Galibier Challenge 2025feat Nico32, Fauniera, Allwatcher, Peto, 3 amis d'Allwatcherhttps://www.strava.com/activities/14733430692Préambule : ça sera peut être long, peut être pas, je vais écrire au feeling et comme ça me vient donc ça sera peut être un peu fourre-tout
Contexte :Dès le mois d'octobre, je me chauffe à m'inscrire à cette cyclo surtout en ayant été sur place (mais pas inscrit) l'an dernier, en accompagnement d'Allwatcher. Bon je sais plus qui a lancé l'idée et comment ça s'est fait mais globalement on s'est chauffé tous ensemble avec Fauniera, Allwatcher, et puis ce dernier nous avait informé qu'il y aurait probablement ses amis et Nico32. Bref, on s'inscrit dès l'ouverture des inscriptions le 1er octobre, au meilleur tarif. Et ça donnera un but concret pour rouler tout l'hiver !
Prépa :Assez motivé après ma première expérience en cyclo mi-octobre et avec une réelle volonté de progresser (en plus des progrès déjà visibles) je me lance dès novembre à beaucoup rouler, sans pour autant avoir l'impression d'en faire trop ou d'être fatigué.
J'encaisse plutôt pas mal l'entraînement, je discute pas mal avec Nico32 et surtout Allwatcher pour avoir la meilleure prépa. Un big merci d'ailleurs à Allwatcher qui a toujours été dispo pour me dispenser des conseils ou des exemples d'exercices, je pense que mon gros step vient aussi de là, grâce à l'entrainement au capteur de puissance.
Fin avril, mes progrès sont confirmés par la cyclo "Le Raid du Bugey" (petit parcours) où je fais un bon classement en ayant été acteur de ma course, ce qui me motive toujours plus !
Le mois de mai arrive et un gros bloc se profile avec les vacances en Haute-Alpes (big up à Hortanc pour m'avoir aidé à tracer les sorties

) et au Vercors, beaucoup de sorties, variées, qui m'ont permis de bosser l'endurance, la répétition d'efforts, et de faire quelques montées longues à bon rythme, et de jouer un peu du dérailleur avec Gringo et Huliop sur les sorties dans le Vercors (
en restant à distance des machines
)
Je conclue mai avec plus de 1900km et 40 000m de D+ ce qui me fait évidemment un mois de tous les records

et ça me laisse une semaine pour faire du jus.
Dans le même temps, un événement absolument pas prévu est intervenu... un nouveau vélo. A la base je voulais attendre encore 2 ou 3 ans, puis j'ai commencé à regarder les différentes marques... et j'ai craqué
La différence est nette, énorme, franchement au début je n'ai plus l'impression de disputer le même sport
Avant-course :Je démarre la voiture pour partir en Maurienne et ça commence bien, j'ai une ampoule de phare grillée

avec mon père on passe plus de 20 minutes à essayer de la changer, pas moyen on y arrive pas. Tant pis, je pars avec 1 phare et j'essayerai de changer dans le week-end (pour l'anecdote j'ai finalement réussi, je sais pas trop comment, à force de tirer dans tous les sens).
Bon je suis pas le seul à avoir eu des petits soucis d'avant course, les intéressés en parleront peut être
On arrive à Orelle, lieu du séjour, et on se prévoir un déblocage veille de course, sans Nico32 qui ne souhaite pas rouler, et 2 des 3 potes d'Allwatcher qui ne sont pas encore arrivés mais ne souhaitent faire qu'une partie du parcours.
On part donc à 5 faire la première boucle. Juste avant de partir, on scrute la météo puisque le ciel est très menaçant. "1mm entre 18 et 19h avec une probabilité de 25%" : je préviens qu'on va se prendre la flotte, Fauniera me dit "meuuuuh non c'est quasi rien et juste 25%" je fais un rappel générale pour annoncer ma poisse légendaire avec les conditions météo
On part donc en repérage sur ce qui sera la 1ère montée de la cyclo le lendemain, il fait bon on discute bien. Arrivée au sommet les premières gouttes se font sentir. On retourne au gîte où finalement (et je les comprends, j'aurai fais pareil à leur place finalement

) les 2 autres amis d'Allwatcher qui sont arrivés ne souhaitent pas sortir non plus tandis que le 3e ami d'Allwatcher arrête là je crois. On repart avec Fauniera Peto et Allwatcher, pas rassuré par la pluie, en direction de la 2e boucle. Il pleut de plus en plus et alors qu'on attaque la 2e montée du parcours, la pluie redouble encore, ç'en est trop et on décide de faire demi tour. Retour vent de face, sous la flotte qui avec le vent tape bien sur le corps
D-Day :Réveil à 6h30 après une nuit... moyenne

avec pour objectif de décoller vers le départ aux alentours de 7h30. On arrive au départ un peu avant 8h, pour ne pas se retrouver trop loin dans le sas.
Faut savoir qu'ils ont un peu chier sur les 2 sas et le loisir/compétition qui n'était pas le bon sur les plaques de cadre de certains, donc c'est un peu premier arrivé premier servi. Peto, Allwatcher, Fauniera et moi on se met dans le sas compét, tandis que les 4 autres compère se mettent plus loin dans le sas loisir. Il fait plutôt frais mais pas froid, du coup le coupe vent s'enlève avant même le départ. La hype commence à arriver, je me sens bien, j'ai hâte
Tous les jours précédents et le matin on a un peu parlé stratégie, de comment aborder la course, pour pas trop se cramer et bien profiter du Galibier. On va essayer de doser quoi.
On se souhaite bonne course et c'est parti
Marqué par le nombre de place beaucoup trop élevé perdu lors de ma première expérience cyclo sur la Bisou l'an dernier, ce qui m'avait vu perdre contact avec le gros peloton qui s'était échappé sur le plat, je décide dès le fictif de remonter. A ma grande surprise ça frotte très peu, et ça me permet de commencer à remonter, notamment sur le faux plat montant en sortie de St Michel de Maurienne.
Je me retrouve alors sur la gauche du groupe environ milieu de route, et sans me cramer j'appuie un peu sur les pédales et gagne plein de places
Je me retrouve alors quasiment tout devant ! Je décide donc, pour l'histoire, pour la postérité, pour l'ego, de faire l'effort et me placer en tête de la cyclo
Je passe quelques relais, je suis même en tête du groupe au moment où un photographe prends des photos.
Donc je sais que des photos de moi en tête de la cyclo existent, mais je ne les ai - pour le moment - pas retrouvées. A ce moment là de la course, c'est tout pour l'image, rien pour la gestion
Je me replace ensuite tranquillement dans les 10 premiers avant la première montée, où je compte baisser de rythme pour ne pas exploser.
Déjà, ça commence mal, on arrive au rond point pour aller chercher la montée : je prend l'extérieur comme toute la tête du groupe, pendant que le reste prend l'intérieur (respectez le code de la route qu'ils disaient

)
je passe donc en quelques secondes de top 10 à top 50 à minima - MAIS T ETAIS OU ANTHONY ????
archi dégoûté, je sais que je vais devoir m'infliger des efforts inutiles. Je remonte quelques places mais laisse globalement les premiers s'envoler et prend mon rythme. Sur le haut de la bosse, je fais l'effort pour rattraper ceux devant moi en prévision de la transition vers le col de Beau Plan.
En bas, on se retrouve à 3 puis on rattrape 3 autres cyclos pour former un groupe de 6. Malheureusement, on est que 3 à passer des relais, donc 1 qui passe des demi-relais. Je suis un peu frustré mais j'ai pas envie de perdre de temps alors je roule. Et puis quand on passe le rond point de sortie de Saint Michel bah je fais comme les autres et je le prends en contre-sens pour ne pas avoir à freiner.
Dès le pied je me mets à mon rythme et comme par hasard ceux qui prenaient pas de relais partent devant

Tandis que celui qui a donné les plus gros relais reste dans ma roue avant d'être distancé rapidement. Je monte donc à mon rythme en ayant en point de mire quelques gars mais je n'en rattrape qu'un seul. Puis je vois derrière moi un gros groupe qui se rapproche au fur et à mesure de la montée. Une fois qu'ils m'aient rattrapé, je me cale dans les roues en 3-4e position pendant quelques temps derrière 2 gars qui font le tempo et discutent "ah oui on va là après", "je sais pas quelle distance il nous reste" puis je craque et me met en mode Meintjes, fin de groupe. Pendant les 5 derniers kilomètres de Beau Plan, je fais le yoyo en restant à 20 mètres du groupe qui finira par se scinder en 2, mais je m'interdis de lâcher parce que derrière moi il n'y a plus personne et pas de groupe ! Je me dis que je suis finalement pas trop mal classé, ça aide à garder le moral. Devant moi, un autre cyclo faisait le yoyo, je l'avais repéré car il avait fait le départ comme moi. Pour l'anecdote il finira un peu plus loin derrière moi mais premier de sa catégorie (+70 ans)
Je fais l'effort au sommet, je m'arrête pas au ravito mais je tape la main de 2-3 bénévoles qui nous font une sortie de ola avec la musique à fond derrière
La descente est pas un billard, je fais attention, je préfère perdre un peu de temps que de tomber. Résultat j'ai l'impression d'être très lent et je me fais légèrement décroché par le groupe de devant. L'avantage c'est que j'avais personne derrière donc j'ai pu faire la descente sans prendre de risque ni risquer d'être surpris par quelqu'un qui arriverait de derrière.
Et pourtant pour avoir comparer les temps de descente, je suis descendu plus vite que tout mes compères du gîte, comme quoi le ressenti...
Sur la fin de Beau Plan je remarque que je commence à avoir des débuts de crampe, j'ai clairement pas assez bu vu les efforts que j'ai donné et malgré un gel pris dans la montée. A ce moment là, ça va encore.
Arrivée au pied du Télégraphe, je mange une pate de fruits puis je fais tout de suite un petit effort pour recoller les 3-4 personnes devant moi. Le but est de monter tranquillement en prévision du Galibier. Je me cale donc à un rythme (300w) que je sais pouvoir tenir assez longtemps, et en avant Guingamp. On commence à s'échapper à 2 avec un autre gars, je discute un peu avec lui, il me demande quel classement on joue, il me lance top 30 je lui réponds non probablement pas, puis il me dit top 50 et même si à ce moment là je le pense pas non plus, ça me motive car ça semblerait plus ou moins correspondre à tout ceux qui se sont échappés devant. Il prend ensuite un rythme plus élevé que moi et va plafonner quelques secondes devant moi pendant toute la montée.
Mais dans le Télégraphe j'ai subitement un bon coup de stress, à un moment un début de crampe arrive, pendant 2-3s impossible de pédaler. Ayant ensuite analysé comment elle est apparue sur le coup de pédale, je m'efforcerais pendant toute la montée à ne pas reproduire le même geste, pour que ça ne recommence pas et je me mets à beaucoup boire, en me disant que je m'arrêterai au ravito du Télégraphe.
Du coup en 45 minutes je descend un peu plus de d'1 bidon d'eau, soit plus de 750mL, et ça tient plutôt bien.
Sur la montée, je me suis fait rattrapé par 1 seul cyclo qui m'a déposé, tandis que j'ai commencé à rattraper les derniers de la grimpée chrono. A 2 bornes du sommet, je rattrape le cyclo avec qui j'ai un peu discuter, il commençait à craquer (mais jouait aussi le classement de sa catégorie, les +60 ans).
Pause ravito au Télégraphe de 30s, y'a pas grand monde donc je me presse de demander à remplir les bidons (il me rempli pas le premier à fond je lui dit de bien remplir le 2e (avec politesse évidemment !)) parce que je sens que je vais en avoir bien besoin.
Je prend un gel dans la descente qui mène sur Valloire en prévision de la montée finale. Nous voilà donc, à 2 toujours avec mon nouvel ami, élancé dans le Galibier. On fera la montée ensemble jusqu'un peu avant Plan Lachat, même si globalement c'est moi qui roulerait car il est un peu juste. Dans le même temps, je continue à remonter les morts de la grimpée, donc ça donne plein de petits objectifs, même si je désespère de ne rattraper personne de la cyclosportive.
Dans ma tête, Plan Lachat se situe à 9km du sommet alors quand je (re)découvre que c'est à 7km environ du sommet ça me fait un bien au moral de me dire qu'il y aura 2km "en moins" plus durs
J'essaye également de voir un peu dans la vallée si de loin je peux reconnaître Allwatcher ou Fauniera, mais je les vois pas. Je sais qu'ils sont derrière moi, mais je sais pas où, je les pensais pas très loin.
Après Plan Lachat c'est un mélange de kif et de souffrance : je commence à rattraper des gens de la cyclo, mais en même temps je suis fatigué, je peux, comme au long de la montée, profiter des paysages, des premières routes au milieu de la neige

et je trouve le temps vraiment pas long. J'ai tout de même 2 coups de moins bien, je pense à mon grand-père, parti il y a quelques semaines subitement, que j'ai pas eu le temps d'aller voir à vélo alors que l'itinéraire était tracé et le jour choisi, il n'était pas un grand fan de vélo mais je sais qu'il était fier que j'en fasse même si dans la famille on évoque très peu (voir pas) les sentiments. Instant mylife mais je crois que même dans quelques années en l'évoquant j'aurai toujours la voix qui se nouerait et les larmes qui arriveront, regrets éternels.
Bref, revenons dans la bonne humeur, ça me rebooste pour ne pas lâcher et continuer. Les crampes sont passées, je crois que j'ai pris un 3e gel mais je sais plus trop quand... depuis la sortie de Valloire, je me fixe de boire tout les x kilomètres et de me mettre en danseuse assez souvent pour soulager les muscles et le dos. Le plan est parfait, et ça file plutôt bien.
Arrivée au dernier kilomètre, je repense à notre discussion de groupe la veille "objectif le faire le plus vite possible"
dès le virage du tunnel j'en remet une couche. Je tiens 50 mètres et je me calme instantanément car je sais que j'arriverai pas en haut sinon
Dans les derniers lacets je rattrape encore des gars de la cyclo, dont celui qui m'avait déposé dans le Télégraphe ! Les 300 derniers mètres arrivent, ni une ni deux je remets du braquet et je met tout ce qu'il me reste, il faut pas que quelqu'un me redouble ! (je fais les 400 derniers mètres à 355W de moyenne, ce qui me place dans les meilleurs temps de la journée sur le sprint

)
J'arrive au sommet je reçois directement un SMS avec le résultat ! Il m'annonce 43e ! Je n'en reviens pas mes yeux, les sentiments se mélangent car à la base je viens pour un top 100 derrière Allwatcher et Fauniera (j'avais tout de même espoir, au vu de mon entrainement, de pas être trop loin d'eux)... d'ailleurs ma première pensée ira à 43e ouf c'est pas 42 j'ai évité d'avoir le numéro de Sainté

le classement officiel final me classera tout de même 42e du coup
Au sommet je mange un bon sandwich que je me suis trimballé toute la cyclo #gainsPASmarginaux

et je prend du coca, en attendant les autres. Le temps passe un peu et je les vois pas arriver. Je me place vers l'arrivée pour les prendre en photo puis je vois arriver Allwatcher, qui semble au bout de lui même. Quand il a repris ses esprits, je lui dit que j'ai vu arriver que lui. Il me dit que Fauniera est déjà arrivé. Bon, bah je l'ai loupé...
On attend un peu encore un peu, pause ravito pour eux, puis on décide de commencer à redescendre car le vent souffle un peu plus et il commence à faire froid (je suis resté au sommet bien 35 minutes)
Dans la descente, j'essaye de repérer nos compagnons d'infortune

Peto n'est plus très loin du sommet quand je le croise, je loupe un ami d'Allwatcher, puis je vois subitement Nico32 un peu plus bas. Pas le temps de m'arrêter mais le temps de crier "Allez Yoan" et je continue. Plus bas, je repérerais enfin les 2 autres amis d'Allwatcher, avec leur fantastique tenue Groupama FDJ
On arrive à Saint Michel où on attend Peto, Nico32 et le 1er ami d'Allwatcher, et on s'installe tous ensemble pour commencer à discuter et débriefer de la cyclo. Les 2 autres amis d'Allwatcher arriveront un peu plus tard, et prendront probablement plus de temps à faire la queue qu'à manger
Retour blabla avec Nico32 ultra facile, les jambes sont super, on discute et pourtant on avance bien. Ma foi.
Après course :2 amis d'Allwatcher partent directement après la cyclo, tandis que Peto reste un peu avec nous puis nous quitte à son tour en début de soirée. On est donc 5, encore une soirée bien sympa et on discute du programme du lendemain.
Nico32 part sur un programme plus allégé que nous autres, qui décidons d'aller grimper la fameuse Saussaz. Une bonne vacherie

c'est une... expérience, disons. Mais ça vaut pas spécialement le coup d'aller s'y refaire mal une 2e fois

non pas parce que c'est nul mais parce que c'est tellement duuuuuuuuur, et encore on y est allé très tranquillement

en gros, bien que je ne l'ai jamais encore montée, c'est très similaire à la Loze, il y a énormément de passages raides suivis de replats. Mais le paysage au sommet vaut le coup, même si c'était assez bouché en raison des feux canadiens.
Descente prudente parce que la route est assez défoncée sur le haut, puis je m'arrête un peu plus bas pour faire l'état des lieux. Malheureusement, Allwatcher a crevé. Réparation, pendant ce temps moi je remonte un peu sur la Saussaz (bah oui, et pourquoi pas tiens #débile) et enfin on rentre tous ensemble, directement, car le temps file mine de rien. Et perso j'avais pas vraiment envie d'allonger...
Conclusion : vous avez peut être pas tout lu
Et bah je sais pas trop quoi dire. Toute la team trouve ma performance assez exceptionnelle, et moi j'avoue, même encore avec 2 jours de recul, je me rends vraiment pas compte. J'ai vraiment fait le trou sur les montées d'Orelle et de Beau Plan, et puis j'ai ensuite plutôt stabilisé dans le Télégraphe/Galibier. Même par rapport à la cyclo d'Allwatcher l'an dernier je suis plutôt pas mal.
Alors certes, certains sont plutôt là pour le loisir (même si malgré tout tout le monde donne le meilleur de soi-même !) et d'autres ont eu des prépa tronquée par les blessures, mais vous savez quand vous avez l'habitude d'être toujours celui qu'on attend, que vous avez l'impression de ralentir le groupe, bah c'est difficile de décrire les sentiments et d'expliquer la perf
J'avais en tête les chronos des montées d'Orelle et Beau Plan d'Allwatcher de l'an dernier pour avoir une base à viser et je suis un peu mieux, inexplicable.
L'effet surcompensation de la semaine de vacances a beaucoup joué, j'espère que c'est une vraie progression physique validée et non pas un coup d'un jour, place maintenant au 2e objectif et non des moindres, la marmotte
D'un point de vue chiffre :
P42 sur 651 en 3h34'02
Je perds environ 20 à 30W par montée, 351 > 323 > 303 > 277 / Orelle > Beau Plan > Télégraphe > Galibier mais ça me fait tout de même un Galibier à près de 4w/kg si les puissances sont bonnes (y'a pas de raison qu'elles soient mauvaise ceci dit)
Entre août 2022 et juin 2025, soit quasiment 3 ans, le chrono du Galibier depuis SMM est passé de 2h55 à 2h06 !