tatamix1972 a écrit:Il n'y a pas forcément de comparaison à faire... mais juste se dire qu'un sportif de haut-niveau est avant tout un être humain, avec ses forces et ses faiblesses. Donc, comme tout autre être humain, il est faillible et peut donc faire une putain de connerie comme celle de se doper, ce d'autant plus avec toutes les pressions qu'il subit autour de lui.
Après, c'est juste une question philosophique : a-t-on le droit à une seconde chance quand on a fauté, à partir du moment où la personne a reconnu son erreur et payé sa dette (ici, une suspension de compétition sportive d'un certain temps) ?
Chacun sa réponse à cette question...
Oui, alors tu a mal compris le propos. Ce n'est pas refuser la seconde chance, c'est se demander si une seconde chance est physiologiquement possible ou si une pratique dopante est irrémédiable et donc devant entraîner une suspension définitive.
Par contre avec un vélo à moteur on n'a pas ce genre de problème.