Modérateur: Animateurs labo à parcours
Lecool a écrit:Tour de Californie qui disparaît
Le vendredi 29 mai, les coureurs cyclistes des Boucles de la Mayenne prendront le départ de Vaiges. Ils arriveront à Évron après être passés par le Mont du feu, Montaigu et le Mont Rochard. Avec autant de difficultés, il pourrait bien s’agir de l’étape reine de la course.
France a écrit:Le Col de la Loze, je comprends par contre je ne comprends pas pour le Col de Porte, une horreur.
trousselier a écrit:France a écrit:Le Col de la Loze, je comprends par contre je ne comprends pas pour le Col de Porte, une horreur.
Pourquoi cette aversion pour le col de Porte ?
C'est un col historique, Porte, et il est très dur par la plupart de ses versants. C'est une montée très sous-estimée, mais c'est un sacré morceau qui ferait de drôles de dégâts dans le cas d'une grosse baston.
Pour moi, Porte fait partie de ces cols qui mériteraient remis en lumière, car son potentiel demeure énorme, et il l'a largement prouvé dans l'histoire du Tour et du Dauphiné. On va pas rappeler tous les épisodes légendaires (Robic 47, Gaul 58, Hinault 77, etc, etc) qui s'y sont déroulés, la liste serait trop longue, mais le cyclisme et sa mythologie doivent beaucoup à cette montée, et au massif de La Chartreuse en général. Me semble d'ailleurs que c'est un des cols les plus anciens utilisés par le Tour de France.
France a écrit:trousselier a écrit:France a écrit:Le Col de la Loze, je comprends par contre je ne comprends pas pour le Col de Porte, une horreur.
Pourquoi cette aversion pour le col de Porte ?
C'est un col historique, Porte, et il est très dur par la plupart de ses versants. C'est une montée très sous-estimée, mais c'est un sacré morceau qui ferait de drôles de dégâts dans le cas d'une grosse baston.
Pour moi, Porte fait partie de ces cols qui mériteraient remis en lumière, car son potentiel demeure énorme, et il l'a largement prouvé dans l'histoire du Tour et du Dauphiné. On va pas rappeler tous les épisodes légendaires (Robic 47, Gaul 58, Hinault 77, etc, etc) qui s'y sont déroulés, la liste serait trop longue, mais le cyclisme et sa mythologie doivent beaucoup à cette montée, et au massif de La Chartreuse en général. Me semble d'ailleurs que c'est un des cols les plus anciens utilisés par le Tour de France.
Le Col de Porte est un super col mais juste pas en arrivée au sommet, un enchainement Coq-Porte puis arrivée à Grenoble, c'est mieux.
trousselier a écrit:France a écrit:trousselier a écrit:France a écrit:Le Col de la Loze, je comprends par contre je ne comprends pas pour le Col de Porte, une horreur.
Pourquoi cette aversion pour le col de Porte ?
C'est un col historique, Porte, et il est très dur par la plupart de ses versants. C'est une montée très sous-estimée, mais c'est un sacré morceau qui ferait de drôles de dégâts dans le cas d'une grosse baston.
Pour moi, Porte fait partie de ces cols qui mériteraient remis en lumière, car son potentiel demeure énorme, et il l'a largement prouvé dans l'histoire du Tour et du Dauphiné. On va pas rappeler tous les épisodes légendaires (Robic 47, Gaul 58, Hinault 77, etc, etc) qui s'y sont déroulés, la liste serait trop longue, mais le cyclisme et sa mythologie doivent beaucoup à cette montée, et au massif de La Chartreuse en général. Me semble d'ailleurs que c'est un des cols les plus anciens utilisés par le Tour de France.
Le Col de Porte est un super col mais juste pas en arrivée au sommet, un enchainement Coq-Porte puis arrivée à Grenoble, c'est mieux.
Ok. En tout cas, ASO aurait une bonne idée en remettant la Chartreuse au goût du jour, car ça reste un des secteurs les plus machiavéliques de l'hexagone, avec son grand nombre de cols aux pentes irrégulières et aux forts pourcentages. Historiquement, c'est peut-être l'endroit ou le plus de grands moments de cyclisme se sont déroulés. Y a que des vacheries, dans le coin: Porte, Coq, Cucheron, Marcieu, Palaquit, Granier (des coureurs y avaient mis pied à terre lors du Tour 61, piégés par le pourcentage), La Ruchère , sans oublier une montée qui n'est peut-être plus utilisable, la Charmette. Hinault s'y était fait larguer par le grimpeur colombien Pacho Rodriguez, en 1984, et c'était vraiment impressionnant.
Guillaume14 a écrit:trousselier a écrit:France a écrit:trousselier a écrit:France a écrit:Le Col de la Loze, je comprends par contre je ne comprends pas pour le Col de Porte, une horreur.
Pourquoi cette aversion pour le col de Porte ?
C'est un col historique, Porte, et il est très dur par la plupart de ses versants. C'est une montée très sous-estimée, mais c'est un sacré morceau qui ferait de drôles de dégâts dans le cas d'une grosse baston.
Pour moi, Porte fait partie de ces cols qui mériteraient remis en lumière, car son potentiel demeure énorme, et il l'a largement prouvé dans l'histoire du Tour et du Dauphiné. On va pas rappeler tous les épisodes légendaires (Robic 47, Gaul 58, Hinault 77, etc, etc) qui s'y sont déroulés, la liste serait trop longue, mais le cyclisme et sa mythologie doivent beaucoup à cette montée, et au massif de La Chartreuse en général. Me semble d'ailleurs que c'est un des cols les plus anciens utilisés par le Tour de France.
Le Col de Porte est un super col mais juste pas en arrivée au sommet, un enchainement Coq-Porte puis arrivée à Grenoble, c'est mieux.
Ok. En tout cas, ASO aurait une bonne idée en remettant la Chartreuse au goût du jour, car ça reste un des secteurs les plus machiavéliques de l'hexagone, avec son grand nombre de cols aux pentes irrégulières et aux forts pourcentages. Historiquement, c'est peut-être l'endroit ou le plus de grands moments de cyclisme se sont déroulés. Y a que des vacheries, dans le coin: Porte, Coq, Cucheron, Marcieu, Palaquit, Granier (des coureurs y avaient mis pied à terre lors du Tour 61, piégés par le pourcentage), La Ruchère , sans oublier une montée qui n'est peut-être plus utilisable, la Charmette. Hinault s'y était fait larguer par le grimpeur colombien Pacho Rodriguez, en 1984, et c'était vraiment impressionnant.
La Charmette ? Sur le Tour ? Aucun souvenir pour ma part...
trousselier a écrit:Guillaume14 a écrit:trousselier a écrit:France a écrit:trousselier a écrit:France a écrit:Le Col de la Loze, je comprends par contre je ne comprends pas pour le Col de Porte, une horreur.
Pourquoi cette aversion pour le col de Porte ?
C'est un col historique, Porte, et il est très dur par la plupart de ses versants. C'est une montée très sous-estimée, mais c'est un sacré morceau qui ferait de drôles de dégâts dans le cas d'une grosse baston.
Pour moi, Porte fait partie de ces cols qui mériteraient remis en lumière, car son potentiel demeure énorme, et il l'a largement prouvé dans l'histoire du Tour et du Dauphiné. On va pas rappeler tous les épisodes légendaires (Robic 47, Gaul 58, Hinault 77, etc, etc) qui s'y sont déroulés, la liste serait trop longue, mais le cyclisme et sa mythologie doivent beaucoup à cette montée, et au massif de La Chartreuse en général. Me semble d'ailleurs que c'est un des cols les plus anciens utilisés par le Tour de France.
Le Col de Porte est un super col mais juste pas en arrivée au sommet, un enchainement Coq-Porte puis arrivée à Grenoble, c'est mieux.
Ok. En tout cas, ASO aurait une bonne idée en remettant la Chartreuse au goût du jour, car ça reste un des secteurs les plus machiavéliques de l'hexagone, avec son grand nombre de cols aux pentes irrégulières et aux forts pourcentages. Historiquement, c'est peut-être l'endroit ou le plus de grands moments de cyclisme se sont déroulés. Y a que des vacheries, dans le coin: Porte, Coq, Cucheron, Marcieu, Palaquit, Granier (des coureurs y avaient mis pied à terre lors du Tour 61, piégés par le pourcentage), La Ruchère , sans oublier une montée qui n'est peut-être plus utilisable, la Charmette. Hinault s'y était fait larguer par le grimpeur colombien Pacho Rodriguez, en 1984, et c'était vraiment impressionnant.
La Charmette ? Sur le Tour ? Aucun souvenir pour ma part...
Non, La Charmette avait été utilisé sur le Dauphiné-Libéré. Une étape d'anthologie, des écarts énormes à l'arrivée à Fontanil. Le Dauphiné 1984 reste sans doute une des plus belles éditions de son histoire, même si son vainqueur, le terne Martin Ramirez, ne fait pas partie des colombiens les plus marquants. Mais dans ce Dauphiné de muerte, sa régularité a fait la différence pendant que Hinault se mettait des bastons mémorables avec les autres grimpeurs colombiens, Pacho Rodriguez (qui a failli remporter la Vuelta l'année suivante) et Pablo Wilchès.
Hinault, excédé par son adversaire qui se « contente » de le suivre, pète les plombs et commence à insulter en français Ramírez, qui fait mine de ne pas le comprendre. Ramírez racontera que Hinault se serait mis à imiter le mouvement de battements d’ailes d’une poule, avant de franchement déraper en faisant des allusions racistes : « Il a alors commencé à faire référence à la cocaïne et à la drogue, se moquant de mes origines colombiennes. »
Tazio a écrit:Énorme le récit de ce Dauphiné 1984 que je viens de trouver
Partie 1 : https://www.lederailleur.fr/dauphine-li ... ien-21691/
Partie 2 : http://www.lederailleur.fr/dauphine-lib ... n-2-21702/
Hinault, excédé par son adversaire qui se « contente » de le suivre, pète les plombs et commence à insulter en français Ramírez, qui fait mine de ne pas le comprendre. Ramírez racontera que Hinault se serait mis à imiter le mouvement de battements d’ailes d’une poule, avant de franchement déraper en faisant des allusions racistes : « Il a alors commencé à faire référence à la cocaïne et à la drogue, se moquant de mes origines colombiennes. »
Dire qu'aujourd'hui on ne peut même plus faire pareil avec les ratons
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