[PCM 19] Asmara, l'aventure africaine [Dorpenomloop]

[Evan3]

Ster van Zwolle

Nommée ainsi en raison de la forme d'étoile du circuit tracé autour de Zwolle, la course a souvent été ballotté entre l'Europe Tour et le circuit national néerlandais depuis sa création en 1961. Elle compte tout de même à son palmarès de jolis noms tel que Marc Wauters (seul étranger à avoir inscrit son nom au palmarès), Fabio Jakobsen ou Dylan Van Baarle. C'est une classique totalement plane qui attend les coureurs. Mais ne vous y tromper pas, le vent joue souvent un rôle très important là-bas.

Equipe
Joseph Areruya, Awet Andemeskel, El Mehdi Chokri, Rudo Dabengwa
Awet Habtom, Valens Ndayisenga, Abderrahim Zahiri

Startlist

Parcours

Une classique où il risque d'être compliqué pour nous de jouer les premiers rôles. Temesgen Buru étant en Afrique du Sud pour le Tour of Good Hope, notre carte maîtresse sera Joseph Areruya, notre coureur avec la meilleur pointe de vitesse. Le vent pourrait être notre atout si nous arrivons à bien l'utiliser. On essayera aussi de prendre une échappée pour mouiller le maillot.

La course risque finalement d'être moins passionnante que prévu. En effet, le vent ne souffle presque pas et malgré la pluie, le risque de cassures est faibles. Awet Habtom décide de prendre la poudre d'escampette accompagné de Geismayr et Cools. Les trois hommes collaborent bien mais ça ressort derrière. Seye, Wirtgen, Stavrakakis, Van der Kooij, Van Niekerk et De Lange finissent par les rejoindre. Mais neuf hommes c'est trop pour le peloton. Ils sont tous repris. Mais Habtom, Seye, Stavrakis, Van der Kooij, Van Der Veekens et Pestiaux retente leur chance. Ils comptent rapidement une minute d'avance et constituent la bonne échappée matinale.L'écart va progressivement augmenté. Le retour de l'arrière de Van der Tuuk n'y change rien. Les 7 coureurs obtiendront jusqu'à trois minutes 30 d'avance avant que l'écart se stabilise à deux minutes. Dans le peloton, toute l'équipe est articulé autour d'Areruya. Mais à 70 kilomètres de l'arrivée, Zahiri et Andemeskel chutent. Ils repartent avec trois minutes de retard sur le peloton et, malgré leurs efforts, ne reviendront jamais. Devant, l'échappée voit son avance fondre comme peau de chagrin et est finalement rattrapée à 20 bornes. L'équipe décide donc de se placer autour du leader pour aller chercher une placette au sprint. Amputé de deux de ses membres, le train à quelques difficultés à se placer. Ils finissent par se faire une place et Areruya termine à une magnifique et inattendu septème place.

Belle course de l'équipe. On ne s'attendait pas à une si belle performance de Joseph Areruya. Malgré la faible concurrence, il faut le reconnaître, on a montrer que l'on comptait sur le circuit continental mondial. Je suis fier de mes coureurs.

Résultats

Trofej Umag-Umag Trophy

Crée en 2013, la course est situé quatre jours avant le Porec Trophy. L'enchaînement des deux épreuves croates constitue un beau test pour beaucoup de coureurs. Le circuit autour d'Umag est assez plat mais le faux-plat avant l'arrivée peut user les organismes et permettre des attaques. L'épreuve accueille principalement des équipes d'Europe centrale ou des Balkans et compte ainsi à son palmarès des coureurs réputés de cette région tel que Marko Kump, Rok Korosec ou encore Alois Kankovsky.

Equipe
Joseph Areruya, Awet Andemeskel, El Mehdi Chokri, Rudo Dabengwa
Awet Habtom, Valens Ndayisenga, Abderrahim Zahiri

Startlist

Parcours

L'épreuve est plus difficile que le Ster Van Zwolle et nous espérons peser encore plus sur la course. Comme là-bas, Joseph Areruya sera le leader et Awet Habtom tentera une échappée.

Comme convenu, Habtom prend l'échappée matinale, les autres s'articulant autour du leader. Il part en compagnie de Juaristi, Cuadrado, Sinschek, Marque, Geismayr et Gall. Ce groupe conséquent de sept coureurs peut allez loin. Le peloton leur laisse rapidement jusqu'à trois minutes d'avance. Les relais passent bien et tout le monde collabore. L'écart se réduit tout de fois peu à peu, et dans l'avant-dernier tour les choses se gâtent. Gall et Juaristi craquent. Leurs coéquipiers respectif mettent alors le feu aux poudre et accélèrent violemment. Ils ne gagnent qu'un sursis de courte durée et les cinq hommes sont repris quelques kilomètres plus loin. Le train Asmara se met en place et dans le dernier faux-plat, Andemeskel met tout le monde en file indienne. Les autres éléments du train en font de même malgré que Chokri (poisson-pilote de notre leader) se fasse déborder. Areruya lance son sprint dans les premières position à la flamme rouge et prend une superbe cinquième place.

L'équipe a bien géré la course. Le train a su s'imposer pour placer Joseph Areruya sur orbite. Il n'était pas bien sûr le plus rapide mais il prend une magnifique cinquième place. Il finit devant de bien meilleur sprinteur que lui, ce qui démontre le formidable travail d'équipe. Plus que les individualités, c'est le collectif qui fait notre force.

Résultats

[Bad_Neos]

Tu enchaines les bons résultats, c'est très bien

[Alessiocortez]

Arreruya très performant sur les deux classiques , c'est de bonne augure pour la suite

[Evan3]

Problèmes familiaux en ce moment, la suite ne sera pas avant quelques jours

[Evan3]

Trofej Porec-Porec Trophy

Equipe
Joseph Areruya, Awet Andemeskel, El Mehdi Chokri, Rudo Dabengwa
Awet Habtom, Valens Ndayisenga, Abderrahim Zahiri

Startlist

Parcours

Favoris

***
R.Thalmann, K.Sjerping, F.Sisr

**
A.Maldonado, R.Guldhammer, M.Kump

*
W.Wippert, K. Le Cunff, A.Krieger, K.Hnik

C'est une épreuve qui convient très bien à Joseph. Elle est assez vallonnée et peut permettre de lâcher quelques sprinteurs avant l'arrivée. C'est aussi une course importante pour le sponsor, un top 10 est attendu. Comme d'habitude, un coureur ira dans l'échappée, probablement Awet, il est un peu malade et ne sera pas très utile dans le final.

Comme attendu, la première côte du parcours, au bout de quelques kilomètres, permet à un groupe de se détacher? C'est d'abord Toffali et Flaksis. Ils sont rejoint quelques hectomètres plus loin par Awet Habtom, Henn, Spengler et Whitehouse. Les hommes de tête se relaient immédiatement efficacement. Tout le monde collabore sans exception et l'écart monte rapidement jusqu'à cinq minutes. Les meilleurs grimpeurs font les efforts dans ce qui ressemble presque à des cols, tandis que les rouleurs font le forcing dans la plaine, en toute logique. Dans le peloton, ce sont les équipes Adria Mobil, Lotto Kern-Haus, Uno-X Norwegian et Elkov-Author qui roulent. Notre équipe profite ainsi de la présence d'Habtom pour se ménager en attendant le final. Dans le dernier "col", à 65 bornes de l'arrivée, notre coureur dans l'échappée accélère. Sous son impulsion, le groupe explose et seul Spengler et Flaksis résistent. Derrière, tout explose. On ne retrouve que 25 coureurs en haut de la bosse. On retrouve dans ce peloton trois Asmara dont Areruya. Dans la descente certains reviennent pour constituer un groupe de 70 coureurs tout de même. Ce sont ces hommes ainsi que les six devant (3+3), qui vont se disputer la victoire. Les trois intercalés sont rapidement repris. Les trois autres résistent jusqu'à 25 kilomètres de l'arrivée, où les deux compagnons de notre Érythréen se relèvent. Notre coureur continue encore quelques hectomètres avant d'être lui aussi repris. On trouve donc à se moment là six coureurs de l'équipe dans le peloton, Dabengwa ayant explosé. Mais, Chokri et Andemeskel (en plus d'Habtom sont cuits. Ainsi, c'est Ndayisenga et Zahiri qui emmèneront notre leader, faute de mieux. Dans le dernier taquet, le premier nommée fais le forcing et permet à 25 hommes de se détacher. Le Marocain, quand à lui, dépose Areruya en tête à la flamme rouge. Mais le Rwandais n'est pas le meilleur sprinteur du groupe et ne peut faire mieux que sixième. Son poisson-pilote marocain d'un jour, termine huitième. C'est le Français Maldonado qui triomphe.

C'est un beau résultat mais qui me laisse un goût amer. Nous avons joué la sécurité en attendant le sprint mais il aurait peut-être été préférable d'attaquer dans la dernière côte et jouer la gagne au risque de ne pas faire de top 10. Mais nous ne pouvions pas faire n'importe quoi avec l'objectif du sponsor. Ce n'est pas dans notre nature d'attendre, et il faudra sûrement prendre plus de risque à l'avenir.

Résultats

[France]

Ça reste des résultats solides, 6 et 8.

[Evan3]

GP de la Ville de Lilliers

Crée en 1964, l'épreuve n'est ouverte qu'aux amateurs jusqu'en 1995. Elle compte tout de même de gros noms à son palmarès tel que Blijlevens, Holm ou encore Robert Millar. La course est présente dans l'Europe Tour dès sa création en 2005 mais voit peu de très gros coureurs du fait de sa petite catégorisation. Le tracé presque flandrien en fait tout de même une épreuve prisé des routiers-sprinteurs et coureurs polyvalents.

Equipe
Temesgen Buru, Getawech Atsbha, Jamel Ben Ali, Kanja Makena
Hamza Mansouri, Islam Mansouri, Samuel Mugisha

Startlist

Parcours

Favoris

***
D.Claeys, A.Vichot, B.Welten

**
Z.Waeytens, E.Grosu, K.Skjerping

*
C.Lemoine, F.Sisr, B.Jones, A.Maldonado, E.Siskevicius

C'est notre première course en France et elle a une saveur particulière pour moi. Mais l'important est de rester concentré autour de Temesgen. Il y a quelques secteurs pavés qui seront sûrement sans importance mais le circuit assez vallonnée peut accoucher sur un scénario débridé. Malgré tout cela et la possible présence du vent, l'option la plus probable est un sprint massif. Comme d'habitude, Islam tentera l'échappée.

Les favoris sont évidemment des coureurs rapides et bons puncheurs. C'est tout naturellement que Arthur Vichot, Bram Welten et Dimitri Claeys sont attendus au plus haut niveau aujourd'hui. Leurs équipes respectives sont à même de les entourés et seront le faire parfaitement. Il faudra aussi surveiller l'équipe Delko Marseille Provence et ses nombreux coureurs rapides.

La course part sur les chapeaux de roues avec la bataille pour l'échappée. Dans un premier temps, c'est l'inévitable Islam Mansouri, Otruba, Ries, Gessner et Thiébaud qui se font la malle. Canton, coéquipier du Luxembourgeois, réagit à contre-temps. Il reste en chasse-patate plus de 20 kilomètres avant de réussir à recoller. Le seul Thiébaud ne collabore pas, ce qui ne manque pas d'agacer ses compagnons d'échappée. Le recollage de l'Espagnol coïncide avec la tentative de contre du Suisse. Malgré ses efforts pour désorganiser le groupe, l'écart avec le peloton monte rapidement à 3 minutes 30. Cet écart est stabilisé puis réduit par les équipes Vital Concept et Delko Marseille Provence. Les premiers roulent pour Arthur Vichot, grand favori de l'épreuve. Les seconds disposent de plusieurs cartes avec notamment Jones et Grosu. Devant, tout le monde s'est mit à collaborer, à l'exception de Canton, qui profite de la présence d'un équipier. C'est déjà l'arrivée sur le circuit et des enseignements sont à tirer du premier tour pour la suite de l'épreuve. En effet, alors que le secteur pavé ne perturbe pas la cohésion de l'échappée, le peloton implose. Plusieurs groupes se forment et certains coureurs disposent déjà d'un écart rédhibitoire. Au gré des regroupements, on retrouve finalement une soixantaine de coureurs dans le peloton de tête. Ces cassures ne font pas les affaires des hommes de tête, qui voient leur avance fondre pour tomber à une minute 30. Dans le second et dernier passage de la côte de début de circuit, une nouvelle cassure a lieu dans le peloton sous l'impulsion d'Arkéa-Samsic pour Bram Welten. Ce n'est donc plus que 40 coureurs qui constituent le peloton. On retrouve tout de même trois coureurs de l'équipes Asmara dedans, avec notre leader Temesgen Buru, son poisson-pilote Kanja Makena et son garde du corps Hamza Mansouri. A la sortie du second passage du secteur pavé, l'échappée compte moins d'une minute d'avance et Ries a craqué. Ils sont tous repris quelques kilomètres plus loin. Mais malheureusement, notre sprinteur est esseulé et finit par se faire distancer. Il es tout proche de revenir à 13 bornes de l'arrivée mais l'attaque fulgurante de Claeys fait accélérer le peloton. Le Belge est très fort et voit son avance augmenté pour atteindre une minute puis une minute 40 à deux kilomètres de l'arrivée. Il a course gagné. C'est le moment choisi par Hamza Mansouri pour attaquer. Mais l'Algérien est trop fatigué de sa journée et est contré par Welten et Vichot. Ils s'en vont terminer respectivement second et troisième. Buru recolle à la flamme rouge mais ne peut faire mieux que vingtième.

C'est un résultat extrêmement décevant. Temesgen n'a clairement pas été à la hauteur. Cela montre au moins que nous ne sommes pas fait pour ce genre de courses. La rare satisfaction du jour vient d'Islam, qui a fait une belle échappée et qui a retenté dans le final.

Résultats

20 Temesgen Buru +1'49"
24 Islam Mansouri +1'49"
35 Hamza Mansouri +1'49"
49 Kanja Makena +4'39"
102 Getawech Atsbha +7'22"
104 Jamel Ben Ali +7'22"
105 Samuel Mugisha +7'22"

[France]

Tu t'es bien raté pour le coup là.

[Evan3]

Rabobank Dorpenomloop Rucphen
le 10 mars 2019

Crée en 1986, l'épreuve a souvent accueilli un plateau belgo-néerlandais lorsqu'elle était amateur. Son palmarès compte néanmoins quelques noms connus tel que Jeroen Blijlevens ou Roy Curvers. Son passage en UCI en 2011, permet un plateau plus international et surtout de meilleur qualité. On remarque ainsi la présence de Mikkel Bjerg et de Dylan Van Baarle parmi les vainqueurs récents. A noter aussi deux podiums de Dan McLay en 2013 et 2014. Long de 200 kilomètres, la course fait la part belle aux sprinteurs passant bien les "taquets".

Equipe
Joseph Areruya, Awet Andemeskel, El Mehdi Chokri, Rudo Dabengwa,
Valens Ndayisenga, Abderrahim Zahiri

Startlist

Parcours

Favoris

***
D. Rajovic, M.Lammertink, M.Kump

**
C.Vermeltfoort, H.Duyn, P.Weening

*
D. De Bondt, R.Rogina, L.Bugter, M.Van Staeyen

Il est important que nous fassions un bon résultat ici. Temesgen a déçu à Lilliers, il faut rattraper la journée. L'objectif est un top 10. Joseph sera entouré de ses équipiers habituels et devra nous montrer de quoi il est capable. Prendre l'échappée est aussi quelque chose d'important.

Les favoris sont, comme à Lilliers, des coureurs rapides et costaud. Le circuit mal plat est tout de même favorable aux attaquants. Kump est attendu, lui qui réalise un très bon début de saison. Son coéquipier Rajovic est lui aussi en mesure de l'emporter au sprint, les états de forme déciderons. Lammertink et plus généralement toute l'équipe Roompot-Charles peut venir jouer les troubles-fêtes avec leur tempérament offensif. La présence du vent (aux alentours de 25 km/h) peut jouer un rôle dans le déroulement de la course.

En l'absence d'Awet Habtom, c'est Valens Ndayisenga qui est chargé de prendre les devants. Mais au bout de 15 kilomètres, personne n'a attaqué. Le Rwandais décide donc de lancer les hostilités et part seul. Il est suivi par Burke. Quelques hectomètres plus loin, c'est un groupe de six coureurs qui se joint à eux, à la faveur d'une micro-cassure dans le peloton. Leknessund, Pestiaux, Stavrakakis, Van Breda, Relaes et Marque sont bien décidé à aller loin. Ils prennent rapidement 45 secondes d'avance, mais certains hommes ne roulent pas. Ils sont tous repris à 180 kilomètres du but. Mais notre Rwandais veut prendre le large et repart immédiatement en compagnie de Bootsveld. Ils sont rejoint par Burke et Marque encore, cette fois accompagné de Kulset. Les autres tentatives de contre sont toutes avortés. Les hommes collaborent bien rapidement et l'écart dépasse la minute presque instantanément. Derrière, c'est rideau jusqu'à ce qu'Antunes et de nouveau Van Breda retentent. Ils restent en contre une bonne vingtaine de bornes avant de finalement revenir sur la tête. Ces sept hommes constituent l'échappée matinale sous la pluie néerlandaise.

Dans le peloton, ce sont les Adria Mobil de Kump et Rajovic qui roulent. Ils sont accompagnés des Alecto de l'outsider Vermeltfoort et des Roompot. Les néerlandais disposent de plusieurs cartes comme Weening ou Lammertink. L'écart monte, malgré leurs efforts, au delà des quatre minutes. Alors que tout se déroule parfaitement, l'accélération subite de l'équipe Adria Mobil, entraîne une cassure dans le peloton. Un groupe de 25 coureurs est lâché et les équipes Cibel, Leopard, Wallonie-Bruxelles Development et CSF Chambéry sont piégés. Heureusement pour nous, toute l'équipe était bien placé et aucun de nos coureurs n'est dans ce groupe. Ces hommes ne reviendront que 20 kilomètres plus loin et au prix d'un effort qui leur coûtera gros en fin d'épreuve. De nouvelles cassures apparaissent successivement mais sans conséquences, les distancés revenant assez facilement à chaque fois. Mais ces accélérations font perdre une minute à l'échappée.

A 50 bornes de l'arrivée, les équipes qui roulaient depuis le début accélère très violemment. Le peloton explose et seulement 25 coureurs sont dans le premier peloton. Dedans, les seuls Areruya et Andemeskel représentent Asmara. Le retour d'un gros groupe double le nombre de coureurs dans le premier peloton mais la fatigue est là. Ainsi, les revenants sont de nouveau lâchés pour la plupart. Ils ne reviendront pas. L'échappée compte encore une minute d'avance à 15 kilomètres de l'arrivée, mais ils explosent tous un par un.

Lorsque Valens Ndayisenga est repris, Weening et Devolder attaquent. Ils sont suivi à contre-temps par Lammertink qui finit par revenir. Vermeltfoort revient lui aussi de l'arrière. Les quatre hommes compte 45 secondes d'avance sous la flamme rouge, ils vont se disputer la victoire. Areruya est trop émoussé pour attaquer et se contente de faire rouler son compatriote. Il fait toutefois un magnifique sprint et vient échouer à 20 secondes du vainqueur, Maurits Lammertink. La cinquième place est au rendez-vous pour notre leader.

C'est un résultats appréciable. Son incapacité à attaquer est dû à son manque d'endurance, 200 kilomètres nerveux, c'est beaucoup. Mais dominer le reste des coureurs au sprint, c'est très encourageant pour l'avenir. C'est une course qui me fait plaisir, nous avons montrer de belles choses. Je voudrais aussi souligner l'énorme journée de Valens, qui en plus de sa présence dans l'échappée, à fait le boulot pour Joseph.

Résultats

14 Valens Ndayisenga +20"
16 Awet Andemeskel +20"
30 Rudo Dabengwa +2'20"
35 Abderrahim Zahiri +2'40"
56 El Mehdi Chokri +4'13"

[Adramelech]

Dommage qu'il y ai eu une échappée

[France]

Dommage de rater la victoire pour si peu.