FernandoEscartin a écrit:Le développement de la voiture électrique suit 2 objectifs :
- indépendance énergétique
- maintien de l'industrie automobile
L'objectif écologique est uniquement de la communication.
FernandoEscartin a écrit:Le développement de la voiture électrique suit 2 objectifs :
- indépendance énergétique
- maintien de l'industrie automobile
L'objectif écologique est uniquement de la communication.
redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Diyo a écrit:Les 90% via nucléaire et hydroélectrique sont surestimé il me semble surtout dans les conditions actuelles de disponibilité du parc nucléaire.
Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Mathieu Lourdot a écrit:Diyo a écrit:Les 90% via nucléaire et hydroélectrique sont surestimé il me semble surtout dans les conditions actuelles de disponibilité du parc nucléaire.
La disponibilité actuelle du réseau est particulièrement faible car les 2 années COVID ont repoussé les maintenances des centrales. Donc on a une année exceptionnelle (puisqu'il faut gérer 2 à 3x plus de maintenances en simultané, ce qui forcément réduit drastiquement la production).
Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt [b]en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.[/b]
Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Panzer a écrit:Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Ce qui est surtout problématique, c'est que les prix du carburant atteignent des niveaux de fou depuis quelques mois et que beaucoup de gens sont en galère à cause de ça, grosse baisse de pouvoir d'achat. On nous explique que c'est la crise, la guerre en Ukraine, qu'il faut se serrer la ceinture, être solidaire. Mais quand tu vois que Total effectue des bénéfices records grâce notamment à cette explosion des prix, dû à la spéculation, c'est absolument pas normal et le message est vraiment dégueulasse.
J'aime pas tous ces mouvements GJ et compagnie, mais plus le temps passe, plus je les comprends...
Panzer a écrit:Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Ce qui est surtout problématique, c'est que les prix du carburant atteignent des niveaux de fou depuis quelques mois et que beaucoup de gens sont en galère à cause de ça, grosse baisse de pouvoir d'achat. On nous explique que c'est la crise, la guerre en Ukraine, qu'il faut se serrer la ceinture, être solidaire. Mais quand tu vois que Total effectue des bénéfices records grâce notamment à cette explosion des prix, dû à la spéculation, c'est absolument pas normal et le message est vraiment dégueulasse.
J'aime pas tous ces mouvements GJ et compagnie, mais plus le temps passe, plus je les comprends...
Mathieu Lourdot a écrit:FernandoEscartin a écrit:Le développement de la voiture électrique suit 2 objectifs :
- indépendance énergétique
- maintien de l'industrie automobile
L'objectif écologique est uniquement de la communication.
Si ton électricité est produite majoritairement par le gaz/charbon/pétrole comme en Allemagne par exemple, c'est effectivement de la pure communication et c'est même nocif car moins efficace que de rouler directement au pétrole du fait des conversions successives (du fossile en électricité, puis de l'électricité en énergie cinétique).
En revanche, lorsque comme en France, ton électricité provient à plus de 90% de l'hydro-électrique et du nucléaire, rouler à l'électrique (j'y inclus aussi l'hydrogène même si c'est encore très peu développé) a un impact plus que significatif sur les émissions de CO2. Par contre, vouloir rouler à l'électrique tout en se passant de nucléaire, c'est au mieux de la bêtise, au pire de la malhonnêteté.
Tilo a écrit:Panzer a écrit:Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Ce qui est surtout problématique, c'est que les prix du carburant atteignent des niveaux de fou depuis quelques mois et que beaucoup de gens sont en galère à cause de ça, grosse baisse de pouvoir d'achat. On nous explique que c'est la crise, la guerre en Ukraine, qu'il faut se serrer la ceinture, être solidaire. Mais quand tu vois que Total effectue des bénéfices records grâce notamment à cette explosion des prix, dû à la spéculation, c'est absolument pas normal et le message est vraiment dégueulasse.
J'aime pas tous ces mouvements GJ et compagnie, mais plus le temps passe, plus je les comprends...
Y a pas que ça dans l'augmentation des prix, en Belgique le prix du carburant à 55% taxé et vont à l'etat.
Diyo a écrit:Panzer a écrit:Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Ce qui est surtout problématique, c'est que les prix du carburant atteignent des niveaux de fou depuis quelques mois et que beaucoup de gens sont en galère à cause de ça, grosse baisse de pouvoir d'achat. On nous explique que c'est la crise, la guerre en Ukraine, qu'il faut se serrer la ceinture, être solidaire. Mais quand tu vois que Total effectue des bénéfices records grâce notamment à cette explosion des prix, dû à la spéculation, c'est absolument pas normal et le message est vraiment dégueulasse.
J'aime pas tous ces mouvements GJ et compagnie, mais plus le temps passe, plus je les comprends...
Après même si totalenergie est omniprésente en France de part son implantation historique c'est surtout une multinationale tant de part son actionnariat que de part ses activités, la majeure partie de son chiffre d'affaire est réalisée à l'étranger.
c'est une cible parfaite en France pour les GJ par exemple mais la majeure partie des bénéfices sont quand même réalisés hors hexagone (rien qu'à l'échelon européen, même si la France est son plus gros marché en prenant par pays, le reste des pays européens représentent le double en chiffre d'affaire de celui français.)
Panzer a écrit:Tilo a écrit:Panzer a écrit:Mathieu Lourdot a écrit:redneck a écrit:Total qui fait quelques bénéfices. Il ne faudrait pas les taxer, ce serait vraiment dommage. Qui n'a pas mis sa cravate ?
Sauf que ces bénéfices ne sont pas réalisés en France...
En fait, pour la taxation des bénéfices des groupes multinationaux qui ont leur siège en France, tu as deux régimes principaux :
- Le régime de droit commun : chaque succursale (ou filiale) déclare ses résultats dans chaque pays où elle a une activité. Globalement, ça revient à payer l'impôt local dans chaque pays où la filiale réalise des bénéfices, dans les pays où il y a du déficit, ces déficits n'impactent pas l'impôt du groupe (en gros, il n'y a pas d'impôt négatif si on est en déficit).
- Le régime du bénéfice mondial sur option : En gros, on détermine le bénéfice global au niveau du groupe et on paye la totalité de l'impôt en France. C'est souvent intéressant car ça permet de compenser les bénéfices et déficits provenant de plusieurs pays.
Au final, Total a décidé d'appliquer le régime de droit commun. Ses activités Françaises restent relativement réduites : réseau de distribution national, services administratifs du siège et surtout les raffineries (qui sont à l'origine du déficit). Donc au final, dire que Total ne paie pas d'impôts tout court est faux. Total ne paie pas d'impôt en France mais tout simplement car ils n'y réalisent pas de bénéfices.
Ce qui est surtout problématique, c'est que les prix du carburant atteignent des niveaux de fou depuis quelques mois et que beaucoup de gens sont en galère à cause de ça, grosse baisse de pouvoir d'achat. On nous explique que c'est la crise, la guerre en Ukraine, qu'il faut se serrer la ceinture, être solidaire. Mais quand tu vois que Total effectue des bénéfices records grâce notamment à cette explosion des prix, dû à la spéculation, c'est absolument pas normal et le message est vraiment dégueulasse.
J'aime pas tous ces mouvements GJ et compagnie, mais plus le temps passe, plus je les comprends...
Y a pas que ça dans l'augmentation des prix, en Belgique le prix du carburant à 55% taxé et vont à l'etat.
C'est un autre sujet encore.
Celui qui a la main sur le prix du carburant, c'est Total et les autres fournisseurs. Il y a bien sûr de la taxation, mais celle-ci est proportionnelle au prix fixé par le fournisseur. Si Total n'augmente pas son prix de vente (donc son CA), il n'y a aucune hausse de taxes et aucune hausse à la pompe.
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