Modérateur: Animateurs labo à parcours
Un départ où il faudra réaliser une performance d'entrée avec un TTT qui promet un beau mano à mano entre les meilleurs écuries du peloton. J'ai volontairement voulu une distance courte pour éviter des écarts trop importants dès le premier jour.
Une étape toute plate qui semble promise à un sprinteur. La seule inconnue est le rôle que jouera le vent car de Gorlev jusqu'à Kerterminde, les coureurs emprunteront les routes parmi les plus exposés aux vents du Danemark.
Encore une étape destinée aux sprinteurs car la géographie du pays ne permet pas vraiment de monter en altitude . J'ai tout de même voulu varier les plaisirs avec un final plutôt destiné aux puncheurs. Cette fois-ci, malgré une ligne droite de 500 m, les coureurs devront avaler une côte de 2 km à 5%...
Une étape avec deux parties bien distinctes. Une première avec des difficultés moyennes comme le col de la Schlucht qui permettront aux échappés de creuser des écarts avec le peloton et de peut-être gagner la course-poursuite avec les équipes de sprinteurs malgré une deuxième partie de course nettement plus défavorable.
C’est véritablement la première étape où il y aura un peu de relief. C’est une étape que j’ai tracée pour les baroudeurs. Les quarante derniers kilomètres et le final en « decrescendo » vont très certainement être le décor d’une lutte pour une victoire de prestige. Un col de première catégorie + un col de troisième catégorie + 7 km mal plat jusqu’à la ligne d’arrivée = une belle course cycliste au mois de juillet avec peut-être une victoire française en bonus (remember Chavanel, Calméjane…)
Dans l’optique de favoriser les attaques de loin, j’ai essayé de mettre en valeur l’enchaînement efficace du col de Romme et du col de la Colombière en proposant un final dans le style d’Aprica. Au lieu d’arrivée au Grand-Bornand, les coureurs auront encore un faux-plat de 7 km pour faire la différence ou des écarts plus grands. L’idée est d’inciter des attaques franches bien avant le sommet de la Colombière. Je pense que ce type d’arrivée permet de bonifier des écarts déjà créés dans les montées. Après il faut rester mesurer car ce sera la première étape de montagne, pas sûr que les favoris ne se découvrent trop vite.
Voici l’une des étapes reines de ce parcours. J’ai voulu une étape relativement longue qui soit éreintante pour les coureurs. Je voulais compiler (empiler ?) des difficultés suffisamment dure pour que très tôt dans l’étape la course soit difficilement contrôlable par les équipiers. Avec ses 5000 m de dénivelé positifs, on peut imaginer que la sélection se fera par l’arrière. Le final p est un peu plus « light » mais il faudra tout de même bien négocier la descente vertigineuse du col de Porte et remonter ensuite dans les Chartreuses pour enfoncer le clou. Là encore, une attaque de loin a toutes ses chances.
Une étape a priori destinée pour les sprinteurs. Si leurs équipes parviennent à contrôler la course, ils devraient logiquement se disputer la gagne à Montélimar. Cependant, j’ai quand même voulu laisser planer une incertitude sur le dénouement de la course en plaçant des petites côtes étroites au milieu de l’étape pour permettre à des baroudeurs courageux de tenter de fausser compagnie au peloton. La dernière côte n’est pas non plus à prendre à la légère car à moins de dix kilomètres de l’arrivée, elle pourrait bien inspirer un costaud comme De Gendt, Stybar ou Trentin…
Voici une étape atypique mais totalement dans le style d’ASO. Ayant été embauché par Christian, je devais tout de même, et ce malgré ma carte blanche, respecter quelques unes de ses demandes farfelus. Après l’Alped’Huez en 2013 et le Grand-Colombier en 2020, cela tombe cette année sur le Mont-Ventoux… Les trois versants seront empruntés par la course mais le passage au Chalet-Raynard n’aura pour seul objectif sportif de fatiguer le peloton, le reste n’est qu’une propagande qui se fera un plaisir de faire du lieu un moment décisif de ce tour 2021, qui s’émerveillera devant les magnifique paysages de la région et qui remémorera les différentes légende mythique qui associe le mont chauve à l’histoire de la Grande Boucle. De toute façon, l’ultime montée du Ventoux se suffira à elle-même pour faire des écarts.
Un ITT entre les deux massifs pour accentuer les écarts après les premières étapes de montagne ou au contraire rebattre les cartes. Le profil est tout plat est avantage clairement les spécialistes de la discipline. L’idée est bien sûr de forcer les purs grimpeurs à faire des écarts en montagne et ainsi créer du spectacle avant de limiter la casse sur les chronos.
Clairement une étape pour baroudeurs ou coureurs déjà lâchés au classement général. Les favoris ne devraient pas trop s’exposer car les pentes du Pic de Notre se sont pas suffisamment dures même si certains pourraient viser les bonifs. Pour la victoire d’étape, tout se jouera dans le Pic de Nore. Le scénario est assez claire et il ne devrait pas y avoir de surprise…
Les sprinteurs devront absolument saisir cette occasion parce que les jours suivants seront très longs pour eux… Le profil est presque plat et les côtes ne devrait pas permettre aux audacieux de se jouer du peloton. La longueur sera par contre un facteur important pour les favoris qui devront gérer la fatigue avant le triptyque pyrénéen.
Une étape au format sprint dont l’unique objectif est de favoriser un tempo très élevé pour jouer sur la résistance des favoris. Ainsi, a terrible montée du col du Portet devrait éliminer les candidats au titre par l’arrière. Il y aura de grands perdants au soir de cette étape.
Grosse étape en perspective pour les leaders. La course sera longue avec au programme des monstres pyrénéens. Évidemment, j’ai voulu jouer sur l’endurance et la résistance avec des montée longues et raides auxquelles j’ai associé un final beaucoup plus dynamique avec une longue descente, plutôt technique, une côte raide et courte et un final en faux-plat un peu comme à La Clusaz. Ce genre de final peut inciter au mouvement dès le col d’Aubisque car il est favorable un homme seul ou un petit groupe. Cette taponne est l’une des étapes-reine du tour, un rendez-vous à ne pas manquer.
Il fallait réussir une sortie de massif pyrénéen en tentant de mettre en valeur le Pays-Basque mais en évitant le port de Larrau, le col de Burdincurutcheta , celui d’Arnotséguy et l’arrivée à Saint-Jean-de-Pied-de-Port. J’ai donc décidé de multiplier les côtes courtes, étroites et raides autour de la frontière. Malgré les 200 kilomètres, le format est explosif et il y aura plusieurs opportunités de se faire la malle tandis que le peloton aura beaucoup de mal a organiser la chasse. Le final decrescendo permettra d’avantager un homme seul et de favoriser les attaques lointaines. Ce qu’il y a de bien avec ce genre d’étape c’est qu’au pire on assiste à une belle bagarre entre costauds pour la victoire d’étape, au mieux les favoris s’en mêlent et bouleversent le classement général.
Une étape très plate encore. Cependant, le scénario est incertain… La longueur de l’étape et le rythme « plan-plan » post-montagne que pourrait adopter le peloton peuvent avantager des échappés qui jettent toutes leurs forces dans la batailles. Ensuite, restera-t-il beaucoup de sprinteurs pour organiser la chasse après les deux massifs montagneux ? D’autant plus que certains équipes de sprinteurs devront garder de l’énergie pour accompagner leur leader dans la dernière semaine.
Voici certainement l’étape qui peut consacrer le vainqueur du Tour 2021. Un nouvel ITT, plus court celui-là. Je voulais permettre de rééquilibrer les débats entre grimpeurs et rouleurs. L’idée est toujours de forcer les mauvais en contre-la-montre à faire les écarts en montagne. Le kilométrage reste faible et la dernière côte ne devrait cependant pas trop les désavantager.
Les jeux ne seront peut-être pas encore faits car il restera deux étapes atypiques pour une fin de grand tour qui pourront changer la donne. On commence par une étape qui exploite le relief de la suisse normande. J'ai pensé la course comme une classique ardennaise. Tout d'abord, de la longueur pour jouer sur la fatigue des organismes en cette fin de tour. Ensuite une succession de 6 côtes étroites, irrégulières, aux pourcentages parfois sévères et sur des routes sinueuses rendront la course incontrôlable. Enfin, les vingts derniers kilomètres permettront d'accentuer les écarts sur des routes mal plates jusqu'à la citadelle de Falaise. Comme pour l'étape d'Hendaye, au pire on assiste à une belle course entre classicmen, au mieux un favoris renverse la hiérarchie du classement général.
Une occasion pour les sprinteurs de lever les bras... Personne ne risque de contrarier leur entreprise tant les 50 derniers kilomètres sont défavorables aux échappés. Attention tout de même aux bordures car le vent peut souffler fort sur le plateau picard.
Cela fait un petit moment que j'avais envie de clore un grand tour sur des pavés. Je n'ai pas mis beaucoup de secteurs mais leur nombre me semble suffisant pour créer des écarts. Là encore, j'ai voulu une étape incontrôlable par les équipes des favoris. Ils ne pourront compter que sur leur coéquipiers spécialistes des Flandriennes (s'ils sont encore dans le peloton). Les pavés ont déjà établi une hiérarchie par le passé (Schleck et Evans en 2010, Nibali en 2014...) mais à chaque fois ce fût en début de Tour. Alors, avec la fatigue des trois semaines de compétition, ce sera la dernière chance de bouleverser le classement avant Paris.
Voici le traditionnel défilé sur les Champs-Élysées. Même si tout le monde rêve de voir un coureur audacieux comme Vinokourov en 2005, rien ne pourra objectivement compromettre la victoire d'un sprinteur sur la plus belle avenue du monde. Cette étape est tracée pour eux...
MaxMax a écrit:Paul-henri a écrit:Je suis le seul à avoir des problèmes pour uploader des GPX sur Cronoescalada ?
En important depuis Strava, j'ai pu tracer toutes mes étapes sauf mes 2 pyrénéennes et 2 alpestres...
Vber a écrit:Je sèche....
jibvalverde a écrit:Vber a écrit:Je sèche....
Le Col de la Morte
Vber a écrit:jibvalverde a écrit:Vber a écrit:Je sèche....
Le Col de la Morte
Tu m a trompé en disant a l est
Mais je n y aurai pas pensé
Merci pour vos conseils en tout cas je vais me servir de l un d eux
friton01 a écrit:@ChrisFroome, c'est quel col ?
Bad_Neos a écrit:Faudrait apprendre à faire autre chose que des arrivées au sommet (complètement loufoques en plus)...
ChrisFroome a écrit:ça passe pour arrivée au sommet ?
Malo.tls a écrit:C'est fou comme vous pouvez être désagréable pourtant vous êtes tous sympathiques, mais dès qu'il s'agit d'un nouveau qui ne connait pas les codes , la condescendance que vous avez
Snn l'arrivée au sommet me semble très improbable
Denis71 a écrit:ChrisFroome a écrit:ça passe pour arrivée au sommet ?
Un conseil : pour ton 1er concours, n'essaye pas d'aller chercher des trucs originaux. Contente toi de piocher dans les villes étapes des 20 ou 30 dernières années. Au moins tu seras sûr que c'est faisable. Tu te poses sûrement déjà des milliers de questions quand tu traces ton 1er Tour. Essaye déjà de ne pas en avoir sur la faisabilité de tes sites d'arrivée.
Et puis, ca t'évitera peut être d'être DSQ bêtement alors que tu auras passé des dizaines d'heures à faite ton tracé !!
ChrisFroome a écrit:Malo.tls a écrit:C'est fou comme vous pouvez être désagréable pourtant vous êtes tous sympathiques, mais dès qu'il s'agit d'un nouveau qui ne connait pas les codes , la condescendance que vous avez
Snn l'arrivée au sommet me semble très improbable
D'accord merci de ta réponse j’hésitai a la mettre
(les autres on dit que c'est impossible sur certain col appart celui que j'ai mis vu que la route et petite mais le col du portet il ont fait de sacrer travaux la bas pour que le tour passe)
Wings a écrit:Bad_Neos a écrit:Faudrait apprendre à faire autre chose que des arrivées au sommet (complètement loufoques en plus)...
Non mais la tu mets déja pas une voiture au sommet alors un peloton de cyclistes
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