (1992, x2) (1995, x2) (1996, x2) (1998) (2008, x2) (2016)

Sallent de Gallego (Aramon-Formigal) : 2 fois arrivée d’étape (2013) (2016)

Jaen

Alcala la Real : 1 fois ville-étape (2017)

Alcaudete : 1 fois ville-étape (2014)

Baeza : 1 fois ville-étape (2014)

Jaen : 14 fois ville-étape (1976, x2) (1981, x2) (1986, x2) (1991) (2002) (2003) (2006) (2007) (2008, x2) (2009)

Jodar : 1 fois ville-étape (2015)

Linares : 3 fois ville-étape (1991) (1992) (2018)

Pozo Alcon : 1 fois ville-étape (2018)

Sierra de Cazorla : 1 fois arrivée d’étape (2015)

Sierra de la Pandera : 5 fois arrivée d’étape (2002) (2003) (2006) (2009) (2017)

Torredelcampo : 1 fois ville-étape (2013)

Ubeda : 1 fois ville-étape (2011)

Valdepenas de Jaen : 3 fois ville-étape (2010) (2011) (2013)

Villacarillo : 2 fois ville-étape (2007, x2)

Leon

Alto de El Morredero (Ponferrada) : 2 arrivées d’étape (1997) (2006)

Astorga : 5 fois ville-étape (1947, x2) (1967, x2) (2011)

Cistierna : 2 fois ville-étape (2016) (2018)

La Baneza : 1 fois ville-étape (1989)

La Camperona : 3 fois arrivée d’étape (2014) (2016) (2018)

La Robla : 1 fois ville-étape (2012)

Leon : 52 fois ville-étape (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1957, x2) (1964, x2) (1974, x2) (1978, x2) (1979, x2) (1980, x4) (1981, x2) (1983, x2) (1984, x2) (1988, x2) (1989) (1990, x2) (1991) (1992, x2) (1997) (1998, x2) (1999, x2) (2001, x2) (2002) (2004, x3) (2005) (2006, x2)

Ponferrada : 12 fois ville-étape (1942, x2) (1980, x2) (1987, x2) (1989) (1997) (2006) (2008, x2) (2011)

Puerto de Ancares : 2 fois arrivée d’étape (2012) (2014)

San Isidro : 4 fois ville-étape (1986, x2) (1990, x2)

Lleida

Artesa de Segre : 1 fois ville-étape (1982)

Balaguer : 3 fois ville-étape (1971) (1981, x2)

Bossost : 1 fois ville-étape (1991)

Cambrils : 4 fois ville-étape (1975, x2) (1976, x2)

La Seu d’Urgell : 1 fois ville-étape (1987)

Les : 1 fois ville-étape (1983)

Lleida : 34 fois ville-étape (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1955, x2) (1959, x2) (1963, x2) (1964, x2) (1965, x2) (1966, x2) (1967, x2) (1968, x2) (1982) (1986) (1989, x2) (1993) (2010) (2012) (2015) (2018, x2)

Pla de Beret : 6 fois arrivée d’étape (1991) (1992) (1995) (1999) (2003) (2008)

Salardu : 1 fois ville-étape (1995)

San Miguel : 1 fois ville-étape (1992)

Sort : 1 fois ville-étape (1999)

Tarrega : 3 fois ville-étape (1956, x2) (1995)

Tremp : 4 fois ville-étape (1975, x2) (1985, x2)

Vielha : 6 fois ville-étape (1980, x2) (1983) (1992) (2003) (2008)

Lugo

A Fonsagrada : 1 fois ville-étape (2006)

Lugo : 8 fois ville-étape (1965, x2) (1982, x2) (1985, x2) (2006) (2016)

Mondonedo : 1 fois ville-étape (2018)

Monforte de Lemos : 1 fois ville-étape (2016)

Palas de Rei : 1 fois ville-étape (2012)

Ribadeo : 6 fois ville-étape (1936, x2) (1947, x2) (1948, x2)

Sarria : 1 fois ville-étape (2011)

Sober : 1 fois ville-étape (2013)

Verin : 5 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (2011)

Viveiro : 2 fois ville-étape (2007) (2016)

Madrid

Alcala de Henares : 10 fois ville-étape (1985, x4) (1995, x3) (1987) (2005) (2015)

Alcobendas : 6 fois ville-étape (1997, x2) (2002) (2003) (2004) (2005)

Alcorcon : 1 fois ville-étape (2018)

Alto de Abantos : 5 fois arrivée d’étape (1999) (2000) (2001) (2003) (2007)

Aranjuez : 2 fois ville-étape (1986) (1993)

Arroyomolinos : 1 fois ville-étape (2017)

Bola del Mundo : 2 fois arrivée d’étape (2010) (2012)

Cercedilla : 2 fois ville-étape (2012) (2015)

Circuito del Jarama (Paracuellos del Jarama) : 3 fois ville-étape (1974, x2) (2011)

Collado Villalba : 13 fois ville-étape (1986) (1987) (1988, x2) (1989) (1990) (1991) (1992) (2002) (2003) (2004) (2007, x2)

Colmenar Viejo : 2 fois ville-étape (1979, x2)

Fuenlabrada : 5 fois ville-étape (1992, x2) (1998, x2) (1999)

Getafe : 1 fois ville-étape (1996)

Las Rozas : 7 fois ville-étape (1988) (1999) (2003, x2) (2008, x2) (2016)

Leganes : 2 fois ville-étape (1986) (2013)

Madrid : 119 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1847, x2) (1948, x4) (1950, x2) (1955, x2) (1956, x2) (1957, x4) (1958, x3) (1959, x3) (1960, x4) (1961, x4) (1962, x2) (1963, x3) (1964, x3) (1965, x2) (1966, x4) (1967) (1968, x2) (1969, x2) (1970, x2) (1971, x3) (1974, x2) (1979, x2) (1980, x2) (1981, x2) (1982, x2) (1983) (1984) (1987) (1988) (1989) (1990) (1991) (1992) (1993) (1994) (1995) (1996, x2) (1997, x2) (1998, x2) (1999, x2) (2000, x2) (2001, x2) (2002) (2003, x2) (2004, x2) (2005, x2) (2006, x2) (2007) (2008) (2009) (2010) (2011) (2012) (2013) (2015) (2016) (2017) (2018)

Puerto de Navacerrada : 5 fois arrivée d’étape (1982) (1993) (1998) (2004) (2008)

Rivas Vaciamadrid : 4 fois ville-étape (2006, x2) (2007) (2009)

San Fernando de Henares : 2 fois ville-étape (1982, x2)

San Lorenzo de El Escorial : 4 fois ville-étape (1999) (2003) (2011) (2015)

San Martin de Valdeigleisias : 3 fois ville-étape (2002) (2005) (2010)

San Sebastian de los Reyes : 2 fois ville-étape (2008) (2010)

Torrejon de Ardoz : 8 fois ville-étape (1978, x2) (1981, x2) (1984, x4)

Torrelaguna : 1 fois ville-étape (1978)

Torrelodones : 1 fois ville-étape (1986)

Malaga

Alhaurin de la Torre : 2 fois ville-étape (2015) (2018)

Antequera : 2 fois ville-étape (2013) (2017)

Benalmadena : 3 fois ville-étape (1986, x2) (2014)

Caminito del Rey : 2 fois arrivée d’étape (2015) (2018)

Coin : 1 fois ville-étape (2017)

Estepona (+ Alto de Penas Blancas) : 8 fois ville-étape (1976, x5) (1998) (2013) (2015)

Fuengirola : 8 fois ville-étape (1970, x2) (1972, x3) (1974) (1975, x2)

Malaga : 31 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1950, x2) (1962, x2) (1975) (1984, x2) (1996, x2) (1997, x2) (1998) (2000, x3) (2002, x2) (2004, x2) (2006, x3) (2010, x2) (2015) (2018, x2)

Marbella : 11 fois ville-étape (1974) (1975, x2) (1995, x2) (1996, x2) (2010, x2) (2015) (2018)

Mijas : 2 fois ville-étape (2015) (2018)

Puerto Banus : 1 fois ville-étape (2015)

Ronda : 1 fois ville-étape (2014)

Murcia

Aguilas : 5 fois ville-étape (1971, x2) (1975, x2) (2002)

Caravaca de la Cruz : 4 fois ville-étape (2004) (2009) (2010) (2017)

Cartagena : 5 fois ville-étape (1962) (1976, x4)

El Pozo Alimentacion : 1 fois ville-étape (2017)

La Manga : 7 fois ville-étape (1966, x2) (1977, x2) (1980, x3)

Lorca : 6 fois ville-étape (1950, x2) (1970, x2) (2010) (2017)

Puerto Lumbreras : 4 fois ville-étape (1979, x2) (2007) (2018)

San Javier Mar Menor : 1 fois ville-étape (2018)

Torre Pacheco : 1 fois ville-étape (2007)

Totana : 1 fois ville-étape (2011)

Navarra

Circuito de Navarra : 1 fois ville-étape (2017)

Cordovilla : 2 fois ville-étape (1977, x2)

Irache (Complejo Turistico) : 4 fois ville-étape (1973, x2) (1975, x2)

Monasterio de Leyre : 1 fois ville-étape (1980)

Pamplona : 47 fois ville-étape (1947, x2) (1950, x2) (1955, x2) (1956, x2) (1958, x2) (1959, x2) (1960, x2) (1961, x2) (1962, x2) (1963, x2) (1964, x2) (1965, x2) (1966, x2) (1967, x2) (1968, x2) (1969) (1971, x2) (1976) (1979, x2) (1987) (1990, x2) (1992, x2) (1994, x2) (2012, x3) (2014)

Sangüesa : 1 fois ville-étape (1972)

Santuario de San Miguel de Aralar : 1 fois arrivée d’étape (2014)

Tudela : 3 fois ville-étape (1950, x2) (1993)

Urdax-Dantxarinea : 2 fois ville-étape (2016, x2)

Viana : 1 fois ville-étape (2012)

Ourense

A Gudina : 1 fois ville-étape (1993)

Allariz : 1 fois ville-étape (2007)

Estacion de Montana Manzaneda : 1 fois arrivée d’étape (2011)

Luintra : 2 fois ville-étape (2016) (2018)

Maceda : 1 fois ville-étape (2016)

Ourense : 19 fois ville-étape (1947, x2) (1948, x2) (1960, x2) (1967, x2) (1980, x2) (1985, x2) (1989, x2) (1993) (1995, x2) (2016, x2)

Parco Nacional Castrelo de Mino : 1 fois ville-étape (2016)

Santo Esteveo de Ribas de Sil : 1 fois ville-étape (2014)

Verin : 5 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (2011)

Palencia

Aguilar de Campoo : 3 fois ville-étape (1983) (1985) (2012)

Palencia : 11 fois ville-étape (1958, x2) (1961, x2) (1965, x2) (1968) (1976, x2) (1986) (2011)

Palmas

Las Palmas de Gran Canaria : 2 fois ville-étape (1988, x2)

Pontevedra

A Estrada : 2 fois ville-étape (2013) (2014)

Alto do Monte da Graba (Baiona) : 1 fois arrivée d’étape (2013)

Baiona : 1 fois ville-étape (2016)

Cambados : 1 fois ville-étape (2012)

Cangas do Morrazo : 1 fois ville-étape (2014)

Marin : 1 fois ville-étape (2016)

Mirador de Lobeira : 1 fois arrivée d’étape (2013)

Monte Castrove : 1 fois arrivée d’étape (2014)

Ponteareas : 3 fois ville-étape (1987) (2011) (2012)

Pontevedra : 7 fois ville-étape (1965) (1965) (1980, x2) (2011) (2012) (2013)

Salvaterra do Mino : 1 fois ville-étape (2014)

Sanxenxo : 2 fois ville-étape (2012) (2013)

Vigo : 27 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1947, x2) (1960, x2) (1965, x2) (1967, x4) (1980, x2) (1987) (1989, x3) (1993, x2) (2007, x2) (2013)

Vilagarcia de Arousa : 1 fois ville-étape (2012)

Villanova de Arousa : 1 fois ville-étape (2013)

Rioja (La)

Calahorra : 3 fois ville-étape (2007) (2008) (2013)

Ezcaray : 3 fois ville-étape (1989) (1990) (1991)

Faustino V : 1 fois ville-étape (2011)

Haro : 6 fois ville-étape (1966, x2) (1979) (1986) (1989) (2011)

Logroño : 37 fois ville-étape (1941, x2) (1960, x2) (1962, x2) (1966, x2) (1967) (1976, x2) (1978, x2) (1979) (1980, x2) (1982, x2) (1983, x2) (1985, x2) (1986) (1988) (1990) (1995) (1996) (2001) (2005) (2007) (2012, x2) (2014, x2) (2017)

Najera : 1 fois ville-étape (1990)

Rincon de Soto : 1 fois ville-étape (2010)

San Asensio : 1 fois ville-étape (1995)

Santo Domingo de la Calzada : 3 fois ville-étape (1991) (1993) (1994)

Valdezcaray : 9 fois arrivée d’étape (1988) (1989) (1991) (1993) (1994) (1996) (2001) (2012)

Salamanca

Bejar : 10 fois ville-étape (1946, x2) (1988, x2) (1989, x2) (1999) (2000) (2002) (2004)

Ciudad Rodrigo : 2 fois ville-étape (1999) (2000)

Guijuelo : 2 fois ville-étape (1990) (2013)

La Covatilla : 5 fois arrivée d’étape (2002) (2004) (2006) (2011) (2018)

Penaranda de Bracamonte : 1 fois ville-étape (1990)

Salamanca : 43 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1867, x2) (1981, x2) (1983, x2) (1985) (1992, x2) (1993, x2) (1994, x2) (1995, x3) (1996) (1998) (1999, x4) (2000, x2) (2001, x3) (2002, x2) (2010) (2011) (2018)

Santa Cruz de Tenerife

San Cristobal de la Laguna : 1 fois ville-étape (1988)

Santa Cruz de Tenerife : 3 fois ville-étape (1988, x3)

Segovia

El Espinar : 1 fois ville-étape (2005)

La Granja de San Ildefonso : 3 fois ville-étape (2005) (2008) (2009)

La Lastrilla : 1 fois ville-étape (2012)

Los Angeles de San Rafael : 9 fois ville-étape (1974, x4) (1980, x2) (1981) (1997, x2)

Palazuelos de Eresma : 30 fois ville-étape (1982, x2) (1983, x2) (1984, x2) (1985, x2) (1986, x2) (1987, x2) (1988) (1989, x2) (1990, x2) (1991, x2) (1992, x2) (1993) (1994, x3) (1995) (1996, x2) (2012)

Segovia : 12 fois ville-étape (1948, x2) (1971, x2) (1981, x2) (1994) (1996) (1998, x2) (2002) (2008)

Villacastin : 1 fois ville-étape (2011)

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:09

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.Sevilla > Zamora + Etranger

Sevilla

Alcala de Guadaira : 2 fois ville-étape (2010) (2015)

Alcala del Rio : 1 fois ville-étape (1988)

Ecija : 2 fois ville-étape (1981) (2017)

Mairena del Alcor : 1 fois ville-étape (2014)

Mairena del Aljarafe : 1 fois ville-étape (2013)

Sevilla : 23 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1950, x2) (1959, x2) (1974, x2) (1979, x2) (1981) (1995, x2) (2010, x2)

Tomares : 1 fois ville-étape (2017)

Soria

Soria : 15 fois ville-étape (1958, x2) (1970, x2) (1983, x2) (1984, x2) (1998, x2) (2003) (2004, x2)

Tarragona

Calafell : 4 fois ville-étape (1973, x2) (1978, x2)

La Senia : 2 fois ville-étape (1993) (1999)

Reus : 4 fois ville-étape (1969, x2) (1979, x2)

Salou : 16 fois ville-étape (1964, x2) (1965, x2) (1968, x2) (1971, x2) (1977, x2) (1982) (1984, x2) (1987) (2000) (2001)

Sant Carles de la Rapita : 2 fois ville-étape (1983, x2)

Tarragona : 28 fois ville-étape (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1947, x2) (1950, x2) (1956, x2) (1958, x2) (1963, x2) (1970, x2) (1972, x2) (2000, x2) (2001) (2005) (2009) (2010) (2013) (2017)

Tortosa : 22 fois ville-étape (1935, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1948, x2) (1955, x2) (1957, x2) (1959, x2) (1961, x2) (1962, x2) (1977, x2) (1978, x2)

Valls : 1 fois ville-étape (2013)

Teruel

Alcaniz : 2 fois ville-étape (2012) (2016)

Aramon Valdelinares : 1 fois ville-étape (2014)

Bronchales : 1 fois ville-étape (1999)

Teruel : 8 fois ville-étape (1973, x2) (1977, x2) (1983, x2) (1999) (2005)

Valdelinares : 1 fois arrivée d’étape (2005)

Toledo

Talavera de la Reina : 11 fois ville-étape (1950, x2) (1969, x2) (2007, x2) (2009, x2) (2011, x2) (2018)

Toledo : 13 fois ville-étape (1958, x2) (1959) (1974, x2) (1988, x2) (1989, x2) (2008) (2009, x2) (1010)

Valencia

Algemesi : 2 fois ville-étape (2007, x2)

Almussafes : 8 fois ville-étape (1981, x2) (1983, x3) (2004, x2) (2006)

Alzira : 1 fois ville-étape (2009)

Antella : 2 fois ville-étape (1982, x2)

Cullera : 2 fois ville-étape (1980, x2)

El Saler : 4 fois ville-étape (1972, x3) (1977)

Gandia : 7 fois ville-étape (1972, x2) (1989, x2) (1992, x2) (2016)

La Pobla de Farnals : 8 fois ville-étape (1971, x2) (1973, x4) (1975, x2)

Requena : 1 fois ville-étape (2016)

Sagunto : 3 fois ville-étape (1965, x2) (2017)

Sedavi : 2 fois ville-étape (1979, x2)

Utiel : 1 fois ville-étape (2013)

Valencia : 65 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1955, x2) (1956, x2) (1957, x2) (1958, x2) (1961, x2) (1962, x2) (1963) (1966) (1967, x2) (1968, x2) (1972) (1977) (1984, x2) (1985) (1987, x4) (1988) (1991) (1993, x2) (1994) (1995) (1996, x3) (1998) (1999, x2) (2000, x2) (2001) (2002, x3) (2004) (2009, x2) (2015)

Xativa : 2 fois ville-étape (2004) (2009)

Valladolid

Medina del Campo : 2 fois ville-étape (1989) (2015)

Penafiel : 3 fois ville-étape (2010, x2) (2012)

Valladolid : 69 fois ville-étape (1935, x2) (1941, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1950, x2) (1955, x2) (1956, x2) (1957, x2) (1961, x2) (1962, x2) (1964, x2) (1970, x2) (1974, x2) (1978, x2) (1979, x4) (1980) (1983, x4) (1984, x2) (1985, x3) (1986, x3) (1987, x3) (1988, x2) (1989, x2) (1991, x3) (1994, x3) (1997, x2) (2001, x2) (2005) (2008, x2) (2010) (2012)

Villalon de Campos : 1 fois ville-étape (1968)

Vizcaya

Alto de Urkiola : 2 fois arrivée d’étape (1975) (1977)

Balcon de Bizkaia (Monte Oiz) : 1 fois arrivée d’étape (2018)

Barakaldo : 1 fois ville-étape (2012)

Bilbao : 73 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1941, x2) (1942, x2) (1945, x2) (1946, x2) (1947, x2) (1948, x2) (1950, x2) (1955, x4) (1956, x4) (1957, x2) (1958, x3) (1959, x3) (1960, x3) (1961, x3) (1962) (1963, x3) (1964, x2) (1965) (1966) (1967) (1968) (1969) (1970) (1971, x4) (1972, x2) (1973, x2) (1974, x2) (1975, x2) (1976) (1977, x2) (1978, x2) (2011, x2) (2016, x2)

Durango : 2 fois ville-étape (1975) (1977)

Galdakao : 1 fois ville-étape (1976)

Gernika : 2 fois ville-étape (1960, x2)

Getxo : 1 fois ville-étape (2018)

Zamora

Benavente : 3 fois ville-étape (1996) (2000) (2002)

Fermoselle : 1 fois ville-étape (2018)

Lago de Sanabria : 1 fois ville-étape (2013)

Mombuey : 1 fois ville-étape (2018)

Puebla de Sanabria : 1 fois ville-étape (2016)

Villalpando : 1 fois ville-étape (2016)

Zamora : 12 fois ville-étape (1935, x2) (1936, x2) (1960, x2) (1985, x2) (1995) (2006) (2008, x2)




Andorra

Andorra : 6 fois « ville »-étape (1965, x2) (1967) (2001) (2012) (2013)

Andorra La Vella : 14 fois ville-étape (1967) (1985, x2) (1988) (1991, x2) (1994) (1998) (1999) (2003) (2005) (2010) (2015) (2017)

Coll de la Rabassa : 2 fois arrivée d’étape (2008) (2018)

Collada de la Gallina : 3 fois arrivée d’étape (2012) (2013) (2018)

Cortals d’Encamp : 1 fois arrivée d’étape (2015)

Escaldes Engordany : 3 fois ville-étape (1985) (2008) (2017)

Grau Roig : 1 fois ville-étape (1987)

Ordino : 1 fois ville-étape (2001)

Ordino-Arcalis : 3 fois arrivée d’étape (1994) (1999) (2001)

Pal : 4 fois arrivée d’étape (1985) (1998) (2001) (2010)

Port d’Envalira : 1 fois arrivée d’étape (2003)

Vallnord : 1 fois arrivée d’étape (2007)

Belgica

Lieja : 1 fois ville-étape (2009)

Francia

Aubisque-Gourette : 1 fois arrivée d’étape (2016)

Bayona : 12 fois ville-étape (1955, x2) (1956, x2) (1957, x2) (1961, x2) (1962, x2) (1965, x2)

Cauterets : 2 fois ville-étape (2003, x2)

Gruissan : 1 fois ville-étape (2017)

Luz Ardiden : 2 fois arrivée d’étape (1992) (1995)

Luz Saint-Sauveur : 2 fois ville-étape (1992) (1995)

Nîmes : 3 fois ville-étape (2017, x3)

Peyragudes : 1 fois arrivée d’étape (2013)

Prades : 1 fois ville-étape (2017)

Holanda

Assen : 3 fois ville-étape (2009, x3)

Emmen : 1 fois ville-étape (2009)

Venlo : 2 fois ville-étape (2009, x2)

Zutphen : 1 fois ville-étape (2009)

Portugal

Estoril : 1 fois ville-étape (1997)

Evora : 1 fois ville-étape (1997)

Lisboa : 1 fois ville-étape (1997)

Loulé : 1 fois ville-étape (1997)

Vilamoura : 1 fois ville-étape (1997)

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Re: [2.WT] Vuelta a Espana (24/08-15/09) - Pré-Vuelta

Messagepar Bad_Neos » 11 Aoû 2019, 19:09

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QUESTIONNAIRE VUELTA 2019


J'ai complètement oublié ses derniers jours, vous aurez donc jusqu'au 25/08 à 12h20 pour m'envoyer les questionnaires (désolé, ça fait peu de temps), et ce par MP. Préférentiellement, essayer de mettre vos réponses en gras, c'est plus facile pour moi. Comme pour le Tour de France, le principe est simple, la bonne réponse donne 1 point, la mauvaise réponse ne donne aucun point. Le questionnaire est constitué de 100 questions, subdivisées en 3 parties. Vous pouvez parfaitement ne rendre qu'un seul questionnaire si vous ne voulez/n'avez pas le temps de participer à tous. Si vous avez des doutes sur certaines questions, envoyez moi un MP, mais dans un message différent. Bonne Vuelta !


QUESTIONNAIRE "GENERAL"


1. Miguel Angel Lopez sera-t-il mieux classé que l’an passé au général ?

2. Combien d’étapes Primoz Roglic va-t-il remporter (CLM/E exclus) ?

3. Fernando Gaviria gagnera-t-il plus d’étapes que Sam Bennett ?

4. Combien de top 5 d’étape pour Clément Venturini ?

5. Quelles seront les places au général des trois meilleurs coureurs Movistar ?

6. Quelle équipe remportera le classement par équipe ?

7. Ag2r la mondiale devant Groupama-Fdj au classement par équipe ?

8. Combien de top 10 pour Kylian Frankiny sur une arrivée au sommet ?

9. Combien de top 5 pour Marc Sarreau sur une arrivée au sprint ?

10. Geoffrey Bouchard sera-t-il dans le top 30 du général ?

11. Combien d’espagnols de la Astana seront dans les 50 premiers du général ?

12. Combien de coureurs Movistar dans l’échappée sur la 20e étape ?

13. Combien d’échappées prendront les coureurs de la Dimension Data ?

14. Qui, entre Ben O’Connor et Louis Meintjes, aura le meilleur général ?

15. Mark Padun dans le top 10 du général ?

16. Hermann Pernsteiner top 5 sur l’étape de la Cubilla ?

17. Dylan Teuns dans l’échappée matinale vers l’Alto de Javalambre ?

18. Qui de Felix Grossschartner ou Gregor Mühlberger aura un meilleur classement général ?

19. Combien de fois Davide Formolo terminera-t-il devant Rafal Majka sur une étape (CLM/E exclus) ?

20. Quelle sera la place du meilleur CCC au général ?

21. Patrick Bevin va-t-il remporter une étape ?

22. Qui de Jonas Koch ou Szymon Sajnok fera le meilleur place sur un sprint ?

23. Philippe Gilbert va-t-il remporter plusieurs étapes ?

24. Rémi Cavagna va-t-il terminer la Vuelta ?

25. James Knox aura-t-il un meilleur classement général que Hugh Carthy ?

26. Hugh Carthy aura-t-il un meilleur classement général que Tao Geoghegan Hart ?

27. Wouter Poels dans le top 10 du général à Madrid ?

28. Daniel Felipe Martinez va-t-il s’imposer sur une étape ?

29. Tejay Van Garderen aura-t-il abandonné avant le soir du chrono de Pau ?

30. Qui de Tobias Ludvigsson ou Benjamin Thomas aura la meilleur place sur le chrono de Pau ?

31. Quel coureur de la Lotto-Soudal obtiendra la meilleure place toute étapes confondues (CLM/E exclus) ?

32. Tsgabu Grmay dans le top 25 au général ?

33. Esteban Chaves aura-t-il un meilleur général que Mikel Nieve ?

34. Dion Smith terminera-t-il devant Esteban Chaves sur au moins une étape de montagne ?

35. Ben King va-t-il remporter au moins une étape ?

36. Combien de fois Rasmus Tiller terminera-t-il devant Edvald Boasson Hagen sur une étape (CLM/E exclus) ?

37. Amanuel Ghebreigzabhier fera t-il un meilleur général que l’an passé ?

38. David de la Cruz va-t-il terminer la Vuelta ?

39. Quelles seront les places de Roglic, G.Bennett et Kruijswijk au général à Madrid ?

40. Neilson Powless ferat-il une meilleure place que Tony Martin sur le chrono de Pau ?

41. Combien de Katusha dans l’échappée sur l’étape d’Ares del Maestrat ?

42. Matteo Fabbro et Steff Cras auront-ils un meilleur classement général que Dani Navarro ?

43. Nicolas Roche top 20 au général ?

44. Wilco Kelderman dans l’échappée lors de l’étape andorrane ?

45. Qui de Robert Powert ou Michael Storer aura la meilleure place d’étape (CLM/E exclus) ?

46. Jacopo Mosca dans le top 100 d’une ou plusieurs étapes (CLM/E exclus) ?

47. Niklas Eg devant Gianluca Brambilla sur l’étape de l’Acebo ?

48. Combien de top 10 d’étape pour Tadej Pogacar (CLM/E exclus)?

49. Fabio Aru dans le top 10 du général ?

50. Combien de top 10 d’étape pour les hors-européens ?


QUESTIONNAIRE "CONTI PRO"


1. Combien d’échappées pour les Burgos-BH ?

2. Qui de Jesper Hansen ou Mikel Bizkarra aura le meilleur classement général ?

3. Quelle sera la place du meilleur Conti Pro sur le chrono de Pau ?

4. Burgos-BH obtiendra-t-elle un top 5 ? (étapes, annexes, général)

5. Combien de Top 10 pour Burgos-BH ?

6. Jetse Bol finira-t-il devant Luis Angel Maté sur l’étape de Javalambre ?

7. Jesper Hansen terminera-t-il à moins d’une heure du vainqueur au général ?

8. Qui de Cyril Barthe ou Sergio Samitier fera la meilleure place sur une étape ?

9. Combien de Top 10 d’étape pour Damien Touzé ?

10. Combien de membres de la Caja Rural prendront au moins une échappée ?

11. Qui de Jorge Cubero ou Oscar Cabedo aura le meilleur général ?

12. Nuno Bico sera-t-il dans les 10 derniers du général au terme des 21 étapes ?

13. Jon Aberasturi aura-t-il un top 5 d’étape ?

14. Nuno Bico va-t-il terminer dans le top 100 d’une étape ou plus ?

15. Cristian Rodriguez top 20 sur l’étape de la Cubilla ?

16. Qui de Jésus Herrada ou Nicolas Edet aura le meilleur général ?

17. Combien de fois José Herrada terminera-t-il une étape devant Jésus Herrada ? (CLM/E exclus)

18. Top 10 de Fernando Barcelo sur une arrivée au sommet ?

19. Mikel Bizkarra sera-t-il top 20 au général ?

20. Darwin Atapuma passera t-il en tête d’un col (2C, 1C, Especial) ?

21. Cofidis va-t-elle remporter une étape ?

22. Combien de top 10 d’étape pour Cofidis ?

23. A combien terminera la Burgos-BH ?

24. L’Euskadi-Murias sera-t-elle au complet à Madrid ?

25. Sergei Chernetski sera-t-il dans le top 50 au général ?

26. Quelle sera la place du meilleur Burgos-BH au général ?

27. Quel coureur de Continental Pro aura le meilleur classement général après trois semaines de course ?

28. Dans quelle équipe de Continental Pro y aura t-il le meilleur classement général d'un coureur ?

29. Combien de coureurs de Conti Pro dans les 30 derniers au général ?

30. Nicolas Edet fera-t-il top 3 du classement du meilleur grimpeur ?


QUESTIONNAIRE "FORUM & AUTRES


1. Combien de coureurs Cofidis va-t-elle officialiser pendant la Vuelta ?

2. Sur quelle étape/jour Mayoj va-t-il écrire le plus de messages ?

3. Trifon_Ivanov va-t-il être banni durant la Vuelta ?

4. Combien d’inscriptions auront lieu sur le forum entre le 25/08 et le 15/09 ?

5. Quel jour Mayoj dépassera t-il les 60 000 messages postés ?

6. Combien de fois Coxo va-t-il citer Meintjes durant la Vuelta ?

7. Le transfert de Nairo Quintana sera-t-il officialisé avant la première journée de repos ?

8. Vital-Concept va-t-elle recruter un coureur qui participe à cette Vuelta ?

9. Combien de fois Orodreth va-t-il écrire Higuita entre le 25/08 et le 01/09 ?

10. Klira va-t-il changer d’avatar durant la Vuelta ?

11. Rbl85 va-t-il rager sur un sprint de Sarreau ?

12. Le Twitter va-t-il dépasser les 35 000 abonnés pendant la Vuelta ?

13. Le Twitter va-t-il dépasser les 60 000 tweets pendant la Vuelta ?

14. Orodreth va-t-il dépasser les 8 000 messages postés avant la fin de la Vuelta ?

15. Combien de messages iront à la corbeille entre le 25/08 et le 15/09 ?

16. La Groupama-Fdj annoncera-t-elle au moins un transfert durant la Vuelta ?

17. Dicaprio va-t-il poster plus de 200 messages durant la Vuelta (sur le Topic de la Vuelta ) ?

18. Dans combien de ces messages mentionnera t-il Alaphilippe (Alph’, King…) ?

19. Tyson écrira t-il plus de messages avec « Quintana » ou avec « Chaves » ?

20. Combien de fois une blague de Coluterus, dans le topic de la Vuelta, sera-t-elle citée par un autre forumeur ?

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Bad_Neos
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