Passer trois heures sur une carte jusqu'à un bug de l'ordi qui s'éteint et efface tout ! J'ai refait le tout mais en étant moins précis sur les tracés...
sim66 a écrit:Une arrivée au Nivolet ça passe logistiquement et météorologiquement ?
Perso je l'ai fait... Il y a la place (largement) pour installer une arrivée et même y garer tous les bus d'équipes pour que les coureurs y aillent pour se rechauffer si besoin est. Et météorologiquement, je vois pas le souci. Oui, il y a un risque de neige mais ça reste moins haut que la Stelvio qui est pourtant emprunté souvent donc bon..
Veuillez m'excuser pour cette carte vraiment pas très belle
Étapes : 1- Marsiglia - Brignoles 174 km (2/5) 2- Tolone - Tolone 24,5 km (CLME) (3/5) 3- Saint-Tropez - Mentone 169 km (3/5) 4- Ventimiglia - Genova 205,5 km (2/5) 5- Genova - Caldirola 158,5 km (4/5) 6- Varzi - Ivrea 215 km (1/5) 7- Ivrea - Mottarone 163 km (3/5) 8- Casteletto Sopra Tocino - Palazzolo Sull'Oglio 203 km (2/5) 9- Iseo - Sondalo 201,5 km (5/5)
Repos à Vérone
10- Verona-Bologna 155,5 km (1/5) 11- Bologna-Serravalle 214,5 km (3/5) 12- Verucchio - Siena 200 km (3/5) 13- Grosseto - Ladispoli 208 km (1/5) 14- Ostia - Livata (Campo del'Osso) 164 km (4/5) 15- Avezzano - Chieti 178 km (4/5)
Repos à Naples
16- Castellamare di Stabia - Sorrento 46,5 km (CLMI) (4/5) 17- Pompei - Tortona Marina 199,5 km (2/5) 18- Belvedere Marittimo - Amantea 189 km (4/5) 19- Lamezia Terme - Reggio Calabria 182 km (3/5) 20- Messina - Pedara 144 km (5/5) 21- Paterno - Catania 100 km (1/5)
Le grand départ de ce Giro s'effectuera donc à Marseille (Marsiglia en italien), pour une étape en ligne de 174 kms. Le parcours semble destiné aux sprinteurs, mais la première partie de l'étape sera assez vallonée, avec un passage au col de l'Espigoulier, première difficulté classée en deuxième catégorie. La suite de l'étape sera cependant à l'avantage des sprinteurs, même si le peloton devra emprunter des petites routes provençales autour de la Montagne Saint Victoire. L'arrivée à Brignoles sera sans difficultés et devrait rappeler des bons souvenirs à certains sprinteurs puisque Mark Cavendish s'y était imposé lors du Tour de France 2009.
A voir sur le parcours:
La montagne Sainte Victoire, chère à Cézanne
Ville départ: Marseille (Marsiglia) 861 635 habitants (Les chiffres sur les villes françaises proviennent du recensement de 2015)
Premier rendez-vous important pour les favoris du classement général, ce contre la montre par équipes se déroulera dans les rues de Toulon. Il n'y aura pas de grosses difficultés sur ce parcours quasiment plat, si ce n'est cette montée, presque anodine sur le parcours, qui comportera un passage à 10%. N'en faisons pas non plus tout un plat, ce parcours sacrera une équipe de gros rouleurs, et permettra de créer quelques légers écarts dans le classement général, qui pourront avoir leur importance en fin de Giro
A voir sur le parcours :
L'opéra de Toulon:
Ville départ et arrivée: Toulon (Tolone): 167 479 habitants
Une étape en deux parties: On longera tout d'abord le bord de mer de la Côte d'Azur et ses superbes paysages, sur un parcours relativement plat, garni de quelques petites côtes peu intéressantes. c'est à Nice que tout change avec la montée du col d'Eze, qui présente une pente sympathique sur la fin de sa montée, puis la montée de Pinella sur une route étroite et très raide sur la fin (jusqu'à 14%) qui se prolonge jusqu'à Gorbio, avant de redescendre vers Menton où l'arrivée semble destinée à des puncheurs ou sprinteurs costauds. Le final sera donc vraiment intéressant à suivre.
A voir sur le parcours :
Passage sur la Promenade des anglais:
Allianz Riviera de Nice:
Ville départ : Saint Tropez 4 305 habitants
Ville d'arrivée : Menton (Mentone): 28 231 habitants
On retrouve enfin l'Italie, après 3 jours en France. C'est la première étape au dessus des 200 kms. Sur le début d'étap, on emprunte une partie du parcours de Milan San Remo, dans le sens inverse, avec notamment le Poggio et la Cipressa. Rien de compliqué, et deux ascensions plus longues interviendront un peu plus loin. Elles sont cependant un peu trop éloignées de l'arrivée pour jouer un rôle important, mais gêneront surement un peu le peloton. C'est ensuite très plat jusqu'à la boucle finale à Gênes où une petite montée viendra perturber le sprint.
A voir sur le parcours:
Le Poggio, montée mythique de Milan San Remo
Ville départ: Ventimiglia 26 675 habitants
Ville arrivée : Genova 592 995 habitants
Le profil de la boucle finale (vraiment pas dure je vous l'accorde, mais ce n'est pas le but)
On rentre dans les choses sérieuses, après seulement quelques jours de course. L'étape est vraiment difficile avec un départ en montée, puis un parcours jamais vraiment plat, principalement en faux plat montant avant de monter Casa del Romano, première grosse montée, assez irrégulière qui comporte des descentes et des passages raides. On rentre vraiment dans l'étape avec la montée de Capanette di Pey, peu évidente, qui s’enchaîne parfaitement avec le raidard de Cignolo (voir profil) et l’ascension finale de Caldirola, petite station perdue, où la pente sera à plus de 7% en moyenne.
A voir sur le parcours :
Pas grand chose...
Les ascensions:
Capanette di Pey :
Cignolo :
Caldirola :
Ville arrivée : Caldirola Station de ski, arrivée à Villaggio la Gioia
Malgré un départ en côte qui lancera l'échappée et un passage vallonné en milieu d'étape, on risque de bien se faire chier pendant cette journée de transition. En effet la plupart des routes sont très plates et seule la montée de Viafrè pourrais venir "déranger" quelques sprinteurs. La côte est quand même plutôt simple mais son pourcentage moyen est faussé par une partie complètement plate en son milieu. On trouve quand même des pentes à 9% mais franchement, un sprinteur se faisant avoir sur cette montée ne serais pas digne d'être professionnel.
Une bonne course de côte comme on les aimes (ou pas). Le parcours passera par la célèbre montée du sanctuaire d'Oropa, qui aura pour but de fatiguer les coureurs, et où une échappée pourrait bien prendre le large. C'est ensuite par des longs faux plats descendants que l'on arrive sur deux petites montée qui n'auront vraisemblablement pas d'influence. Tout devrait se jouer dans la montée finale, irrégulière, raide au début, avant un replat puis de nouveau raide. Malgré sa faible longueur, son profil permet de croire à des attaques entre favoris, et pourquoi pas des écarts, qui seront cependant faibles.
A voir sur le parcours :
Le sanctuaire d'Oropa :
Profil de la montée finale (l'étape monte un peu plus haut) :
Lieu d'arrivée: Mottarone: Montagne italienne culminant à 1492 m Explication du dispositif d'arrivée, avant de me faire taper dessus :
En plus de relier deux villes aux noms interminables, cette étape à le mérite d'être assez indécise dans son final. Si le but est d'offrir une journée plus tranquille entre deux journées de montagne, le profil présente tout de même des parties assez malplates, en début d'étape, puis trois ascensions non négligeables. La deuxième est bien sur la plus dure, mais toute l'attention se porte sur la dernière, dont le sommet est situé a 17 km de l'arrivée. Avec des passages régulièrement au dessus des 9 %, dont 500m à 10% au pied, c'est le moment idéal pour les audacieux qui veulent fausser compagnie au peloton. De quoi voir une belle poursuite sur la fin.
A voir sur le parcours :
Le lago Maggiore
Ville départ: Casteletto sopra chépakoi : 10 259 habitants
Ville arrivée: Palazzolo sull'Oglio 20 163 habitants.
Etape-reine! Une vraie tappone avec plus de 200 km et 5 cols référencés. Départ en côte puis passage a la Cima Coppi, à seulement 2090 mètres d'altitude (d'ailleurs ça monte un peu plus haut après donc c'est pas vraiment la cima Coppi mais on s'en fout). Les deux côtes qui suivent sont un peu moins dures, et c'est le Mortirolo, par son versant le plus facile, qui monte quand même bien, qui sera juge de paix de cette étape. A noter que ça remonte légèrement à l'arrivée vers Sondalo. C'est le genre d'étape où un leader en défaillance peu perdre le Giro.
Cette 11ème étape verra un deuxième passage à l'étranger du peloton. C'est dans les 70 derniers kilomètres que ça devient intéressant avec une succession de 4 petites montées qui feront assez mal aux coureurs. Celle de San Marino, la plus dure, semble être celle dans laquelle tout se jouera. A noter que ça peut partir fort pour l'échappée dans le Monte Armato, avec 500 mètres à 14% au pied.
On va monter progressivement dès le départ, pour flirter avec les 1 000 mètres, puis on descend pour rejoindre la Toscane, où un parcours accidentée attend les coureurs, avec pas mal de petites routes. La fin d'étape sera difficile, avec un parcours très vallonné, qui comportera quelques passages du Strade Bianche, dont le final qui sera identique, avec une arrivée pour puncheurs à Sienne.
A voir sur le parcours :
Sienne :
Photos des chemins empruntés: Secteur 3 (2 photos) :
3eme journée consécutive au dessus des 200 kms. L'étape se veut plus tranquille que les deux précédentes et devrait sans doute sacrer un sprinteur. Cependant, le début d'étape est très vallonné, et même si on y trouve quasiment aucune pente forte, il n'y aura pas un mètre de plat, et la poursuite n'en sera que plus compliquée. Mais le circuit final quasi tout plat devrait apporter un sprint massif, peut être perturbé par cet espèce de demi tour complètement inutile dans le dernier kilomètre (dans l'esprit du Giro).
A voir sur le parcours :
Lago di Bolsena:
Ville départ : Grosseto 82 315 habitants
Ville arrivée : Ladispoli 41 035 habitants (A changer sur la carte si j'ai le temps)
Montagne au programme! Après 4 jours plus "cools", le peloton va retrouver un terrain propice aux attaques sur une étape semblable à celle de Mottarone. Semblable car on arrive au sommet, et qu'il faudra auparavant se farcir un terrain bien accidenté. Les routes sinueuses des Appenins ne seront pas toujouts agréables, et il faudra grimper a Rocca di Cave par une montée compliquée, mais un peu de loin de l'arrivée. Comme a Mottarone, se seront des organismes diminués qui se présenteront au bas de la montée vers le Campo del'Osso. Une montée qui malgré son pourcentage moyen peu élogieux, est en réalité très irrégulière, où se succèdent petites descentes et passages très raides.
La montée finale (je me suis un peu embrouillé dans les noms, et le replat final est dans ce profil)
A savoir que ce profil est trompeur, l'arrondi au kilomètre n'est pas assez précis pour une montée aussi bizarre
A voir sur le parcours :
La cité antique d'Ostie :
Ville départ : Ostia 85 301 habitants
Arrivée : Campo de Osso (Monte Livata) Commune de Subiaco (9 406 habitants)
Ça peut envoyer du lourd aujourd'hui si les coureurs jouent le jeu (ils ont pas trop le choix vu le Giro que je leur offre). Va falloir envoyer du rythme dans le deux cols ultra roulants du début. Ensuite, possibilité de tout faire péter dans la montée vers Majeletta (apparemment c'est le Blockhaus), longue et raide. Puis en bas de la descente, on peut voir un belle poursuite sur le parcours final très vallonné, avec le mur de Casalincontrada (500 mètres à 12,5%), et la montée de Chieti qui fera mal aux jambes.
Le profil du Majelleta :
A voir sur le parcours :
Roccamorice
Ville départ : Avezzano 42 233 habitants
Ville arrivée : Chieti 53 937 habitants
Repos à Naples
Tappa 16 : Catsellamare di Stabia - Sorrento 47km (4/5)
Le seul contre la montre individuel de ce #Giro102, assez long et très vallonné, sur la péninsule de Sorrento. Principalement deux montées, roulantes sont sur le parcours. Il y aura des écarts, c'est sur.
A voir sur le parcours :
Des paysages qui te foutent le seum quand tu habites dans un département tout nul comme le Maine et Loire, la Charente, ou encore l'Oise
Ville départ : Castellamare di Stabia 64 506 habitants
Une étape intéressante, qui devrait sourire à un baroudeur, au vu du parcours accidenté à partir de la montée de Capaccio, qui comporte des passages à 15%. Le final en bord de mer est casse patte. Probablement cool à suivre, mais le tout le monde sera au boulot ce jour là, dommage.
Voilà une étape vraiment cool. Départ en col pour bien lancer l'échappée et pour distancer Esteban Chaves, puis après une zone un peu vallonée, on commence la montée du mur de Cerzeto (c'est très raide), et on enchaîne sur 4 cols classés à la suite, de moins en moins haut mais pas de moins en moins durs. En effet ces 4 montées sont toutes difficiles, et même si seule la dernière possède un pourcentage au dessus de 7%, elles ont toutes un point en commun: un pied très raide, puis des parties plus roulantes. Il y a vraiment de quoi faire et les attaques seront nombreuses sur cette étape difficile.
A voir sur le parcours:
Amantea :
Ville départ: Belvedere Marittimo 9 388 habitants
Ville arrivée: Amantea 13 295 habitants
Tappa 19 : Lamezia Terme - Reggio Calabria 182km (3/5)
Etape de transition pour rejoindre la Sicile, mais quand même sympa. Tout se jouera entre les baroudeurs, on devrait retrouver un belle échappée, qui en plus de prendre le large dans l'interminable montée en milieu d'étape, digne d'un tour de Croatie, pourra se jouer la victoire d'étape dans le petit mur de Reggio, qui atteint 15% en son sommet. Il devrait donc y avoir des puncheurs dans l'échappée, eux qui n'ont pas été à la fête dans ce Giro. De quoi voir une petite bataille entre favori sur la fin d'étape histoire d'animer le tout.
A voir sur le parcours :
Parc national de l'aspromonte
Ville départ : Lamezia Terme 70 261 habitants
Ville arrivée : Reggio Calabria 186 547 habitants (les chanceux)
Dernier jour pour les grand bouleversements du général. On commence par 60 kms tout plats où ça roulera surement à fond, puis les 80 dernier sont majestueux, avec la succession des ascensions de deux versants de l'Etna (dont le versant 2011). On sait que c'est dur, on l'a vu cette année. Ça va envoyer du lourd, tout simplement.
A voir sur le parcours :
Il parait qu'il y a un volcan dans le coin... malheuresement j'ai oublié son nom
J'avais prévu une dernière étape en mode balade comme à Rome cette année, mais la blague que fut cette étape m'a incité à changer pour quelque chose de plus ouvert. Ce sera donc très court, et vallonné, avec le Motta sant'Anastasia et ses gros pourcentages, puis 5 tours d'un circuit de 10km qui comporte un bosse, avant l'arrivée finale sur la Piazza Universita. Ce n'est pas très dur mais ce sera impossible à neutraliser. Peu de chances de chambouler le classement général mais attention car le circuit est très technique.
A voir sur le parcours :
Catania
Ville départ : Paterno 49 578 habitants
Ville arrivée : Catania 315 576 habitants
Modifié en dernier par Hufrelon le 29 Mai 2018, 20:49, modifié 15 fois.
Aram a écrit:En 2009 c'était prévu d'arriver tout en haut mais les conditions météos ne le permettaient pas. Mais en allant faire un tour sur google maps je vois pas comment c'est possible d'arriver tout en haut : il n'y a pratiquement pas de place. A voir où se situait l'arrivée en 67, 72 et 84, les trois premières fois (2009 était la 4ème) où le Blockhaus a vu une arrivée, ça je n'en sais rien mais quelqu'un doit le savoir.
Loiloi29 a écrit:
Bad_Neos a écrit:Du coup, c'est pas possible en arrivée tout en haut je suppose.
Si mais je n'ai pas voulu le faire vu qu'ils l'on fait on 2017
Non en 2017 ils sont arrivés au niveau de la station de la Maielletta (ou Majelletta), à 1665 m d'altitude, alors que le Blockhaus proprement dit se situe à plus de 2000 m.
Mais si en 2009 c'était prévu d'arriver tout en haut, c'est bien que c'est possible, non
Aram a écrit:En 2009 c'était prévu d'arriver tout en haut mais les conditions météos ne le permettaient pas. Mais en allant faire un tour sur google maps je vois pas comment c'est possible d'arriver tout en haut : il n'y a pratiquement pas de place. A voir où se situait l'arrivée en 67, 72 et 84, les trois premières fois (2009 était la 4ème) où le Blockhaus a vu une arrivée, ça je n'en sais rien mais quelqu'un doit le savoir.
Loiloi29 a écrit:
Bad_Neos a écrit:Du coup, c'est pas possible en arrivée tout en haut je suppose.
Si mais je n'ai pas voulu le faire vu qu'ils l'on fait on 2017
Non en 2017 ils sont arrivés au niveau de la station de la Maielletta (ou Majelletta), à 1665 m d'altitude, alors que le Blockhaus proprement dit se situe à plus de 2000 m.
Mais si en 2009 c'était prévu d'arriver tout en haut, c'est bien que c'est possible, non
C'est ce que je me dis aussi seulement va voir sur google et tu verras que c'est tendu. Et puis le Giro a aussi voulu arriver en ligne au Plan de Corones ce qui a finalement été jugé impossible, tout comme le passage au Crostis. Le Giro est moins "sérieux" à ce niveau-là que le TDF.
Intéressant Aram. Des montées sympathiques. Une densité mesurée soit...
J'avais la même que ton étape 2, j'hésitais à la conserver, je vais voir. Faut-il encore que j'arrive à me pencher sur le reste pour finir dans les temps, ce n'est pas fait.
Klira a écrit:Intéressant Aram. Des montées sympathiques. Une densité mesurée soit...
J'avais la même que ton étape 2, j'hésitais à la conserver, je vais voir. Faut-il encore que j'arrive à me pencher sur le reste pour finir dans les temps, ce n'est pas fait.
J'espère que tu finiras, j'aime bien tes parcours. Je me suis fait tomber dessus pour mon dernier TDF trop dur donc là j'ai fait plus soft.
Question "technique" : est-il possible d'emprunter une même route (une portion de quelques kilomètres) en sens inverse au cours d'une même étape, sachant que plus d'une cinquantaine de kilomètres, dont deux longues ascensions, séparent les deux passages ?
Mats a écrit:Question "technique" : est-il possible d'emprunter une même route (une portion de quelques kilomètres) en sens inverse au cours d'une même étape, sachant que plus d'une cinquantaine de kilomètres, dont deux longues ascensions, séparent les deux passages ?
Mats a écrit:Question "technique" : est-il possible d'emprunter une même route (une portion de quelques kilomètres) en sens inverse au cours d'une même étape, sachant que plus d'une cinquantaine de kilomètres, dont deux longues ascensions, séparent les deux passages ?
Mats a écrit:Question "technique" : est-il possible d'emprunter une même route (une portion de quelques kilomètres) en sens inverse au cours d'une même étape, sachant que plus d'une cinquantaine de kilomètres, dont deux longues ascensions, séparent les deux passages ?
Oui c'est ce qu'ils ont fait l'année dernière sur l'étape du Stelvio.