Pour presque tous les coureurs, la reconnaissance du parcours de Paris-Roubaix est un passage obligé pour bien préparer l’Enfer du Nord, afin de bien avoir en tête les secteurs pavés et l’état dans lequel ils sont, pour poser ses roues au meilleur endroit. Comme eux, nous avons remonté – en voiture – les trente secteurs de ce Paris-Roubaix 2025, de Troisvilles à Roubaix, avec un habitué de ces reconnaissances, pour prendre la mesure de ces pavés avant samedi (pour les femmes) et dimanche (pour les hommes).
Note générale : la vue sur le StreetView est ancienne et donc obsolète pour certains pavés – leur état notamment, certains ayant été refaits ou s’étant dégradés. Ils ont tout de même été mis pour l’impression générale de l’approche, les éventuelles courbes, la largeur, les éventuels bas-côtés et la topographie générale.
#30 : Troisvilles à Inchy, 2 200 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★
L’introduction traditionnelle. Avant de traverser la nationale, tout va bien et c’est large. C’est plus le placement en amont qui sera compliqué. De l’autre côté, ce n’est plus la même chose, avec le vrai début de la difficulté, de la poussière et même du dénivelé : ça monte jusqu’au virage, ça descend ensuite. Clairement pas le Paterberg, mais déjà de quoi faire bien mal.
#29 : Viesly à Quiévy, 1 800 m
Note ASO :★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
Après un mini pavé dans le village de Viesly, ce deuxième secteur nous a paru plus poussiéreux et cahoteux que par le passé. Sa difficulté réside surtout dans le grand enchaînement à venir, car il y a moins d’un kilomètre avant le pavé suivant. Et aussi, des rues étroites avant le pavé.
#28 : Quiévy à Saint-Python, 3 700 m
Note ASO : ★★★★
Note Le Gruppetto : ★★
Long pavé, le plus long pavé continu de la course, mais un pavé très propre où on peut balancer les watts sans problème, surtout dans la deuxième portion, après le virage. Léger faux-plat sur la fin avec un pavé plus abimé en raison d’un passage de plus d’engins agricoles et de la « pente », mais quand même quelque chose de très propre par rapport à la suite.
#27 : Saint-Python, 1 500 m
Note ASO : ★★
Note Le Gruppetto : ★★
Après moins d’un kilomètre en faux-plat descendant, on aborde un autre pavé assez propre. La difficulté est surtout de la portion finale en faux-plat descendant et de la prise de vitesse qui y sera inhérente. Il faudra donc être bien maître de sa machine ici (300 mètres à -5 %).
#26 : Vertain à Saint-Martin-sur-Écaillon, 2 300 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★
Petite côte dans la transition par Solesmes avant d’aborder ce pavé qui est le plus moche du Cambrésis. Plein de mini-courbes dans tous les sens et de la poussière, avec même de la boue s’il fait humide dans la nuit et de la prise de vitesse moins contrôlable dans des portions en faux-plat descendant. Et bonus, l’asphalte est dégueulasse en sortie de secteur, avec des nids-de-poule révélant du pavé. Il faudrait y aller avec des pioches. En une semaine, on étend ce secteur à 3 bornes.

Vue du secteur pavé de Vertain à Saint-Martin-sur-Écaillon
#25 : Verchain-Maugré à Quérénaing, 1 600 m
Note ASO : ★★
Note Le Gruppetto : ★★
Après la transition pittoresque par la vallée de l’Écaillon, avec des petites courbes et de dénivelé, on prend un chemin en légère montée qui devient de plus en plus étroit, puis qui devient pavé. Le pavé reste beau, mais on approche d’une zone avec plusieurs secteurs qui s’enchaînent vite (même si moins vite que si on tournait directement à gauche à la sortie de celui-ci comme d’habitude).
#24 : Quérénaing à Artres, 1 300 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★
Pris dans l’autre sens que l’an dernier, il retrouve en quelque sorte le sens initial d’il y a 20 ans, quand il a fallu trouver plein de nouveaux secteurs dans un Paris-Roubaix sans Arenberg, en travaux. Cela reste assez propre, ayant été refait récemment. Quand même une « cuvette » un peu technique en sortie de secteur pour remonter tout de suite vers la voie ferrée. Le passage à niveau risque d’être dangereux en cas de passage d’un train.
#23 : Artres à Famars, 1 600 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
Des travaux ont été faits, à côté du pavé. Un énorme trou est creusé pour permettre l’évacuation de l’eau et de la boue. Avoir Paris-Roubaix, le GP de Denain et les 4 Jours de Dunkerque qui passent au même endroit, ça aide à entretenir un chemin aussi rural. Peu à dire si ce n’est que ça secoue et qu’il n’y a pas de réel bas-côté, la bande d’herbe étant « surélevée » par rapport au pavé, creusé par les tracteurs.
#22 : Quérénaing à Maing, 2 500 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★
Approche inhabituelle de ce pavé, avec une route plus large (et un peu montante). L’angle droit sur ralentisseur avec rétrécissement de chaussée à 200 mètres du pavé sera le point clé d’un pavé assez bon, sauf la « chicane du tas de fumier » qui est plus amochée avec les tracteurs qui sortent du pavé vers les champs à cet endroit. Sortie rapide en faux-plat descendant, mais le pavé y est nickel et on peut y freiner avec la chaussure sur la roue sous la pluie, donc les risques sont limités par temps sec.
#21 : Maing à Monchaux-sur-Écaillon, 1 600 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★
Le « vrai » pavé de très loin le plus propre de la course, où des cyclos peuvent rouler à 40 km/h, avant une transition asphaltée (qui a quand même vu quelques chutes) via Denain.
#20 : Haveluy à Wallers, 2 500 m
Note ASO : ★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★
Le tiers d’introduction est passé, on entre dans les vraies « saloperies » avec ce pavé parfois surnommé « pavé Bernard Hinault ». Partiellement refait récemment, il est quand même très moche (surtout la portion horrible après le virage à angle droit où aucune trajectoire ne semble idéale). On est beaucoup plus secoué que tout ce qui a été fait avant. Contraste amplifié par le pavé de Maing à Monchaux qui reste nickel.
#19 : Trouée d’Arenberg, 2 300 m
Note ASO : ★★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★★
La transition par Bellaing est juste due à des travaux dans Arenberg. C’est un peu plus long, mais rien à dire ici. La nouvelle « chicane » a l’avantage d’avoir un chouia de pavé devant l’entrée de l’ancienne mine et d’offrir de belles relances. Si le peloton est massif, ça étirera. À la relance, de quoi vraiment faire mal pour entrer toujours pleine vitesse dans la trouée. Le pavé en lui-même a-t-il besoin d’une présentation ?
#18 : Wallers à Hélesmes, 1 600 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★
Les 30 ans du « pont Gibus » se feront sur un pavé toujours identique : une entrée nickelle, avec du pavé très propre jusqu’au passage à niveau. Là, changement radical : c’est bombé et il y a des trous de partout, bouchés par des tas de graviers : ce qui veut dire que ce ne sont pas des travaux d’ampleur, mais un petit dépannage pour les agriculteurs. Quand le pavé devient trop moche pour les tracteurs, ça vaut quand même ses 4 étoiles, malgré l’entrée « facile ».
#17 : Hornaing à Wandignies-Hamage, 3 700 m
Note ASO : ★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
Le « pavé Degenkolb » se fera sans le coureur Allemand cette année. L’approche reste compliquée avec plein de courbes sur de l’asphalte pas génial, mais « moins pire » que l’an dernier. C’était plein de trous. Ils ont été bouchés. C’est maintenant plein de bosses. Le pavé en lui même a une première portion pleine de virages qui secoue un peu, avant une coupure asphalté de quelques mètres, puis une longue portion aux plus petites courbes qui donnent un aspect interminable à cette quasi-ligne droite. C’est plus usant mentalement que physiquement de ne jamais voir le bout de ce pavé après les précédents très difficiles.
À noter que la course féminine débute les pavés ici.
#16 : Warlaing à Brillon, 2 400 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★
On est un peu secoué au niveau des courbes et des maisons au milieu du secteur, mais le pavé est franchement nickel par rapport à tous ceux qu’il y a autour, surtout dans sa portion finale entièrement refaite pour le Tour il y a quelques années. Mais bon on a ensuite un seul kilomètre d’asphalte avec deux angles droits pour aller chercher le pavé suivant.
#15 : Tilloy-lez-Marchiennes à Sars-et-Rosières, 2 400 m
Note ASO : ★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★★
C’est toujours aussi moche. Il y a des trous de partout et c’est ultra irrégulier. Un coureur costaud qui sait garder le haut du pavé peut trouver les 5 étoiles exagérées, mais un coureur qui descend dans le bas côté s’apprête à souffrir plus qu’à Mons-en-Pévèle ou sur la fin du carrefour de l’Arbre. Il suffit donc de garder le haut du pavé ? Oui, mais il y a parfois de l’herbe, plein de petites courbes et 4 vrais virages. Et dans la foulée, relance avec un virage plus serrée qu’un angle droit, puis une longue ligne droite exposée au vent (peu importe d’où il souffle).

Vue du secteur pavé de Tilloy-lez-Marchiennes à Sars-et-Rosières
#14 : Beuvry-la-Forêt à Orchies, 1 400 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
La portion le long de l’autoroute « construite artificiellement » est toujours très moche, avec toute l’eau qui s’y évacue, alors que la portion finale est beaucoup plus abordable. Il y a quand même une hésitation à mettre 2 étoiles, car on a presque toujours l’occasion de rouler à côté du pavé sur la partie la plus moche. Plus faisable sur la section « pavé du Moulin », mais celle-ci est moins moche (sauf la toute fin du secteur avec un écart qui tape un peu avant l’asphalte). Attention à la poussière et aux cailloux avec les travaux autour.
#13 : Orchies, 1 700 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
Après la traversée d’Orchies et ses 744 ronds-points et terre-plein, on a l’enchaînement du chemin des Prières, rempli de poussière, mais qui passe bien (sauf les courbes sous les arbres proches des maisons en fin de pavé), puis après une coupure asphaltée et un virage angle droit, le chemin des Abattoirs, qui semble aller au début avant de devenir moche en étant légèrement descendante et qui a la particularité d’avoir un haut du pavé « pointu », avec des pavés qui ressortent, forçant à se mettre un peu sur le côté dans les derniers mètres.
#12 : Auchy-lès-Orchies à Bersée, 2 700 m
Note ASO : ★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★
Transition avec surtout des petites routes, puis une reprise bien moche en montée, avec du pavé qui secoue beaucoup. Cette portion par Auchy et Cappelle va faire mal aux jambes et aux vélos. Ensuite, c’est plus large et moins amoché, mais ça secoue pas mal et les enchaînements de courbes en fin de secteur forçant à des relances permettent quelques accélérations. À noter toujours un angle droit sur un ralentisseur en briques jaunes qui peut être piège dans Bersée.
#11 : Mons-en-Pévèle, 3 000 m
Note ASO : ★★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★★
On mettait 4 étoiles seulement à ce pavé ces dernières années juste pour dire « c’est moins dur que les deux autres », mais quand même, ça reste bien moche. C’est plein de poussière, on n’a pas de belle trajectoire ou à la limite un peu dans le premier tiers, sur le pavé de la croix blanche, mais l’approche en angle droit et la descente n’aident pas. Après le virage sur de l’asphalte, on a une partie de pavé moche, puis un virage serré avant la dernière portion, où le pavé devient encore plus moche. Sur la toute fin, à la limité, cela redevient juste « un petit peu moche », mais ça monte à environ 2 % (ça n’a l’air rien, mais après 3 bornes de pavés dont le dernier déjà en faux-plat, ça fait mal). Petit bonus, après une relance en sortie de pavé, ça monte encore.
#10 : Mérignies à Avelin, 700 m
Note ASO : ★★
Note Le Gruppetto : ★★★
Après une approche sur une route étroite, on a ce pavé court, mais qui secoue bien. En bonus, le passage d’un pont sur un ruisseau à mi-pavé, sur une légère courbe qui donne au mini pont presque un aspect « dos d’âne pavé » sur le pavé. Toujours sympa au milieu d’un truc où il faut essayer de rester bien en haut.
#9 : Pont-Thibault à Ennevelin, 1 400 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
De la poussière et plein de virages dans ce pavé (surtout les deux angles droits sur la fin). Cela reste quand même beau, mais c’est du « beau » pour la Pévèle, en comparant avec les trucs horribles qu’il y a autour. On est donc quand même bien secoué tout le long.
#8-a : Templeuve : L’Épinette, 200 m
Note ASO : ★
Note Le Gruppetto : ★★
Deux étoiles pour la longueur (on voit la fin de secteur en entrant dedans), mais vraiment un faux facile. Le début semble bien passé et soudainement, ça devient un chantier pas possible, où on est secoué dans tous les sens. On suppose le 1 étoile d’ASO comme pour les côtes 3C non-répertoriées, comme un troll à ceux qui préparent mal la course.
#8-b : Templeuve : Moulin de Vertain, 500 m
Note ASO : ★★
Note Le Gruppetto : ★★★★★
Sauf si la note est mise par quelqu’un ayant juste regardé les pavés des 10 derniers mètres et la longueur, c’est presque insultant de voir ces panneaux ici. Ce pavé est au moins aussi moche de l’entrée du pavé du Carrefour de l’Arbre et sa déformation est comparable aux pires endroits d’Arenberg. Certes ce n’est que 500 mètres, mais il n’y a pas de trajectoire sur toute la longueur. Si on « descend » vers le bas côté, on perd parfois 5 à 10 centimètres d’un coup tellement c’est irrégulier : des pavés sont tellement affaissés par les tracteurs qu’on a un doute sur quel côté était sensé être le dessus ou le côté. Et pas mal de pavés sont même cassés par les tracteurs.

Vu du secteur pavé de Templeuve – Moulin de Vertain
#8-c : Templeuve : Wachemy, 100 m
Note ASO : (non compté)
Note Le Gruppetto : ★
Pas listé par ASO, cette troisième section pavée de Templeuve existe pourtant bien avec du pavé propre, mais une entrée à angle droit où il manque quelques pavés, ce qui rend les chutes possibles : souvenez-vous de l’an dernier, Laurence Pithie y était allé à terre.
#7 : Cysoing à Bourghelles, 1 300 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★
Une transition un peu longue et sans histoire vers Cysoing et son fameux passage piéton mène au « pavé Duclos-Lassalle ». La première portion alterne entre le propre et le très roulant, à la limite du 1 étoile, mais l’angle droit vers Wannehain offre une portion descendante qui secoue énormément et qui a du pavé particulièrement moche.
#6 : Bourghelles à Wannehain, 1 100 m
Note ASO : ★★★
Note Le Gruppetto : ★★★
Un peu miroir du précédent (si bien que pendant plusieurs années, ils étaient nommés 6-a et 6-b), on récupère une montée sur du pavé moche, avant de récupérer quelque chose de plus propre sur la portion finale, même si ça secoue un peu plus qu’à la sortie de Cysoing, exception faite des tous derniers mètres, avec le pavé le plus nickel de toute l’épreuve.
#5 : Camphin-en-Pévèle, 1 800 m
Note ASO : ★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★
Plus de 3 kilomètres de transition, dont le dernier bien exposé au vent, en étant juste à côté de la Belgique, amènent à ce pavé particulièrement moche. La première portion est plein de petits cailloux et de poussière dans un pavé très irrégulier, tant sur le dessus que sur le bas-côté, pour un virage à angle droit menant à une portion encore plus horrible que la première. De quoi avoir de la casse et déjà être offensif avant le dernier lieu culte de l’épreuve.
#4 : Carrefour de l’Arbre, 2 100 m
Note ASO : ★★★★★
Note Le Gruppetto : ★★★★★
L’entrée, avec le « pavé de Luchin » est absolument horrible. Les virages se font sur un pavé dégueulasse et tranchant. C’est à se demander comment font les cyclistes pour passer là sans problème. Une fois dans la partie plus « linéaire », ça devient encore plus irrégulier et cela joue en général des épaules pour le placement, avant un angle droit à prendre rapidement pour la dernière ligne droite, dite « pavé Jean-Marie Leblanc », qui est beaucoup plus abordable, mais qui reste moche et où être sur le haut du pavé est une obligation.

Vue du Carrefour de l’arbre depuis la fin du secteur pavé
#3 : Gruson, 1 100 m
Note ASO : ★★
Note Le Gruppetto : ★★
Après une micro-transition, on repasse sur du pavé et celui-ci est beaucoup plus propre. On peut y aller à pleine vitesse et c’est un test de la lucidité des coureurs : le bas-côté bien large et en caillasse est bien plus risqué niveau crevaison que les pavés. Y aller n’est pas bon signe pour le coureur.
#2 : Willems à Hem, 1 400 m
Note ASO : ★★
Note Le Gruppetto : ★
Dernier « vrai » pavé de la courbe. Les pavés y sont nickels et on a les bandes roulantes, partiellement inutilisables, mais avec un revêtement nickel. Les quelques courbes secouent un peu, mais ce n’est clairement pas là que la course se jouera.
Hem (Grand’Place), 100 m
Note ASO : (non compté)
Note Le Gruppetto : (non compté)
Juste pour préciser que dans le final, juste avant le faux-plat du Boulevard Clémenceau vers Roubaix, il y a du pavé un chouia plus moche que l’espace Crupelandt, au niveau d’un ancien arrêt de bus.
#1 : Roubaix (Espace Charles Crupelandt), 300 m
Note ASO : ★
Note Le Gruppetto : (non compté)
Pas un vrai pavé, c’est un parking le reste de l’année avec des plaques honorifiques pour chaque vainqueur de la course. À la sortie de celui-ci, c’est la flamme rouge et l’abord du vélodrome.
Texte par Geoffrey L.
Photos par Titouan P.