Modérateur: Animateurs labo à parcours
darth-minardi a écrit:Cela passera par les 12 provinces, à défaut de s'arrêter dans chaque, pour une bonne distribution du territoire.
Wings a écrit:Tourrette a écrit:J'ai pensé au tour d'Autriche-Hongrie ou du Saint Empire mais ce n'est pas trop dans les consignes
Techniquement...
CiJiEF a écrit:darth-minardi a écrit:CiJiEF a écrit:Un jour de repos obligatoire, c'est un minimum ou c'est ni plus ni moins que un?
Départ le dimanche, arrivée le dimanche, donc 14 étapes en 15 jours, donc exactement 1 repos.
En effet je n'avais pas compté
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En toute logique, la France, l'Espagne et l'Italie sont interdits, de simples passages ne sont pas autorisés
ContadordeEstorias a écrit:C'est obligatoire ? Car cela limite certaines potentielles étapes au Portugal.
darth-minardi a écrit:ContadordeEstorias a écrit:C'est obligatoire ? Car cela limite certaines potentielles étapes au Portugal.
Il y a de quoi faire au Portugal sans avoir à passer par l'Espagne.
ContadordeEstorias a écrit:darth-minardi a écrit:ContadordeEstorias a écrit:C'est obligatoire ? Car cela limite certaines potentielles étapes au Portugal.
Il y a de quoi faire au Portugal sans avoir à passer par l'Espagne.
Oui bien sûr, mais si l'on veut exploiter le Gerês il faudra très souvent utiliser des petites routes pour éviter d'entrer en Espagne.
ElRojo a écrit:ContadordeEstorias a écrit:darth-minardi a écrit:ContadordeEstorias a écrit:C'est obligatoire ? Car cela limite certaines potentielles étapes au Portugal.
Il y a de quoi faire au Portugal sans avoir à passer par l'Espagne.
Oui bien sûr, mais si l'on veut exploiter le Gerês il faudra très souvent utiliser des petites routes pour éviter d'entrer en Espagne.
Tu peux faire un passage sur une étape cela dit.
Kreuziger a écrit:ElRojo a écrit:ContadordeEstorias a écrit:darth-minardi a écrit:ContadordeEstorias a écrit:C'est obligatoire ? Car cela limite certaines potentielles étapes au Portugal.
Il y a de quoi faire au Portugal sans avoir à passer par l'Espagne.
Oui bien sûr, mais si l'on veut exploiter le Gerês il faudra très souvent utiliser des petites routes pour éviter d'entrer en Espagne.
Tu peux faire un passage sur une étape cela dit.
Lisez les règles le rouge
ElRojo a écrit:Kreuziger a écrit:ElRojo a écrit:ContadordeEstorias a écrit:darth-minardi a écrit:ContadordeEstorias a écrit:C'est obligatoire ? Car cela limite certaines potentielles étapes au Portugal.
Il y a de quoi faire au Portugal sans avoir à passer par l'Espagne.
Oui bien sûr, mais si l'on veut exploiter le Gerês il faudra très souvent utiliser des petites routes pour éviter d'entrer en Espagne.
Tu peux faire un passage sur une étape cela dit.
Lisez les règles le rouge
Oui bon, j'avais oublié que l'Espagne avait un GT aussi.
MelusBou a écrit:Bonjour, je change totalement de sujet ... Pour un ITT est-ce trop dangereux de faire traverser le parcours les voies d'un tramway ?
Pour cette première étape, le maillot de leader devrait être disputé avec un parcours indécis qui devrait sacrer un sprinteur. Mais les puncheurs et les baroudeurs auront aussi leur chance, avec l’ascension à 41km de l’arrivée de Shelter Hill (3e cat), une montée en partie non-goudronnée de 2,1km à 7,9%. Un sprinteur en difficulté ici pourrait ne jamais rentrer puisque le terrain ne sera de nouveau plat qu’à 19km de Kavala.
Pas de doute, c’est un homme fort qui s’imposera à Kilkis. Si les coureurs sont encore loin de la haute montagne, le terrain sera déjà bien difficile sur cette 2e étape avec pas moins de neuf ascensions au programme, dont le redoutable Skopia (2km à 11%) et la longue montée de Kefalochori (11,1km à 4,8%), toutes deux dans la première partie d’étape. Le final est plus favorable à un puncheur avec plusieurs petites ascensions, dont la Kilkis Hill (600m à 9%), à 2,5km de l’arrivée.
Troisième jour de course et troisième profil différent avec l’apparition des premiers cols de montagne. Et gare au changement de rythme, après plus de 130 kilomètres tous plats, en bord de mer, avant d’aborder le premier col de la journée. Le Diaskelo Pass ser le seul véritable gros morceau de la journée mais avec ses 6,8km à 9,5% et un sommet situé à 46km de l’arrivée, il devrait créer des écarts que l’ascension, juste après, du Kallipefki Pass (6,8km à 5,4%) pourrait encore creuser. Il ne faudra pas connaitre de jour sans…
Si les puncheurs n’ont pas forcément été à la fête depuis le départ, le final à Volos devrait leur correspondre, même si les sprinteurs ne devront pas être écartés d'office. Après un premier passage sur la ligne à 21km de l’arrivée, les coureurs aborderont un circuit bien plus vallonné autour de Volos, avec trois petites ascensions. Après 400m à 4%, il leur faudra grimper la Melina Hill, ses 3km à 7% et son sommet à 13km de l'arrivée vers laquelle plongeront ensuite les coureurs, même s’il restera une dernière ascension, assez facile.
Même si les premiers kilomètres devraient favoriser la formation d’une échappée de costauds, il serait extrêmement surprenant que les sprinteurs se fassent surprendre sur la route, toute plate, de Karditsa. Mais il faudra se méfier du vent dans le final, avec de multiples changements de direction sur des routes assez étroites et où il ne sera pas facile de remonter. Mais les sprinteurs ne voudront pas laisser leur chance, d’autant qu’il leur faudra ensuite attendre le dernier jour pour s’exprimer.
C’est peut-être l’étape la plus « classique » de haute montagne de cet Hellas Tour. Avec seulement 147km au programme de cette étape, il faudra se méfier des délais mais aussi des envies d’attaques lointaines des grimpeurs, sur un terrain qui les favorisera grandement avec l’unique arrivée au sommet de l’épreuve. Si le Koziakis Pass (19km à 5,3%) ne devrait servir qu’à fatiguer les organismes, le Katara Pass (17km à 5,7%) pourrait lui servir de rampe de lancement, avec son sommet à 29km de l’arrivée. Mais les favoris devraient attendre la montée finale, longue de 9,6km à 7,6%, pour passer à l’attaque et créer les premiers gros écarts.
Au lendemain de la seule arrivée au sommet, les coureurs retrouveront un terrain très escarpé autour de Janina, avec huit ascensions au programme, dont deux de 1re catégorie et deux de 2e catégorie. Il n’y aura quasi aucun temps mort après les quinze premiers kilomètres et les ascensions cachent bien souvent des passages bien plus durs qu’on pourrait le croire, à l’image de Chouliarades (12km à 5,6% dont 7km à 8%) ou du Tsourna Pass (8km à 6,8% dont 2km à 10%). Un terrain de jeu idéal pour les coureurs audacieux et offensifs.
Nouvelle journée favorable aux grimpeurs à la veille de la journée de repos, avec une étape en deux temps. Après 75km de plat où le vent sera le seul adversaire dont il faudra se méfier, les coureurs passeront une première fois sur la ligne à Lefkada avant d’affronter les six ascensions de l’île ionienne. L’enchainement de l’Agli Pateres Pass (5km à 8,8%), d’Apollonii (10km à 7%) et de l’Ammokampos Pass (14km à 6%, dont 6km à 8%) offrira une nouvelle opportunité aux grimpeurs de bagarrer, mais il faudra aussi se méfier des descentes techniques.
Au lendemain de la journée de repos, les puncheurs devraient être à l’honneur à Thèbes avec un circuit dans le final qui enchainera l’ascension de Thiva (2,1km à 7,6%) et d’une montée finale (900m à 6%) dans Thèbes, à effectuer à deux reprises. Mais il faudra aussi se méfier de l’échappée, qui pourrait creuser l’écart sur les 150 premiers kilomètres, marqués par le Kirtoni Pass (8,5km à 6%) et un passage à Thermopyles.
C’est le seul et unique chrono de l’épreuve, avec 23,5 kilomètres tracés autour de Chalcis. Un contre-la-montre qui devrait favoriser les gros rouleurs avec un terrain globalement tout plat, malgré un petit mur (350m à 13%) à 5km de l’arrivée. Si un coureur complet veut faire la différence par rapport à un pur grimpeur, c’est le jour ou jamais.
Il m’était impossible de faire une épreuve en Grèce sans tracer une étape entre Marathon et Athènes, sans doute le trajet et la distance les plus connus de l’histoire. Alors qu’un chrono avait un temps été évoqué par les organisateurs, c’est finalement une étape en ligne en format sprint qui aura lieu mais, de sprint, il n’y aura pas. Avec l’Anti Gravity Hill et ses 11,5km à 6% à franchir vers la mi-course, on pourrait retrouver un peloton complètement morcelé dans Athènes. Et le peloton explosera définitivement dans le Lykavittou Mount (700m à 9%) à 2,5km de l’arrivée, d’autant qu’il sera précédé par 300m à 16%. Gare aux cassures ! Les favoris devront être vigilants. Grand spectacle garanti !
Sur la route de Corinthe, les coureurs retrouveront un terrain très escarpé et sans temps mort dans le final, avec un circuit tracé autour du Pision Pass (8km à 6,2%), qu’ils franchiront à deux reprises. De quoi permettre une course de mouvement, même si l’Ekklisia Hill (4,2km à 6,9%) et son sommet à 19km de l’arrivée devrait jouer le juge de paix pour la victoire d’étape. A la veille de la dernière étape de montagne, la journée semble parfaite pour les baroudeurs…
C’est l’étape-reine de l’épreuve, avec deux ascensions de 1re catégorie et deux classées en Hors-catégorie. Assez courte, elle ne pardonnera pas la moindre faiblesse, alors qu’on partira du niveau de la mer pour dépasser les 1700m pour la première fois de l’épreuve. La montée de Manna (7km à 8%) et du Trikalon Pass (17km à 6,7%) dans les 50 premiers kilomètres feront de premiers gros dégâts, avant une longue descente de plus de trente bornes pour rejoindre le pied de Valimi (15,4km à 6,2%). Une ascension plus dure qu’il n’y parait (5km à 9% pour débuter) et suivi d’une quinzaine de kilomètres sans répit avant d’aborder le Kakoudio Pass (11,1km à 7,8%), ultime col où il sera possible de faire la différence. Ensuite, les coureurs descendront vers la station de Hionodromiko Kentro, qui proposera toutefois un final en côte.
On n’échappera pas à une arrive massive pour cette ultime étape mais, après près de dix jours sans opportunité, restera-t-il encore un sprinteur – et donc une équipe avec la volonté de contrôler - au sein du peloton ? Car, sans cela, les deux petites bosses du circuit final (600m à 5% puis 400m à 10%) pourraient offrir un beau terrain de jeu aux audacieux. Même s’il restera encore 13km pour rejoindre Sparte.
Adramelech a écrit:je comptais partir sur la Croatie, mais j'arrive pas à me décider, et je bloque après la 1ère semaine. Donc je vais tenter un Tour de Tanzanie
une arrivée à 3700 mètres peut-elle être envisagée ?
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