Schleckpower a écrit:Cette équipe que t'as mise face aux autres... c'est indécent
Pourtant y'a de la concurrence en face, même s'ils sont éparpillés dans les équipes
Pink Panda a écrit:Respecte tes adversaires un peu.. L'équipe bis bis c'est suffisant pour cette course Belle victoire
Respecter son adversaire, c'est jouer la victoire dans toutes les situations
Felagund a écrit:
Le seul évènement marquant des trois premiers quarts de course est la chute de Boasson Hagen à 80kms de l’arrivée. Le norvégien est très vite ramené dans le peloton par toute son équipe.
T'aurais pas une photo de lui tenant un bidon ?
Si, mais je la réserve pour quand il gagnera une course
Warren Barguil a écrit:Belle victoire avec Hathaway
Merci ! Pourtant je pensais vraiment qu'il serait trop juste avec son -4 J'ai pris le risque de me laisser rétrograder dans la bosse en espérant pour lui que ça revienne ensuite, et ça a payé Bon, si ça ne revenait pas, j'en avais quand même 3 à l'avant
Après Copenhague, Valkenburg et Florence, le cyclisme poursuit son tour d’Europe. Il pose ses valises à Ponferrada cette année. Avant le titre suprême dimanche, on commence par l’épreuve chronométrée qui s’annonce très ouverte cette année. Le profil est en effet atypique, avec une portion plate de 30 kms suivie d’un col de 8 kms dont les premiers sont à 8% de moyenne. Il faudra bien gérer son effort ; les meilleurs rouleurs ne s’imposeront peut-être pas. Le favori reste tout de même Tony Martin, qu’on a vu en forme sur les classiques et qui se débrouille dans les pourcentages pas trop élevés. Cancellara et Boasson Hagen, médaillés l’an dernier, restent des références bien que leur forme soit apparue en dents de scie ces dernières semaines. Impressionnants sur la Vuelta, Coppel et Fuglsang peuvent aussi tirer parti de la montée finale. Wiggins présente aussi le profil parfait mais n’a pas brillé depuis le Tour, loin de là. Enfin, les équipes américaines, néerlandaises et australiennes se disent ambitieuses. Les jeunes Kelderman et Durbridge comptent bien grimper dans la hiérarchie sur leur objectif de la saison. Les USA présentent quant à eux deux cartes avec van Garderen voire Talansky. Ce dernier a remporté ses deux seules victoires cette année sur des chronos en côte (Giro et tour de Californie). Le profil n’est pas complètement identique, à voir comment Talansky pourra gérer cet effort. On notera trois principaux absents. Nibali préfère se réserver pour la course en ligne. Contador, pourtant champion en 2012, est dans la même situation. Quant à Froome, il devait participer mais, malade, a dû renoncer ce matin.
Ovechkin ouvre le portillon devant Malori, Devolder et Roy. En 4 départs, voilà déjà 4 champions nationaux ! Mieux parti, Ovechkin continue de creuser dans la montée pour signer le temps de référence. Ses intermédiaires sont seulement menacés par son compatriote Kritskiy, mais sa performance globale ne tient pas jusque-là. Nettement en retard, Kruijswijk est dans son élément dans le col. Il finit fort et prend la tête pour 1’10’’ ! Le néerlandais a établi la première marque sérieuse. Kritskiy s’approche d’abord à moins d’une minute. Puis De Gendt monte aussi sur le podium à 51’’ mais il aurait pu espérer mieux au sommet de sa forme. Dans la foulée, on attend van Garderen, nettement devant aux intermédiaires. L’américain perd aussi du temps sur Kruijswijk dans la montée mais conserve quelques centièmes sur la ligne ! Pas le temps de savourer cependant, car les regards sont déjà porté sur Durbridge. Pas loin de monter sur le podium, il est de nouveau parti fort en ayant une minute d’avance sur van Garderen après 30 kms. Il lui faut maintenant résister dans la portion défavorable. Il perd logiquement près de 40 secondes sur van Garderen mais c’est tout de même une belle montée pour lui, suffisante pour garder la tête pour 28 secondes ! Il va falloir aller le chercher.
Pourtant ce chrono est de suite battu. Comme Kruijswijk, Gesink a fini fort. Quand on est dans les tous meilleurs grimpeurs du monde, c’est de suite plus facile. Toujours est-il que le néerlandais crée un gouffre sur ses poursuivants : 48 secondes ! Wiggins souffre de la comparaison. On l’avait présenté à court de forme, il confirme cette impression en n’accrochant même pas le top 10 provisoire. Il est par exemple derrière Gusev, au niveau comme tous les russes. Puis Talansky en termine. Parti dans les chronos de van Garderen, il reprend cette fois plus d’une minute à Durbridge dans la montée. Il signe ainsi le 2e chrono à 38 secondes de Gesink. S’en suit alors une période plus calme en attendant les leaders de chaque nation. Le fond du top 10 est seulement troublé par Uran. Le prochain concurrent sérieux est italien, vainqueur du chrono de Tirreno cette année. Du même profil que Durbridge, Boaro profite de la portion plane pour créer des écarts. Il possède même une vingtaine de secondes d’avance sur l’australien au dernier intermédiaire. Mais il a surestimé ses capacités. Boaro s’écrase dans la côte pour échouer au pied du podium à plus d’une minute de Gesink. Vandewalle, Kwiatkowski ou encore Velits ne sont quant à eux pas du tout dans le coup.
Après sa Vuelta, on attendait beaucoup de Fuglsang mais pouvait-t-il surmonter sa déception ? Le danois n’est finalement pas aussi à l’aise que les semaines passées mais il signe tout de même le 4e chrono à 57’’ du leader. Comme les autres grimpeurs, il a effectué un gros retour dans le col. C’est le contraire pour Phinney. Déjà pas auteur d’un départ exceptionnel, il ne sera pas dans les 20 premiers ce soir. Puis Coppel en termine. Devant Fuglsang aux intermédiaires, il termine moins bien et échoue finalement à 10 secondes du danois, quelques centièmes derrière Boaro. Le trio Gesink-Talansky-Durbridge reste indéboulonnable et ce n’est pas Brajkovic qui va changer les choses malgré un top 10 provisoire. Puis Richie Porte finit logiquement assez fort, mais pas assez pour monter sur le podium. Il échoue en effet à deux petites secondes de son compatriote. Kelderman a quant à lui pu se baser sur les temps de Gesink. En avance sur son habituel leader aux intermédiaires, il donne tout et jette son vélo sur la ligne. Bien lui en a pris, car il passe devant pour quelques centièmes ! Avec seulement 4 concurrents à venir, ça sent la médaille. Boasson Hagen ne l’inquiète pas. Il confirme que la forme décline depuis août avec un mauvais 13e chrono. Il terminera 16e après les arrivées de Sánchez, Cancellara et Martin. Boosté par les performances des Rabobank, LuisLe signe la meilleure performance de sa carrière sur un championnat du monde. Ce n’est cependant pas suffisant pour rentrer dans le top 5, il s’intercale ente Porte et Fuglsang et offre sa première médaille internationale à Kelderman. Reste les deux maîtres de la discipline entre lesquels il n’y a finalement pas photo. En effet, Cancellara s’est fait humilier par un Tony Martin qui l’a doublé à deux kms du but. Dépité, Spartacus coupe la ligne à 1’33’’ de Kelderman et Gesink. Les départs étant espacés de deux minutes, les plus attentifs auront compris que Tony Martin est le plus fort aujourd’hui. Il bat les néerlandais de 31 secondes et va chercher sa troisième couronne mondiale ! Talansky est éjecté du podium sur le fil mais a prouvé sa bonne forme en vue de dimanche, comme Gesink et Martin.
Ah j'ai eu ce profil sur ma carrière moi c'est les rouleurs grimpeurs qui ont tout explosé avec Porte gagnant, Martin et Durbridge font très fort donc .
Pink Panda a écrit:Avec ce profil, j'ai vraiment cru au Champion du Monde cramoisi, mais au final, logique bien respectée
Moi aussi j'y ai cru, mais au final, logique bien respectée
Schleckpower a écrit:Ah, ce profil de Ponferrada...
Felagund a écrit:Malgré les efforts de l'IA avec un chrono en côte, tu n'as pas gagné, dommage !
Pas tout à fait en côte. Plat+côte, c'est censé être encore mieux
Horse a écrit:Ah j'ai eu ce profil sur ma carrière moi c'est les rouleurs grimpeurs qui ont tout explosé avec Porte gagnant, Martin et Durbridge font très fort donc .
Après, Martin a quand même 73 MO (59 pour Durbridge). Mais les 2 sont très en forme, oui Quand on voit les classiques qu'il a fait cet automne, Martin peut espérer le doublé ITT/RR
Phil a écrit:Dommage pour Kelderman.
Il donne quoi Tom Dumoulin dans ta partie ?
Il progresse dans la hiérarchie. L'année prochaine sera la bonne Dumoulin, comme Kristoff d'ailleurs, ne ferait rien du tout si je n'augmentais pas régulièrement ses notes. Là il devrait commencer à faire des tops 5 sur des chronos l'an prochain.
Gesink la machine, il aurait mieux fait de sortir ça sur le Tour non ? Enfin ces deux médailles sentent déjà très bons, j'ai hâte de voir la course en ligne. Sagan est double tenant du titre ou juste simple? Petit oubli sur le moment, mais c'est l'homme à battre... surtout que cette course te résiste il me semble
LeSuisse a écrit:Gesink la machine, il aurait mieux fait de sortir ça sur le Tour non ? Enfin ces deux médailles sentent déjà très bons, j'ai hâte de voir la course en ligne. Sagan est double tenant du titre ou juste simple? Petit oubli sur le moment, mais c'est l'homme à battre... surtout que cette course te résiste il me semble
Sur le Tour, le chrono était plat Pour ta question, je te renvoie au premier post de mon récit Mais tu as raison sur un point : elle ne m'a que trop résisté
Okay guys, c'est l'heure de voir si vous suivez bien mon récit
Pour présenter les championnats du monde, je vais présenter les sélections unes à unes, mais sans dévoiler le nom du leader. Vous aurez juste une description de sa saison, etc. Le but est évidemment de découvrir leurs identités avec le minimum d'indices, et si possible avant même la description
niveau de difficulté : facile
Pays-Bas
D’une régularité exemplaire, sur les tours comme sur les classiques, sa saison garde pourtant un goût amer. Ses seules victoires sont des étapes de tours secondaires, le Tour Down Under et le GP de Québec. Et surtout, le néerlandais a échoué à la seconde place de son gros objectif de l’été, le Tour de France. Pour quelques secondes sur un dernier chrono, on aurait donc pu dresser un tout autre bilan. Il s’est remobilisé pour ces mondiaux et pourra compter sur une équipe très solide menée par Mollema, récent second de la Vuelta, Kruijswijk, vainqueur du Giro, ou encore Slagter et Hoogerland. Parmi les stars de l'effectif Rabobank, seul Poels manque à l'appel, ayant mis un terme à sa saison depuis déjà bien longtemps. Notre premier favori vient en plus de prouver son excellente forme en remportant sa première médaille mondiale sur le contre-la-montre ; un exercice qui n’est pourtant pas sa tasse de thé !
lieutenant : Bauke Mollema
Mais aussi : S.Kruijswijk / TJ.Slagter / W.Kelderman / J.Hoogerland / M.De Maar / S.Langeveld / P.Weening
Italie
Cruelle désillusion devant les siens en 2013, à Florence. Il avait échoué au pied du podium, remonté par les belges dans les tous derniers mètres. Il avait alors juré de se venger en Espagne. Promesse renouvelée quand il s’est une nouvelle fois fait battre pour quatre secondes sur le Giro. C’est déjà en partie chose faite grâce à sa victoire sur la Vuelta, mais c’est bien le titre suprême que vise l’habituel leader des Liquigas. Il a fait l’impasse sur un chrono où il avait ses chances, est en forme et dispose en plus d’une belle équipe pour l’épauler. Oscar Gatto a impressionné sur les classiques automnales et aurait pu réclamer un rôle de leader ; il aura celui d’électron libre. À côté, l’Italie aligne des profils similaires de coureurs bons dans les bosses avec des petites pointes de vitesse. Ils peuvent tous profiter des circonstances de course pour se projeter à l’avant, ou au contraire aider grandement leurs leaders dans le peloton.
lieutenant : Oscar Gatto
Mais aussi : G.Brambilla / D.Ulissi / F.Pozzato / F.Felline / S.Ponzi / M.Marcato / S.Pirazzi
Espagne
Devant son public, le leader de la formation ibérique reconnait avoir rarement eu autant de pression. La faute à un début de saison impressionnant qui a fait tourner toutes les têtes, mais aussi une seconde partie plus décevante avec en point d’orgue un Tour de France raté. Il ne sait pas où il en est, mais son sens tactique reste intact et il sera donc tout de même l’espagnol à surveiller. Valverde aurait aussi pu prétendre à ce rôle, mais sa forme pose question. Lui aussi s’est écroulé depuis les Ardennaises et sa Vuelta a été franchement inquiétante. Le troisième larron est Luis León Sánchez. Tout en travaillant pour ses leaders, il a réussi des classiques automnales qui n’étaient pourtant pas à son programme. Et si c’était lui, l’homme en forme de l’Espagne ?
lieutenant : Alejandro Valverde
Mais aussi : LL.Sánchez / C.Barredo / I.Anton / A.Txurruka / JJ.Rojas / A.Madrazo / D.De la Fuente
Belgique
Comment ne pas penser à la Belgique quand on évoque les grands favoris ? Et surtout son leader qui reste sur quatre Liège-Bastogne-Liège d’affilée ; et 8 ardennaises en 4 ans ! Le titre mondial est tout ce qui manque à son immense palmarès. Deuxième l’an dernier, il ne lui reste qu’une marche à gravir… Le wallon a retrouvé le rythme sur la Vuelta où quelques fulgurances ont rappelé son punch dévastateur, malgré une absence de résultat. Il dispose en plus d’une équipe très solide menée par le 3e des derniers mondiaux, rien que ça ! Vanendert a l’habitude de se sacrifier pour son leader mais peut tout à fait viser le titre selon les circonstances de course. Hormis De Clercq, le reste de l’équipe est un mélange de classicmen affirmés ou en devenir. On notera enfin la présence de Van Avermaet. L’homme de la Sky aurait pu prétendre au rôle de leader après sa razzia printanière. Mais le vainqueur du Tour des Flandres avait d’autres préoccupations ces derniers mois. Sur le flanc à cause d’une vilaine blessure, c’est la première fois depuis juin qu’il accroche un dossard et devrait logiquement être à cours de forme.
lieutenant : Jelle Vanendert
Mais aussi : G.Van Avermaet / S.Devolder / N.Nuyens / S.Vanmarcke / B.Hermans / T.Wellens / B.De Clercq
Slovaquie
Quand on est double tenant du titre, on a forcément la pancarte l’année suivante. D’autant quand le parcours correspond bien mieux à ses qualités de puncheur-sprinteur, qu’on a encore gagné de l’expérience, de la régularité, sa première classique avec la Classica San Sebastian, son 2e maillot vert du Tour en autant de participations, et encore fait étalage de sa forme avec plusieurs étapes sur la Vuelta. Ah oui, et le gus n’a que 24 ans. La liste est longue ? Presque autant que les dents du slovaque, qui peut devenir le premier coureur de l’histoire porter la tunique arc-en-ciel trois années consécutives ! Son seul point faible est comme chaque année son équipe, qui l’oblige souvent à se découvrir un peu tôt chez Acqua & Sapone ou en équipe nationale. Bien entouré, il serait quasiment imbattable.
lieutenant : Peter Velits
Mais aussi : M.Velits / S.Homer (MKT)
Allemagne
On connaissait plus l’allemand pour ses qualités de rouleur, mais il a franchi un cap sur les classiques cette année. Habituellement cantonné à des tops 20 sur les Ardennaises – malgré une 7e place sur la Doyenne en 2013 -, il vient d’enchainer trois tops 10 à Plouay, Québec et Montréal. Il semble dans la forme de sa vie, comme le prouve sa nouvelle domination sur l’épreuve chronométrée il y a quelques jours. Il possède en plus une équipe parfaite, avec beaucoup de gars assez solides pour l'épauler mais pas assez pour revendiquer un statut de co-leader. Wegmann est en perte de vitesse, le parcours est un peu trop vallonné pour Degenkolb, Martens a eu une longue saison, et le reste n’a jamais endossé la responsabilité de leader.
lieutenant : Fabian Wegmann
Mais aussi : P.Martens / J.Degenkolb / C.Knees / S.Schumacher / S.Geschke / J.Fröhlinger/ L.Gerdemann
France
Difficile de désigner un favori chez les français, qui empilent des petits leaders pouvant chacun s’illustrer dans des scénarios différents. Anthony Roux a connu deux belles saisons chez Endura Racing. Deux fois 3e du classement continental et 9e à Florence l’an dernier, il passe rarement à côté. Du côté des grimpeurs, Pinot, Coppel et Rolland ont tous prouvé leur forme sur la Vuelta. Vichot l’a fait avec sa 3e place au GP de Montréal. Chavanel a lui terminé 5e du GP de Plouay et a remporté Milan – San Remo au terme d’un numéro solitaire. C’est pourtant celui qui a le moins de résultats récents qui pourrait être désigné leader, s’il ne fallait en retenir qu’un. Ce classicman a été l’un des grands animateurs du dernier tour du GP de Montréal, et n’est pas sorti du top 7 sur les Flandriennes du début de saison. On peut enfin noter qu'aucun Ag2r n'est présent dans cette sélection.
lieutenant : Anthony Roux
Mais aussi : S.Chavanel / P.Rolland / A.Vichot / T.Pinot / A.Jeannesson / J.Coppel / J.Simon
Les logos ! La présentation ! J'aime c'est propre, efficace, beau
Bon sinon facile...
-Le gros nul Gesink, incapable de gagner les vrais courses - Nibali le voleur de GT masqué - Alberto Contador, transparent sur le TdF, ca doit être lui - Gilbert l'over-cheat ? - Peter Sagan, et j'avais juste deux titres alors - Tony Martin ? c'est vrai qu'il est chaud cette saison ! - Mhhhh je dirai Offredo comme flandrien ? Mais pas sûr. Dommage de pas voir le petit Gallopin en tout cas, il était un solide équipier chez Rabo cette saison :')
LeSuisse a écrit:Les logos ! La présentation ! J'aime c'est propre, efficace, beau
Bon sinon facile...
-Le gros nul Gesink, incapable de gagner les vrais courses - Nibali le voleur de GT masqué - Alberto Contador, transparent sur le TdF, ca doit être lui - Gilbert l'over-cheat ? - Peter Sagan, et j'avais juste deux titres alors - Tony Martin ? c'est vrai qu'il est chaud cette saison ! - Mhhhh je dirai Offredo comme flandrien ? Mais pas sûr. Dommage de pas voir le petit Gallopin en tout cas, il était un solide équipier chez Rabo cette saison :')
J'ai juste monsieur le prof ?
Merci, surtout que ça m'a pris pas mal de temps de trouver une mise en forme sympa, puis de faire les logos J'avais prévenu que c'était facile
Felagund a écrit:Tout pareil que LeSuisse !
Schleckpower a écrit:Pareil que LeSuisse
"Pareil que LeSuisse", ça veut dire que vous avez regardé ce qu'il a mis avant de poster Honte à vous d'avoir copié pour quelque chose de si simple
Schleckpower a écrit:Là c'est facile quand tu vas nous sortir l'Afrique du Sud ou le Japon, on fera moins les malins
Rassure-toi, il n'y a pas de sélection si exotiques dans pcm. Et de toutes façons je ne présente que les sélections des favoris, donc tu es tranquille de ce côté là
Pink Panda a écrit:Moi je retiens les deux Luxembourgeois pour aider les deux Slovaques Velits et Sagan
Ah oui mince Mais ça tombe bien, les deux slovaques sont dans les mêmes équipes que les deux luembourgeois ; ça me fait ça de moins à corriger ^^
Hollande : Gesink qui a en fait un palmarès digne d'un mec de Specialized Italie : Nibali Espagne : Conta Belgique : Gilbert qui m'a l'air d'être complètement pété dans ta carrière Slovaquie : Sagan Allemagne : Martine France : Yannick Talabardon
LeSuisse a écrit:Les logos ! La présentation ! J'aime c'est propre, efficace, beau Dommage de pas voir le petit Gallopin en tout cas, il était un solide équipier chez Rabo cette saison :')
D'ailleurs au sujet des logos, sont-ils reconnaissables ? J'ai des doutes sur certains. Pour Gallopin, il est complètement hors de forme. Il vaut mieux qu'il ne se ridiculise pas en venant faire gruppetto
Horse a écrit:Moi je dis :
Hollande : Gesink qui a en fait un palmarès digne d'un mec de Specialized Italie : Nibali Espagne : Conta Belgique : Gilbert qui m'a l'air d'être complètement pété dans ta carrière Slovaquie : Sagan Allemagne : Martine France : Yannick Talabardon
Bravo ! En fait il faut que tu viennes sur les récits des autres pour gagner quelque chose