Écrit le par dans la catégorie Interviews, Les forçats de la route.

Alors qu’il fêtera ses 39 bougies au crépuscule de la saison cycliste 2019, Hubert Dupont s’apprête à épingler son dernier dossard. Pensionnaire quasi exclusif de l’équipe AG2R durant 14 années consécutives, il fut l’un des piliers discrets de l’équipe de Vincent Lavenu. Pourtant il s’en fallut de peu pour que sa carrière ne s’achève avant même de prendre son envol.  

«J’ai trouvé un petit boulot à temps partiel pendant deux ans et demi»

  

Comment êtesvous arrivé au cyclisme ?

Depuis que je suis dans le berceau. J’ai vécu tous mes dimanches sur les courses de vélo où mon père courrait. Et petit à petit, je l’ai poussé à m’autoriser à en faire en compétition. Il me répondait qu’avant l’âge de dix ans je ne pouvais pas le faire et c’est pour ça qu’une fois cet âge atteint, j’ai dit “ça y est c’est bon, j’ai dix ans, on peut me prendre une licence”. 
 
Quand en êtesvous venu à considérer ce sport comme un métier éventuel ? 
 
On ne peut pas dire qu’il y ait eu un déclic. Ça s’est fait un peu naturellement même si je suis passé pro assez tard. A l’âge où certains passent professionnels, moi, j’étais encore en régional c’est pour dire.  

Comment avez-vous concilié le scolaire et le cyclisme ? 
 
Au niveau des études, j’ai fait une filière technique et au niveau des horaires, j’avais peu de temps pour m’entraîner.  Et quand on a peu de temps, on ne peut pas être performant. À la fin de mes études, j’ai pu rouler convenablement, ce qui m’a permis de me progresser et d’acquérir enfin des résultats. 
 
Pourtant, vous ne passez professionnel qu’à l’âge de 25 ans. Comment se faitil que ce passage ait eu lieu si tardivement ? 

Je ne me suis pas mis une pression à tout prix pour passer professionnel. Quand je suis sorti de mon BTS, j’ai consacré une année au vélo, exclusivement. Et finalement, j’ai recommencé à travailler un an après, parce quil me manquait un équilibre. Le cap du “je n’ai pas le temps pour m’entraîner, je suis overbooké” pendant mes études, à celui du “j’ai tout mon temps”, c’était trop radical pour moi et je me suis mis trop de pression à ressasser les courses lorsque j’avais été mauvais. J’ai trouvé un petit boulot à temps partiel pendant deux ans et demi.

Que faisiez-vous ? 

J’étais ambulancier. Ce n’était pas un métier physique, c’était plutôt passif. Je n’ai jamais eu le sentiment que cela ait été néfaste pour ma progression, j’ai plutôt vu ça comme une chance d’avoir quelque chose à côté. Pour pouvoir évacuer ce qui s’était passé le weekend et pouvoir penser à autre chose, dans un milieu pas vraiment passionné par le cyclisme. C’était assez enrichissant de voir autre chose, aussi.  

A ce momentlà, aviezvous abandonné l’espoir de passer professionnel ? 

Non, je voulais que tout se fasse naturellement. L’hiver je faisais du cyclo-cross parce que c’est une discipline que j’affectionne et je ne me suis jamais dit qu’il fallait que j’arrête pour me consacrer exclusivement à la route pour être performant le reste de la saison, je voulais surtout prendre du plaisir à faire quelque chose que j’aime et ne pas subir de contraintes pour avoir des résultats.  

Et comment êtesvous passé professionnel ? 

Ce sont des concours de circonstances, comme pour beaucoup de professionnels, des rencontres qui permettent de passer pro. Serges Barles, de RAGT Semences, avait un œil sur moi et c’est lui qui m’a permis de passer professionnel. Après mes années en junior, je suis allé au club de Villefranche-sur-Saône où Serge était Président, c’est d’ailleurs un peu lui qui m’avait fait venir au club. Mon père avait couru avec lui et c’était quelqu’un que je connaissais de longue date. Je suis bien conscient que s’il n’avait pas été là, mes 15 années de vélo n’auraient jamais eu lieu. 
 

«J’ai croisé les doigts jusqu’au bout» 

Hubert Dupont sur le Tour d’Italie 2018, sa course préférée avec 12 participations pour une 11e place en 2011 et 2016 comme meilleur résultat.

 

Quel coureur imaginiezvous devenir, alors ? 

Vu mon âge, j’étais déjà un peu aguerri physiquement, un peu mûr, je me voyais plus grimpeur parce que c’était là où, en tant qu’amateur, j’avais sorti les résultats les plus intéressants. Plus un coureur de courses à étapes, car pour les courses d’un jour, je sentais bien que j’étais limité. Mais je n’imaginais pas forcément que ce seraient les Grands Tours qui m’iraient le mieux. 

Comment se sont passés vos débuts chez RAGT Semences ? 

J’ai pu participer à de belles épreuves car j’avais bien passé le petit cap d’amateur à professionnel. Mais l’équipe n’avait pas eu un super plateau de course, car elle était en continental et elle déclinait un peu par rapport à l’année précédente. Sans courir Paris-Nice, le Dauphiné ou le Tour de France, ce n‘était pas évident de se montrer. J’ai tout de même eu la chance de faire Liège et La Flèche Wallonne, et ça, c’était déjà assez énorme pour moi Ça n’a pas vraiment été une réussite parce que je suis tombé à la Flèche, ce qui ne m’a pas aidé sur Liège. Mais c’était une super expérience. 
 
RAGT Semences est dissoute en 2005, avezvous été surpris par cette décision ? 

On l’a su fin juin. Ils ne nous ont pas tenu en haleine en nous disant “on va trouver quelqu’un d’autre”. C’était cartes sur table, on savait où on allait. Ce n‘était pas évident parce qu’on était une vingtaine à se retrouver sur le carreau et sans autres équipes qui se créaient en face. Les places n’étaient pas extensibles, les équipes avaient déjà leurs effectifs. 

Comment avezvous signé chez AG2R Prévoyance ?  

 aussi, c’est un concours de circonstances. AG2R, à l’époque, a postulé pour une licence Pro Tour. Vincent Lavenu m’avait fait passer ce message au travers mon agent de l’époque : quoi qu’il puisse arriver, en cas de Pro Tour, ils prendraient deux coureurs, dont moi, certainement. J’ai croisé les doigts jusqu’au bout, pendant plus de deux mois, pour que l’UCI accepte, d’autant que la réponse s’est faite assez tard, fin novembre. La bonne nouvelle est tombée et la semaine suivante j’étais déjà en stage avec l’équipe.  

Sans AG2R, aviez-vous un autre point de chute en ligne de mire ? 

Non, je n’avais eu aucune autre opportunité en vue. 

Comment s’est déroulée votre première saison chez eux ? 

Chez nous, ça fonctionne ainsi : quand on marche, on fait des belles courses. La première année, j’ai pu participer à Paris Nice. À l’époque on était 27, je crois, et quand on te met déjà sur Paris Nice… Les débuts se sont super bien passés, la mayonnaise a tout de suite bien pris. Quand vous êtes à deux doigts de ne plus faire de vélo et que vous vous retrouvez à faire des superbes courses quelques mois après, ce n’est que du bonheur.  

L’équipe ne vous a pas gâté : vous faites votre premier Grand Tour, le Giro, puis vous enchaînez avec la Vuelta la même année.

Le Giro s’était bien passé, j’avais fait 4e sur une étape, j’étais content d’être là et que ça fonctionne bien. Mais j’ai senti la fatigue sur la Vuelta. Là ce n’était pas une partie de plaisir. Tu es là, à te battre tous les jours, juste pour suivreJ‘avais juste subi, sur cette course. L’année d’après, j’ai quasiment fait le même programme et la Vuelta s’était nettement mieux déroulée. En plus, Stéphane Goubert y avait bien marché. Dès qu’il y a une bonne dynamique dans l’équipe, ça tire tout le monde vers le haut. 

Quel était alors le rôle qui vous était dévolu ? 

C’était de faire le deuxième ou troisième homme de l’équipe. A l’époque, le classement Pro Tour se faisait par équipe, ce n’était pas un classement individuel. Ma mission était de me battre tous les jours sur les étapes de montagne pour faire un bon classement. 

Avec des résultats encourageants pour vos 2 premières saisons, pensiez-vous pouvoir devenir un coureur de général ? 

Je ne me suis pas donné d’objectif. Je voyais bien qu’entre faire 25e d’un Giro ou faire un top 11, en termes de temps, l’écart était énorme. Ça pouvait se jouer à plus de 40 minutes, il fallait sacrément progresser pour gagner tout ça.  

 

«Je ne me suis jamais dit que, une année, ça roulait moins vite »

De 2006 à 2019, Hubert Dupont aura montré un sens de la loyauté à la formation AG2R de Vincent Lavenu.

En 2008, vous faîtes votre premier Tour de France. Vous n’avez jamais été un grand amateur de cette course. N’était-elle pas pourtant un rêve pour vous ? 

Ça aurait été un rêve si je ne l’avais pas fait. Ça aurait été un manque énorme dans ma carrière. Aujourd’hui je peux dire que je l’ai fait. Le Tour de France, hormis celui de 2011 où j’étais très fort, ça a toujours été plus compliqué. C’est une épreuve qui ne me colle pas à la peau, il y a trop de tension, ça frotte beaucoup et ce n’est pas ma tasse de thé. Et puis les étapes de montagnes y sont moins présentes que sur le Giro. La demande d’efforts était trop importante pour ce que je pouvais y faire. Le Giro me colle à la peau, le Tour de France est trop près donc c’est difficile de faire les deux. J‘ai fait une priorité sur le Giro. 

Vous êtes aussi de la génération qui a vu un cyclisme disparaître, celui de l’affaire Puerto, pour un autre, plus propre. Comment avez-vous vécu ce changement ? 

Honnêtement, je n’ai pas vu la différence. Chaque année on se dit : “c’est bon, ça va rouler moins vite et au final, non je n’ai jamais vu de changement. Est-ce que c’est dû à la préparation et aux entraînements ? Est-ce que le peloton était moins dopé et mieux préparé physiquement, je n’en sais rien. Je ne me suis jamais trop posé la question mais je ne me suis jamais dit que, une année, que ça roulait moins vite.

N’est-ce pas un constat décourageant ? 

Ça ne m’a jamais inquiété, tant que je pouvais faire ce que je voulais et qu’on ne me mettait pas de bâtons dans les roues. Si on commence à cogiter, à se demander si le voisin est propre ou pas, s’il t’a battu parce qu’il était chargé, on pose le vélo et puis on fait autre chose. Honnêtement je m’en foutais. 

Quel est le coéquipier qui vous a le plus marqué, durant votre carrière ? 

José Luis Arrieta. Sur une étape du Tour de France 2008, Vladimir Efimkin avait eu un problème. José Luis s’était arrêté et l’avait attendu. Moi, je n’avais pas pris cette décision, à tort, et j‘avais continué. Il me l’avait reproché mais sans jamais me le dire. C’est plus tard que l’on m’a raconté qu’il en avait après moi parce que je n’avais pas fait le boulot que l’on m’avait demandé. Ça a été l’élément déclencheur de la vision de ce métier d’équipier. Il m’a vraiment appris le sens du sacrifice et du travail d’équipier de celui qui ne pense plus à sa propre personne. Il m’a ouvert les yeux sur la façon dont tu pouvais être épanoui et partager une victoire, même si ce n’était pas la tienne. 

Quand estimezvous avoir mieux “fait le job” ? 

En tant que l’équipier, le Tour de France 2011 où j’ai pu aider Jean-Christophe Péraud et Nicolas Roche en haute montagne. Là c’était vraiment le pied parce que j’ai pu faire la fonction qu’on attendait de moi, le plus loin possible.  

Vous êtes le coureur en activité qui compte le plus de Giro achevés (12). Vous attendiez vous à une telle longévité ? 

Pas du tout, parce que, ma carrière, elle a quand même failli finir la première année (rires). Si on m’avait dit que je ferais autant d’années de vélo, j’aurais eu du mal à le croire. C’est un sport qui est quand même difficile et je n’ai jamais fait de vélo avec des coussins d’air sur les pédales. J’ai toujours été plutôt dans la difficulté à aller chercher des résultats donc je ne pensais pas avoir cette facilité à me battre à la régulière pendant si longtemps. 

Le Giro et vous, c’est une longue histoire. Quelles sont les éditions qui vous auront le plus marqué ? 
 
Collectivement, Il y a eu le Giro 2014. On a remporté le classement par équipe, le premier de l’histoire de l’équipe, avec Domenico Pozzovivo qui avait fait un top 5, Vuillermoz 11e et moi qui ai fait 16e. On avait pesé sur la course avec un Domenico, qui était plutôt sur la défensive auparavant, offensif. 

Et individuellement ? 

Il y a bien sûr eu 2011. Mais le plus important, c’est mon Giro 2016. Il fallait que je montre au monde du cyclisme que ce n’était pas un coup comme ça. D’avoir été capable de refaire une 11e place, à mon âge avancé, c’était très fort émotionnellement parce que je m’étais prouvé à moi-même que j’étais bien un coureur. Je me rappelle que sur une étape, ma famille était venue me voir et j’avais craqué émotionnellement en les voyant sur la route. C’était très fort. 
 

 

« Jamais t’as levé les bras, qu’est-ce que tu as foutu »

Coéquipier modèle, Hubert Dupont raccrochera à l’issue de la saison 2019.

 

 

Le Giro c’est aussi le public italien qui vous reconnaît sur la route. Finalement n’êtesvous pas plus connu bas qu’en France ? 

Ce qui a peut-être inversé la tendance, c’est que le Giro soit diffusé sur L’Équipe. C’est peut-être ça qui fait qu’aujourd’hui que je suis autant connu en Italie qu’en France. C’est vraiment dommage que le Giro 2011 n’a pas été diffusé en clair, car là, ça aurait été autre chose. 

15 années chez les pros, et pourtant, aucune victoire individuelle. Comment le vivezvous aujourd’hui ? 

Aujourd’hui, je ne le vis pas mal. Après c’est sûr qu’on pourra me dire plus tard : “jamais t’as levé les bras, qu’est-ce que tu as foutu ?”. Ce sont les aléas de la vie d’un grimpeur qui ne fait pas partie du top mondial. Arriver tout seul, ça n’a jamais été possible et le peu de fois où j’ai eu une opportunité, je suis toujours tombé sur des coureurs plus forts que moi. Mais j’étais déjà content d’avoir fait 2e face à Quintana ou Simon Gerrans. 

Et une course où vous nourrissez un regret particulier ? 

Mon plus grand regret, c’est en 2011, sur la Route du Sud où j’aurais peut-être pu prétendre remporter le classement général si je n’avais pas chuté dans la descente du port de Bales. J’avais fait le break mais cette chute a tout foutu en l’air. 

Vous n’avez jamais été tenté de courir pour une autre équipe, après AG2R ? 

Non, je me sentais bien dans cette équipe et je n’avais pas le souhait d’aller voir ailleurs. Simplement, je ne voyais pas ce que j’allais y gagner, et puis, je suis quelqu’un de plutôt fidèle et reconnaissant. Ce qui s’est passé en 2006, c’est toujours resté dans un coin de ma tête. 

Vous êtes quelqu’un de peu connu, peu présent sur les réseaux sociaux et assez discret. Ne regrettezvous pas ce peu de lumière médiatique ?  

Ça ne m’intéresse pas et ça correspond à ma personnalité. L’image que je donne, c’est vraiment celle que j’ai au quotidien, je suis plutôt quelqu’un de discret. Mais au sein de l’équipe, quand on parle du sportif, je suis beaucoup plus présent, dans les briefings ou dans la stratégie. Quant aux réseaux sociaux, dans le cyclisme, il y a un aspect marketing et un aspect sportif. Moi, je suis resté bloqué sur l’aspect sportif. Je souhaite être jugé sportivement et non pas sur les mots ou les actes que je fais en dehors. 

2019 sera votre dernière année. Vous ne ferez pas de 13eme Giro, comme évoqué il y a quelques semaines. Qui a pris la décision ? 

C’est un peu les deux. J’aurais bien aimé arrêter au soir du Giro en 2020, mais l’équipe, malgré mes arguments, m’a fait comprendre que dans la stratégie de la saison prochaine, ça ne collait pas pour eux. Je ne me voyais pas partir ailleurs, je pouvais faire l’effort jusqu’au Giro, mais pas au-delà. A partir de ce moment-là, la décision était simple à prendre. J’ai compris leur choix, mon cœur est chez AG2R. 

La retraite, vous y pensiez depuis combien de temps ? 

Déjà en 2018 et c’est pour ça que j’avais demandé une prolongation de seulement un an. Je ne voulais pas partir sur une durée trop longue, dans un coin de ma tête il y avait déjà cette idée, je ne voulais pas faire une année galère. Après, il faut être honnête le Giro que j’ai vécu n’était pas extraordinaire. J’étais plutôt en mode spectateur plutôt à recevoir qu’à donner des coups. C’est bien de recevoir mais c’est bien de pouvoir aussi se relever. Ça a fait basculer naturellement la décision. J’aime bien quand les choses se passent comme ça, naturellement.  

Physiquement vous sentez avoir régressé ? 

J’ai quand même 39 ans. Je sens qu’il y a des moments dans les courses où je suis en galère, en souffrance. Le physique, je ne peux pas aller contre. Je m’entraîne autant, si ce n’est avec encore plus d’assiduité qu’auparavant, au millimètre près. Mais il y a beaucoup moins de jours où je sens que je suis dans les clous que l’inverse. Si ça ne fonctionne pas c’est que le physique commence à saturer, il faut se rendre à l’évidence.

Quel avenir se dessine pour vous ? 

Le but premier, c’est de rester dans le monde du vélo, ça va être mon premier cheval de bataille. L’équipe souhaiterait que je reste avec elle dans le futur et tant mieux. Je vais me poser et voir vers où je veux aller. Mais ce sera pour rester dans le monde du vélo, c’est clair et net. 

Pour finir, sur quelle course allezvous raccrocher ? 

C’est la grande question (rires). Je ne sais pas encore, parce que, justement, c’est moi qui ai les cartes en main. Si je n’ai pas de fortes baisses de régime physique, ça devrait finir sur les courses italiennes de fin d’année. Laquelle, je ne sais pas encore. Le Lombardie, je n’en ai pas une grande affection, je n’y ai jamais été très bon. On va voir, j’ai le libre choix. 

 

Propos recueillis par Bertrand Guyot (@bguyot1982pour Le Gruppetto 

Crédit Photo:cnttt via Flickr / Awen Le Gall / Clémence Ducrot
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Re: Hubert Dupont : « mon cœur est chez AG2R »

Messagepar Tyler » 09 Sep 2019, 17:54

Une des meilleures ITW j'ai trouvé Mania, Good Job ;)
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Re: Hubert Dupont : « mon cœur est chez AG2R »

Messagepar Carrefour de l'Arbre » 09 Sep 2019, 18:46

Dommage qu'on ne lui ait pas offert la possibilité de disputer un dernier Giro et de devenir l'unique détenteur - au niveau français - du record du nombre de Grands Tours disputés.

On peut toujours compter sur AG2R pour être classe. :banana

Édit : heureusement qu'ils lui proposent une reconversion et qu'il puisse décider de sa dernière course sur cette fin d'année.
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Re: Hubert Dupont : « mon cœur est chez AG2R »

Messagepar France » 10 Sep 2019, 17:38

Superbe interview, comme d'habitude. :ok: :up
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