Pink Panda a écrit:Avouons que le « Pierre-Luc Périchon » est tellement tentant qu'on se sent obligé de voter pour lui
Perso j'ai craqué
Qui ne craquerait pas ?
Tour de Lombardie
La Classique des Feuilles Mortes représente le dernier grand rendez-vous de la saison. Sans manquer de respect au Tour de Pékin, le gratin mondial n’hésite pas s’il ne devait choisir qu’une victoire. Beaucoup vont d’ailleurs clôturer leur saison ce soir et prendre un repos bien mérité. Avant cela, il faut se farcir 241 kms entre Bergame et Lecce parsemés du Mur de Sormano, la Madonna del Ghisallo et Villa Vergano à 10 kms de l’arrivée. Ces deux dernières années, la victoire s’est jouée au sprint entre un néerlandais et un espagnol. Que ce soit Mollema face à Contador ou Gesink contre Valverde, les coureurs Rabobank avaient fait la meilleure impression dans l’ultime bosse et, plus frais, avaient facilement levé les bras. Comme beaucoup de membres du top 10, ils avaient brillé sur la Vuelta un mois auparavant. Le vainqueur est-t-il une nouvelle fois à chercher dans la startlist espagnole ?
Le tout nouveau champion du monde est en tout cas bien présent pour défendre son titre, et entouré d’une belle équipe. Il pourrait même s’effacer derrière Mollema pour le remercier de son sacrifice de Pontferrada. On retrouve également le vainqueur du Giro, Kruijswijk, Slagter, Luis León Sánchez, Kelderman, Barredo et Acedo. Que du beau monde ! La tâche s’annonce donc compliquée mais les outsiders ont tout de même les dents longues. Presque tous les leaders du peloton sont là, à commencer par Nibali, qui doit effacer sa contre-performance des mondiaux. Mais aussi Contador, Valverde, Fuglsang, De Gendt, Pinot, Kreuziger, van Garderen, Talansky, les frères Schleck, Taaramae ou Wiggins pour ne citer que les meilleurs grimpeurs. Parmi les puncheurs en forme, on retrouve évidemment des protagonistes des mondiaux comme Sagan, Tony Martin, Vanendert, Gilbert et Gatto. Ce dernier s’est d’ailleurs offert à la régulière le scalp de Gesink en cours de semaine sur la difficile arrivée de Milan-Turin. Tous les espoirs sont donc permis ! Le seul absent de marque est Simon Gerrans. L’australien s’est malheureusement fracturé la clavicule sur son ultime course de préparation.
Très vite, Davide Vigano, Tom Dumoulin et Konstantin Siutsou prennent quelques mètres d’avance. Il faut pourtant attendre une quarantaine de kms pour que ce trio prenne le large. Après de nombreuses tentatives, un groupe de contre se forme enfin comprenant Zubeldia, Navarro, Roy et Balloni. Les Farnese de Gatto n’hésitent pas à faire de gros efforts pour ne pas les laisser partir et au km 70 dans la montée de Valcava, ils font la jonction. Avoir seulement un trio à l’avant sera plus facile à contrôler. Pourtant les Rabobank décident de continuer sur cette lancée en envoyant Acedo rouler. L’équipe néerlandaise est en confiance et se dit qu’une course éprouvante ne peut que les favoriser, comme aux mondiaux. Au sommet, Vigano, Dumoulin et Siutsou sont deux minutes devant, et le peloton déjà réduit à 118 unités mais se reforme dans la descente. Arrivés dans la plaine, il reste 136 kms quand Simon, Roche, Wegmann, Hoogerland et Valverde attaquent ! Le scénario des mondiaux est bien frais dans les mémoires et les Rabobank ne veulent pas revivre l’expérience. Cette fois, Kruijswijk fait donc l’effort pour revenir de suite. Mais 10 kms plus loin, une nouvelle offensive est lancée par Dani Moreno. On comprend que ça risque de ne pas arrêter jusqu’au final et les Rabobank n’ont quand même pas les moyens de tour contrôler indéfiniment. Slagter accompagne donc l’espagnol, comme deux Colnago, Pozzovivo et Pirazzi, et Velits dans une stratégie similaire aux mondiaux. Hoogerland est aussi reparti. Ce groupe revient rapidement sur les attaquants matinaux alors qu’il reste 117 kms à couvrir.
J'aurais presque envie de changer mon vote (Serry à la base) parce que je sens bien Velits s'isoler, rester seul à l'avant et ratonner les leaders quand il reviendront sur lui pour gratter un podium
AG2R a écrit:J'aurais presque envie de changer mon vote (Serry à la base) parce que je sens bien Velits s'isoler, rester seul à l'avant et ratonner les leaders quand il reviendront sur lui pour gratter un podium
Ce petit trailer est justement fait pour voir si certains vont changer leur vote J'ai mis dans le sondage un mec de l'échappée matinale, des mecs du contre, quelqu'un qui a attaqué mais pas réussi à sortir, et d'autres qui se cachent encore
La Classique des Feuilles Mortes représente le dernier grand rendez-vous de la saison. Sans manquer de respect au Tour de Pékin, le gratin mondial n’hésite pas s’il ne devait choisir qu’une victoire. Beaucoup vont d’ailleurs clôturer leur saison ce soir et prendre un repos bien mérité. Avant cela, il faut se farcir 241 kms entre Bergame et Lecce parsemés du Mur de Sormano, la Madonna del Ghisallo et Villa Vergano à 10 kms de l’arrivée. Ces deux dernières années, la victoire s’est jouée au sprint entre un néerlandais et un espagnol. Que ce soit Mollema face à Contador ou Gesink contre Valverde, les coureurs Rabobank avaient fait la meilleure impression dans l’ultime bosse et, plus frais, avaient facilement levé les bras. Comme beaucoup de membres du top 10, ils avaient brillé sur la Vuelta un mois auparavant. Le vainqueur est-t-il une nouvelle fois à chercher dans la startlist espagnole ?
Le tout nouveau champion du monde est en tout cas bien présent pour défendre son titre, et entouré d’une belle équipe. Il pourrait même s’effacer derrière Mollema pour le remercier de son sacrifice de Pontferrada. On retrouve également le vainqueur du Giro, Kruijswijk, Slagter, Luis León Sánchez, Kelderman, Barredo et Acedo. Que du beau monde ! La tâche s’annonce donc compliquée mais les outsiders ont tout de même les dents longues. Presque tous les leaders du peloton sont là, à commencer par Nibali, qui doit effacer sa contre-performance des mondiaux. Mais aussi Contador, Valverde, Fuglsang, De Gendt, Pinot, Kreuziger, van Garderen, Talansky, les frères Schleck, Taaramae ou Wiggins pour ne citer que les meilleurs grimpeurs. Parmi les puncheurs en forme, on retrouve évidemment des protagonistes des mondiaux comme Sagan, Tony Martin, Vanendert, Gilbert et Gatto. Ce dernier s’est d’ailleurs offert à la régulière le scalp de Gesink en cours de semaine sur la difficile arrivée de Milan-Turin. Tous les espoirs sont donc permis ! Le seul absent de marque est Simon Gerrans. L’australien s’est malheureusement fracturé la clavicule sur son ultime course de préparation.
Très vite, Davide Vigano, Tom Dumoulin et Konstantin Siutsou prennent quelques mètres d’avance. Il faut pourtant attendre une quarantaine de kms pour que ce trio prenne le large. Après de nombreuses tentatives, un groupe de contre se forme enfin comprenant Zubeldia, Navarro, Roy et Balloni. Les Farnese de Gatto n’hésitent pas à faire de gros efforts pour ne pas les laisser partir et au km 70 dans la montée de Valcava, ils font la jonction. Avoir seulement un trio à l’avant sera plus facile à contrôler. Pourtant les Rabobank décident de continuer sur cette lancée en envoyant Acedo rouler. L’équipe néerlandaise est en confiance et se dit qu’une course éprouvante ne peut que les favoriser, comme aux mondiaux. Au sommet, Vigano, Dumoulin et Siutsou sont deux minutes devant, et le peloton déjà réduit à 118 unités mais se reforme dans la descente. Arrivés dans la plaine, il reste 136 kms quand Simon, Roche, Wegmann, Hoogerland et Valverde attaquent ! Le scénario des mondiaux est bien frais dans les mémoires et les Rabobank ne veulent pas revivre l’expérience. Cette fois, Kruijswijk fait donc l’effort pour revenir de suite. Mais 10 kms plus loin, une nouvelle offensive est lancée par Dani Moreno. On comprend que ça risque de ne pas arrêter jusqu’au final et les Rabobank n’ont quand même pas les moyens de tour contrôler indéfiniment. Slagter accompagne donc l’espagnol, comme deux Colnago, Pozzovivo et Pirazzi, et Velits dans une stratégie similaire aux mondiaux. Hoogerland est aussi reparti. Ce groupe revient rapidement sur les attaquants matinaux alors qu’il reste 117 kms à couvrir.
Le peloton en a quant à lui profité pour souffler un peu. L’écart est ainsi monté à 6 minutes, le plus important depuis le départ. Dans la montée de Sormano, les grosses formations remplacent les Farnese en tête de peloton. Les BMC, RadioShack et Sky travaillent respectivement pour Gilbert, Fuglsang et vraisemblablement Uran. Les pentes redoutées font perdre encore la moitié de son contingent au peloton dont Betancur, Seeldraeyers, Quintana et Kiryienka. Sur le bord du lac de Côme, les équipes retrouvent un terrain plus favorable pour s’organiser et revenir à 3’30’’ au pied de la montée de Ghisallo. Pas de surprise pour l’instant si ce n’est l’attitude de Sagan. Fébrile sans son maillot irisé, l’ancien champion du monde passe lui-même des relais. Devant, Pozzovivo fait la meilleure impression dans la montée. Derrière, le peloton explose au train. Bakelants et Vichot sont d’abord décrochés, puis Boasson Hagen, A.Schleck, Monfort, Mohoric, Brajkovic et Valls. Enfin, Talansky, Taaramae et Wiggins passent par-dessus bord en vue du sommet. Ces groupes-là ne reviendront jamais. Le peloton est ainsi réduit à 34 unités mais n’a pourtant repris que 30 secondes aux hommes de tête ! Les 15 kms menant au pied de Villa Vergano leurs sont une nouvelle fois défavorables d’autant plus que Cancellara se décide à tirer des bouts droits. Il leur reste pourtant 1’45’’ à 14 kms du but, tout est encore possible pour Pozzovvo, Pirazzi, Moreno, Slagter, Velits et Hoogerland !
Ce n’est pas le favori, mais Uran est le premier à attaquer dès les premiers pourcentages. Il espère peut-être prendre un peu de marge avant que les gros favoris se lancent à leur tour. Mais Gatto, Vanendert et Gilbert sautent dans sa roue. Gesink et Kreuziger reviennent aussi rapidement. L’italien est pourtant déchainé et lance une deuxième offensive que personne ne suit. Les autres préfèrent gérer ce début d’ascension ultra-rapide. Nibali et Tony Martin mènent un contre avec les surprenants Amador et Grega Bole. Puis vient un autre groupe qui s’est détaché au train avec Contador, Pinot, Sagan, Fuglsang, Mollema et Kelderman. Les favoris réduisent rapidement l’écart avec les hommes de tête malgré le travail de Moreno et Pozzovivo, qui fait d’ailleurs sauter Hoogerland et Slagter. Alors qu’on attend une attaque d’un des deux, c’est finalement Pirazzi qui accélère dans les pentes les plus raides à 11 kms de l’arrivée ! Le reste du groupe se relève car Gatto revient déjà sur eux. Gesink et Vanendert ne sont pas loin derrière et font aussi la jonction. Le temps de s’organiser, Uran raccroche les roues mais pas Kreuziger ni Gilbert, qui a complètement explosé.
Il reste moins d’un km de montée et Pirazzi possède toujours une petite trentaine de secondes d’avance. L’italien fait un final plus que remarquable et peut se mettre à rêver s’il bascule en tête. En effet, qui roulera dans la descente pour ramener ses adversaires ? Avant cela, il reste encore 1000 mètres d’ascension, suffisants pour que Gesink attaque ! Il applique la même tactique qui lui avait permis de décrocher le titre mondial il y a une semaine, c’est-à-dire gérer les attaques de ses adversaires avant de contrer dans les derniers instants. Le néerlandais rejoint Pirazzi juste au sommet, 25’’ devant le groupe Gatto-Vanendert-Uran que Moreno et Pozzovivo ont accroché. Nibali, Martin, Kreuziger et Amador ne sont pas loin et, grâce à une magnifique descente du sicilien, ils reviennent sans frémir. Ils sont donc 9 à la poursuite du duo à moins de 20’’ désormais. Neuf, cela fait un peu beaucoup pour que les relais tournent bien. Et effectivement, ce groupe commence à jouer la troisième place alors que Gesink est loin d’être impérial dans cette descente. Logiquement, Pirazzi ne passe plus un relais, il essaye de recouvrer quelques forces pour le sprint. Comme l’an dernier, le néerlandais se méfie et retarde le moment fatidique de lancer son sprint. Pirazzi croit à l’exploit, jusqu’à ce que Gesink accélère. Il n’y a en fait pas photo. Quoi de mieux qu’un titre conservé sur le Tour de Lombardie pour inaugurer son maillot arc-en-ciel ? Si ses poursuivants se sont observés, un qui ne chôme pas en revanche, c’est Fuglsang dans le 3e groupe. Le danois est aussi un excellent descendeur et ramène in extremis Contador, Pinot, Mollema, Gilbert, Hoogerland et Velits sous la banderole des 3 kms ! Les grosses cuisses de Sagan n’ont en revanche pas passé les plus forts pourcentages. Toujours est-t-il qu’il y a désormais plus de prétendants au podium et que Contador lance le sprint de très loin. Il est le seul à prendre ses responsabilités. Mais logiquement il se fait déborder. D’abord par Uran, puis par Martin, et enfin Mollema. Il n’était pas au top niveau dans les côtes aujourd’hui, mais comme aux mondiaux il a pu se préserver dans les roues. Il décroche finalement un podium inespéré il y a quelques kms à peine, à un souffle de Pirazzi. Martin a beau critiquer la manière, il ne peut s’en prendre qu’à lui-même si cette 3e place lui file sous le nez. Lui et Vanendert font 4 et 5, exactement comme à Ponferrada.
AG2R a écrit:Belle victoire pour étrenner le maillot arc-en-ciel
Merci
Schleckpower a écrit:Faut transférer Mollema ou Gesink, ça redonnera plus de piment à ton récit Périchon termine où ?
J'ai déjà libéré Poels Périchon ne participait pas à la course Serry non plus je crois. En tout cas je n'ai pas vérifié. Je cherchais un nom pas mauvais irl sur ces terrains, presque invisible dans ma partie, et Serry m'est venu en tête
Pink Panda a écrit:Périchon m'a déçu ! Quelle bouse ce type Sinon, belle victoire, si seulement certains pouvaient en prendre de la graine
À commencer par toi, hein ? C'est bien beau de faire le malin ici mais je ne te vois pas beaucoup gagner sur ton récit
Dernière épreuve du World Tour, le Tour de Pékin attire de plus en plus de grosses têtes d’affiches. Cette année, le parcours se compose d’un contre-la-montre inaugural, à peine plus long qu’un prologue, puis de quatre étapes où les sprinters peuvent s’imposer. C’est donc sans surprise que beaucoup de rouleurs ont fait le déplacement. Très tôt, Van Emden prend le commandement des opérations devant une flopée d’australiens menée par Porte et Hepburn. Il faut attendre la dernière fournée de chaque équipe pour voir ces chronos inquiétés par des coureurs déjà performants lors des championnats du monde. Durbridge et Boaro se classent d’abord dans le même temps que le néerlandais. Puis Kelderman le repousse à 11 secondes ! Le coureur Rabobank prend une option sur la victoire mais, comme aux mondiaux, Tony Martin assume son statut et s’impose pour 2 secondes. Dernier à s’élancer, Cancellara complète le podium à tout de même 11 secondes de l’allemand.
Lors de la deuxième étape, seulement deux coureurs s’échappent. Cela permet à Kelderman de récupérer les deux secondes de bonifications qui le séparaient de Martin. L’étape se joue logiquement au sprint, mais celui-ci est très désorganisé et Theo Bos en profite pour signer sa deuxième victoire World Tour de la saison, après la 1ère étape du Tour Down Under. Le prestige n’est pas forcément là, mais il est toujours bon de lever les bras quand on a connu deux ans de disette. Son équipier Vermeltfoort le suit juste devant Vassano. La troisième étape est a priori la seule susceptible de créer des écarts, bien que le final soit loin d’être insurmontable. Ces 130 kms sont avalés à vive allure tout du long du fait de nombreuses attaques. Martens s’illustre notamment sur toute la deuxième moitié de course avant de rentrer dans le rang. Le peloton a cependant lâché des cartouches pour le reprendre. Parmi les membres du top 10, Van Emden (4e), Durbridge (5), Boaro (6), Hepburn (8) et Bookwalter (10) sont distancés. Kelderman n’est pas dans un bon jour et ne peut rien tenter, surtout que Tony Martin continue de tenir la grande forme. Au sprint, le colosse allemand n’est battu que par Philippe Gilbert. Grâce aux bonifications, Martin reprend ses distances et Gilbert s’incruste à la 5e place du général. Vassano complète encore le podium.
Le lendemain, l’échappée s’avoue vaincue dans les faux plats des 20 derniers kms. Les coéquipiers de Nizzolo et Boeckmans imposent un gros rythme. Mais Vacansoleil n’est pas une équipe de top niveau et fatigue. Martens en profite pour sortir dans le dernier faux plat, à 5 kms de l’arrivée. L’allemand ne se désunit pas et remporte in extremis la victoire devant Vassano, encore présent, et Greipel. Les bonifications le propulsent au pied du podium au général. Enfin, la dernière étape accouche d’un nouveau sprint. Bos double la mise, il lève les bras devant Hushovd, pas passé loin de remporter la dernière course de sa carrière, et un Vassano toujours sur le podium. Le jeune italien s’est goinfré de bonus aux arrivées et en est récompensé par une 7e place au général.
Pour conclure, je voulais mettre en valeur la fin de saison de Gatto mais je n'ai pas eu l'inspiration pour un vrai post Voici donc ses résultats, assez impressionnants quand on sait qu'il ne court qu'en conti pro
World Tour : 3e du GP de la Vattenfall Cyclassics 2e du GP de Québec 2e du GP de Montréal 8e du Tour de Lombardie
7e des Mondiaux
niveau continental : 1er Milan-Turin (à la régulière devant le tout nouveau champion du monde Gesink) 1er Paris-Tours (parti dans l'avant-dernière bosse, il résiste jusqu'au bout avec une minute d'avance. Pour comparaison le trio Gesink-Kelderman-Martens, sorti dans la dernière bosse, ne lui reprend absolument rien et se fait vite avaler par le peloton) 1er Trofeo Sabatini (en bosse, à la régulière devant Mollema) 1er Japan Cup 1er GP del Lazio 2e Piccolo Lombardia 3e Coppa del Emilia (en bosse, derrière des clients comme Mollema et Uran) 6e Trofeo della Romagna 6e Tour de Vendée
Gatto roule-il à l'eau claire ? Bon Pékin c'est toujours un peu la même chose chez toi non ? Genre une razia d'étapes tranquille et un excellent général mais pas forcément la victoire finale (bon mon souvenir de l'an dernier est assez flou, je crois me rappeler d'un coup de malade sur une étape, peut-être purement fantasmé ) Vassano toujours aussi bon le petit c'est sur lui que t'avais écris un article, non ?
Schleckpower a écrit:Ah, le Tour de Pékin... C'est à ces courses mythiques qu'on reconnaît les anciens PCM
C'était la dernière fois que je le jouais
Felagund a écrit:Dommage, tu rates de peu le général mais ce n'était pas passionnant ! C'est donc bientôt une nouvelle saison qui commence !?
En effet pas très passionnant.. "Bientôt", quand j'aurais acheté PCM15 en fait. Donc dans quelques semaines ou quelques mois je ne sais pas encore Même si j'ai quelques posts "bilan" en attente
LeSuisse a écrit:Gatto roule-il à l'eau claire ? Bon Pékin c'est toujours un peu la même chose chez toi non ? Genre une razia d'étapes tranquille et un excellent général mais pas forcément la victoire finale (bon mon souvenir de l'an dernier est assez flou, je crois me rappeler d'un coup de malade sur une étape, peut-être purement fantasmé ) Vassano toujours aussi bon le petit c'est sur lui que t'avais écris un article, non ?
En tout cas Gatto retombe toujours sur ses pattes Ah non pas du tout L'an dernier la course était magique. C'est d'ailleurs un de mes meilleurs souvenirs pcm (oui c'est possible sur le Tour de Pékin ). Deux premières étapes courues à fond du début à la fin, l'étape reine le 3e jour, un rebondissement le 4e et enfin un superbe coup tactique pour enlever le général sur le fil Le lien : http://legruppetto.com/forum/viewtopic.php?f=88&t=3689&start=200 Oui c'est sur lui que j'avais écrit un article. D'ailleurs la seule fois où j'avais récité de la sorte (Tour de Pologne), il s'était déjà illustré sur plein d'étapes
Fin de saison en boulet de canon. Ces résultats stratosphériques sont quand même hallucinant. Faut croire que cet opus était beaucoup trop simple (t'as plus qu'à en racheter un )
Will_Valverde a écrit:Fin de saison en boulet de canon. Ces résultats stratosphériques sont quand même hallucinant. Faut croire que cet opus était beaucoup trop simple (t'as plus qu'à en racheter un )
Comme chaque année malheureusement. C'est en effet trop simple malgré mes efforts pour booster la concurrence Pourtant on m'a dit que le 13 et le 14 étaient plus simples que le 12