Le Parcours :
# | Type | Etape | Distance |
---|---|---|---|
1 | Acidentée | Brest --> Brest | 238,4 km |
2 | Plaine | Châteaulin --> Quiberon | 148,6 km |
3 | CLM par équipes | Vannes --> Vannes | 28,3 km |
4 | Plaine | Ploërmel --> Cholet | 190,9 km |
5 | Accidentée | Niort --> Périgueux | 246,3 km |
6 | Plaine | Bergerac --> Mont-de-Marsan | 161,3 km |
7 | CLM individuel | Mont-de-Marsan --> Aire-sur-l'Adour | 32,1 km |
8 | Haute Montagne | Aire-sur-l'Adour --> Port de Larrau | 183,6 km |
9 | Haute Montagne | Oloron-Sainte-Marie --> Argelès-Gazost | 97,9 km |
REPOS 1 : Haute-Garonne | |||
10 | Haute Montagne | Saint-Gaudens --> Tarascon-sur-Ariège | 145,1 km |
11 | Plaine | Pamiers --> Frontignan | 217 km |
12 | Plaine | Montepellier --> Aix-en-Provence | 171,5 km |
13 | Accidentée | Aix-en-Provence --> Digne-les-Bains | 188,2 km |
14 | Haute Montagne | Digne-les-Bains --> Pra-Loup | 153,3 km |
15 | Accidentée | Embrun --> Vizille | 137,3 km |
REPOS 2 : Savoie | |||
16 | CLM Individuel | Chambéry --> Chambéry | 37,6 km |
17 | Haute Montagne | Chambéry --> Bourg-Saint-Maurice | 187 km |
18 | Haute Montagne | Bourg-Saint-Maurice --> Genève | 162,7 km |
19 | Plaine | Genève --> Châlon-sur-Saône | 184,4 km |
20 | Accidentée | Montceau-les-Mines --> Dijon | 196,1 km |
21 | Plaine | Plaisir --> Paris Champs-Elysées | 105,9 km |
Le Tour en chiffres :
● Distance totale : 3213 kilomètres
18 étapes en ligne représentant 3115 kilomètres (soit 173,1 km de moyenne)
3 contre-la-montre (2 individuels et 1 par équipe) représentant 98 kilomètres
Etape en ligne la plus longue : Niort - Périgueux (E5) avec 246,2 kilomètres
Etape en ligne la plus courte : Oloron-Sainte-Marie - Argelès-Gazost (E9) avec 97,9 kilomètres
● Profils des étapes :
7 étapes dites de plaine : 2,4,6,11,12,19,21
5 étapes dites accidentée : 1,5,13,15,20
6 étapes dites de haute montagne : 8,9,10,14,17,18
3 contre-la-montre : 3,7,16
● 71 ascensions répertoriées au Grand Prix de la Montagne :
Sommet du Tour : Col de la Cayolle (E14) - 2325 m
24 cols (2C ou plus) :
5 cols classés Hors Catégorie : Col d'Erroymendi (E8), Col d'Aubisque (E9), Col de la Cayolle (E14), Col de la Madeleine (E17) et Montée du Sauget (E17)
7 cols classés en 1ère Catégorie : Col de Burdincurutcheta (E8), Col de Marie Blanque (E9), Col de la Core (E10), Col d'Agnes (E10), Col des Champs (E14), Montée de Notre-Dame-du-Pré (E17), Cormet de Roselend (E18)
12 cols classés en 2ème Catégorie : Col Bagargiak (E8), Col des Bordères (E9), Col de Portet d'Aspet (E10), Col de Latrape (E10), Montée de Pierre Ecrite (E13), Col de Pierre Basse (E14), Montée de Pra-Loup (E14), Col de Manse (E15), Côte des Chapelles (E17), Col des Saisies (E18), Col des Aravis (E18), Col de la Faucille (E19)
47 côtes :
25 classées en 3ème Catégorie
22 classées en 4ème Catégorie
● 32 villes-étapes :
Les inédites : Quiberon, Ploërmel, Aire-sur-l'Adour, Port de Larrau, Plaisir
Les autres (et la date du dernier passage du Tour) : Paris Champs-Elysées (2020), Embrun (2019), Chalon-sur-Saône (2019), Brest (2018), Cholet (2018), Bourg-Saint-Maurice (2018), Chambéry (2017), Périgueux (2017), Bergerac (2017), Montpellier (2016), Vannes (2015), Digne-les-Bains (2015), Pra-Loup (2015), Saint-Gaudens (2014), Aix-en-Provence (2013), Pamiers (2010), Montceau-les-Mines (2006), Vizille (1998), Frontignan (1998), Tarascon-sur-Ariège (1998), Dijon (1997), Argelès-Gazost (1996), Genève (1990), Châteaulin (1982), Oloron-Sainte-Marie (1977), Mont-de-Marsan (1971), Niort (1950),
Présentation et philosophie du tracé :
Ca va sans doute sauter aux yeux de certains...la distance de ce Tour est assez courte par rapport à ce qu'on voit ces dernières années. Mais détrompez vous, l'usure aura tout de même son rôle à jouer et ce "faible" kilométrage est surtout dû à une alternance voulue entre étapes longues et étapes bien plus courtes que ce soit en plaine ou en montagne d'ailleurs. La distance des étapes, tout comme la difficulté générale du Tour, va decrescendo notamment parce que je voulais un première semaine très longue et usante avant des Pyrénées, comme seul réel bloc compact montagneux, les Alpes étant dans un schéma moins classique.
J'ai essayé de trouver un équilibre entre les parcours souvent trop lourds que j'ai tendance à proposer pour les courses par étapes et un parcours qui offre trop peu de possibilités au grimpeurs. L'agencement peut paraître assez classique mais j'ai tout de même essayé de sortir un peu de certains sentier battus.
Pour la première semaine, comme je l'ai dit plus haut, je voulais m'inspirer du Grand Départ en Bretagne et des nombreuses étapes piégeuses qu'on peut y tracer et d'étendre un peu ce schéma à l'ensemble de la semaine. Pour cela, j'ai choisi une descente assez directe vers les Pyrénées qui offre des opportunités pour les sprinteurs mais aussi des étapes plus compliquées à manœuvrer comme celle de Périgueux par exemple. Puisqu'on parle de cette étape, ça m'amène à la deuxième caractéristique de cette première semaine : la longueur des étapes. Sur les 5 étapes en ligne pré-pyrénéennes, 3 dépassent les 190 kilomètres avec 2 d'entre elles au-dessus des 230. Ces étapes sont pour moi un bon moyen de rajouter de l'animation à la course car elles demandent beaucoup d'attention aux leaders, qui peuvent facilement y perdre du temps. Autre particularité de cette semaine : la présence de deux épreuves chronométrées à 4 jours d'intervalle. Le premier, par équipes, sera vraisemblablement le premier test pour les leaders mais sera aussi là pour donner de la marche de manœuvre aux plus petites équipes. En somme, ce chrono créera une première hiérarchie. Le deuxième, plus long et individuel, est volontairement placé à la veille des Pyrénées pour parachever ce rôle de "préparation" à la montagne qu'à aussi cette semaine : on aura donc une vraie idée et une hiérarchie plus claire pour aborder la haute montagne. Un triptyque pyrénéen que je qualifierai de "simple mais efficace". On utilise des enchaînements plutôt classiques mais qui permettront aux meilleurs grimpeurs de se mettre en évidence. L'étape du Port de Larrau exprime une volonté de faire un compromis entre une pure CC et une étape de montagne classique, avant une étape "sprint" qui est pour moi une bonne manière ce conclure cette semaine en profitant et du désordre de la veille mais aussi de la fatigue de la semaine.
La deuxième semaine est plus courte, c'est plus ou moins une transition entre Pyrénées et Alpes, et sera un savant mélange entre montagne, plaine et étapes piégeuses. Déjà, on reprend par la dernière étape pyrénéenne et je sais déjà ce qu'on va me dire à propos de ce tracé. Effectivement, le mouvement parmi les favoris devrait être assez limité mais cette étape est aussi là pour punir après la journée de repos. Si un leader est en difficulté, l'étape peut totalement basculer...ça me semble donc dans la logique de mon tracé. Ensuite, viennent deux étapes où j'ai pas mal hésité : je voulais 2 étapes pour sprinteurs mais différentes dans leur tracé. On ira donc chercher un piège dans le final avec le vent et le Mont Saint-Clair avant un sprint plus "sûr" à Aix. Pour finir cette deuxième semaine, je voulais que les Alpes du Sud aient un rôle important et pour cela j'ai choisi d'entourer l'étape "reine" de cette deuxième semaine vers Pra-Loup avec deux étapes assez courtes pour baroudeurs ou puncheurs. L'étape de Vizille est le genre d'étape courte que j'aime bien pour finir une semaine car on peut y voir de nombreux scénarios et une belle bataille.
Enfin, comme juge de paix du Tour, je ne voulais pas réduire cette dernière semaine à ce qu'on voit beaucoup ces dernières années, c'est-à-dire 2 ou 3 étapes de montagne avant le transfert vers la région parisienne. On est donc sur un schéma alpestre assez restreint et que j'ai voulu original. Bien sûr, un chrono pour potentiellement redistribuer des cartes et redonner à "faire" pour les purs grimpeurs. L'étape du 14 juillet est celle que je voulais pour étape reine : c'est donc le cas mais elle ne verse pas non plus dans la surenchère. On en vient ensuite à l'étape que je considère comme "clé" dans cette troisième semaine car elle mêle départ en haute montagne et deuxième partie plus accidentée : on peut donc imaginer pleins de scénarios pour les battus de la veille. Je convient que certains pourraient la trouver "contrôlable" par le peloton. Déjà, je suis loin d'en être sûr avec la fatigue des équipiers dû à l'étape de la veille mais dans l'hypothèse ou cette étape est neutralisée par le peloton, je ne voulais pas que ce soit la "dernière chance" pour les favoris. Après une étape à priori tranquille vers Chalon, on profite des côtes de l'Auxois et du Dijonnais pour offrir une étape qui peut partir dans tout les sens mais sans paralyser le Tour précédemment car ce n'est pas le terrain de jeu préféré des grimpeurs qui devront s'employer s'ils veulent réaliser une bonne opération.
Pour conclure, notez les très courts transferts (Cholet-Niort en première semaine est la seule exception) même au moment des journées de repos. On compte donc sur les coureurs pour en profiter et mettre un maximum d'animation dans la course car, il faut quand même le préciser, elle dépend surtout d'eux et le parcours ne doit que leur donner envie de s'exprimer
Merci à ceux qui auront lu jusqu'ici et je vous souhaite bonne découverte des étapes !
Les 21 étapes :
Ligne d'arrivée : Rue de Quimper, après une ligne de droite de 700 m
Cette 108ème édition du Tour de France s'élancera donc de Brest pour une première étape qui se présentera déjà comme une épreuve pour les coureurs. Avec près de 240 kilomètres et une deuxième partie d'étape où le peloton sera sous pression avec de nombreuses côtes qui vont se succéder sans moment de répit, les échappées auront une carte à jouer, surtout avec l'enjeu d'un premier maillot à pois qui pourrait se conserver assez longtemps. Malgré le terrain défavorable, on peut imaginer que le peloton se joue la victoire dans le faux plat montant final (6% tout de même) si un audacieux n'a pas pris les devants.
Ligne d'arrivée : Boulevard de la Côte Sauvage, après une ligne droite de 700 m
C'est encore une étape très nerveuse qui est proposée en ce seconde jour de course : la partie finale de cette courte étape se courra sur la presqu'île de Quiberon, dans un décor magnifique mais dont l'exposition aux vents est tout aussi dangereuse. Attention à ne pas perdre bêtement du temps !
Ligne d'arrivée : Avenue de Verdun, après une ligne droite de 500 m
Cette troisième étape marque donc le retour du contre-la-montre par équipe au programme du Tour de France après son absence en 2020. Le tracé globalement plat servira surtout à créer une première hiérarchie et des petits écarts entre les leaders d'équipes plus ou moins performantes en la matière.
Ligne d'arrivée : Avenue Anatole Manceau, après une ligne droite de 800 m
C'est une étape à priori tranquille qui attend le peloton qui quitte la Bretagne pour une étape dédiée aux sprinteurs mais dont les 190 kilomètres devraient tout de même faire leur effet sur l'organisme.
Ligne d'arrivée : Rue Pierre Semard, après une ligne droite de 800 m
Un marathon. C'est le mot qui vient à l'esprit quand on voit le profil de cette étape tracée pour les coureurs les plus endurants : près de 250 kilomètres (soit un total de 440 kilomètres en deux étapes !) et plusieurs côtes réparties dans les 45 derniers kilomètres viendront animer la course. Une nouvelle fois, l'endurance sera de mise et certains leaders pourraient payer leur fatigue très cher, les deux dernières côtes présentant de nombreux passages à plus de 8%.
Ligne d'arrivée : Avenue du Maréchal Foch, après une ligne droite de 1100 m
Un petit peu de calme en ce sixième jour de course. L'étape tracée vers Mont-de -Marsan ne présente aucun piège particulier et on devrait avoir le droit à un sprint massif dans les rue de la préfecture des Landes.
Etape 7 : Mont-de-Marsan Aire-sur-l'Adour (CLM individuel)
32,1 km - 270 m D+ - GPX
Ligne d'arrivée : Avenue de Bordeaux, après une ligne droite de 1600 m
Deuxième exercice chronométré de ce Tour de France : celui-ci sera individuel et permettra de jauger la forme de chacun avant le début de la haute montagne. Sur ce tracé plat, les purs grimpeurs devraient compter leur retard en minutes !
Ligne d'arrivée : D26, après une montée de 1,7 km à 9,8%
On rentre dans le vif du sujet pour les prétendants à la victoire finale. Et ce sont les pentes abruptes du pays basque qui livreront leurs enseignements sur la hiérarchie des grimpeurs. Après 140 kilomètres de plat, l'enchaînement Burdincurutcheta-Bagargui servira de prélude à la montée finale vers le Port de Larrau. Cette montée est décomposée en 3 parties avec d'abord les terribles pentes du col d'Erroymendi à plus de 10% de pente moyenne puis un replat d'un peu plus de 2 kilomètres avant une rampe finale une nouvelle fois à près de 10%. Il faudra sans nul doute être au rendez-vous pour éviter de, déjà, perdre le Tour.
Ligne d'arrivée : Avenue des Pyrénées, après une ligne droite de 300 m
Au lendemain de la première explication en haute montagne qui aura laissé des traces, on enchaîne par une étape au format "sprint" qui s'annonce nerveuse. Marie-Blanque en "échauffement" avant l'enchaînement Aubisque-Soulor placé en détonateur pour voir les premières attaques et enfin le col des Bordères pour livrer la décision finale avant une descente rapide vers Argelès-Gazost. A la veille de la première journée de repos, on peut s'attendre à du spectacle sur la route !
REPOS N°1 : HAUTE-GARONNE
Ligne d'arrivée : Avenue de Sabart, après une ligne droite de 500 m
Pas de répit pour ce jour de reprise ! C'est la troisième et dernière étape pyrénéenne qui attend le peloton. Les favoris devront profiter de l'enchaînement Latrape-Agnes-Lers pour se démarquer avant la descente vers Tarascon-sur-Ariège. Cette étape servira aussi de punition potentielle pour des coureurs ayant mal digéré le repos.
Ligne d'arrivée : Avenue du 81ème R.I., après une ligne droite de 400 m
On quitte les Pyrénées mais cette onzième étape sera loin d'être reposante pour les coureurs, déjà par sa longueur mais surtout par son final. Plus de 40 kilomètres courus le long le la côte, entrecoupés par l'ascension du très pentu Mont-Saint-Clair, pourraient très bien désorganiser le peloton. Ce final sera de toute façon nerveux !
Ligne d'arrivée : Rue de la Molle, après une ligne droite de 400 m
Cette fois-ci, les sprinteurs n'auront pas d'obstacle particulier pour se disputer la victoire : c'est un sprint massif d'attendu dans les rues d'Aix-en-Provence.
Ligne d'arrivée : Avenue Front de Bléone, après une ligne droite de 700 m
Une étape taillée pour baroudeurs en direction de Digne-les-Bains : l'étape est longue et relativement dure mais sans doute pas assez pour que les favoris bougent. La bataille sera rude pour prendre l'échappée dans les premières ascensions, Il faudra ensuite savoir faire la différence dans des montées assez roulantes pour chercher la victoire.
Ligne d'arrivée : D109 - Pra Loup, après une montée de 6,8 km à 6,5%
Introduction des Alpes en ce troisième samedi de course et pas n'importe quelle introduction. On enchaînera le col des Champs et le col de la Cayolle, toit de ce Tour 2021, avant l'ascension finale vers Pra-Loup, qui avait vu la victoire de l'Allemand Simon Geschke en 2016. En tout cas, les favoris devront être au rendez-vous pour prendre de précieux points dans la course à la victoire finale.
Ligne d'arrivée : Avenue Aristide Briand, après une ligne droite de 500 m
On conclut cette deuxième semaine par une courte étape qui s'annonce très indécise. Les dernières difficultés présentant d'assez forts pourcentages, on pourrait bien voir des attaques de puncheurs voir de favoris battus la veille. A la veille de la deuxième journée de repos, il faudra donc être très attentif pour ne pas perdre gratuitement du temps.
REPOS N°2 : SAVOIE
Ligne d'arrivée : Avenue de Lyon, après une ligne droite de 400 m
La décision finale viendra d'une troisième semaine atypique qui débute avec ce long chrono autour de Chambéry et du lac du Bourget. Il sera en majorité favorable aux rouleurs et permettra aux grimpeurs d'être fixé sur leur position au général avant les dernières étapes alpestres.
Ligne d'arrivée : Avenue du Stade, après une ligne droite de 400 m
En ce jour de fête nationale, le feu d'artifice sera (aussi) sur la route du Tour. On peut peut-être parler d'étape reine du Tour. En tout cas, c'est celle qui présente le plus de dénivelé positif du tracé et nul doute que l'ascension vers Le Sauget, inédite sur le Tour devrait voir de grosses explications entre leaders après l'écrémage dans les deux premiers cols. La dernière ascension du jour fera la décision entre les plus forts pour conclure cette étape cruciale.
Ligne d'arrivée : Quai Gustave Ador, après une ligne droite de 600 m
Etape de sortie d'Alpes dans un schéma assez original, fait pour sourire aux audacieux. On enchaîne trois "gros" cols dans les 85 premiers kilomètres pour lancer les grandes manœuvres et on enchaîne sur un finale plus simple mais tout de même assez casses-pattes pour faire une sélection entre les échappées et/ou les favoris, en fonction du scénario. En tout cas on peut s'attendre à toutes sortes de surprise à Genève, seule ville-étape de ce Tour en dehors de l'Hexagone.
Ligne d'arrivée : Quai Gambetta, après une ligne droite de 600 m
C'est une étape de transition qui est proposée : la bataille va faire rage entre les baroudeurs qui pourront profiter de la première moitié d'étape assez dure et les sprinteurs costauds qui auront réussi à passer ces difficultés.
Ligne d'arrivée : D971, après une ligne droite de 600 m
Pour une étape qu'on peut qualifier de "dernière chance", il y aura effectivement de quoi faire pour les insatisfaits du classement général. Les côtes de l'Auxois et du Dijonnais seront la dernière épreuve à franchir pour les coureurs.Ca promet !
Ligne d'arrivée : Avenue des Champs-Elysées, après 8 tours de circuit et une ligne droite de 400 m
Sur la plus belle avenue du monde et 3210 kilomètres après le départ de Brest, le dénouement final de ce Tour de France consacrera un sprinteur pour l'étape, c'est sûr mais surtout un coureur complet et endurant au général !