PCM France
), l'équipe a parfaitement manœuvre: il y avait du beau monde dans l'échappée et le peloton est revenu sur nos talons mais le victoire est belle ! Franchement sans elle j'aurais été déçu par ce Tour de Pamesa, mais la, avec cette étape en plus et le maillot a pois, cela fait un joli bilan.
Ma seule vraie déception vient des performances de Pelayo sur les étapes pour puncher... le TdF était son gros objectif de la saison (et la raison pour laquelle il a plus été équipier sur les Ardennaises car pas en pic de forme) 
Tour de France #7
Trois semaines, des cols mythiques et d’autres moins connus, des rebondissements à foison, des échappées homériques et une bataille tactique aussi féroce qu’indécise : ce Tour de France 2026 aura coché toutes les cases d’un grand cru. À défaut d’un suspense pour le maillot jaune dans la dernière semaine, il nous aura offert son lot d’exploits et de déceptions. Tour d’horizon des tops, flops, et moments marquants d’une édition marquée par la prise de pouvoir d’un petit prodige belge.
Les Tops :
Remco Evenepoel (IGD) : Enfin le sacre !
Cela faisait des années qu’il en rêvait, des mois qu’il le préparait. Evenepoel est enfin le roi du Tour de France. Plus calculateur que flamboyant, mais diablement efficace, il a su profiter du retrait de Pogacar, évité les pièges, fait parler sa science du placement, et a été le plus régulier sur 3 semaines. Surtout, il a réussi à tenir tête aux grimpeurs dans les grandes étapes, alors que la haute montagne était jusque là son gros point faible. À 26 ans, le Belge prouve qu’il est bien plus qu’un spécialiste des courses d’un jour. Le début d’une nouvelle ère ?
Jasper Philipsen (ADC) : Le patron des Champs
Cinq victoires d’étapes, le maillot vert remporté avec maîtrise, et une domination quasi sans partage dans les sprints. Même quand les jambes semblaient un ton en dessous, Philipsen a su se montrer au bon moment, parfaitement lancé par van der Poel (véritable métronome en poisson-pilote). Une démonstration de puissance et d’expérience. Du grand art.
Roger Adria & Igor Arrieta : Les baroudeurs infatigables
Qui aurait parié, avant le Grand Départ, sur notre tandem de baroudeurs comme animateurs majeurs de ce Tour ? Arrieta s’offre une étape et le maillot à pois toujours soutenu à merveille par Adria. Ce dernier conclut le tout avec une superbe victoire d’étape au sommet du Markstein au terme d'une nième échappée. Un duo au panache inimitable qui a conquis les cœurs.
Edward Dunbar (COF) : La révélation
Dans une équipe Cofidis en souffrance collective, Dunbar a été un roc. Épatant dès la première semaine avec une victoire d'étape en costaud, le grimpeur irlandais a ensuite tenu sa place parmi les meilleurs, souvent isolé mais jamais décroché. Résultat : une 11e place finale à la pédale, et une mention spéciale dans ce Tour où peu l'attendaient à ce niveau.
Gino Mäder (LTK) : L'infatigable
Le Suisse a pris une autre dimension cette année et a failli accomplir une prouesse d'un autre temps ! Remporter le Giro et le Tour de France à la suite semblait pour beaucoup une chimère, et pourtant le coureur de la Lidl-Trek est passé à deux doigts de réussir cet incroyable exploit ! Mäder retentera-t-il le coup la saison prochaine ?
Les Flops :
Tobias Halland Johannessen (UXT) : Caramba encore craqué !
Encore en jaune à la veille des Alpes, le Norvégien semblait en mission. Mais le rêve a pris fin brutalement lors de la 17e étape, où il a craqué dans les grandes largeurs. Il glisse finalement jusqu’à la 5e place au général, une performance honorable en soi… mais tellement loin des attentes qu’il avait lui-même fait naître.
Jakobsen & Ewan (SOQ) : Sprinters de choc, duo d’échecs
Entre mésentente stratégique et absence de tranchant dans le final, le duo Jakobsen-Ewan n’a jamais trouvé la formule. Leur train n’a jamais fonctionné correctement, et les sprints se sont souvent terminés sans eux sur le podium. Un véritable gâchis.
EF Education - Easypost : Fanny comme au Giro
L'équipe américaine n'a pas démérité et s'est même montrée souvent entreprenante. Pourtant elle repart comme sur le Giro le sac vide et ne fanfaronnera certainement pas de la 9ème place finale de Powless... L'équipe est clairement passé à côté de ses objectifs.
Les équipes invitées : Un manque cruel de panache
Les coureurs de la Cofidis, de GreenProject, de Kern Pharma et de TotalEnergies ont certes été souvent présentes dans les échappées, mais n'ont jamais semblé en mesure de remporter une étape. L'invitation de l'équipe italienne a permis d'offrir un dernier Tour de France à Bardet, et la TotalEnergies venait monter le quota d'équipe françaises... mais n'aurait-il pas mieux vallu laisser une place à une équipe en plein essor comme la Tudor ?
Cela faisait des années qu’il en rêvait, des mois qu’il le préparait. Evenepoel est enfin le roi du Tour de France. Plus calculateur que flamboyant, mais diablement efficace, il a su profiter du retrait de Pogacar, évité les pièges, fait parler sa science du placement, et a été le plus régulier sur 3 semaines. Surtout, il a réussi à tenir tête aux grimpeurs dans les grandes étapes, alors que la haute montagne était jusque là son gros point faible. À 26 ans, le Belge prouve qu’il est bien plus qu’un spécialiste des courses d’un jour. Le début d’une nouvelle ère ?
Jasper Philipsen (ADC) : Le patron des Champs
Cinq victoires d’étapes, le maillot vert remporté avec maîtrise, et une domination quasi sans partage dans les sprints. Même quand les jambes semblaient un ton en dessous, Philipsen a su se montrer au bon moment, parfaitement lancé par van der Poel (véritable métronome en poisson-pilote). Une démonstration de puissance et d’expérience. Du grand art.
Roger Adria & Igor Arrieta : Les baroudeurs infatigables
Qui aurait parié, avant le Grand Départ, sur notre tandem de baroudeurs comme animateurs majeurs de ce Tour ? Arrieta s’offre une étape et le maillot à pois toujours soutenu à merveille par Adria. Ce dernier conclut le tout avec une superbe victoire d’étape au sommet du Markstein au terme d'une nième échappée. Un duo au panache inimitable qui a conquis les cœurs.
Edward Dunbar (COF) : La révélation
Dans une équipe Cofidis en souffrance collective, Dunbar a été un roc. Épatant dès la première semaine avec une victoire d'étape en costaud, le grimpeur irlandais a ensuite tenu sa place parmi les meilleurs, souvent isolé mais jamais décroché. Résultat : une 11e place finale à la pédale, et une mention spéciale dans ce Tour où peu l'attendaient à ce niveau.
Gino Mäder (LTK) : L'infatigable
Le Suisse a pris une autre dimension cette année et a failli accomplir une prouesse d'un autre temps ! Remporter le Giro et le Tour de France à la suite semblait pour beaucoup une chimère, et pourtant le coureur de la Lidl-Trek est passé à deux doigts de réussir cet incroyable exploit ! Mäder retentera-t-il le coup la saison prochaine ?
Les Flops :
Tobias Halland Johannessen (UXT) : Caramba encore craqué !
Encore en jaune à la veille des Alpes, le Norvégien semblait en mission. Mais le rêve a pris fin brutalement lors de la 17e étape, où il a craqué dans les grandes largeurs. Il glisse finalement jusqu’à la 5e place au général, une performance honorable en soi… mais tellement loin des attentes qu’il avait lui-même fait naître.
Jakobsen & Ewan (SOQ) : Sprinters de choc, duo d’échecs
Entre mésentente stratégique et absence de tranchant dans le final, le duo Jakobsen-Ewan n’a jamais trouvé la formule. Leur train n’a jamais fonctionné correctement, et les sprints se sont souvent terminés sans eux sur le podium. Un véritable gâchis.
EF Education - Easypost : Fanny comme au Giro
L'équipe américaine n'a pas démérité et s'est même montrée souvent entreprenante. Pourtant elle repart comme sur le Giro le sac vide et ne fanfaronnera certainement pas de la 9ème place finale de Powless... L'équipe est clairement passé à côté de ses objectifs.
Les équipes invitées : Un manque cruel de panache
Les coureurs de la Cofidis, de GreenProject, de Kern Pharma et de TotalEnergies ont certes été souvent présentes dans les échappées, mais n'ont jamais semblé en mesure de remporter une étape. L'invitation de l'équipe italienne a permis d'offrir un dernier Tour de France à Bardet, et la TotalEnergies venait monter le quota d'équipe françaises... mais n'aurait-il pas mieux vallu laisser une place à une équipe en plein essor comme la Tudor ?
Résultats du jeu des pronos:
J'ai utilisé un système de notation très proche de celui développé par Nico32 (et les formules Excel qu'il m'a fait découvrir). Je donne donc +1 pts par positions d'écart entre votre prono et le Top20 final (par ex: si le coureur que vous avez mis à la 3ème place fini 8ème, vous marquez 5 pts). Ceux qui ont misé sur un coureur ne terminant pas dans le Top20 se prennent un forfait de +20 pts. Pour les classements annexes il y avait un bonus de -6 pts pour le classement par Points, -7 pts pour le KOM, -4 pts pour le jeune et -5 pts pour le classement par équipes.
Étant très difficiles à évaluer, les paris bonus servent à départager les éventuelles égalités, ainsi qu’à se couvrir de gloire !
Le vainqueur est évidemment celui qui marque le moins de points !
Sur ce Tour de France 2026, les résultats sont les suivants : (roulements de tambour !)
Nico32 est insatiable et s'offre une nouvelle victoire ! Ses paris gagnants sur L.Martinez et Jorgenson auront fait la différence ! Duxili passe à nouveau tout près... remportera-t-il enfin sa première victoire sur la Vuelta ? C'est tout ce que je lui souhaite ! (Parce que ça commence à devenir lassant de voir toujours le même gagner
)
Encore bravo à tous, et merci beaucoup d’avoir participé et commenté !
Étant très difficiles à évaluer, les paris bonus servent à départager les éventuelles égalités, ainsi qu’à se couvrir de gloire !
Le vainqueur est évidemment celui qui marque le moins de points !
Sur ce Tour de France 2026, les résultats sont les suivants : (roulements de tambour !)
Nico32 est insatiable et s'offre une nouvelle victoire ! Ses paris gagnants sur L.Martinez et Jorgenson auront fait la différence ! Duxili passe à nouveau tout près... remportera-t-il enfin sa première victoire sur la Vuelta ? C'est tout ce que je lui souhaite ! (Parce que ça commence à devenir lassant de voir toujours le même gagner
) Encore bravo à tous, et merci beaucoup d’avoir participé et commenté !
Ca se joue à rien puisque le bon Marijn fait 8ème sur l'E1, 7ème sur l'E11 et 6ème sur l'E18 !
