Modérateur: Animateurs labo à parcours
France a écrit:À première vue, ça me semble bien sympa, je détaillerai plus tard. Par contre, les sprinters n'auront pas grans chose à se mettre sous la dent. Il y a peut-être quelques étapes qui font un poil trop doublon.
El_Pistolero_64 a écrit:À première vue, je te conseille de pas utiliser ces profils pour le Giro
El_Pistolero_64 a écrit:Sinon, ça a l'air sympa, même si ça manque peut-être d'une vrai CC au début pour décanter le général (j'aurai mis l'arrivée au sommet du Zoncolan).
El_Pistolero_64 a écrit:Les étapes de Merano, Monterosa et Sankt Moritz se ressemble pas mal aussi je trouve dans leur final, avec un gros morceau puis une vingtaine de kilomètres de plat/faux-plat jusqu'à l'arrivée.
Kreuziger a écrit:CiJief je trouve toujours ton Giro trop dur, les Alpes c'est quand même très exagéré. Je ne comprend pas pourquoi tu veux tant finir au sommet après le Finestre, arriver en vallée me parait limite plus judicieux.
Tazio a écrit:El_Pistolero_64 a écrit:À première vue, je te conseille de pas utiliser ces profils pour le Giro
Tu préfères ceux du Giro 2019 ? Je trouve que l''emphasize' est exagéré sur ceux-là. Dès qu'il y a un col un minimum respectable, on dirait qu'on gravit le Finestre.
Tazio a écrit:El_Pistolero_64 a écrit:Sinon, ça a l'air sympa, même si ça manque peut-être d'une vrai CC au début pour décanter le général (j'aurai mis l'arrivée au sommet du Zoncolan).
10 kilomètres à 12%, même avec 15 kilomètres de plat derrière, ça va sacrément décanter le général On n'aura probablement pas des arrivées en solitaire mais ça ne m'étonnerait pas d'avoir un groupe de 6-8 coureurs qui s'isole et prend les commandes du général.
Tazio a écrit:El_Pistolero_64 a écrit:Les étapes de Merano, Monterosa et Sankt Moritz se ressemble pas mal aussi je trouve dans leur final, avec un gros morceau puis une vingtaine de kilomètres de plat/faux-plat jusqu'à l'arrivée.
J'adore tracer des étapes dans ce style : un gros morceau à 30-40 kilomètres de l'arrivée, puis un final casse-pattes pour rendre l'arrivée indécise entre des coureurs isolés ou en petits groupes
Après je ne les trouve pas identiques non plus :
- Merano, c'est plutôt typé baroudeurs. On ne sera pas assez avancé dans le Giro pour que ca soit un carnage à 40 kilomètres de l'arrivée. A la limite, on peut voir des défaillances de leaders mais je ne pense pas de vraies attaques. C'est plutôt l'occasion, pour un leader ayant récupéré le maillot rose au Zoncolan, de le refiler à un baroudeur-grimpeur pour quelques jours.
- Monterosa, on est sur des ascensions à plus de 8% de moyenne dans les 40 derniers kilomètres. Les leaders ont de quoi s'expliquer, même si ca sera dur d'être seul sur les 13 kilomètres de plat vers l'arrivée. Après, on peut très bien voir 2 ou 3 favoris s'isoler devant et collaborer pour distancer les autres.
- Sankt Moritz la première est typée baroudeurs et pas trop difficile. C'était surtout un prétexte pour relier les deux villes et éviter un transfert
- Sankt Moritz la deuxième, c'est maximiser l'idée de "dernière chance" et de mettre en place une stratégie. Les plus gros morceaux du jour sont situés à 60-80 kilomètres de l'arrivée. C'est "ca passe ou ca casse", tu mets all-in avec une grosse offensive, une bonne stratégie d'équipe et tu pries pour que ca produise un miracle et que le maillot rose explose et coule.
Une première semaine française, avec le départ en CM de Marseille, et la montagne dès le début dans le massif des Alpes. Quand même 2 arrivées plates, il ne faudrait pas oublier les sprinteurs. Les favoris devront avoir la forme dès le début et beaucoup auront déjà perdu leurs chances de remporter le premier grand tour de l'année.
Grand départ en France pour ce Giro 2019, et ce sera le magnifique port de Marseille qui aura le privilège de lancer la course au maillot rose dans un exercice individuel d'une quinzaine de kilomètres qui traversera les rues de la Cité Phocéenne avant d'arriver dans le Fort Saint-Nicolas. Quelques petits écarts avant de commencer la course et un premier maillot rose à donner, voilà le programme du jour.
Première étape en ligne de ce Tour d'Italie. Les coureurs s'élanceront de Saint-Maxime pour longer la côte durant une longue partie de la journée, puis rentreront dans les terres pour débouler dans Nice. Ensuite viens un final très connu avec l'enchaînement Eze/Quatre Chemins puis la classique arrivée sur la Promenade des Anglais, arrivée finale de la Course au Soleil en Mars. Pas sûr que les favoris se découvriront dès cette seconde étape au vu de la suite de la semaine bien plus difficile et décisive. Mais un puncheur/baroudeur pourrait bien tenter quelque chose dans le final pour aller s'adjuger une belle victoire.
Déjà de la haute montagne pour les coureurs, avec 217,5km à parcourir. La première partie d'étape en France, très compliquée, permettra à un groupe de coureurs de partir en direction de l'Italie. Les favoris resteront eux bien au chaud avant le final compliqué sans un mètre de plat entre Bordighera et San Remo. D'abord les coureurs franchiront le Monte Vallebona (5,4km à 7,1%), une courte descente puis le Colle Termini di Bajardo (10,5km à 6,7%) qui verra sûrement certains favoris tenter leur chance avant la de foncer vers San Remo une première fois, et gravir le terrible Monte Gozzo (5,2km à 9,1%) avec des pentes allant jusqu'à 19% et un dernier km à plus de 14% de moyenne. Une étape qui fera des dégâts et bien plus dure que la Primavéra ici à San Remo.
Enfin une journée calme, et enfin un sprint massif. Au programme : départ d'Albenga, puis très vite montée du Colle San Bernardo, très roulant, puis 130 kilomètres tout plat pour finalement arriver à Cuneo. Attention tout de même au très léger faux plat montant final. Peut-être que certains sprinteurs ne seront même pas présents pour se disputer la gagne à cause la fatigue de la veille.
Encore une fois de la montagne, et un retour en France pour cette courte étape d'un peu plus de 100km entre Busca et le sommet du fameux col de l'Izoard. Les coureurs feront face un très long faux plat montant, parfois même plus faux plat du tout avant l'ascension du Coll dell'Agnello (13,9km à 8%) même si les 4 premiers km ne dépassent jamais les 7%. Le peloton amoindri filera ensuite jusqu'au deuxième sprint intermédiaire à Château-Queyras puis remonteront le terrible Izoard (14,2km à 7%). L'étape sera sûrement une course de côte, car très peu de coureurs tenteront dès Agnel. On devrait avoir une étape compliquée où une défaillance sera terrible.
Déjà la troisième étape de haute montagne 6 jours ! Aujourd'hui encore une étape très difficile. Le départ se fera de France, à Briançon, mais les coureurs reviendront très vite en Italie après Montgenèvre (8km à 5,9%) pour redescendre lentement jusqu'au pied du Colle del Moncensio (25,6km à 6,2%), très irrégulier. Retour en France, et très peu de repos pour les coureurs après ce très long col, car directement la remontée du col de la Madeleine et le replat jusqu'à Bonneval-sur-Arc. Le col décisif d'aujourd'hui, également Cima Coppi de ce Giro avec ses 2735m d'altitude sera le terrible Col de l'Iseran (13km à 7,4%) alternant replats et pentes au délà des 10%. Viendra ensuite la descente jusqu'à Val d'Isère où seul un coureur costaud pourra lever les bras. Les jambes des favoris seront encore mises à l'épreuve aujourd'hui.
Deuxième pour les sprinteurs, et du repos pour le maillot rose avant la dernière étape de cette semaine. Départ d'Aosta pour le peloton qui sortira des Alpes avant de filer en ligne droite jusqu'à Vercelli pour tourner en rond dans un petit circuit de 3,5km avant de sacrer un vainqueur après un peu plus de 150km de course. Étape à priori sans incidences et très tranquille.
Dernière étape de cette première semaine, et quelle étape ! Du départ de Torino jusqu'à Susa l'étape sera plutôt tranquille à part le Colle del Lis. Mais après ça sera l'enchainement final avec 70km de folie. Tout d'abord, le terrible et mythique Colle delle Finestre (18,2km à 9,2%), dont 8 deniers kilomètres en chemins de terre, qui pourra servir de tremplin à certains favoris audacieux avant d'enchaîner la double ascension de Sestrieres. D'abord par Traverses (7,3km à 6,1%) puis la descente vers Cesana Torinese avant de remonter à Sestrieres (10,9km à 6,1%). Ce n'est pas la montée la plus dure mais après cette semaine difficile elle fera très mal.
Deuxième semaine de course, après une première très dure, celle-ci sera plus tranquille, surtout pour les sprinteurs qui auront pas moins de 4 chances de victoires, une seule petite étape de montagne, bien seule, mais des pentes à deux chiffres à tout va. Attentions aux pièges.
Étape pour sprinteurs aujourd'hui dans cette longue ligne droite de 235km entre Napoli et Roma. L'étape la plus longue de ce Giro sera sans difficultés majeures mais usante malgré tout. Qui s'imposera dans la Ville Éternelle face au Colisée ?
Après la ligne droite pour remonter à Roma, les coureurs mettront le cap à l'est pour passer de la Méditerranée à l'Adriatique. Une victoire qui semble encore promise aux gros mollets du peloton mais attention à une échappée surprise qui pourrait résister durant le final descendant de l'étape.
Onzième étape, et déjà la moitié du Giro est passée. Le peloton partira de Termoli pour 120 kilomètres relativement tranquilles mais tout de même accidentés, avant de gravir le terrible Muro Guardiabruna (5,9km à 9,4%) avec des passages allant jusqu'à 17%. Mais pas de répit car sans descente ils attaqueront ensuite la Coppa Valloni (3,5km à 6%) située à 42km d'Agnone. Une partie accidentée ponctué de courtes montées descentes conduira les hommes forts du jour au pied du Muro del Serra del Cerro (2,1km à 13,7%) avec des derniers mètres terribles à 17%. Restera ensuite 8 kilomètres avant l'arrivée. Les favoris tenteront-ils ?
Nouvelle chance pour les sprinteurs entre San Salvo et Termano avec une longue partie de l'étape le long de la côte italienne avant de rentrer dans les terres pour une arrivée assez casse-pattes. Échappée ou sprinteurs ? Telle est la question...
Le retour de la haute montagne avec cette arrivée au sommet du Prato di Tivo (13,9km à 7%) en partance de l'Aquila. Une étape somme toute tranquille avec un début loin d'être compliqué. Cette étape risque d'être escamotée par les favoris, mais rien n'est sûr.
Avant dernière étape pour sprinteurs, déjà. Un peu moins de 200 bornes et un parcours plat entre Foligno et Rimini mis à part les 2 difficultés du jour, mais qui devrait être sans incidences, même si certains baroudeurs pourraient bien tenter leur chance dans le Monte Verucchio, et aller chercher une victoire au panache sous le nez des sprinteurs. Scénario peu propable, mais pas impossible.
Dernière étape avant la journée de repos pour le peloton. Et entre Forlì et Bologna ça risque d'être une boucherie car les pentes à plus de 10% sont de rigueurs dans la région. Avant les premières difficultés il y a aura 50km tout plat tout droit avant le début de l'enfer : 12 montées répertoriés, aucune de plus de 5 kilomètres. Mais la course commencera sûrement au pied du Muro Sibano (2,8km à 10,3%) pour les 70 derniers kilomètres avec 7 difficultés. L'enchaînement final Rio Tradito (2,2 à 8,7%), Muro Gessi (2,4km à 9,6%) et Madonna di San Luca (2,2km à 7,9%) fera mal aux jambes. Restera une descente avant de pouvoir lever les bras à Bologna pour l'homme qui basculera en tête.
Dernière semaine de course, et de loin la plus difficile. Dernière chance pour les sprinteurs, 4 étapes pour les leaders, un dernier chrono pour finir. Qui aura le mieux récupéré et gardé des forces pour ce final ? Qui portera la tunique rose à Venise ?
Dernière victoire potentielle pour les sprinteurs à Vérone. 174 kilomètres tout plat, pas un mètre de montée du départ de Bologne à l'arrivée. Étape de transition ennuyante, mais il en faut bien un peu.
Première étape de ce final de Giro montagneux. 5 cols aujourd'hui au départ de Riva del Garda : tout d'abord le Passo del Ballino (13,2km à 5%), puis la Madonna di Campiglio (14,6km à 6%) et le Passo Tonale (11,4km à 6,8%). Enfin les 2 cols finaux avec le Passo del Padrio (11,8km à 8,8%) et enfin le terrible célèbre Passo del Mortirolo (12,6km à 10,5%). Une descente très rapide ensuite jusqu'à Edolo permettra à un coureur de lever les bras. Étape pour pur grimpeurs, une défaillance sera terrible.
Seconde étape du "tétraptyque" final. Départ de Bolzano-Bolzen avec le Tanirz-Felsonnes Hofe (11,5km à 6,6%), puis la Sela de Culac (20,1km à 4,8%) avec les derniers km du col qui seront réempruntés à la fin d'étape. Après la descente le Passo Valparola (12,1km à 6,1%). Ensuite le final avec le Passo Fedaia (13,2km à 7,6%), avec des mètres allant jusqu'à 30% voire 36% ! Le Passo Sella (10,5km à 6,9%) bien moins compliqué, suivi du Passo Gardena (5,4km à 4,2%) mais la redescente fausse un peu la difficulté. Pour finir descente technique jusqu'à Corvara. Le Fedaia donnera peut-être des idées à certains qui tenteront un pari fou pour reprendre un maximum de temps, qui sait ?
Sans doute l'étape la moins dure de cette fin de Giro entre Corvara et Fane. Arrivée au sommet au bout de cette étape d'à peine 110km. Le Passo delle Erbe (5,4km à 8,7%) et le Passo Maso (5,9km à 9,4%) feront le ménage dans le peloton avant le Platzer (7,2km à 11,5%) et l'ascension finale en 2 temps, d'abord Vals-Valles (7,4km à 8,5%), 2,5km de plat, puis le mur final (2,4km à 13,2%) qui mènera en contrebas du village de Fane. Terribles ascensions avec des pentes phénoménales, la fringale pourrait bien en avoir quelques uns après 19 jours de course.
Dernière étape vraiment décisive dans laquelles tout devrait se jouer au départ de Cencenighe Agordino. On rentre immédiatement dans le vif du sujet avec les ascensions à froid du Passo Valles et du Passo Rolle (18,4km à 6,6% et 6,1km à 6,3%). Viendra ensuite le Passo Gobbera (5,5km à 6,1%) et le Passo Brocon (13,7km à 6,3%). Descente de 30 kilomètres, puis 35 de plat avant la Bocca di Forca (12,3km à 9,6%). Suivie du col Forminga, cette ascension permettra aux derniers favoris d'essayer de titiller le maillot rose et de toute faire basculer la veille de l'arrivée finale. Car avec un équipier pour rouler avec lui dans la plaine, un favori pourrait attaquer de très très loin, quitte à tout perdre. Mais on dit souvent que la chance sourit aux audacieux non ?
Ça y est, après 3 semaines de courses, le Giro d'Italia s'achève déjà. Un court chrono individuel tout plat pour gros rouleurs clôturera définitivement le sort du vainqueur du 102e tour d'Italie. Les coureurs restants partiront de Mestre pour ensuite franchir le long Ponte della Libertà afin de terminer leur effort à l'entrée de Venezia, la Cité des Ponts. Cette dernière étape surtout anecdotique permettra surtout de régler les places là où les écarts seront minimes mais un maillot rose avec une quarantaine de secondes d'avance, peut-importe qui il est, devrai lever le trophée au terme de ces magnifiques 21 jours.
France a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop dur
Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop dur
France a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
Der neue Radfahrer a écrit:Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop durFrance a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
On peux essayer d'aller plus loin dans l'analyse peut-être
Ne modifie pas ton Giro MrLafar ! S'il te plaît alors tant mieux. J'essayerai de faire un commentaire un peu plus détaillé.
Der neue Radfahrer a écrit:Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop durFrance a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
On peux essayer d'aller plus loin dans l'analyse peut-être
Ne modifie pas ton Giro MrLafar ! S'il te plaît alors tant mieux. J'essayerai de faire un commentaire un peu plus détaillé.
bullomaniak a écrit:Der neue Radfahrer a écrit:Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop durFrance a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
On peux essayer d'aller plus loin dans l'analyse peut-être
Ne modifie pas ton Giro MrLafar ! S'il te plaît alors tant mieux. J'essayerai de faire un commentaire un peu plus détaillé.
Il trace bien ce qu'il veut, il n'empêche que c'est un parcours qui ne se rattache pas à quoi que ce soit de crédible. Ça c'est un parcours de cyclotouriste de l'extrême qui veut enchaîner les cols italiens, pas un parcours pour une course cycliste.
C'est d'ailleurs assez flagrant quand les étapes de plaine ne sont là que pour servir de récupération entre les phases montagneuses.
Il y a des étapes intéressantes, mais qui perdent tout intérêt dans cette absolue surcharge.
Der neue Radfahrer a écrit:Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop durFrance a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
On peux essayer d'aller plus loin dans l'analyse peut-être
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Adramelech a écrit:Der neue Radfahrer a écrit:Adramelech a écrit:c'est beaucoup trop durFrance a écrit:Je n'rirais pas jusqu'à dire que c'est inhumain mais on frôle les limites de l'extrêmes là.
On peux essayer d'aller plus loin dans l'analyse peut-être
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On peut essayer d'être plus agréable aussi
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