Cool ce topic !
J'ai commencé à écrire sans prétention il y a 3 jours. J'ai notamment fait deux poèmes et ai commencé d'écrire un livre même si je ne suis qu'au premier chapitre pour l'instant.
Voici le début du livre :
C'était une de ces journées d'été, où la pluie venait ruisseler sur le toit de son foyer. Il (prénom à trouver) l'écoutait se fracassait tel un raz de marée, puis soudain se mit à penser : «mais pourquoi fait-il aussi maussade à cette période de l'année, alors qu'hier, le soleil illuminait une si belle journée» ? Cette vive pensée lui rappela l'été dernier, lorsque la canicule frappait. Il se remémora les journées passées à déambuler dans la forêt, frappé par les rayons du soleil perçant les arbres du futaie. C'était une si belle époque où malgré la solitude, il vivait cela tel une épopée.
Ensuite voici les deux poèmes dont un que je viens d'écrire ce matin qui sont assez tristes. Si vous avez des conseils pour améliorer, notamment dans les règles de littérature je suis preneur (j'ai tout fait au feeling).
Poème 1 : Solitude
Oh solitude, toi qui n'as rien de virtuel,
Ta sagacité a tout d'un rituel.
Oh solitude, toi qui me laisses comme un romanichel,
Ta perversité n'était qu'un préquel.
Oh solitude, toi qui n'as rien de compassionnel,
Ton vice est exponentiel.
Oh solitude, toi qui n'est pas conventionnel,
Ta dépravation est solennelle.
Oh solitude, toi qui n'as rien de superficiel,
Ta cruauté m'ouvre comme un scalpel.
Oh solitude, toi qui n'as rien de traditionnel
Ta monstruausité est irrationnelle.
Oh solitude, toi qui me ronges jusqu'à l'éternel,
Ton habit m'enveloppe tel le cercueil d'un mortel.
Oh solitude, toi qui n'as rien d'accidentel,
Ta plus belle épopée va me mener jusqu'au ciel.
Je l'ai posté sur Instagram celui-ci si vous voulez suivre mes pérégrinations :
https://www.instagram.com/bleakluminary2/?hl=frPoème 2 : Tristesse
Tristesse, tu me rends instable,
A me faire péter un cable.
Tristesse, tu me rends coupable,
Dans une vie invivable.
Tristesse, tu me rends cassable,
Et tu es incassable.
Tristesse, tu me fais passer pour un incapable,
Et tu es immuable.
Tristesse, tu me rends inconsolable,
Et tu es inéductable.
Tristesse, tu me rends inappréciable,
Et tu es insoutenable.
Tristesse, tu me rends méconnaissable,
Et tu es inqualifiable.
Tristesse, tu me rends irrecevable,
Et tu es irrevocable.
Tristesse, tu me rends escamotable,
Et tu es indomptable.
Tristesse, tu me rends manipulable
Et tu es inviolable.
Tristesse, tu me rends insociable
Et tu es incontournable.
Le deuxième est un peu moins recherché d'un point de vue vocabulaire