[Concours] Tour de France 2021

Échafaudez ici de grandes théories sur les parcours de courses cyclistes ou proposez les vôtres, courses réelles ou fictives

Modérateur: Animateurs labo à parcours

Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Mats » 21 Sep 2020, 16:46

Bon, quand tu tournes en rond depuis deux semaines sur deux trames très différentes mais qui te plaisent autant...et que tu es incapable de trancher...c'est qu'il y a un problème !

Donc, ce soir, crayon, page blanche, une bière à la main, on repart sur quelque chose de neuf et on verra bien où ça nous mène ! :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar ElRojo » 21 Sep 2020, 16:47

Le labo est tenu par des alcooliques. :lol:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Edgard_J » 21 Sep 2020, 16:49

TOUR DE FRANCE 2021


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Chiffres-clés
TRAME Le Grand Départ breton s'étalera sur 6 jours entre 8 villes-étapes dont 3 inédites et sur plus de 555,5 kms (513 en ligne et 42,5 sur les deux chronos. Une fois la Bretagne quittée, le peloton entamera une longue traversée de la France par 4 étapes de plus de 200 kms chacune sur des reliefs variés jusqu'au sommet du Mont-d'Or dans le Jura (première côte de première catégorie). Le lundi 05 juillet, les coureurs prendront un jour de repos dans l'Ain avant d'affronter la traversée des Alpes du Nord au Sud. Suivra un long transfert entre Toulon et Toulouse, où le peloton aura à cœur de prendre leur deuxième jour de repos. Avant-dernière étape pour les grosses cuisses le long de la Garonne avant d'accéder au dernier massif où le Tour devrait se jouer. La dernière épreuve chronométrée prendra place à la veille du diptyque pyrénéen avant de rallier Paris pour le cortège final entre le Louvre et l'Arc de Triomphe.
CARTE De Brest à Paris, le parcours du Tour de France 2021 traversera seulement 2 pays : l'Espagne et la France. 11 régions, 35 départements et une centaine d’intercommunalités seront au menu de cette 108ème édition.
ETAPES 8 étapes de montagne, avec 5 arrivées au sommet : Métabief Mont-d’Or, La Clusaz Les Confins, Auron, Peyragudes & Puyvalador ; 6 étapes accidentées, avec 2 arrivées au sommet : Signal d’Ecouves & Langres ; 4 étapes de plats & 3 étapes chronométrées (un prologue, un par équipe puis un individuel) et 2 jours de repos.
NOUVEAUTES Sur les 38 villes-étapes, 18 sont inédites (Camaret-sur-Mer et Lannilis (E2), La Gacilly (E4), Alençon – Signal d’Ecouves (E6), Château de Guédelon Puisaye-Forterre (E7), Montbard & Langres (E8), Langres & Métabief – Mont-d’Or (E9), Ambérieu-en-Bugey & La Clusaz – Les Confins (E10), Auron (E14), Castellane & Circuit Paul-Ricard (E15), Tournefeuille & Marmande (E16), Puyvalador (E19), Céret (E20) & Dammartin-en-Goële (E21)).
MONTAGNES Une nouvelle fois encore, le parcours connaîtra un grand concentré de montagne avec 8 étapes concentrées sur 3 massifs : le Jura (1 jour), les Alpes (4 jours) puis les Pyrénées (3 jours). Sur les 76 montées répertoriées, il y aura 32 4C, 8 3C, 13 2C, 17 1C, 4 HC (Col du Pré, Col du Sauget, Cime de la Bonette (Trophée Henri Desgrange) & Col de Pailhères). Sur les 34 ascensions de 2C ou +, 21 sont inédites : Côte de Salins-les-Bains & Mont-d’Or (E9) ; Col du Clergeon et Les Confins (E10) ; Col des Saisies, Côte des Chapelles, Col du Sauget et Montée du Bérard (E11) ; Col de Chaud Clapier, Col de l’Allimas et Col de l’Arzelier (E13) ; Col Lebraut et Auron (E14) ; Côte de Morières-Montrieux (E15) ; Peyragudes (E17) ; Côte de Cazenave-Serres-et-Allens, Col du Chioula, Côte de Quérigut et Puyvalador (E19) ; Côte des Gorges de la Fou et Côte de Montbolo (E20). Il y aura 2 passages au-dessus des 2 000 m d’altitude et tous sur la même étape : le Col de Vars et la Cime de la Bonette, le samedi 10 juillet.
CONTRE-LA-MONTRE Retour des épreuves chronométrés en nombre : le prologue inaugural (E1), un contre-la-montre par équipe du côté de Perros-Guirec (E5) et un autre individuel sur les pentes de la Hourquette d’Ancizan (E18).
BONUS Ils seront distribués à l’arrivée de chaque étape en offrant 10, 6 et 4 secondes aux trois premiers. 7 sommets d’ascensions (positionnés à des endroits stratégiques et dont une seule dans la troisième semaine) offriront 8, 5 et 2 secondes aux trois premiers qui passeront en tête (Mur de Bretagne (E4), Côte d’Orcevaux (E9), Col de la Croix Fry (E10), Montée du Bérard (E11), Côte de la Croix du Galant (E12), Cime de la Bonette (E14), Col d’ Azet (E17).
SITES 38 villes-étapes accueilleront cette 108ème édition. 18 sont inédites : Camaret-sur-Mer et Lannilis (E2), La Gacilly (E4), Alençon-Signal d'Ecouves (E6), Château de Guédelon-Puisaye-Forterre (E7), Montbard et Langres (E8), Langres et Métabief-Mont-d 'Or (E9), Ambérieu-en-Bugey et La Clusaz-Les Confins (E10), Auron (E14), Castellane & Circuit Paul-Ricard (E15), Tournefeuille & Marmande (E16), Puyvalador (E19), Céret (E20) & Dammartin-en-Goële (E21). 142 946, il s'agit de la population de Le Mans, plus grande ville-étape cette année (si on excepte Brest et Paris). 1 524, c'est la population de Castellane, plus petite ville-étape (si on excepte les sites comme le Château de Guédelon, le Circuit Paul-Ricard et les stations).


Présentation du parcours

Etape 1 : Brest - Brest (prologue)



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Prologue inaugural dans les rues de Brest et dernier prologue depuis le Grand Départ de Düsseldorf en 2017. Le premier Maillot Jaune de ce Tour ne devrait pas échapper à un spécialiste de la discipline. Au départ du Port de Plaisance, les coureurs devront rapidement affronter le tout premier GPM de cette 108ème édition, la Côte du Rody (900m à 7,3%), où celui qui fera le meilleur temps sur ce segment aura la chance de défendre le Maillot à Pois dans les jours à venir. Elancés un à un, les coureurs réaliseront une boucle dans la partie Est de la Cité du Ponant jusqu’au Stade Francis-Le Blé, passant par le quartier économique de l’Europe. La remontée le long de la ligne de tramway pour rejoindre la Place de Strasbourg sera le dernier point fort de ce chrono, avant l’arrivée tracée derrière l’enceinte du Stade Brestois, actuellement en première division.


Album-photo : Château de Brest, Port de Plaisance de Brest, Quartier de l'Europe & Stade Francis-Le Blé.
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Etape 2 : Camaret-sur-Mer - Lannilis



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Toujours dans le Finistère, la seconde étape de ce Tour de France pourrait déjà faire changer le Maillot Jaune d’épaules. Les amoureux de classiques se feront un plaisir de disputer une étape du Tour de France au niveau de leur fougue, entre ribinous (ces fameux chemins blancs bretons empruntés par le Tro Bo Leon) et vent (qui pourrait bien créer des bordures le long de la côte Atlantique). Au départ de la ville inédite de Camaret-sur-Mer au bout de la magnifique Presqu’Ile de Crozon, le peloton longera la côte par Le Faou, Plougastel-Daoulas et Brest (où sera jugée la seule ascension de la journée). Puis, il rentrera dans les terres pour aller chercher le premier Sprint Intermédiaire du Tour à Guilers (km 70). C’est seulement au juste milieu de l’étape que le premier secteur non-asphalté, sur les douze au programme, interviendra à la sortie de Saint-Renan (km 78). Sur les 80 kilomètres restants, 10 seront à parcourir sur ribinous, de quoi bien faire exploser le peloton. Les favoris à la victoire finale se dessineront après cette étape ; en effet, il leur est interdit de perdre du temps aujourd'hui s'ils souhaitent monter sur le podium des Champs-Elysées. Lannilis, qui organise chaque année au mois d’avril le Tro Bo Leon, accueillera pour la toute première fois le Tour de France pour un final aussi explosif que ce qu'on peut voir sur le TBL.




Tous les ribinous restants étaient sur le Tro Bo Leon 2019.

Album-photo : Camaret-sur-Mer, Le Faou, Saint-Renan, Ploudalmézeau, Quentin Pacher sur le secteur du Château de Kerouartz & l'Aber Wrac'h.
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Etape 3 : Brest - Auray



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Brest est de retour pour organiser le départ de la 3ème étape pour une de ces rares étapes qui ne devraient pas échapper aux sprinteurs. Le peloton quittera la Cité du Ponant par le Pont Albert-Louppe, Plougastel-Daoulas. S’ensuit les trois côtes de la journée, la Côte de Ty Jopic (2,6km à 3,8%, 4C), la Côte de Menez Querlec’h (3km à 6,2%, 3C) et le Col de Toullaëron (1,8km à 5,2%, 4C). La première et la troisième étaient également au programme de la 1ère étape du TDF 2008, qui partait aussi de Brest, direction Plumelec. Après un passage sur le Circuit de Plouay où sera situé le Sprint Intermédiaire (km 137,5), les trains des sprinteurs joueront des coudes lorsqu’ils passeront devant la Basilique de Saint-Anne-d’Auray, lieu de pèlerinage le plus important de Bretagne. Le final est composé d’un giratoire situé à 800m de la ligne d’où part un faux-plat à 3,8%, avec un virage à 90°C à 150 mètres de l’arrivée. Il faudra donc passer cet ultime obstacle dans les premières positions pour espérer l’emporter dans la ville qui avait déjà eu la chance d'accueillir un départ d’étape en 2008.


Album-photo : Pont Albert-Louppe, Hôpital-Camfrout, Châteaulin, Montagnes Noires, Le Faouët & la Basilique Sainte-Anne-d'Auray.
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Etape 4 : La Gacilly - Mûr-de-Bretagne



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Etape courte et dynamique au départ de La Gacilly, ville-inédite organisatrice du plus grand festival photo d’Europe et ville qui a vu naître l'entrepreneur Yves Rocher, hautement reconnu aujourd'hui dans le monde du soin et de la beauté à base de plantes. Après avoir traversé Guer, les coureurs entreront en terre de légendes : la Forêt de Brocéliande, qu’ils traverseront par le biais d’un chemin forestier après le Sprint Intermédiaire de Paimpont (km 29,5). Le secteur forestier pourrait bien créer quelques écarts au vu de l'étape très courte d'aujourd'hui. Le peloton devra se frayer un chemin entre Merlin, les Chevaliers de la table ronde et les fées Morgane et Viviane. La Forêt de Lanouée, deuxième plus grand massif forestier après celui de Paimpont, sera également traversé pour rejoindre Pontivy et se diriger vers le circuit final à Mûr-de-Bretagne. Ville-étape pour la quatrième fois après 2011, 2015 et 2018, l’arrivée ne se situera pas au sommet du Mur comme à l'accoutumée mais dans la ville en contre-bas. En 2018, le peloton avait dû grimper le Mur de Bretagne (2,2km à 6,5%, 3C) à deux reprises, cette année la boucle de 10 kilomètres sera a répété trois fois, de quoi inciter certains à l'offensif, la deuxième montée attribuera des points Bonus qui pourraient bien être utile pour la suite.


Entrée du secteur de Brocéliande : https://www.google.com/maps/@48.0293636 ... 312!8i6656
Sortie du secteur de Brocéliande : https://www.google.com/maps/@48.0215515 ... 312!8i6656


Album-photo : La Gacilly, Etang de Paimpont, Forêt de Brocéliande, Abbaye cistercienne Notre-Dame de Timadeuc, Château de Pontivy & Lac de Guerlédan.
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Etape 5 : Perros-Guirec - Perros-Guirec (contre-la-montre par équipe)



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Contre-la-montre par équipe le long de la Côte d’Emeraude. Long de 35 kilomètres, l’épreuve chronométrée est une boucle au sens horaire entre le Port de Plaisance et le Boulevard de la Mer dans la région naturelle du Trégor. Les équipes entreront d’abord dans les terres par Pleumeur-Bodou puis vont devoir rejoindre Trébeurden, situé à l’opposé de Perros-Guirec, d’où ils ne quitteront plus le bord de mer. Trégastel et Ploumanac’h, deux haut-lieux des Côtes-d'Armor, seront aussi de la partie. Le deuxième avait même été élu « village préféré des Français » en 2015. Le retour par la Plage de Trestaou sera accidenté avec la rue du Maréchal Foch et le Boulevard de Trestrignel et son passage à 21%.


Album-photo : Port de Plaisance de Perros-Guirec, Port de Trébeurden, Phare de Men Ruz & Plage de Trestaou.
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Etape 6 : Cancale - Alençon-Signal d'Ecouves



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On quitte enfin la Bretagne ! Réputé pour ses huîtres plates sauvages, Cancale est ville-départ pour la seconde fois après 1982. Les coureurs pourront voir le Mont-Saint-Michel avant de s'attaquer aux quelques bosses normandes de chez l'unique Daniel Mangeas, par Saint-Hilaire-du-Harcouët, Juvigny-le-Tertre et Mortain. Dans la ville de Bagnoles-de-l'Orne se situera le Sprint Intermédiaire (km 135), les sprinteurs vont devoir y être attentif puisque ce sera pour certain le seul endroit où ils pourront engranger des points. La course démarra vraiment à partir d'Alençon, où la route ne fera que zigzaguer avec aucun mètre de plat. Au bout de plus de 200 kilomètres, l'arrivée se dressera au sommet de la dernière côte de la journée : la Croix de Médavy (2,6km à 5%, 4C). Seul les sprinteurs les plus costauds, à l'instar de Peter Sagan ou Matteo Trentin auront peut-être la chance de franchir la ligne d'arrivée dans les premières positions. Les leaders ne prendront pas part à la victoire se préservant pour la suite, bien qu'il faudra accrocher le bon wagon. Alors, serait-ce des calibres comme Alaphilippe, Wellens, Van Avermaet qui gagneront au sommet ? A vos paris !


Album-photo : Cancale - Baie du Mont Saint-Michel, Petite Chapelle de Mortain, Domfront, Château des Ducs d'Alençon & Forêt d'Ecouves.
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Etape 7 : Le Mans - Château de Guédelon-Puisaye Forterre



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Longue étape qui pourrait être considéré comme une étape de transition. Au départ de Le Mans, les coureurs devront parcourir 252 kilomètres pour rejoindre le Château de Guédelon – Puisaye-Forterre. Plate comme la main, la septième étape du Tour ne comptabilise qu’une seule côte : la Côte de Monplaisir (1,8km à 4,2%, 4C) et le Sprint Intermédiaire est tracé dans la préfecture du Loiret, Orléans (km 131,5). Le peloton suivra alors la Loire sur près de 80 kilomètres avant de rentrer dans les terres bourguignonnes par Bléneau et Saint-Fargeau, ville-étape en 2009. Situé dans l’extrême sud-ouest du département de l’Yonne, le sprint massif final s’effectuera sur une longue ligne droite de 2 kilomètres en pleine forêt. Financée par l’intercommunalité du Puisaye-Forterre, cette arrivée inédite prend place devant le Château de Guédelon, deuxième plus grand site touristique de Bourgogne après les Hospices de Beaune, avec plus de 300 000 visiteurs par an.


Album-photo : Circuit des 24H Le Mans, Saint-Calais, Château féodal de Fréteval, Orléans, Château de Sully-sur-Loire & Château de Guédelon.
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Etape 8 : Montbard - Langres



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Encore une fois, c'est une longue étape au départ de la ville-inédite de Montbard qui attend les coureurs. 11 côtes de catégorie 4 seront au menu du jour pour rejoindre une autre ville-inédite, Langres. Dix de ces côtes seront répartis dans les 100 derniers kilomètres entre la Côte d'Or et la Haute-Marne. Cette étape est tracée pour vendre le mérite du tout nouveau Parc National français, le 11ème du nom, spécialisé dans les forêts typiques de la région. Le Plateau de Langres est un véritable terrain de jeu sous-coté entre routes pentus et étroites. Le Tour de France n'a jamais eu l'idée de s'y promener, bien que le relief particulier du coin pourrait avoir un rôle majeur dans la victoire finale.


Album-photo : Montbard, Abbaye de Fontenay, Châtillon-sur-Seine, Abbaye du Val des Choues, Abbaye d'Auberive & Langres.
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Etape 9 : Langres - Métabief-Mont-d'Or



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Avant la première journée de repos, les coureurs devront relier Langres au Mont-d'Or, sur les hauteurs de Métabief. En quittant la Haute-Marne par la Vingeanne, le peloton se permettra une excursion en Côte-d'Or du côté de Fontaine-Française, Bèze et du Sprint Intermédiaire à Mirebeau-sur-Bèze (km 62,5). Après avoir traversé la Saône et le Doubs, c'est au tour de la saline royale d'Arc-et-Senans de se pointer sur la route du Tour; implantée dans la Forêt de Chaux (la deuxième plus vaste forêt feuillue de France après celle d'Orléans) et restée en activité jusqu'au début du XXème siècle, ce monument est classée UNESCO. Surprenant pour une étape de montagne, la première côte n'intervient qu'au kilomètre 151,5 avec la Côte de Salins-les-Bains (3,5km à 9,1%, 2C) puis celle de la Joux (3,1km à 3,9%, 4C). Toutefois, il ne s'agit que d'un avant-goût avant de se frotter aux terribles pentes du Mont-d'Or (5km à 9,8%, 1C) avec des passages à plus de 15%.


Album-photo : Tour Navarre de Langres, Château de Fontaine-Française, Bèze, Pesmes, Saline royale d'Arc-et-Senans & Mont-d'Or.
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Repos n°1 - Lundi 05 Juillet, département de l'Ain (Bourg-en-Bresse ou Ambérieu-en-Bugey)


Etape 10 : Ambérieu-en-Bugey - La Clusaz-Les Confins



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Au lendemain de la première journée de repos, le peloton prendra part à la seconde étape de montagne. Le départ de cette étape est inédite; en effet, la ville d'Ambérieu-en-Bugey n'a jamais accueilli le Tour, malgré le fait que son bassin d'emplois serait le 3ème plus important de France. Après avoir remonté le cours de l'Albarine, les coureurs se dirigeront vers le Sprint Intermédiaire situé au pied de la Pyramide du Bugey à Culoz (km 45,5). Après 50 kilomètres de plat, c'est l'inédit Col du Clergeon (7,8km à 8,7%, 1C) qui se pointera seule sur la route des coureurs, le sommet du col marque l'entrée en Haute-Savoie. La traversée de l'Albanais et d'Annecy devrait permettre au peloton de se préparer en vue de l'arrivée. Une fois la Côte de Bluffy (4,2km à 3,6%, 4C) passée, c'est le Col de la Croix Fry (12,8km à 6,6%, 1C) qui devrait écarter certains de la victoire finale. S'ensuit une descente rapide de 6 km avant de rallier La Clusaz et d'attaquer la courte montée en direction du hameau de Les Confins (6,4km à 5,7%, 2C). Bien que souvent traversé, La Clusaz recevra pour la toute première fois une étape du Tour de France.


Album-photo : Ambérieu-en-Bugey, Gorges de l'Albarine, Col du Clergeon, Gorges du Fier, Lac d'Annecy & La Clusaz.
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Etape 11 : Megève - Bourg-Saint-Maurice



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Au départ de Megève, les coureurs devront se frotter aux pentes inédites du Col des Saisies par Crest-Voland, bien que souvent côtoyer sur des courses secondaires, le Tour n'a jamais eu l'idée du passer. S'ensuit la traversée du Beaufort avant de se frotter au tout premier Hors-Catégorie de cette édition : le Col du Pré (12,9km à 7,8%). Le peloton continuera jusqu'au Cormet de Roselend, très souvent emprunté par le Tour dans ces dernières années. La longue descente sur Bourg-Saint-Maurice et la Vallée de la Tarentaise servira de dernier moment de répit avant de s'affronter à un triptyque inédit, aussi bien sur le Tour de France que sur des courses de niveau secondaire : la Côte des Chapelles (8,2km à 5%), le Col du Sauget (12km à 8,7%) et la Montée du Bérard (7,5km à -?'ù). L'arrivée en faux-plat montant dans les rues de Bourg-Saint-Maurice verra, à coup sûr, un des favoris à la victoire finale passer en premier.


Album-photo : Megève, Crest-Voland, Arêches-Beaufort, Lac de Roselend, Aime & Bourg-Saint-Maurice.
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Etape 12 : Chambéry - Romans-sur-Isère



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A l'instar de la Bora-Hansgrohe pour Peter Sagan dans le Col du Béal l'année dernière, cette étape a voulu distancer les sprinteurs les moins grimpeurs dès le départ avec la traversée de la Chartreuse. S'ensuit une longue traversée de plaines pour rejoindre Romans-sur-Isère. Les deux dernières bosses dans les quarante derniers kilomètres pourront servir à certains s'ils souhaitent se tester. Toutefois, au vu des étapes qui arrivent ensuite, la victoire ne devrait pas échapper à un des sprinteurs qui aura su passer le Massif de la Chartreuse avec le peloton.


Album-photo : Fontaine des Eléphants de Chambéry, Mont Granier, Monastère de la Grande Chartreuse, Voiron, Palais Idéal du Facteur Cheval d'Hauterives & Romans-sur-Isère.
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Etape 13 : Bourg-de-Péage - La Mure



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Au départ de Bourg-de-Péage, c'est une étape pour grimpeurs-baroudeurs qui s'achèvera dans les rues de La Mure. On ne devrait pas assister à de nombreux mouvements dans le Groupe Maillot Jaune bien que ce soit l'étape avec le plus de dénivellé de l'année (5 511m D+). On devrait assister à une échappée-fleuve avec des grimpeurs perdus au Classement Général mais aussi des sprinteurs qui auront pour but de prendre les points du Sprint Intermédiaire de Die (km 92). La guerre pour le Maillot à Pois devrait faire rage, et tant mieux car ce sera sans doute la chose la plus intéressante de la journée, si on excepte le sprint final à La Mure


Album-photo : Bourg-de-Péage, Col de la Bataille, Die, Mont Aiguille, Plaine du Drac & La Mure.
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Etape 14 : Tallard - Auron



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Voilà l'étape reine de cette édition. Entre Tallard et la station inédite d'Auron se dresseront les deux seuls cols de plus de 2 000m d'altitude de cette édition. Le Col de Vars sera emprunté par son versant nord, le moins connu, et s'ensuit alors la Cime de la Bonette, point routier le plus haut d'Europe à 2 802m d'altitude. Celui qui passera en tête au sommet engrangera 5 000€ grâce au Trophée Henri Desgrange. La longue descente sur Saint-Etienne-de-Tinée pourrait bien faire naître du mouvement dans le Groupe Maillot Jaune. La montée dans la station d'Auron n'étant pas effrayante, ce sera bien dans la Bonette qu'il faudra attaquer.


Album-photo : Tallard, Barrage de Serre-Ponçon, Mont-Dauphin, Cime de la Bonette, Saint-Etienne-de-Tinée & Auron.
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Etape 15 : Castellane - Circuit Paul-Ricard



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Longue étape casse-patte de plus de 200 kilomètres entre Castellane, au cœur des Gorges du Verdon, et le Circuit Paul-Ricard du maire niçois Estrosi. La journée se définira comme une longue bataille entre baroudeurs et sprinteurs. Bien que la majorité de l'étape soit propice aux baroudeurs à l'instar de la Cote de Morières-Montrieux (10,3km à 5%, 2C). Les sprinteurs devront s'accrocher s'ils souhaitent pouvoir glaner une étape de plus sur ce Tour. Le tour sur le Circuit du Castellet, bien que succédant à un long faux-plat montant, est favorable au retour du peloton et des sprinteurs. Cette étape à tout d'une journée piège !


Album-photo : Castellane, Moustiers-Sainte-Marie, Lac de Sainte-Croix, Cascade de Sillans, Aiguilles de Valbelle & Circuit Paul-Ricard.
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Repos n°2 - Lundi 12 Juillet, département de la Haute-Garonne (Toulouse ou Tournefeuille)


Etape 16 : Tournefeuille - Marmande



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Au lendemain d'un long transfert, le peloton pourra profiter d'une belle étape de transition de long de la Garonne, de quoi tourner les jambes sans se faire mal. Seulement deux côtes de catégorie 4 se trouveront dans le final. Mais rien d'inquiétant pour les sprinteurs, ils pourront pour la première fois depuis plus d'une semaine jouer un sprint entre grosses cuisses digne de ce nom.


Album-photo : Tournefeuille, Abbaye Saint-Pierre de Mas-Grenier, Castelsarrasin, Valence-d'Agen, Agen & Marmande.
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Etape 17 : Villeneuve-sur-Lot - Peyragudes



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Jour de fête nationale rime avec course de côte cette année. Au départ de Villeneuve-sur-Lot, en plein cœur du Périgord, les coureurs effectueront une longue traversée du désert dans le pays de Francis Cabrel, par Agen, Astaffort, Lectoure, Fleurance (double fois Grand Départ du TDF dans les années 70) ou encore Auch. C'est une fois passée le Sprint Intermédiaire de Galan (km 151) et la Côte de Lannemezan (4C, km 160,5) que le peloton entrera en terre pyrénéenne. La route s'élèvera après plus de 200 kilomètres parcourus pour rejoindre le Col d'Azet (1C, 10,7km à 7,3%) qui aura pour rôle d'écrémer le peloton. Sa descente très rapide et technique avec ses nombreux lacets est propice à du mouvement, s'ensuivra très vite l'ultime ascension : la Montée de Peyragudes (1C, 8,2km à 7,8%). Ville-arrivée pour la troisième fois en neuf ans, la montée vers la station s'effectuera par un versant inédit puisque les coureurs n'auront pas à rallier le Col de Peyresourde. L'arrivée sur l'altiport de Peyragudes, qui avait servi au prélude du 17ème [i]James Bond, Demain ne meurt jamais en 1997, ne sera pas sans rappeler la magnifique victoire de Romain Bardet devant Fabio Aru en 2017, ce dernier décrochant même le Maillot Jaune des épaules de Chris Froome.

Album-photo : Villeneuve-sur-Lot, Agen, Lectoure, Auch, Arreau & Peyragudes.
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Etape 18 : Saint-Lary-Soulan - Lac de Payolle (contre-la-montre individuel)



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[alinea]Troisième et dernière épreuve chronométrée au départ de Saint-Lary-Soulan avant d'attaquer les deux dernières étapes pyrénéennes. La belle montée de la Hourquette d'Ancizan, comptant au Grand Prix de la Montagne, va creuser de grands écarts entre les favoris de l'épreuve. De quoi permettre à ceux qui perdent du temps aujourd'hui de les rattraper plus tard. Le Lac de Payolle qui avait déjà accueilli l'arrivée d'une étape en ligne en 2016 aura à l'honneur d'organiser l'arrivée de ce chrono pyrénéen.


Album-photo : Saint-Lary-Soulan Guchen, Hourquette d'Ancizan & Lac de Payolle.
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Etape 19 : Saint-Girons - Puyvalador



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Il s'agit ici de l'étape reine du Tour de France. Bien qu'elle n'avoisine pas les 2 000m d'altitude, elle a tout pour renverser le Tour. Le Mur de Péguère aura pour rôle d'écarter la majorité des coureurs du peloton et il s'agit aussi d'un petit plaisir personnel de voir les grosses cuisses se farcir le Mur dans l'échappée s'ils souhaitent engranger les points à Foix. S'ensuite la longue montée vers le Col du Chioula, avant de se farcir le Col de Pailhères (15,3km à 6,9%, HC). La descente technique peut creuser des écarts entre les coureurs. Les deux montées suivantes ne présentent rien de terrible mais pourraient bien se montrer décisif. A l'instar de ce qui a été fait à La Planche des Belles Filles, Amaury Sport Organisation est à l'initiative d'un plan de relance des petites stations en perte de clients. Et bien, cette année c'est la station de Puyvalador et ses 6,7 kilomètres 4,9% qui sera à l'honneur.


Album-photo : Saint-Girons, Mur de Péguère, Foix, Dent d'Orlu, Lacets du Port de Pailhères, Station de Puyvalador.
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Etape 20 : Argelès-sur-Mer - Céret



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Avant-dernière étape de ce Tour de France, qui à vrai dire est assez indécis. Bien que les trois dernières montées répertoriées ne présentent rien d'exceptionnel. Certains coureurs pourraient se permettre de partir à l'offensif pour tenter, une dernière fois, de renverser le Classement Général. La petite traversée en Espagne du côté de chez Salvador Dali ne sera pas sans déplaire à notre ami Franck Ferrand.


Album-photo : Argelès-Plage, Collioure, Portbou, Musée Salvador Dali de Figueres, Amélie-les-Bains-Palalda & Céret.
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Etape 21 : Dammartin-en-Goële - Paris



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Dernière étape, enfin plutôt cortège. Les sprinteurs se feront un plaisir de jouer des coudes pour gagner sur la plus belle des Avenues.


Album-photo : Dammartin-en-Goële, Claye-Souilly, Château de Brie-Comte-Robert, Parc de Bercy, Musée du Louvre & Champs-Elysées.
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En vous souhaitant une très bonne analyse, et que le meilleur gagne ! :moqueur: :love:
Modifié en dernier par Edgard_J le 24 Nov 2020, 18:11, modifié 21 fois.

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Mats » 21 Sep 2020, 16:56

ElRojo a écrit:Le labo est tenu par des alcooliques. :lol:


Seulement en cas de force majeure pour ma part ! :prof:
Et pour décompresser aussi...

Mais je sais rester raisonnable. :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar darth-minardi » 21 Sep 2020, 18:09

ElRojo a écrit:Le labo est tenu par des alcooliques. :lol:

Le cyclisme est très populaire en Bretagne et dans le Nord.

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Klira » 21 Sep 2020, 18:18

Mats a écrit:Et pour décompresser aussi...


Ici-bas il est nécessaire de décompresser tous les jours... :mrgreen:
Après je remplace parfois par des pentes à deux chiffres, faut bien alterner un peu, les degrés, les pourcents. :lol:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Edgard_J » 21 Sep 2020, 18:37

Klira a écrit:
Mats a écrit:Et pour décompresser aussi...


Ici-bas il est nécessaire de décompresser tous les jours... :mrgreen:
Après je remplace parfois par des pentes à deux chiffres, faut bien alterner un peu, les degrés, les pourcents. :lol:

Tant qu'on finit pas raide comme un flahut... :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Mats » 21 Sep 2020, 19:35

Sincèrement, le 10%, je préfère encore le descendre en bière que le monter à vélo. :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar darth-minardi » 21 Sep 2020, 19:40

Mats a écrit:Sincèrement, le 10%, je préfère encore le descendre en bière que le monter à vélo. :mrgreen:

Et quand on est à près de 40 %, mieux vaut que ça soit autour du rhum qu'autour de Rome :prof:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Tazio » 21 Sep 2020, 19:55

Klira a écrit:Tu n'as pas du percevoir l'affaire, si la cote pour que je ne l'emprunte pas est à 1000, celle pour que je l'emprunte est à 1. :mrgreen:


Benoit Paire a LA CHAAAATTE !!!, Klira a LE CHAAATT !!!

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar julien s » 21 Sep 2020, 20:25

darth-minardi a écrit:
Mats a écrit:Sincèrement, le 10%, je préfère encore le descendre en bière que le monter à vélo. :mrgreen:

Et quand on est à près de 40 %, mieux vaut que ça soit autour du rhum qu'autour de Rome :prof:

Après le mètre de bière, le kilomètre de la Pointe de Paumont :noel:

ZePhil Sagan 13 a écrit:J'ai fait un Briançon-Izoard avec Lautaret, Pointe de Paumont, Finestre, Sestriere, Colle del Monginevro et Izoard.
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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Navegante » 21 Sep 2020, 22:42

Quelqu'un connait ou a déjà pratiqué la descente du signal de Bisanne vers Le Mont et Queige ? Genre pour un enchaînement montée depuis Villars sur Doron - Bisanne -descente vers Le Mont puis Forclaz de Queige. Je vois que c'est goudronné sur les images satellite, une idée de la praticabilité de ce versant en compétition ? Ça a quand même l'air bien raide et étroit.

Sinon j'en suis à trois trames, si quelqu'un veut :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Mathias-Rolland » 22 Sep 2020, 02:43

TOUR DE FRANCE 2021



3411.9 kms - 23 cols de 2C et plus


CARTE

Image
* Alerte boulette orthographique ! Il s'agit bien du Mont d'Or pour l'arrivée de la 15ème étape.

Descriptif général du tracé:


Petite introduction personnelle :
Comme pour chaque parcours créé, je me demande pourquoi et pour quoi le tracer.
Celui-ci vient personnellement répondre aux questions suivantes :

- Pourquoi ce tracé, d’un point de vue géographique ?
 J’ai choisi de visiter des zones pas ou peu visitées lors des dernières éditions réelles, et des prochaines, au moins pour ce que l’on sait du parcours de 2022. Donc, pas de Sud-Est, bien couvert en 2020 ; pas de Nord-Est, couvert en 2018-2019 et 2022 à priori ; un passage léger par le Massif Central (Cévennes/Causses), car bien servi en 2019 et 2020. Le reste est venu naturellement, en reliant les zones choisies.
- Pourquoi ce sens de rotation ?
 Cette fois-ci, c’est essentiellement pour des raisons personnelles : en effet, dans mes tracés pour le concours du Labo des TDF 2017, 2018, 2019 et 2020, j’ai systématiquement commencé par les Alpes pour terminer par les Pyrénées (et une fois par les Vosges). Voulant terminer la montagne assez tôt, plonger ver les Pyrénées depuis la Bretagne s’est naturellement imposé à moi.

Lignes directrices du parcours :
Avant tout, inscrire l'évènement Tour de France dans une dynamique plus économe et écoresponsable, et moins économique. Cela se traduit sur le terrain par un Tour sans aucun transfert important, que ce soit les jours de repos ou à la veille de Paris. Du plus vu depuis les années 70 !
Conséquence de cela, il y aura plus d'étapes-tampon, ou de transition, afin de relier les différentes zones-clés de la course.
Cela a permis aux organisateurs de tracer des étapes aux profils peu fréquents ces dernières années: comme cette très longue étape pour sortir de la Bretagne et rejoindre le Val de Loire, conclue par un final piégeux dans Saumur, ou 3 étapes piégeuses pour revenir vers Paris depuis le Beaujolais.

Autre conséquence du moindre temps passé dans les zones-clés, une réduction drastique des étapes de montagne, seulement 3 de moyenne montagne et 3 de haute montagne !
Cependant, les véritables grimpeurs endurants ne seront pas oubliés pour autant, car chaque massif aura son étape reine, proposant un enchaînement de 2 des plus difficiles cols des Pyrénées (Soudet et Larrau) pour l'une, et 7 cols sur 208 kms et 5500m D+ pour son pendant alpin.

Autres changements notables prenant en compte les déceptions des récentes éditions :
- Il n'y aura qu'une seule véritable arrivée "en altitude" de toute l'épreuve, au sommet de la raide mais relativement courte ascension du Mont d'Or dans le Jura.
- Dans le même temps, la distance totale de CLM est revue à la hausse, tout en restant proportionnel à la (relative) faible distance des étapes de haute-montagne.
- Il n'y aura pas d'étape décisive pour le CG, c'est à dire ni de montagne ni de CLM, après le mardi de la 3ème semaine, du plus vu depuis le Tour de 1933 ! En lieu et place, les organisateurs proposent 4 étapes "de plaine" (plus celle de Paris) qui pourraient donner lieu à des offensives stratégiques de la part de coureurs cherchant à améliorer leur classement au CG, et pourquoi pas, renverser l’ordre établi au sortir de la montagne. Dans le cas contraire, comme on l’a vu sur le Tour 2020, ce type d’étapes « de plaine » situées après la montagne, donnent bien souvent lieu à de jolis spectacles pour la victoire d’étape.



LES ÉTAPES


Prologue: CLMI à Brest : 3.3 kms – Rouleurs
Le Profil de l’étape:
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Le parcours: Afficher

Le coup d’envoi de ce Tour de France version 2021 sera donc donné à Brest, sur les quais du port de commerce. Ce prologue court, comme on n’en voit plus sur le Tour de France depuis les années 80, se découpe en 3 parties : un premier km plat présentant seulement 3 virages, pour démarrer en puissance ; puis une montée de 2 kms (le 1er à 6% et le 2ème à 3.8%) ; et enfin 300m en léger faux-plat descendant pour rejoindre l’arrivée, située Rue de Quimper face au stade Francis le Blé.
Les rouleurs issus de la piste devraient être à leur aise, mais les sprinteurs/puncheurs pourraient leur contester la victoire d’étape, et le 1er maillot jaune.




1ère étape: Lannion – Carhaix-Plouguer : 189.7 kms – Baroudeurs/Puncheurs
Le Profil de l’étape:
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Le parcours: Afficher

Petit transfert vers les Côtes d’Armor, pour un départ de Lannion, qui n’avait plus reçu le Tour depuis une arrivée d’étape en 1995.
Après un départ en côte pour favoriser les 1ers attaquants de ce Tour 2021, les coureurs rejoindront très brièvement la Côte des Bruyères, avant de rentrer pour de bon dans les terres.
Pendant une petite centaine de kilomètres, les routes typiquement bretonnes ne seront jamais plates, mais il n’y aura pas non plus de difficulté notable. Redescendus sur Châteaulin, au Km 114, les choses se corseront, avec l’enchaînement de 5 côtes répertoriées dans les 75 derniers kilomètres.
À 20 kms de la ligne, les coureurs entreront dans le money-time. Ils affronteront la redoutable côte de Keralvez, qui cache une 1ère partie de 1600m à 6.8%, puis un mur de 400m à 12.5% après une petite descente. Pour rejoindre l’arrivée, 15.7 kms plus loin, plus de difficulté répertoriée, mais une succession de faux-plats et de petits murs cassant le rythme qui favoriseront plus un petit groupe ou un coureur seul détaché : 500m à 7%, puis 1.2km à 4.6%, puis 500m à 8%, et enfin 500m à 10%, sommet à 2.5 kms de la ligne. De quoi rendre le final indécis !
La ligne droite finale développe 500m à 3.5%, sur une largeur de 7m.




2ème étape: Quimper – Presqu’Île de Quiberon : 140.5 kms – Plaine/Sprint perturbé
Le Profil de l’étape:
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Depuis la préfecture du Finistère, les coureurs fileront plein est vers la presqu’île de Quiberon, pour l’étape la plus plate de ce TDF, courte de surcroît. Ils suivront les côtes, mais à certaine distance, hormis un passage exposé de 8 kms peu avant Larmor-Plage.
Une fois entrés sur la presqu’île de Quiberon, au Km 121, la tension devrait commencer à gagner le peloton. Tout d’abord, une longue ligne droite de 3.5 kms pour étirer le paquet. Puis arrivera un 1er passage très exposé (voir photo), où le vent soufflera latéralement. 5 kms plus loin, quittant la route principale, les coureurs arriveront sur la Côte Sauvage, où aucune végétation ne les protègera du vent. La route tournant sans cesse, le placement sera primordial, et des cassures sont probables. Arrivés à hauteur de la Pointe de Beg er Lan, ils obliqueront vers l’entrée de Quiberon, puis en sortiront en direction du continent, pour terminer sur une large ligne droite finale de 3.5 kms, légèrement exposée.
Pour un premier sprint massif, ou pour le sprint d’un éventail s’étant détaché grâce aux bordures ?


Photos:
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Le 1er passage exposée aux vents, au Km 125

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Une jolie courbe bien exposée, en pleine Côte Sauvage, à 9kms de la ligne.




3ème étape: Vannes – Saumur : 261.2 kms– Plaine/Sprint perturbé
Le Profil de l’étape:
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4ème et dernier jour en Bretagne, pour cette étape, la plus longue de ce Tour, et d’une longueur plus vue depuis le Tour 1997 !
Les coureurs parcourront les routes du Morbihan, puis de l’Ille et Vilaine (seul département breton à ne pas recevoir d’étape), avant de rejoindre celles du Val de Loire. On remarquera un passage toujours bruyant par Renazé, fief de Marc Madiot. Les routes seront toujours aussi plates jusque aux abords de Saumur. Les coureurs fileront alors le long de la Loire, avant de piquer à gauche dans la pente à 15% du mur du Petit Puy. On devrait assister à des attaques de puncheurs, tentés par la victoire d’étape. Il restera 3.3 kms à parcourir jusqu’à la ligne, majoritairement descendants et assez sinueux, donc plutôt favorables aux attaquants.
La ligne d’arrivée sera située Avenue du Maréchal Foch et fait face à l’Ecole Militaire. La ligne droite finale parfaitement plate développe 550m.




4ème étape:: Doué la Fontaine – Thouars : 38.1 kms – CLME/Rouleurs
Le Profil de l’étape:
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Comme souvent les années impaires, retour du CLM par équipes.
Le parcours est taillé pour les gros rouleurs spécialistes de l’effort : plat, tout rectiligne dans sa 1ère partie, et un poil vallonné et tournant dans les 12 derniers kilomètres.




5ème étape: Parthenay – Nontron : 191.3 kms – Sprinteurs/Puncheurs
Le Profil de l’étape:
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Côte de Nontron : 2.1 kms à 5.3% (hors replat), max. 10%.

Deux villes-étapes inédites pour cette étape passant par les départements peu fréquentés par le Tour, des Deux-Sèvres et de la Charente, avant de finir en Dordogne au sein du Parc Naturel Régional Périgord-Limousin.
Le parcours sera descendant dans sa première partie, puis tout plat jusqu’au Km 140. Les coureurs affronteront alors quelques reliefs autour de la jolie vallée de la Tardoire. Les routes se feront plus étroites et tournicotantes. Une échappée partie le matin pourrait se faire reprendre par un groupe sorti en contre.
Le final sera favorable à un attaquant, ou à un sprinteur passant bien les bosses dans le cas où le peloton serait revenu sur les échappées. En effet, au Km 179, une bosse non répertoriée d’un km à 5% sur une route étroite, prise à angle droit ; puis 8 kms plus loin, l’ « enchaînement » final, pour monter vers Nontron : 900m à 8%, puis après un petit replat de 600m, 1200m à 3.5% sur une route droite.




6ème étape: Périgueux – Mont de Marsan : 211.6 kms – Plaine/Sprinteurs
Le Profil de l’étape:
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Au départ de la capitale périgourdine cette étape sentira bon le Sud-Ouest, et son tracé aura quelques consonances gastronomiques : Monbazillac, Armagnac… Pour les coureurs, hormis la sévère côte de Monbazillac donc, au km57, les choses seront calmes, et un sprint royal devrait couronner le vainqueur du jour, au bout d’une ligne droite de 2kms, légèrement montante puis plate.



7ème étape: Labastide d’Armagnac – Chalets d’Iraty : 196.2 kms – Moyenne-Montagne – Grimpeurs –
Le Profil de l’étape:
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Montée vers les Chalets d’Irati : 5.5 kms à 5.6 % - Max. 12%

Pour cette 1ère étape de montagne, pyrénéenne donc, les coureurs profiteront certainement de leur passage par Notre Dame des Cyclistes, lieu de rassemblement du jour, afin de chercher un peu de foi pour affronter les terribles pentes qui les attendent…
En effet, cette étape est enfin l’étape basque pentue que le public connaisseur attendait tant, tout en restant réaliste du point de vue d’ASO.
Les 3 premières heures de course seront toutes plates, jusqu’à l’arrivée dans le Béarn, où apparaitront les premières côtes. Passé le Km 133 au sommet du col d’Ipharlatze, les routes se rétréciront, en même temps que les pentes augmenteront. À la courte mais sévère côte de Juxue (1.4 km à 12.2%, max. 16%), fera suite l’horrible côte de Pagolle. Sa moyenne de 7.7% sur 4.5 kms cache en réalité un pied d’un km à 15.8%, dont des pointes à 23% dans 2 courbes ; les 3 kms restants vont en s’aplatissant. 7 kms après la descente de ce mur viendra rapidement le tout aussi sévère col de Gamia : 3 kms à 10%, dont plusieurs passages à 14%. L’enchaînement de ces 3 difficultés devrait inévitablement écrémer le peloton principal, et malgré les 10 kms remontant la vallée du Lauribar, il ne serait pas surprenant de voir des leaders esseulés quand se présentera la montée finale, en 2 temps, vers les Chalets d’Iraty, arrivée inédite sur le Tour. C’est une montée plutôt courte pour une première CC, mais les difficultés antérieures risquent sans doute d’avoir entamé les réserves des coureurs, et les écarts devraient se créer naturellement.
À noter que l’arrivée sera financée par le CG du 64, désireux de pouvoir proposer un « nouveau » site d’arrivée spectaculaire et inhabituel, pour cette montée en 2 temps vers le col de Bagargui.




8ème étape: Mauléon-Licharre – La Pierre St-Martin : 146.7 kms – Haute-Montagne/Grimpeurs
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Après une étape Béarno-Basque française, une étape basque franco-espagnole, que le public régional attendait depuis si longtemps !
Un départ en plaine un peu plus accidenté mais surtout plus court que la veille devrait être favorable à la formation d’une échappée conséquente, entre les battus de la veille revanchards, et les grimpeurs/baroudeurs à la recherche d’une victoire d’étape. Après moins d’une heure de course, le peloton sera déjà sur les premières pentes raides du col de Soudet. À son sommet, ils seront d’ailleurs à 1 km de la route les menant vers la station de la Pierre St-Martin, mais ils feront un détour de près de 100 kms pour y arriver ! Une descente rapide par la vallée de Ste-Engrâce les mènera au pied du mastodonte du jour, le Port de Larrau. Franchi sur le Tour à seulement 2 reprises (1996 et 2007), ce fut à chaque fois lors d’étapes entrées depuis dans la légende du Tour. Il devrait à nouveau avoir un rôle central, au moins dans cette étape, car placé la veille d’un jour de repos, et situé à moins de 60 kms de l’arrivée, avant la montée roulante du col de la Pierre St-Martin depuis le val d’Isaba en Espagne.
Au bas de la descente de ce dernier col (2.7 kms), il y aura 200m de plat, puis 400m en faux-plat montant afin de limiter les risques pour rejoindre la ligne d’arrivée.



-REPOS À PAU -



9ème étape: Oloron Ste-Marie – Lannemezan : 184.2 kms – Haute-Montagne/Baroudeurs
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En ce lendemain de jour de repos, ASO a pris note des erreurs du passé, et propose donc une étape de montagne plutôt axée baroudeurs. Avec un départ en plaine, et les 2 plus grosses difficultés en milieu de parcours, l’équipe du leader au CG pourrait être tentée de « laisser filer » les échappés du matin. À confirmer au sommet du col d’Aspin, distant d’à peine 40 kms de la ligne d’arrivée, si ils ont eu tort ou raison… Car sur ce type d’étape ouverte, et a priori pas décisive pour les leaders, une grosse échappée constituée de bons baroudeurs-grimpeurs pourrait gagner l’arrivée à Lannemezan avec une bonne avance, et potentiellement agiter le CG…



10ème étape: St-Gaudens – Albi : 191.5 kms – Plaine/Sprinteurs
Le Profil de l’étape:
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La traditionnelle étape de transition occitane, a priori destinée aux sprinteurs. Mais la grosse soixantaine de kilomètres de tôle ondulée en milieu d’étape, puis la traversée souvent venteuse de la vallée du Tarn en approchant d'Albi, pourraient apporter un peu plus d’agitation que prévu à cette étape.
À noter que l’arrivée sera jugée à la sortie de la ville d’Albi, au bout d’une ligne droite de 1400m parfaitement plate.



11ème étape: Carmaux – Mende : 191.3 kms – Moyenne-Montagne/Baroudeurs-Puncheurs
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Au départ de l’ancienne cité minière de Carmaux, c’est le profil-type de l’étape de moyenne montagne pour baroudeurs/grimpeurs, qui pourrait cependant intéresser les leaders, et les voir se disputer la victoire d’étape, et reprendre du temps à leurs adversaires.
Les 70 premiers kilomètres en montée presque ininterrompue seront favorable à la formation d’une échappée, qui ne devrait pas avoir trop de mal à conserver son avance lors de la descente vers Millau, puis de la traversée des sublimes gorges du Tarn. Ils s’en extrairont par 2 fois, en montant tout d’abord vers le Causse Méjean, puis vers celui de Sauveterre. Les échappés devront profiter de ces difficultés pour assurer leur avance, car les leaders devraient eux attendre la montée finale vers l’aérodrome de Mende pour s’expliquer.
Pour cette 6ème arrivée du Tour à Mende, les coureurs arriveront pour la 1ère fois en ville, après avoir monté puis redescendu le causse de Mende par la désormais célèbre Montée Jalabert. Le versant sud de cette montée, bien qu’inédit, est pourtant encore plus sélectif et pentu que son pendant nord, et la route y est également plus étroite.
Afin de provoquer un final plus tactique, les organisateurs ont placé la ligne d’arrivée sur le plat, 2.5 kms après la fin de la descente de l’aérodrome.



12ème étape: Le Puy en Velay – Vienne : 163.2 kms – Plaine/Sprinteurs
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Au milieu de 2 étapes concernant les leaders du CG, une étape de transition potentiellement rapide, descendant de la montagne du Velay vers la vallée du Rhône.
Après un départ plat via les télégéniques gorges de la Loire, la route s’élèvera en pentes douces pendant une cinquantaine de kilomètres, entrecoupés de quelques courtes descentes, jusqu’au joli petit village de St-Bonnet le Froid. S’en suivra une descente de plus de 40 kms, jusqu’à franchir le Rhône, puis 30kms de plat, dans une zone potentiellement exposée aux vents d’ouest. Dans les 25 derniers kilomètres, un enchaînement de 2 petites côtes de 4C pourrait motiver quelques équipes de sprinteurs à accélérer afin de décrocher les plus « gros culs » d’entre eux.
L’approche vers Vienne sera en descente, sur une route assez large mais sinueuse, et en cas de route humide, le peloton devra rester vigilant. Une fois arrivés en bas de la dernière petite descente, les coureurs obliqueront à gauche le long du Rhône, pour une ligne droite finale de près de 3 kms, qui devrait sacrer un pur sprinteur.




13ème étape: Voiron – Lac de Paladru : 42.3 kms – CLMI- Rouleurs/Puncheurs
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3ème épreuve chronométrée de ce TDF, mais le seul véritable contre la montre individuel, tracé au pays des Terres Froides.
Le parcours est tracé pour de véritables spécialistes de la gestion de l’effort, plus que pour des purs rouleurs. Après un départ de Voiron en légère montée pendant 3.5 kms, les routes seront rigoureusement plates pendant 25 kms, Arrivés â Virieu, un virage à angle droit les lancera au plus dur de la rude pente du Mur du Château : 1.2 km à 12.4%, dont 500m à 17%, et une pointe à 20%. Difficulté supplémentaire en terme de gestion, le sommet de ce mur sera suivi d’un faux-plat montant, et il n’y aura pas de véritable descente jusqu’à l’arrivée située le long des rives du Lac de Paladru, à hauteur du village de Paladru, petit centre touristique local.
Les écarts crées par les meilleurs rouleurs placés au CG face à leurs adversaires seront déterminants quant au type de scénario qui pourrait se dessiner pour la suite de ce Tour.



14ème étape: Grenoble – Annecy : 206 kms - Haute-Montagne/ Grimpeurs
Le Profil de l’étape:
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Cette fois-ci, nous y sommes ! Au pied de l’étape-reine de cette édition, paraissant sortie d’une autre époque, sur un tracé d’une difficulté rarement proposée sur le Tour depuis de nombreuses années : un ville-à-ville de plaine ; un départ au pied d’un col de 1C, 7 cols classés en 2C et plus, 6100m de D+ réel…
Les organisateurs ont pris le risque de placer la majorité des difficultés dans la 1ère moitié d’étape, afin de dynamiter le peloton, et de voir les leaders esseulés s’affronter entre eux dans les 2 derniers cols du jour. Ainsi, au sommet du terrible Mont du Chat, au Km 102, soit à 104 kms de l’arrivée, 5 cols auront déjà étés franchis, et il n’en restera plus que 2, présentant de plus des pentes modérées afin de ne pas effrayer nos chers grimpeurs…
Quoi qu’il en soit du scénario de cette étape, le vainqueur qui surgira à Annecy au bout de l’Avenue d’Albigny devrait entrer dans la grande Histoire du Tour.



- REPOS À ANNECY -



15ème étape: Bellegarde – Mont d’Or: 170.8 kms – Moyenne-Montagne-Grimpeurs/Puncheurs
Le Profil de l’étape:
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Mont d’Or : 5.2 kms à 9.6%, dont 500m à 13.8% - Max. 15%

Les héros de l’étape précédente devront avoir bien mis à profit leur jour de repos, car cette étape post-repos, la dernière étape de montagne de ce Tour via un joli crochet en Suisse, pourrait bien sonner un vent de révolte pour les éventuels grimpeurs retardés au CG. Pour eux, une bonne place à Paris se jouera aujourd’hui.
Un nouveau départ en col pour surprendre à froid les grosse équipes, puis après une courte descente, une longue portion montante de 25 kms jusqu’au sommet de la côte de Lajoux, via la vallée de Lélex. Une accalmie de près de 50 kms sur les « hauts plateaux » du Val de Joux pourrait donner lieu à des rapprochements entre groupes, voire à un regroupement général. Puis une descente rapide et irrégulière vers les gorges de l’Orbe conduira les coureurs dans les 60 derniers kilomètres de l’étape. Ils commenceront par l’inédite et irrégulière montée du col du Suchet, qui cache en son sein un passage de 2 kms à près de 11%. La descente de ce col s’enchaînera immédiatement avec la difficulté suivante, qui justifie à elle seule ce passage en Suisse, le col de l’Aiguillon, plus de 6 kms à 10%, avec des passages à 14%. Une descente assez courte ramènera les coureurs en France, sur des routes étroites et escarpées, avant de redescendre vers Métabief, puis Longeville, pied de la courte et dernière ascension du jour, vers l’inédit et redoutable Mont d’Or.




16ème étape: Pontarlier – Mâcon : 165 kms – Plaine/Sprinteurs 14 Juillet !
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Après 3 étapes ne les concernant absolument pas, et avant 3 étapes qui ne leur seront pas offertes, les sprinteurs auront ici avec Paris leur meilleure opportunité pour glaner un succès d’étape.
Cependant, on sait désormais fort bien que situé après la montagne, ce type d’étape a priori rapide, comportant une très longue partie descendante (80 kms en ce jour du 14 juillet), pourrait bien inspirer des solides baroudeurs du type De Gendt. Et un peloton fatigué en 3ème semaine pourrai leur avoir laissé une trop grande avance avant les 60 derniers kilomètres tous plats à travers la Bresse, et pourrait se mordre les doigts de s’être fait souffler la victoire d’étape.



17ème étape: Belleville - Le Creusot : 221.3 kms - Accidenté/Puncheurs-Baroudeurs –
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Dans l’optique égalitaire de proposer des terrains de jeux pour tous les profils de coureurs du peloton, les organisateurs ont tracé cette 17ème étape en pensant aux plus ardennais d’entre eux.
En effet, cette étape partant du Rhône, mais mettant surtout en valeur les routes accidentées de la Saône et Loire, aura tout pour consacrer un coureur puncheur et endurant, voir éventuellement un leader au CG bon puncheur, de type Carapaz ou Roglic.
Pour les baroudeurs eux aussi intéressés par la victoire d’étape, les choses commenceront tôt, car dès le km 5, la route montera vers les contreforts du massif du Beaujolais, avant d’enchaîner les cols. Le 3ème d’entre eux, celui de la Croix du Py au Km 42, vaudra le détour, et pourrait déjà faire une première sélection au sein de l’échappée, voire chez les leaders si certains d’entre eux se sentent une âme de dynamiteur. En effet, son profil cache mal un terrible passage d’un km à plus de 13% de moyenne, avec des pointes à 18%. De plus, il est situé sur des routes étroites et sinueuses, et il s’enchaînera rapidement avec l’également difficile col de Patoux, point culminant du jour.
Il restera alors aux coureurs plus de 150 kms à parcourir, et les difficultés baisseront d’un cran pendant plus de 100 kms. Passant une 1ère fois au Creusot, les coureurs iront faire une boucle en direction de la jolie ville d’Autun. Ils enchaîneront les difficultés plus roulantes pendant 35 kms, avant de finir leur périple avec 2 nouveaux murs, celui d’Uchon, puis celui plus court des Baudot, avant de dégringoler vers la ligne d’arrivée, située allée Pierre de Coubertin, au sein du campus du Creusot.




18ème étape: Chalons sur Saône – Semur en Auxois : 141 kms – Accidenté/Puncheurs
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Une nouvelle étape bourguignonne « punchy » pour les coureurs aujourd’hui. Cependant, en regardant dans le détail, elle se distingue de l’étape précédente en de nombreux point. Son départ sur du plat, puis sur les pentes modérées de Bessey en Chaume, sera propice à la formation d’une échappée de coureurs plus rouleurs/baroudeurs que purs puncheurs.
Puis un enchaînement sévère de 5 côtes en moins de 40 kms devrait permettre à certains leaders du CG de pointer leur nez, ou de franchement lancer une attaque. Enfin, l’absence de côte répertoriée dans les 15 derniers kilomètres promet un final plus tactique et moins physique que la veille.
À noter que le dernier dans les rues médiévales de Semur en Auxois est identique à celui du circuit du championnat de France 2008, remporté par Nicolas Vogondy.




19ème étape: Avallon – La Ferté-Alais : 210 kms : Flandriens/Sprinteurs (Pavés)
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Après 2 étapes probablement nerveuses et agitées, on repart pour une étape de plaine plus « classique »… Oui, plus classique flandrienne si l’on en juge par la distance et le final ! Ainsi, après un départ à peine bosselé pour permettre le lancement d’une échappée intéressée par la victoire d’étape, le peloton traversera les longues plaines du Gâtinais, où le risque de bordures existe, mais sera faible en cette saison.
Puis, une fois rentrés dans le Parc Régional du Gâtinais et en Essonne, à 28 kms du but, les choses s’accélèreront : le sprint bonif de Mily la Forêt pour commencer, puis 7.5 kms plus loin les coureurs emprunteront le « fameux » (pour les coureurs du coin) secteur pavé de la Padole. Rectiligne et plat au milieu des champs dans sa majeure partie, il monte légèrement en enchaînant quelques petits virages. Les pavés sont en relativement bon état, mais il devrait créer quelques cassures, au moins par son étroitesse et course au placement. Il sera très rapidement suivi par le secteur de la Butte de la Geoliette, droit, plat puis en faux-plat descendant. A noter que l’entrée de ce secteur sera nettoyée par rapport à la photo (élagage des arbres et nettoyage des premiers mètres du secteur). Puis après la traversée de Champcueil, les coureurs tourneront à 90° à gauche pour affronter le petit « mur » de Champcueil, avec une pente max de 11% à son pied, avant de s’adoucir.
À son sommet il restera moins de 10kms pour relier l’arrivée, et il est fort probable que ces difficultés aient quelque peu disloqué le peloton. Les équipiers de type flandriens auront sans doute un choix à faire entre guider leurs leaders distancés vers l’arrivée, ou tenter leur chance pour la victoire d’étape.


Photos:
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L’entrée du 1er secteur pavé, celui du Chemin de la Padole

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La sortie du secteur de la Padole

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L’entrée du 2ème secteur pavé, celui de la Butte Geoliette

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La sortie du secteur de la Butte Geoliette




20ème étape: Dourdan – Paris/Champs-Elysées : 147.4 kms – Plaine/Sprinteurs
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Et nous voici en Essonne cette année pour une dernière étape traditionnelle, à peine retouchée : plate au début pour les photos champagne/petits fours, puis vallonnée pendant une soixantaine de kilomètres à l’approche de Paris, avant les tours de circuit sur les Champs Elysées. Cette année ils seront réduits à 6 tours complets, afin d’allonger la partie courue en IDF, histoire d’aller faire un clin d’œil à plusieurs anciennes ou actuelles courses de la région parisienne : la côte des 17 Tournants en mémoire du GP des Nations ; la côte de l’Hautil en mémoire de la Polymultipliée, et le Fort de Cormeilles pour honorer le GP de Sannois, ou Trophée des Grimpeurs. Au sommet de cette dernière difficulté, il restera une soixantaine de kilomètres pour que les équipes de sprinteurs rattrapent les échappés et mettent sur orbite leur pièce maîtresse.



Voici les données chiffrées de ce Tour:

- 3411.9 Kms, soit 162.47 Kms de moyenne générale, et une moyenne de 184.9 kms pour les 18 étapes en ligne.

21 étapes:
- 12 étapes de plaine:
=>6 destinées à un sprint massif : les N° 2, 6, 10, 12, 16 et 20
=>3 destinée à un attaquant/puncheur sorti dans le final : les N° 3, 5 et 17
=>2 destinées à des baroudeurs/puncheurs, voire des candidats au CG : les N° 1 et 18.
=>1 destinée à un coureur rapide et complet de type flandrien : la N° 19
- 3 CLM: 1 court prologue en montée ; un clm par équipes plat et rectiligne en milieu de 1ère semaine, et un individuel vallonné qui devrait tourner autour d’une heure d’effort, placé en fin de 2ème semaine.
- 3 étapes de moyenne montagne : une de type tremplin se terminant au sommet d’un 3C suivant un 1C pentu ; une pour baroudeurs dans les Cévennes se terminant au bas de la descente d’un mur de 2 kms, et une se terminant au sommet d’une montée pentue de 4.5 kms.
- 3 étapes de haute montagne : 1 pyrénéenne courte enchaînant 3 gros cols, et arrivée après 3 kms de descente, une pyrénéenne se terminant en plaine 40 kms après le dernier col (2C), et une « tappone » alpine se terminant au bas de la descente d’un 1C.

Difficultés:

23 côtes et cols de 2ème catégorie et plus:
- 10 cols de 2ème C
- 8 cols de 1ère C
- 5 cols HC

57 côtes et cols de 3ème et 4ème catégorie:
- 30 côtes de 3ème C
- 27 côtes de 4ème C

Photos et descriptions à venir...
Modifié en dernier par Mathias-Rolland le 01 Nov 2020, 08:02, modifié 11 fois.

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar 2Singh » 22 Sep 2020, 13:43

J’ai presque terminé ma présentation. J'attends vos critiques.

J'ai encore une autre question, à savoir c'est quoi, les paliers, exactement?

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Klira » 22 Sep 2020, 13:50

2Singh a écrit:J’ai presque terminé ma présentation. J'attends vos critiques.

J'ai encore une autre question, à savoir c'est quoi, les paliers, exactement?


Pour les critiques, la phase de vote est là pour ça. :mrgreen:

Sinon, les paliers ? Les montées en paliers ? Des montées escaliers type "montée plat montée plat montée".

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Nané63 » 22 Sep 2020, 13:53

Klira a écrit:
2Singh a écrit:J’ai presque terminé ma présentation. J'attends vos critiques.

J'ai encore une autre question, à savoir c'est quoi, les paliers, exactement?


Pour les critiques, la phase de vote est là pour ça. :mrgreen:

Sinon, les paliers ? Les montées en paliers ? Des montées escaliers type "montée plat montée plat montée".

Non mais je crois qu'il demandait les paliers marqués en dessous de certains parcours comme le paliers "vétéran" marqué en dessous de celui Mathias-Rolland si je ne me trompes pas. :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar 2Singh » 22 Sep 2020, 13:54

Klira a écrit:
2Singh a écrit:J’ai presque terminé ma présentation. J'attends vos critiques.

J'ai encore une autre question, à savoir c'est quoi, les paliers, exactement?


Pour les critiques, la phase de vote est là pour ça. :mrgreen:

Sinon, les paliers ? Les montées en paliers ? Des montées escaliers type "montée plat montée plat montée".


Ah, non, j'ai vu le 'palier vétéran', le 'palier espoir'. C'est quoi?

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar Klira » 22 Sep 2020, 13:56

Aaaaahhh. :oops:
C'était un repère pour établir des poules en fonction de "l'ancienneté" des participants.
Mais, à voir comment on va faire cette fois-ci. :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar 2Singh » 22 Sep 2020, 14:17

Klira a écrit:Aaaaahhh. :oops:
C'était un repère pour établir des poules en fonction de "l'ancienneté" des participants.
Mais, à voir comment on va faire cette fois-ci. :mrgreen:


Ah merci! :mrgreen:

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Re: [Concours] Tour de France 2021

Messagepar loik29 » 22 Sep 2020, 15:12

Klira a écrit:Aaaaahhh. :oops:
C'était un repère pour établir des poules en fonction de "l'ancienneté" des participants.
Mais, à voir comment on va faire cette fois-ci. :mrgreen:


Il faut tout de même le renseigner? Je n'ai vu nulle par une échelle d'ancienneté :sarcastic:
Modifié en dernier par loik29 le 22 Sep 2020, 15:14, modifié 1 fois.

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