Modérateur: Animateurs labo à parcours
darth-minardi a écrit:Les arrivées au Pian del Re sont désormais impossibles
darth-minardi a écrit:Zone fortement protégée. Donc les arrivées du Giro dans les années 90 ou le street view vieux de 10 ans avec un grand parking ne permettent pas de juger de la situation actuelle.
Une première semaine très dure. Quatres étapes de montagne et un chrono au départ de Marseille, le spectacle risque d'être immédiatement au rendez-vous.
Grand départ en France pour ce Giro 2019, et ce sera le magnifique port de Marseille qui aura le privilège de lancer la course au maillot rose dans un exercice individuel d'une bonne vingtaine de kilomètres qui traversera les rues de la Cité Phocéenne avant d'arriver dans le Fort Saint-Nicolas. Quelques petits écarts avant de commencer la course et un premier maillot rose à donner, voilà le programme du jour.
Sprint massif en vue sur la côte. Étape piégeuse pour le peloton avec de longues portions le long de la mer avec un potentiel vent. Le col de la Garde-Freinet à 50km de l'arrivée émoussera sûrement quelques jambes.
Première explication entre favoris avec cette belle arrivée à San Remo. Mais ce sera une course bien plus difficile que l'annuel premier monument de la saison. Le col du Castillon et le Col de Brouis feront le ménage avant l'enchaînement final : Monte Vallebona, Termini di Bajardo et enfin Monte Gozzo avec les derniers 1500m à 14,3% de moyenne et des passages au delà des 19%. Un bon descendeur pourrait tenter sa chance pour s'imposer à San Remo.
Nouvelle chance de victoire pour les sprinteurs à Cuneo au départ d'Albenga. Le Colle San Bernardo piquera en début d'étape mais le reste de l'étape tout plat devrait sourire aux plus rapides.
Première étape de haute montagne, et c'est au format sprint qu'elle se jouera. Deux ascensions au programme : le Santuario di Valmala avant d'enchaîner avec le Pian Croesio. C'est loin d'être le plus dur mais cette montée de 13 bornes permettra de voir l'état de forme des favoris.
Sans doute une des étapes les plus importantes de ce Giro, mais seulement au sixième jour de course ! Départ de Pinerolo pour 90km tout plat avant le monstre, la Cima Coppi, le terrible Colle delle Finestre avec ses fameuses routes en terre. Viendra ensuite la double ascension de Sestrières, d'abord par le versant nord, puis ensuite par le versant ouest. Certains favoris perdront toute chance de victoire déjà aujourd'hui.
Dernière étape de plaine de cette semaine entre Torino et Santhià. Départ casse-pattes pour permettre à une échappée de se former avant 120 kilomètres plat dont 45 sur l'autoroute pour filer vers Santhià. 224 bornes à avaler, pas facile.
Nouvelle étape de montagne pour les favoris. Une étape loin d'être la plus dure mais attention tout de même car l'ascension finale de la Galleria di Rosazza (l'autre versant d'Oropa) assez irrégulière est quand même dure avant de descendre en pic vers Biella
Dernière étape de cette première semaine de course et déjà la quatrième de montagne. Étape courte de 107km entre Aosta et Saint-Vincent. Trois cols de 1ère catégorie : le Colle di San Pantaleone, le Colle di Joux et enfin le très dur Colle Tzecore avant de descendre, encore une fois, à Saint-Vincent. On saura après cette étape qui peut encore rêver d'une victoire finale à Como.
Alternance entre vallon et sprints, voici le programme de cette deuxième semaine entre Napoli et Bologna. Pentes à deux chiffres de rigueur.
Reprise pour les coureurs après une journée de repos à Naples au pied du Vésuve. Étape qui traversera le pays dans sa largeur pour une victoire promise aux sprinteurs à Termoli.
Étape compliquée à Agnone. Un final très dur avec d'abord le Muro Guardiabruna avec ses % souvent au dessus des 10% (voire même 15%). Pas de repis car on enchaîne direct avec la Coppa Valloni. Puis 30km très casse pattes avec des montées et des descentes puis le mur final à 8km avec des % max à 17% sur le sommet. Une défaillance dans cette étape serait terrible pour un favori.
Les coureurs verront la mer durant tout le long de l'étape entre Pescara et Ancona. En effet ils la longeront durant quasiment les 160km du jour. Attention tout de même au final, qui passera par le Parc Régional de Conero, pour les sprinteurs.
Étape vallonnée avec une magnifique arrivée à San Marino et plus de 225km à avaler. Le final est loin d'être le plus compliqué du Giro. Pas assez dure pour créer de réels écarts, la victoire pourrait bien sourire à une belle échappée.
Départ en descente de San Marino puis 140km de plat. Les équipes de sprinteurs devront juste travailler pour rattraper les fuyards du jour sur le circuit final dans Forlì. Il faudra en profiter car les sprinteurs seront ensuite à la diète pendant 6 jours.
Dernière étape de cette seconde semaine de course. Et quelle étape entre Forlì et Bologna, 3700m de D+ sans jamais dépasser les 650m d'altitude. Pas moins de 12 difficultés au programme du jour dans cet enchaînement de murs à destination de Bologne, très peu de plat sur cette étape et beaucoup de routes étroites. Une étape qui va être passionnante à regarder.
Déjà le dénouement final approche. Deux dernières étapes de haute montagne, un mini lombardia pour audacieux et un dernier chrono à Como. Qui revêtira la tunique rose dimanche ?
Encore une étape avec des murs pour arriver à Vicenza. Le Colli Berici décantera la course soit dans le peloton soit dans l'échappée avec ses pentes à 17%. Restera 25 kilomètres avant de pouvoir lever les bras.
À partir de maintenant tout pourrait basculer. Une étape très dure d'à peine 150 bornes. Le très long et régulier Passo Manghen ne laissera que les plus forts en tête, et verra sûrement des audacieux tenter leur chance et s'en servir comme tremplin avant l'ascension finale de l'Alpe di Pampeago. Une fringale de fin de tour comme on en a souvent vu serait fatale pour certains aujourd'hui.
Dernière étape de haute montagne. 222 kilomètres au programme et quatres cols de 1er cat. Mais surtout le Passo del Mortirolo et ses 11% de moyenne comme juge de paix avant le descente technique vers Edolo. Terrible étape avec de terribles cols.
Dernière chance pour les sprinteurs avec cette arrivée à Bergame. On verra qui aura mieux passé la montagne, et surtout si les équipiers auront assez de forces pour rouler derrière les hommes de tête.
La dernière chance pour les concurrents du maillot rose pour tenter de tout faire basculer avant le chrono final. Une étape courte de 122 bornes qui reprend le même parcours que le fameux Tour de Lombardie de fin de saison. Au programme le Piano Rancio, le terrible Muro di Sormano et ses 26%, puis enfin le fameux Civiglio et San Fermo de la Battaglia avant de finir à Como. Les tentatives seront nombreuses et lointaines aujourd'hui. On attend le spectacle au rendez-vous.
Chrono final à Como. 6 kilomètres de plat avant d'attaquer la terrible ascension vers Brunate. C'est court, 11 bornes, mais dur. Et à la fin de la journée on aura notre vainqueur final de ce 102e Giro d'Italia.
darth-minardi a écrit:Une fois la ligne passée, les coureurs redescendent en VTT
Parce qu'il n'y a clairement pas la place pour les stocker en haut et repartir en sens inverse comme après une course de côte en ligne, ce n'est pas faisable sur un chrono.
La première étape sera intégralement côtière, les coureurs parcourant toute la partie orientale du "talon" de l'Italie avant de remonter toujours en bord de mer vers la ville portuaire de Gallipoli. Logiquement, ce sera probablement un sprinteur qui lèvera les bras sur les quais pour ensuite endosser le premier maillot rose de l'épreuve... mais le vent marin et les quelques aspérités du parcours peuvent jouer les trouble-fêtes et offrir la victoire à un audacieux attaquant !
Comme la veille, cette étape devrait de nouveau permettre à un sprinteur de briller, même si trois belles côtes viendront émailler le parcours afin de décerner le premier maillot azzuro de ce Giro et que le vent peut là-encore rendre la journée piégeuse.
On pouvait difficilement faire plus plat que ce très long contre-la-montre par équipe ! Avec 19 mètres de dénivelé positif et 21 en négatif, le tout en bord de mer et donc particulièrement exposé au vent... voilà de quoi donner des migraines à tous les directeurs sportifs au moment de composer leur équipe. En effet, faudra-t-il privilégier les rouleurs ou les grimpeurs pour les difficiles étapes de montagne qui arriveront ensuite, au risque de repartir au soir de cette troisième étape avec une valise de minutes de retard... car pour réussir ce type d'épreuve chronométrée, il est indispensable que l'équipe soit rodée à l'exercice, avec une parfaite coordination entre tous ?!
La quatrième étape sera la plus longue de ce Giro avec presque 260 kilomètres de course au compteur, mais elle proposera également des ascensions difficiles. C'est donc une très grosse journée particulièrement éprouvante qui attend les coureurs, avec peut-être les premières véritables défaillances parmi les leaders. Néanmoins, la dernière grosse difficulté étant à plus de 65 bornes de l'arrivée, il est plus probable que ce soient des baroudeurs qui se disputent l'étape détachés à l'avant, plutôt que de voir des favoris passer à l'offensive... Pour autant, nous pouvons assister à une étape dantesque qui laissera forcément des traces pour la suite !
Après l'étape "marathon" de la veille, de nouveau une étape très accidentée, mais cette fois-ci avec une arrivée au sommet d'un violent mur qui clôturera une succession de côtes plus ou moins longues et raides. Qu'il y ait ou pas des échappés à l'avant pour se jouer la victoire d'étape, ce final "explosif" verra peut-être la première véritable confrontation directe entre les favoris à la victoire finale... à moins qu'ils ne se réservent tous pour l'étape du lendemain ?
Si les deux étapes précédentes étaient plutôt destinées à voir briller des baroudeurs ou des puncheurs, cette sixième journée de course sera le premier véritable test pour les favoris à la victoire finale, avec au programme deux grosses ascensions et la première arrivée en altitude. Si ce n'est probablement pas là que se jouera le Giro, il est néanmoins possible que certains leaders le perdent sur les difficiles pentes du Monte Nerone... Une étape à ne pas manquer, dans tous les cas !
Avant la "terrible" étape pour Klira, une septième étape relativement courte qui devrait logiquement sourire à un sprinteur, à condition bien sûr que ceux-ci ne se fassent pas irrémédiablement lâcher par le peloton dans l'une des quatre ascensions et que ce dernier soit ensuite capable de revenir sur les inévitables échappés de la première heure.
Imaginez les sommets enneigés en toile de fond, le Monte Grappa et ses terribles pentes qui vous tend les bras, les fourmillements dans les jambes à l'idée de prendre de l'altitude... et puis non ! En guise d'arrivée au sommet, ce sera sur les hauteurs de la ville de Pordenone, à tout juste 40 mètres au-dessus du niveau de la mer... Oui, les effets de l'altitude se feront probablement déjà sentir, sur cette "terrible" étape que j'ai spécialement tracée pour Klira. Non non... surtout ne me remercie pas !... Dites, vous croyez qu'un sprinteur peut gagner ?
Après l'étape la plus plate jamais tracée, rien de tel que le "monstre" Zoncalan pour clore cette première semaine de course ! Et toute la question est de savoir ce qu'une telle ascension peut donner en milieu d'étape si tôt dans un grand tour de trois semaines ? Les coureurs sont-ils capables de shunter ces terribles pentes ou allons-nous assister à un éparpillement façon "puzzle" des favoris, avec des coureurs de partout et des écarts monstrueux à l'arrivée ? En tout cas, qu'est-ce que j'aimerais voir un jour ce genre d'étape !
Après une première journée de repos bien méritée et pour aborder cette deuxième semaine "pivot" qui sera sans aucun doute la plus difficile de ce Giro, une longue et belle étape pour baroudeurs. En effet, avec le long et très difficile contre-la-montre individuel du lendemain, il est fort probable que les favoris à la victoire final se préserveront... et la succession de côtes relativement raides dans la seconde partie du parcours devrait logiquement enlever toute chance à un sprinteur de franchir la ligne d'arrivée en vainqueur. Alors pourquoi pas une grosse échappée qui prend le large dès les premiers kilomètres... pour offrir le bouquet de la victoire au plus audacieux des attaquants du jour ?!
Le choix au départ sera cornélien : vélo classique ou de chrono pour aborder ce parcours très exigeant ?! En tout cas, il faudra savoir bien gérer les transitions entre des routes complètement plates et des raidards aux pourcentages à deux chiffres afin de ne pas "exploser" en cours de route. Ce sera évidemment un parcours pour "hommes forts" qui devrait donner des écarts importants à l'arrivée !
Après le terrible contre-la-montre de la veille, rien de mieux qu'une très courte étape en ligne avec arrivée au sommet pour se décrasser les jambes ! En d'autres termes, ce sera la journée de tous les dangers pour ceux qui luttent habituellement avec les délais sur les étapes de montagne, mais aussi l'une de celles où les grimpeurs peuvent tout faire exploser dans la très sérieuse ascension du Monte Bondone. Attention donc aux défaillances !
Si l'étape de la veille était le hors-d'œuvre, voici le plat de résistance avec une gigantesque "tappone" de presque 5000 mètres de dénivelé mais surtout avec un "monstre" qui n'a pas grand chose à envier au célèbre Colle delle Finestre. Il Giogo della Bala, puisque c'est bien de lui qu'on parle, risque bien de terrasser de nombreux coureurs et il est fort probable qu'un certain nombre de leaders y perdent sur ses flans toute illusion de victoire finale. Une étape qui peut même marquer la légende du Giro, à n'en pas douter !
Cette année, le samedi est réservé pour les sprinteurs et ce sera donc encore le cas avec cette quatorzième étape très longue qui traverse la plaine du Po d'est en ouest. Alors lequel d'entre eux lèvera les bras au bout de la ligne droite finale, surtout que les efforts des jours précédents se feront probablement sentir dans les cuisses au moment de l'emballement final ?!... Ah non, cette fois-ci, ils peuvent se mettre en grève qu'il n'y aura pas de raccourcissement pour autant !
Le Covid19 mais surtout la bêtise des autorités françaises ayant eu la peau de cette magnifique étape en 2020, je me faisais un devoir de la remettre dans mon Giro, mais cette fois-ci presqu'une semaine plus tôt dans l'épreuve. Pour autant, elle n'en reste pas moins mon étape "reine", celle au cours de laquelle la course peut basculer dans une autre dimension à n'importe quel moment parce qu'un ou plusieurs leaders auront décidé de se lancer dans une grande offensive dans les terribles pentes du Colle dell'Agnello ou dans celle du Col d'Izoard. Celle dans laquelle une sérieuse sélection se fera de toute façon avec seulement les plus forts devant à la fin, pour se jouer la victoire d'étape mais aussi le haut du classement général... Etape bien sûr à ne pas manquer !
Pour entamer cette dernière semaine de course après une seconde journée de repos elle-aussi bien méritée, une courte étape de moyenne montagne permettant de rejoindre la côte méditerranéenne et plus exactement la ville de Gènes. Celle-ci devrait a priori offrir une belle course poursuite entre les inévitables échappés de la première heure et le peloton. Est-ce que ce sera un audacieux attaquant ou bien un sprinteur qui lèvera les bras sous la banderole d'arrivée ?! Cela dépendra beaucoup de la capacité des "grosses cuisses" à passer la principale difficulté du jour avec le reste du peloton...
Cette dix-septième étape sera de nouveau une occasion donnée aux baroudeurs de s'échapper dans l'une des nombreuses côtes du parcours et de résister à un éventuel retour du peloton afin de se jouer la victoire entre eux. Les prétendants à la victoire finale dans ce Giro devraient quant à eux se préserver pour notamment les deux journées très difficiles qui suivent... mais, qui sait, pourquoi pas un "coup de folie" de l'un d'entre eux qui rendrait cette étape absolument mémorable ?!
Si les leaders de la course n'ont pas bougé la veille et ont laissé l'échappée aller au bout, nous les comprendrons aisément avec ce que leur réserve cette dix-huitième étape... En effet, ce n'est pas moins de 51.8 kilomètres de chemins "blanc" répartis sur 10 secteurs distincts que les coureurs devront franchir avant de terminer l'étape dans les rues de Sienne par le même final que la célèbre classique du printemps. Bien sûr, une telle étape peut entraîner de terribles défaillances et donc complètement chambouler le classement général une fois la ligne d'arrivée franchie. Alors misons sur une étape d'anthologie !
Pour clôturer ce séjour en Toscane, une dernière très grosse étape de montagne qui mettra à l'honneur le Monte Amiata et ses différents versants. Les coureurs devront notamment escalader à trois reprises le maître des lieux avec arrivée au sommet lors du dernier passage, donnant d'ailleurs une ultime occasion aux grimpeurs de distancer leurs adversaires dans la course au maillot rose. Alors oseront-ils se lancer dans de grandes offensives pour renverser le classement général ou la joueront-ils "petit bras" ?!
A vrai dire, j'ai longuement hésité à mettre une dernière étape de montagne avec le Monte Terminillo en juge de paix... puis au fur et à mesure de ma réflexion, il m'est apparu évident que pour mettre pleinement en valeur les deux étapes précédentes, ce n'était pas une bonne idée. Et puis, le samedi est... réservé aux sprinteurs ! C'est pourquoi les coureurs auront droit à une courte mais très belle étape qui visite les lacs volcaniques situés au nord de la capitale italienne, avant de parcourir à quatre reprises un circuit dans les rues de la ville antique pour un sprint final au pied de l'impressionnant Colisée !
Pour terminer ce Giro 2024 et sceller par la même occasion le classement général de l'épreuve, ce sera un contre-la-montre individuel de 28.5 kilomètres qui reliera les célèbres studios Cinecitta qui ont fait la gloire du cinéma italien, au centre de la cité qui domina le monde antique pendant de très nombreuses décennies. Sur un tel parcours, les spécialistes de la discipline seront certes avantagés... mais le dernier jour de course, c'est avant tout l'état de fraîcheur qui fait la différence ! Alors assisterons-nous à un ultime retournement en haut du classement général ?! Seul l'avenir le dira...
Allwatcher a écrit:Intéressant ce début de Giro Tatamix (même si pas emballé par la super longue étape d'Ortona)
Je me demandais, tu dois passer un temps fou à répertorier la moindre petite ville sur tes profils non ? C'est le cas à chaque fois j'ai l'impression, ça m'épate
tatamix1972 a écrit:Allwatcher a écrit:Intéressant ce début de Giro Tatamix (même si pas emballé par la super longue étape d'Ortona)
Je me demandais, tu dois passer un temps fou à répertorier la moindre petite ville sur tes profils non ? C'est le cas à chaque fois j'ai l'impression, ça m'épate
Merci pour ton premier commentaire encourageant, Allwatcher...
Pour répondre à ta question... pour moi, tracer un parcours cycliste, c'est comme écrire une histoire avec un début et un fin, une intrigue et un fil conducteur, des retournements de situations... et même s'il y a de très beaux films muets, je dois dire que j'aime les paroles ! Toutes les villes et villages traversés font parties de mon histoire...
J'espère avoir répondu à ta question... quant au temps passé sur mes profil, on ne calcule ni ne perd jamais son temps quand c'est une passion !
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