PCM France
5 jours complets à St Jean de Maurienne, 4 à Chambéry, 4 à Briançon.
Par coïncidence, je serais avec Wawan Barguil dans le même hôtel à SJDM.
A SJDM, j'aurais deux enchaînements de cols obligatoires, qui m'ont été conseillé : Télégraphe / Galibier et Mollard / Croix de Fer. Je compte sur toi Wawan ou Akit', pour ces deux enchaînements.
J'avais vu que tu voulais grimper l'Iseran. Bordel, tu me tentes.
A Chambéry. 4 jours sur place. RDV pris avec Gringo pour le Mont du Chat.
Le Grand Colombier sans circulation sera également un grand événement.
Si j'ai les jambes, je botterais les fesses au Semnoz après ce qu'il m'a fait subir l'an dernier. 
Enfin, direction Briançon. Je m'étais inscrit pour participer au Défi du Granon pour mon dernier jour et surtout regrimper l'Izoard. Mais je suis encore très indécis par rapport à ma récupération. Si je n'ai pas les jambes, je ferais plutôt un séjour "découverte" avec Agnel, Colombis et le Parpaillon.
Deux semaines qui s'annoncent intenses, et qui seraient magnifiques si je parviens à garder un bon niveau sur les 2 semaines. J'éviterais donc toute sortie marathon ou avec trop de vallée.
Gringo et Akit' se sont proposés pour une sortie. Si d'autres sont intéressés ou si d'autres ont des cols à me conseiller dans le coin (accessible en TER), n'hésitez pas.
Le D+ que je vais me taper cet été.
. J'arrive au sommet en 1h07, rien de fou, mais je suis bien. 
En effet, je me suis trompé de route et me suis retrouvé dans le Glandon 
. Je m'élance de Guillestre à l'assaut du terrifiant Col Agnel, trop peu fréquenté par les grands tours, franchi par l'autre versant lors de la superbe victoire d'Andy Schleck au Galibier en 2011 
. Les premiers kilomètres d'ascension sont très simples, on est sur du 3% avec seulement un ou deux kilomètres à 7% et quelques passages à 5%. Un bon échauffement de 22km avant d'arriver à Vieille-Ville, où la pente se relève pour les 21 derniers kilomètres. Un pied difficile, une accalmie de quelques kilomètres avant un final dantesque en ligne droite, avec un fort vent de face, constamment au-dessus de 8% avec quelques rampes supérieures à 10% 
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. Dans un village au milieu de la descente, je trouve un magasin de sport et achète une chambre et deux démonte-pneu. Ouf 
. Je profite de cet arrêt pour acheter un sandwich à la boulangerie, en manger la moitié et repartir.
. Les premiers kilomètres sont simples, mais rapidement, ça se gâte. Mention spéciale aux passages supérieurs à 10% après Arvieux et Brunissard 
Je roule à son rythme pour discuter un moment. Le mec vient de Pau et venait participer à l'étape du Tour. Pendant que nous parlons, un cyclo nous rattrape. Le mec nous double sans un mot, et mon compagnon de route me suggère de le suivre. Je ne m'en sens pas capable mais je tente quand même le coup. Il reste 6km à gravir.
. Il me regarde d'un œil mauvais sans me répondre. Je suis vexé 
. Arrivé à la sublime Casse Déserte, j'attaque avant la descente pour lâcher mon compagnon de route et finir l'ascension seul, en 1h08', avec 2 bonnes minutes d'avance. Nouveau regard noir de cet homme une fois au sommet 
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