
Le rôle d’équipier est parfois ingrat. Alors que certains coureurs ont le luxe de pouvoir s’offrir une apogée à la hauteur de leur stature, tel un Contador faisant de la Vuelta son ultime terrain de jeu fantasque, d’autres n’ont pas cette chance et doivent se contenter d’un dernier coup de pédale, dans l'anonymat d’une manche de Coupe de France, loin de la grandeur des foules. C’est à cet inéluctable sort que s'est confronté, en 2017, Cédric Pineau, coéquipier de l’ombre de la FDJ.
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