Des déserts d'Israël jusqu’aux confins de la vallée d’Aoste, l’histoire avait tout pour être belle. Elle avait même pris son envol un peu plus tôt, jusqu’à Innsbruck, ville d’arrivée de l’ancien Tour du Trentin, qui sacra roi le Franc-Comtois. Une victoire au général, acquise à la pédale et qui impressionna les observateurs, tant le leader de la Groupama-FDJ agit en patron du peloton sur cette course : « Finalement, heureusement que j'ai remporté le Tour des Alpes, j'étais dans les clous et cela a montré que ma préparation était bonne. Même si ça n’était que le Tour des Alpes, c'est toujours important de gagner ». Une chose était sûre, au sortir de cette compétition : Thibaut Pinot était bel et bien prêt à en découdre face à Froome, Dumoulin et consorts.
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