Sinon quelques (re)visionnages récent :
L'aigle de la neuvième légion, de Kevin Macdonald (2011). En tant qu'amateur de peplum je voulais quand même voir celui ci même si j'en attendais rien. Ben j'ai quand même été déçu, j'ai trouvé ça encore plus mauvais que
Centurion.
La prisonnière du désert, de John Ford (1956). Un immense classique du western et même du 7ème art que j'avais depuis un bail sur ma watchlist. J'ai trouvé ça très bien. C'est bien joué, bien rythmé, admirablement mis en scène. Mais déjà après 10 jours il ne m'en reste plus tant que ça
Soucis que j'ai avec le western classique de manière général,
Les Affameurs étant celui qui m'a le plus marqué. J'ai tendance à être plus sensible à ce qu'il se fait plus tard soit dans le western dis crépusculaire, soit en Italie.
L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, de Andrew Dominik (2007). Un sublime western très contemplatif, touchant, mais comme ci dessus à voir ce qu'il m'en reste d'ici quelques semaines / mois. En dehors du souvenir de la perf renversante de Casey Affleck
Mulan, de Tony Bancroft & Barry Cook (1998). J'avais quasi aucun souvenir de ce Disney. Il y a des idées intéressantes (Mushu évidemment
) mais il me semble avoir été un peu bâclé. C'est pas très bien écrit, les décors m'ont paru très pauvre (où alors c'est en perspective de toute l'évolution qui a eu lieu les 20 années suivantes ?).
La tortue rouge, de Michael Dudok de Wit (2016). Un film d'animation (produit par Ghibli semble t il?) sans aucun dialoguqe, sur le cycle de la vie. On y suit la vie d'un mec qui échoue sur une île déserte. C'est beau et il y a de belles idées, de belles scènes. Mais je suis resté un peu sur ma faim quand même.
Saturday Night Fever, de John Badham (1977). Ca m'a un peu fait penser à une version dark, glauque et urbaine du superbe
La bande des quatre de Peter Yates : un groupe de jeune en marge, qu'on voit trainer, galérer, avec un personnage principal qui tentent d'échapper à toute cette galère par sa passion (le cyclisme dans le Yates, la danse ici). Quand je pensais à ce film je pensais surtout aux looks, à la musique, aux pas de danses (assez dingue) de Travolta en pantalon à patte d'eph'.
Le film est bien plus brutal que ce à quoi je m'attendais, dès le début avec les scènes familiales, même si teinté d'humour (un autre point commun avec La bande des quatre) jusqu'à la fin très glauque. Le mélange n'est pas forcément évident mais je trouve que Badham s'en sort très bien, avec Travolta dans un de ses meilleurs rôles.