Christian Prudhomme :
Bonsoir à toutes et à tous, et bienvenue pour suivre cette présentation de la plus grande épreuve cycliste au monde, le Tour de France. En 2021, notre chère course s'élancera du Danemark, pays Nordique où la culture du vélo est omniprésente, à l'image de sa capitale, Copenhague, d'où partiront les coureurs le Vendredi 2 Juillet prochain. A présent, je vous invite à suivre attentivement la présentation des 21 étapes qui couronneront le prochain maillot jaune au terme d'une course que l'on essaye de rendre plus passionnante d'années en années avec la société ASO, que je remercie d'ailleurs.
Prologue Inaugural :
C'est à Copenhague, près des maisons colorées de pêcheurs mais surtout devant le grand Jardin Tivoli que s'élancera la prochaine édition du Tour. Au programme, un prologue de 6km tout pile, qui permettra aux coureurs de naviguer entre les canaux de la ville, sur un parcours plat, où les grosses cuisses pourront exprimer leur puissance et rêver, dans un cadre idyllique, de revêtir le maillot jaune à la nuit tombante dans une ambiance magnifique, que je vous laisse admirer en "spoiler".
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Première étape :
Le prologue ne comptant pas officiellement comme une étape, voilà la "première étape", en ligne du moins, que nous réserve le Tour 2021. Un départ de Roskilde, 2ème plus grande ville de l'Ile de Sélande (Sjaelland), pour partir vers l'Ouest, puis l'extrême Nord de l'île, où, après un passage par la ville d'Højby, le premier Grand Prix de la Montagne de cette édition sera disputé. Rien d'insurmontable puisqu'il s'agira d'un 4ème catégorie, qui ne culmine qu'à 62 mètres au niveau de la mer. Un retour rapide, et une dernière ligne droite de près de 10km devraient nous offrir un sprint royal à Slagelse après 187km de course.
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Deuxième étape :
Le lendemain, un parcours à nouveau 100% Danois sera proposé. Passant du Syddanmark (Danemark du Sud) au Midtjylland (Jutland Central), les coureurs changeront d'île, mais pas de braquet. En effet, c'est à nouveau à sprint qui est à prévoir à Aarhus, deuxième plus grande ville démographique du Danemark. Un GPM, de 4ème catégorie encore, puis un sprint intermédiaire à Horsens, où se déroule chaque année la course cycliste UCI du même nom. Même si c'est au sprint que devrait se jouer la victoire, il faudra se méfier du vent le long des côtes, et du long faux-plat qui interviendra quelques kilomètres avant la ligne.
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Troisième étape :
Retour en France le lundi, où une journée de repos sera proposée aux coureurs. Le Havre accueillera le départ de cette étape puis la caravane sillonnera la superbe côte Normande : Honfleur, Trouville, Deauville et plus loin Ouistreham verront passer les coureurs, près de plages qui nous rappellent toujours une importante page de notre histoire. Après le Sprint Intermédiaire de Bayeux, la route ondulera progressivement, et nous devrions assister à une belle bataille puis-qu’à Saint-Jean-des-Baisants seront distribuées 5, 3, et 1 seconde de bonification. Il restera alors 9 kilomètres pour rejoindre Saint-Lô, terme d'une étape qui risque d'être indécise jusqu'au bout, et il se pourrait bien que le maillot jaune change d'épaule au départ de Dinan le lendemain.
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Quatrième étape :
Dinan accueillera pour la troisième fois un départ du Tour. Le peloton traversera la Bretagne de Nord en Sud pour un total de 193 kilomètres, jonché de deux ascensions répertoriées en 4ème catégorie. L'arrivée sera jugée à Nantes, ville-étape fondatrice du Tour en 1903, et régulièrement visitée par notre épreuve depuis. Attention cette fois pour les sprinteurs; au terme de cette journée que certain appelleraient de transition, il faudra être attentif pour ne pas se faire piéger par une échappée partie de loin, comme ce fût le cas en 2008, pour la dernière arrivée en métropole Nantaise, où Samuel Dumoulin en avait profité pour glaner ce qui est resté, me confiait-il, le plus beau succès de sa longue carrière.
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Cinquième étape :
Et parce que nous aimons Le Tour aime Nantes, nous en repartirons le lendemain, pour une étape qui devrait voir un profil de coureur différent s'imposer. En effet, c'est au sommet du Mont des Alouettes que sera tracé la ligne. 10 ans après, Philippe Gilbert pourrait encore rêver de répéter le coup double réalisé en costaud. Nous traverserons ce jour-ci les plaines d'Anjou, chères à Joachim de Bellay, puis Cholet où sera disputé le Sprint Intermédiaire du jour, avant donc de grimper les 3km à 4% du Mont des Alouettes-Les Herbiers où un homme fort devrait pouvoir s'imposer.
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Sixième étape :
La sixième étape devrait être rapide, bien qu'elle soit la plus longue de cette prochaine édition, dépassant tout juste la barre des 200 kilomètres. Il est vrai que le vent souffle en général près des Sables-d'Olonne, et il faudra être attentif si il est de côté, car l'arrivée à Cognac pourrait faire mal à la tête. Le cortège passera par la belle ville de Saintes, avant de conclure sa journée au pied du Parc François 1er de Cognac, où le vainqueur sera désigné au bout d'une ligne droite en léger faux plat montant (2-3%)
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Septième étape :
Et si les baroudeurs étaient à l'honneur en cette septième étape ? La route ne sera pas simple entre le chef-lieu de Dordogne et la cité médiévale bien connue des amateurs de vin. Les portions planes ne seront que rares et le maillot de meilleur grimpeur sera aussi un enjeu primordial de la journée, avec 5 points distribués sur l'étape. Les côtes ne seront jamais longues, mais nombreuses, et le bras de fer engagé entre échappés et peloton décidera probablement du coureur qui montera sur le podium à Cahors.
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Huitième étape :
Ce dimanche 11 Juillet précédera la seconde journée de repos du Tour, et il signifiera également la première arrivée au sommet. C'est de Montauban que sera baissé le drapeau à damiers, et si le parcours sera plutôt plat les 100 premiers kilomètres, les premières pentes s'offriront à hauteur de Castres, où une forme olympique sera de mise pour défier une montée inédite de la Grande Boucle : Le Col de Fontbruno. Redescente vers Mazamet, puis remontée jusqu'aux 1200m d'altitude du Pic de Nore, proposant 17km à 5.7% de moyenne, et des passages jusqu'à 10%. Celui qui portait le maillot à pois jusqu'à présent devra alors bien figurer dans cette étape pour avoir des chances de le conserver. Les prétendants du Classement général ne devront pas se manquer au Pic de Nore, au risque de ne pas aborder le jour de repos, et le chrono suivant, dans les meilleures conditions.
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Neuvième étape :
Car c'est bien le vélo de contre-la-montre qu'enfourcheront les coureurs au départ de Tarbes. Après une journée de repos, le chrono les emmènera à Lourdes après un parcours où la vitesse sera l'élément essentiel pour accrocher un résultat. Une longue ligne droite, au profil montant, occupera les trois quarts du tracé, avant les 5 derniers kilomètres, descendants vers le centre-ville de Lourdes, puisque le chronomètre s'arrêtera devant l'église du Sacré Cœur après 19 kilomètres.
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Dixième étape :
Nous repartirons de la même Sainte ville le lendemain, et il ne faudra pas espérer de miracle pour s'imposer à l'issue des 131 kilomètres. C'est un vrai feu d'artifice que nous vous proposerons en ce 14 Juillet, au départ de Lourdes. 4 sommets répertoriés, l'étape la plus difficile jusqu'alors, une arrivée vierge de notre passage depuis 2014 et la belle victoire d'un Vincenzo Nibali en jaune...tous les éléments semblent réunis pour offrir une belle journée au peuple français pour le jour de fête nationale, où une sorte de boucle nous mènera au sommet, vous l'avez compris, de la redoutable montée d'Hautacam. 14.2 kilomètres, 7.8% de moyenne et des passages tutoyant les 12%...il se pourrait bien que les attaques soient nombreuses pour récupérer le temps perdu jusqu'ici, ou pour décrocher un maillot jaune qui risque encore de changer d'épaules.
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Onzième étape :
Le transfert sera court vers la bastide de Lannemezan, d'où sera donné le départ de l'étape suivante. Il faudra grimper le Col des Ares avant de basculer dans une vallée menant jusqu'à Saint Gaudens, où sera placée la ligne du Sprint Intermédiaire journalier, puis Aspet , et son fameux Portet. Une montée bien connue de la Grande Boucle, où le regretté Fabio Casartelli nous avait quitté en 1995. Encore une fois, nous lui rendrons hommage en déposant une gerbe sur la stèle gravée de son nom. La rapide descente du Portet d'Aspet nous mènera alors vers une arrivée d'étape à Saint-Girons, qui pourrait bien sourire aux audacieux du jour, comme ce fut le cas en 2009 avec la victoire de Luis-Leon Sanchez dans l'unique arrivée d'étape à Saint-Girons jusqu'ici.
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Douzième étape :
C'est avec un lieu de départ inédit que le coup d'envoi de cette douzième étape sera donné. Après avoir accueilli une arrivée de la Ronde de l'Isard 2019, la ville du Mas d'Azil nous a accordé sa confiance. Une étape qui pourrait bien apporter sa pierre à l'édifice des différents classements, puisque 6 cols se présenteront sous les roues des coureurs. Après l'enchainement des cols de Latrape, d'Agnès et du Port de Lers, la vallée menant jusqu'à Tarascon sur Ariège pourrait paraître bien longue à certains coureurs...
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Treizième étape :
Cap à l'Est pour cette étape qui pourrait en surprendre plus d'un ! A Ax-les-Thermes, les home-trainers devraient être de sortie puisque le départ réel sera donné au pied du redoutable Port de Pailhères et son sommet tutoyant les 2000m d'altitude. Pas de répit après la descente, c'est le Col de Garavel qu'escaladeront les héros de juillet, puis la descente mènera, une fois encore directement au pied du Col de Jau, sans aucune vallée. Il restera alors 90 kilomètres, et l'issue de l'étape devrait être indécis. Échappée de costauds, groupe réduit ou peloton massif, nous ne pouvons prédire qui se présentera en vainqueur à Argelès, près de la frontière Espagnole, à une altitude de 2 petits mètres au dessus de la mer, pour une deuxième arrivée d'étape dans la station balnéaire, près de 50 ans après la dernière, en 1973.
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Quatorzième étape :
Attention à cette étape ! Si le profil n'effrayera pas les grands noms de ce prochain Tour de France, c'est bien à une étape particulière dans l'histoire du Tour que nous avons à faire ici. Après avoir emprunté le bord de mer, durant les 50 premiers kilomètres, le peloton traversera le massif des Corbières, puis passera devant le Parc Naturelle de la Narbonnaise et la réserve africaine de Sigean notamment.Puis au km97 de cette étape, avant Narbonne, le peloton entrera dans un secteur poussiéreux, comme nous avons l'habitude d'en voir sur les Strade Bianche chaque année. Un secteur de 3.5km qui pourrait jouer un rôle dans cette étape. Puis la cité de Narbonne sera visité, et un deuxième secteur sera emprunté. Celui ci sera bien long d'1km, mais plus selectif, car moins large, en bordure du Canal de Sainte-Marie, "Quai de la Révolution". Le troisième et dernier secteur de la journée sera placé du km143 à 145.5, "Chemin de la Vistoule" à Vendres. Celui ci offrira d'ailleurs des bonifications aux 3 coureurs en sortant premiers. Alors rassurez-vous, ce n'est pas un mini Paris Roubaix qui attend les coureurs avant l'arrivée à Béziers, mais ces secteurs terreux ne devront pas non plus être pris à la légère, car ils pourraient être piégeux. L'arrivée sera difficile également, en faux plat montant (4-5%), au sommet du Boulevard Leclerc, tout comme 2002, date de dernière arrivée dans cette belle ville où David Millar l'avait emporté au sein d'un groupe de costauds.
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Quinzième étape :
Après le dernier repos, c'est d'une ville privée du Tour depuis 1982 que nous partirons le lendemain. Souvenez vous, c'etait Bernard Hinault qui portait alors la tunique jaune à Manosque, et il avait réussi à conserver jusqu'à Paris. Un départ qui mettra le feu au poudres, dans le col de la mort d'Imbert (4eme catégorie), puis l'enchaînement avec la montée de Fontienne (3ème catégorie), qui verra peut-être une échappée se dessiner afin de prendre quelques longueurs d'avance avant la fameuse Montagne de Lure et ses 19.2km à près de 6%. Retour au calme par la suite, avec un passage à Sisteron pour le Sprint, puis à Gap, avant un final accidenté qui nous mènera vers l'arrivée. Avec 2 derniers kilomètres montants (5%) baroudeurs, puncheurs ou hommes rapides peuvent espérer s'imposer dans une étape qui risque bien d'être très indécise dans une ville qui aime les départs de notre course sans jamais en avoir accueilli d'arrivée : Embrun.
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Seizième étape :
C'est justement d'Embrun que partira la première étape alpestre de cette édition. Des cols mythiques du Tour y seront escaladés puisqu'après le Sprint Intermédiaire disputé dans la station de Risoul en début d'étape, un triptyque de cols qui ont bâtit l'histoire du Tour sera proposé. D'abord le Col d'Izoard, puis le Galibier, toit de ce Tour de France 2021 avec ses 2555 mètres d'altitude au sommet, avant une courte remontée entre Valloire et le sommet du Col du Télégraphe. S'en suivra une longue descente vers Saint-Jean-de-Maurienne, qui devrait voir une différence de temps importante entre le premier et le dernier coureur à passer la ligne d'une étape rassemblant ces trois cols classiques de notre sport.
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Dix-Septième étape :
C'est du Bourg-d'Oisans que s'élancera ce qu'on peut considérer comme l'étape reine de cette prochaine édition. Après une dizaine de kilomètres relativement plats, le Col du Glandon sera gravit. Sa montée par paliers usera les coureurs avant de redescendre vers Saint-Rémy-de-Maurienne pour le Sprint jugé au milieu d'une courte vallée. C'est alors le difficile Col de la Madeleine, séparant les deux départements Savoyards, qui se dressera au milieu de profil journalier. A l'approche d'Aigueblanche, les coureurs prendront à droite pour monter vers Valmorel, puis enchaîneront avec le Col du Pré et ses pourcentages importants. C'est alors qu'ils se présenteront à Aime pour commencer l'ultime montée du jour, de 18.6 à 7.3% de moyenne, vers La Plagne, où sera placée la ligne d'une étape qui pourrait rester longtemps dans les mémoires.
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Dix-Huitième étape :
La dix-huitième étape risque d'être mouvementée. 68 kilomètres seulement seront au programme. Après un départ de Bourg-d'Oisans et le Sprint à Landry au km7, la route se cabrera pour grimper jusqu'aux Arcs 1800, où seront distribuées les dernières secondes de bonification de cette Grande Boucle. Nous repasserons au Bourg-d'Oisans avant d'entamer une montée interminable, de 30 kilomètres, qui mènera le meilleur grimpeur du jour vers une victoire d'étape de prestige à la frontière Franco-Suisse, au sommet du Col du Petit Saint-Bernard.
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Dix-Neuvième étape :
Albertville aime le sport, particulièrement le cyclisme, alors c'est d'ici que nous lancerons cette antépénultième étape. Une étape au profil différent des derniers jours puisque le parcours sera jonché de difficultés, mais plus courtes que dans les Alpes. C'est ainsi que 8 GPM distribueront un nombre de points important, qui pourraient être décisif dans la quête du maillot à pois. Une étape typée comme certaines classiques , sans un mètre de plat. Cette étape reliera la Savoie à l'Ain pour une arrivée à Oyonnax, qui rappelera de bons souvenirs à Tony Gallopin puisqu'il s'y était imposé en 2014. Les derniers kilomètres seront d'ailleurs semblables, avec la Côte d'Echallon en juge de paix. Aura-t-on un puncheur, un baroudeur, ou une bataille entre favoris à la veille de l'arrivée finale ? Toutes les possibilités restent envisageables.
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Vingtième étape :
Comme il est désormais de coutume, l'arrivée finale sera jugée après une parade séparant cette fois la ville de Chantilly à l'Avenue des Champs Elysées, dans une étape promise aux sprinteurs puisqu'il s'agira de celle avec le moins de dénivelé de cette édition. Conflans-Saint-Honorine, Sartrouville et Levallois-Perret seront notamment traversés par le cortège avant les 8 tours de circuit dans Paris intra-muros, puis un sprint massif royal verra sûrement couronner le dernier vainqueur de Tour de France 2021.
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Bilan :
Vous l'avez peut-être compris, l'objectif de cette prochaine Grande Boucle est de voir une course décousue, qui sacrera un grimpeur sachant rouler. Entre arrivées au sommet, étapes de haute et moyenne montagne, de puncheurs ou de sprinteurs, rien ne manquera. Les rouleurs auront également 2 occasions d'exprimer leurs talents dans ce qui se veut une édition évitant les étapes marathon, bien souvent soporifiques.