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Cinéma
Re: Cinéma
par Robocrotte 2.0 » 25 Mai 2020, 11:01
Magnolia de Paul Thomas Anderson. Complètement pompé sur Short Cuts de Altman, en plus paroxystique.
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Re: Cinéma
par ElRojo » 25 Mai 2020, 11:02
Mes visionnages récents :
- Three Billboards : très très bon drame, avec une réalisation discrète mais très efficace, un excellent scénario mais surtout des acteurs qui portent le film avec brio, que ça soit Woody Harrelson, Frances McDormand ou Sam Rockwell.
- What we do in the shadows : suite à cette recommandation par certains ici, je suis pas déçu. Pas la comédie du siècle mais un bon pastiche et bien drôle, même si c'est un peu lent par moments.
- The Big Short : j'ai rien compris au monde de la finance et aux enjeux du film donc, mais c'est tellement bien construit que j'ai pas décroché. Mention spéciale aussi au cast 5 étoiles.
- La Grande Aventure Lego : je l'avais déjà vu et j'avais un bon souvenir, ça ne change pas, c'est un film assez intelligent dans son propos (d'ailleurs je pourrais le citer dans pas mal de mes cours de fac rofl), superbement animé et très divertissant.
- (500) jours ensemble : je suis pas un gros client des films romantiques, mais là j'ai été assez conquis, les acteurs aidant beaucoup. La chronologie en désordre rend le tout assez dynamique, et c'est servi par une excellente BO.
- Mon nom est clitoris : docu sur la sexualité féminine regardé à l'insu de mon plein gré pour la cinexperience SensCritique en ligne
Pas inintéressant, mais avec une mise en scène quasi à 0 qui aide pas vraiment à accrocher.
- Mulholland Drive : j'ai pas tout compris, mais dans l'absolu j'ai bien aimé : très étrange, barré, qui fait vraiment en dehors de la réalité sur la première partie. Est-ce que je le mettrai au statut de monument comme beaucoup ? Quand même pas.
- Le Stratège : sympathique biopic sur la montée des Athlets d'Oakland grâce aux maths. Surtout porté par Brad Pitt, ça reste assez intéressant et la forme est bien maitrisée entre la photographie et le rythme bien ajusté.
- Under the Silver Lake : des thèmes à la Carpenter, un scénario que ne renieraient pas les frères Coen et une réalisation semblable à du Lynch. Et ça rend vraiment bien, toutes les influences sont bien digérées pour donner quelque chose de nouveau (enfin à mes yeux), léger mais sombre, étrange et en même temps assez clair... Bref très convaincu par cette plongée dans LA, merci OCS.
- Burn After Reading : pas un monument des Coen, qui même si c'est très divertissant a un défaut de rythme : la mise en place du plot est assez longue pour des péripéties et une résolution trop rapides. Les acteurs sont par contre vraiment excellents, notamment Pitt, Simmons, McDormand et Malkovich.
- Three Billboards : très très bon drame, avec une réalisation discrète mais très efficace, un excellent scénario mais surtout des acteurs qui portent le film avec brio, que ça soit Woody Harrelson, Frances McDormand ou Sam Rockwell.
- What we do in the shadows : suite à cette recommandation par certains ici, je suis pas déçu. Pas la comédie du siècle mais un bon pastiche et bien drôle, même si c'est un peu lent par moments.
- The Big Short : j'ai rien compris au monde de la finance et aux enjeux du film donc, mais c'est tellement bien construit que j'ai pas décroché. Mention spéciale aussi au cast 5 étoiles.
- La Grande Aventure Lego : je l'avais déjà vu et j'avais un bon souvenir, ça ne change pas, c'est un film assez intelligent dans son propos (d'ailleurs je pourrais le citer dans pas mal de mes cours de fac rofl), superbement animé et très divertissant.
- (500) jours ensemble : je suis pas un gros client des films romantiques, mais là j'ai été assez conquis, les acteurs aidant beaucoup. La chronologie en désordre rend le tout assez dynamique, et c'est servi par une excellente BO.
- Mon nom est clitoris : docu sur la sexualité féminine regardé à l'insu de mon plein gré pour la cinexperience SensCritique en ligne
Pas inintéressant, mais avec une mise en scène quasi à 0 qui aide pas vraiment à accrocher.- Mulholland Drive : j'ai pas tout compris, mais dans l'absolu j'ai bien aimé : très étrange, barré, qui fait vraiment en dehors de la réalité sur la première partie. Est-ce que je le mettrai au statut de monument comme beaucoup ? Quand même pas.
- Le Stratège : sympathique biopic sur la montée des Athlets d'Oakland grâce aux maths. Surtout porté par Brad Pitt, ça reste assez intéressant et la forme est bien maitrisée entre la photographie et le rythme bien ajusté.
- Under the Silver Lake : des thèmes à la Carpenter, un scénario que ne renieraient pas les frères Coen et une réalisation semblable à du Lynch. Et ça rend vraiment bien, toutes les influences sont bien digérées pour donner quelque chose de nouveau (enfin à mes yeux), léger mais sombre, étrange et en même temps assez clair... Bref très convaincu par cette plongée dans LA, merci OCS.
- Burn After Reading : pas un monument des Coen, qui même si c'est très divertissant a un défaut de rythme : la mise en place du plot est assez longue pour des péripéties et une résolution trop rapides. Les acteurs sont par contre vraiment excellents, notamment Pitt, Simmons, McDormand et Malkovich.
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Re: Cinéma
par Kreuziger » 25 Mai 2020, 12:08
Pareil pour The Big Short, bon jouer à FM en même temps n'était pas la meilleure idée ceci dit 
En revanche j'ai vraiment aimé revoir Le Stratège, une vraie réussite, très bon film de sport.
En revanche j'ai vraiment aimé revoir Le Stratège, une vraie réussite, très bon film de sport.
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Re: Cinéma
par Murungaru » 25 Mai 2020, 12:29
J'avais beaucoup aimé Le Stratège aussi.
Derniers visionnages :
Duel dans le Pacifique, John Boorman (1968) : deux soldats, l'un américain, l'autre japonais, se sont échoués sur la même île déserte durant la seconde guerre mondiale.Pour les incarner : Lee Marvin et Toshiro Mifune, duel de charisme donc et de figure légendaire de leur cinéma. On va suivre l'évolution de leur relation, leur survie sur l'île. Un beau film d'aventure, avec une fin qui m'a laissé un peu sceptique, mais apparemment imposé par le studio.
Mais le cinéma de Boorman continue à me parler avec cette nouvelle découverte. Je me ferais probablement La forêt d'émeraude prochainement.
Wrong Cops, Quentin Dupieux (2013) : autant j'aime bien Steak, j'ai trouvé l'exercice de Au Poste ! autant là je suis moins emballé. Il y a des séquences sympa, amusante, mais j'ai trouvé l'ensemble un peu lourd quand même.
Dirty Dancing, Emile Ardolino (1987) : je n'avais jamais vu, et c'est à peu prêt ce que j'attendais. Ca fonctionne pas mal, même s'il y a plus d'un dialogue assez affligeant (l'acting n'aide pas toujours non plus). Je comprends que ça ai pu faire un carton à l'époque et que ça ai parlé à toute une population (plutôt féminine).
Jules et Jim, François Truffaut (1962) : mitigé devant ce truffaut. Un peu comme devant Domicile Conjugal je suis un peu agacé par les personnages. Après c'est évidement bien foutu à tout niveau, et j'ai bien apprécié la fin. De toute façon les triangles amoureux ça a souvent tendance à me gonfler.
La mort aux trousses, Alfred Hitchcock (1959) : le Hitchcock que j'avais le plus envie de découvrir depuis un moment. Un peu déçu quand même. J'ai été bien embarqué par ce mélange de mystère et d'aventure, en plus j'adore Cary Grant, il y a plus d'une séquence assez folle (évidemment celle avec l'avion où il y a 2/3 plans à tomber) mais il manque ce petit truc (ce supplément d'âme je dirais) en plus pour en faire un de "mes" classiques, que j'ai pu trouver dans Rebecca ou Notorious.
Mais là où je revisionnerais un de ces deux là rien que pour le plaisir et les sensations qu'il me procurent, avec La mort aux trousses ce serait davantage pour apprécier le talent de metteur en scène de Hitchcock, qui reste encore aujourd'hui terriblement efficace.
Instinct de Survie, Jaume Collet-Serra (2016) : un film de requin ça faisait longtemps. Ca débute très mal, le dialogue, les effets lors des échanges de texto, le plan sur le boule de la meuf qui enlève pantalon, puis sur sa poitrine... Grosse lourdeur. Et finalement une fois qu'elle se retrouve isolée avec le requin ça passe pas si mal. Disons que ça fait le job de tenir en haleine, avec des moments de tensions. Le final est bien WTF quand même mais bon...
Harry Potter et le prince de sang-mêlé (2009) et Harry Potter et les reliques de la mort: Partie 1 (2010), de David Yates : c'est du déjà vu plusieurs fois. Le 6 est un bon épisode bien qu'inégale, le 7.1 est mon préféré de la saga avec son côté resistance, presque maquisard, sa scène de danse, le récit des Reliques de la mort...
Derniers visionnages :
Duel dans le Pacifique, John Boorman (1968) : deux soldats, l'un américain, l'autre japonais, se sont échoués sur la même île déserte durant la seconde guerre mondiale.Pour les incarner : Lee Marvin et Toshiro Mifune, duel de charisme donc et de figure légendaire de leur cinéma. On va suivre l'évolution de leur relation, leur survie sur l'île. Un beau film d'aventure, avec une fin qui m'a laissé un peu sceptique, mais apparemment imposé par le studio.
Mais le cinéma de Boorman continue à me parler avec cette nouvelle découverte. Je me ferais probablement La forêt d'émeraude prochainement.
Wrong Cops, Quentin Dupieux (2013) : autant j'aime bien Steak, j'ai trouvé l'exercice de Au Poste ! autant là je suis moins emballé. Il y a des séquences sympa, amusante, mais j'ai trouvé l'ensemble un peu lourd quand même.
Dirty Dancing, Emile Ardolino (1987) : je n'avais jamais vu, et c'est à peu prêt ce que j'attendais. Ca fonctionne pas mal, même s'il y a plus d'un dialogue assez affligeant (l'acting n'aide pas toujours non plus). Je comprends que ça ai pu faire un carton à l'époque et que ça ai parlé à toute une population (plutôt féminine).
Jules et Jim, François Truffaut (1962) : mitigé devant ce truffaut. Un peu comme devant Domicile Conjugal je suis un peu agacé par les personnages. Après c'est évidement bien foutu à tout niveau, et j'ai bien apprécié la fin. De toute façon les triangles amoureux ça a souvent tendance à me gonfler.
La mort aux trousses, Alfred Hitchcock (1959) : le Hitchcock que j'avais le plus envie de découvrir depuis un moment. Un peu déçu quand même. J'ai été bien embarqué par ce mélange de mystère et d'aventure, en plus j'adore Cary Grant, il y a plus d'une séquence assez folle (évidemment celle avec l'avion où il y a 2/3 plans à tomber) mais il manque ce petit truc (ce supplément d'âme je dirais) en plus pour en faire un de "mes" classiques, que j'ai pu trouver dans Rebecca ou Notorious.
Mais là où je revisionnerais un de ces deux là rien que pour le plaisir et les sensations qu'il me procurent, avec La mort aux trousses ce serait davantage pour apprécier le talent de metteur en scène de Hitchcock, qui reste encore aujourd'hui terriblement efficace.
Instinct de Survie, Jaume Collet-Serra (2016) : un film de requin ça faisait longtemps. Ca débute très mal, le dialogue, les effets lors des échanges de texto, le plan sur le boule de la meuf qui enlève pantalon, puis sur sa poitrine... Grosse lourdeur. Et finalement une fois qu'elle se retrouve isolée avec le requin ça passe pas si mal. Disons que ça fait le job de tenir en haleine, avec des moments de tensions. Le final est bien WTF quand même mais bon...
Harry Potter et le prince de sang-mêlé (2009) et Harry Potter et les reliques de la mort: Partie 1 (2010), de David Yates : c'est du déjà vu plusieurs fois. Le 6 est un bon épisode bien qu'inégale, le 7.1 est mon préféré de la saga avec son côté resistance, presque maquisard, sa scène de danse, le récit des Reliques de la mort...
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Re: Cinéma
par Cuvet » 25 Mai 2020, 12:29
Leinhart a écrit:- L’Amour en fuite (François Truffaut – 1979) : La fin des aventures d’Antoine Doinel. L’intrigue est agréable à suivre à condition qu’on ait vu toute la série (y compris Antoine et Colette) mais j’ai trouvé ce film très fainéant puisque la moitié est composée de flashbacks reprenant des images des prédécesseurs. Trop de fan service pour être vraiment marquant.
C'est sur que c'est un film clairement en dessous des autres et un peu facile. Maintenant, il faut bien voir que Truffaut tournait énormément : 21 films en 24 ans de carrière. Il avait un vrai besoin de tourner tout le temps, ce qui l'a amené à faire des films plus faciles que d'autres. Tout n'est pas excellent dans sa filmographie, mais elle n'en est pas moins exceptionnelle. Les films plus faciles s'expliquent souvent par des circonstances particulières (pour L'amour en fuite, il veut clôturer la saga Doinel et rebondir après l'échec de La chambre verte). Il est mort à 52 ans avec encore une liste conséquence d'idées de films, dont à n'en pas douter quelques chef d'oeuvres.
D'ailleurs, j'ai revu La sirène du Mississippi. Encore un Truffaut dont je gardais un souvenir mitigé. Le visionnage m'a fait totalement changer d'avis. Encore un très bon mélange sérieux/humour. Des acteurs impeccables dont un Belmondo à contre-emploi.
Par contre, j'ai tenté des Charles Chaplin sur Netflix et c'est un vrai fiasco pour moi. Un roi à New York a été très pénible à finir. Quant à Monsieur Verdoux, je n'ai pas tenu plus de 15 minutes.
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Re: Cinéma
par ElRojo » 25 Mai 2020, 12:53
Complètement d'accord avec toi sur Wrong Cops Muru, à mon sens son plus surcoté.
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Re: Cinéma
par Leinhart » 25 Mai 2020, 13:59
C'est quand même le film où Dupieux assume le plus son délire musical. J'avais beaucoup aimé perso !
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Re: Cinéma
par Murungaru » 25 Mai 2020, 15:08
J'avoue qu'à ce niveau c'est plutôt réussi.
En tout cas il aura fallut que j'attende le générique de fin pour capter qu'il y avait Marilyn Manson parmi le cast
En tout cas il aura fallut que j'attende le générique de fin pour capter qu'il y avait Marilyn Manson parmi le cast
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Re: Cinéma
par Panzer » 25 Mai 2020, 16:13
Derniers visionnages
Monthy Python, quelques scènes drôles mais c'était pas ma came donc je ne regarderai pas la suite. Un peu comme la Cité de la Peur, c'est plus réservé aux initiés je trouve.
Je suis plus de la #TeamLacheau ou #SuperBad
L'Auberge Espagnole, bien mieux que mon premier souvenir ! Ca me rappelle mes weekends passés avec les Erasmus en Europe, j'ai vraiment retrouvé cette ambiance plutôt cool tout le long du film !
J'ai ensuite regardé les Poupées Russes la suite, j'aimais bien l'Auberge espagnole car il m'a semblé vraie et authentique (sauf le rôle de Cécile de France
) mais le second était trop tiré par les cheveux. Dommage car certains messages du film me semblaient très pertinents, notamment cette métaphore entre les Poupées Russes et les femmes de nos vies...
Suite de Baisers Volés, Domicile Conjugal. Moins bon que dans mes souvenirs, moins vivant et ennivrant que Baisers Volés. Le film met peut-être un peu de temps avant de décoller mais c'était probablement la volonté de Truffaut de prendre son temps, de rendre la relation entre Antoine et Christine plus authentiques à travers des scènes banales du quotidien. Un bon moment malgré tout !
Stalker le film référence de Leinhart. Bon je n'ai pas accroché, c'était beau, certaines des paroles étaient vraiment pertinentes mais j'ai ressenti l'ennui tout au long du film !
Les deux Anglaises et le continent , une nouvelle version du triangle amoureux selon Truffaut après Jules et Jim. Cette fois, ce sont deux soeurs qui vont craquer pour le même homme. Bien différent de ce que l'on peut voir d'habitude dans la construction, les relations amoureuses entre les personnages. Je n'ai pas vraiment accroché, ça me faisait peut-être trop bizarre de voir Doinel avec deux autres nanas
Monthy Python, quelques scènes drôles mais c'était pas ma came donc je ne regarderai pas la suite. Un peu comme la Cité de la Peur, c'est plus réservé aux initiés je trouve.
Je suis plus de la #TeamLacheau ou #SuperBad
L'Auberge Espagnole, bien mieux que mon premier souvenir ! Ca me rappelle mes weekends passés avec les Erasmus en Europe, j'ai vraiment retrouvé cette ambiance plutôt cool tout le long du film !
J'ai ensuite regardé les Poupées Russes la suite, j'aimais bien l'Auberge espagnole car il m'a semblé vraie et authentique (sauf le rôle de Cécile de France
) mais le second était trop tiré par les cheveux. Dommage car certains messages du film me semblaient très pertinents, notamment cette métaphore entre les Poupées Russes et les femmes de nos vies...Suite de Baisers Volés, Domicile Conjugal. Moins bon que dans mes souvenirs, moins vivant et ennivrant que Baisers Volés. Le film met peut-être un peu de temps avant de décoller mais c'était probablement la volonté de Truffaut de prendre son temps, de rendre la relation entre Antoine et Christine plus authentiques à travers des scènes banales du quotidien. Un bon moment malgré tout !
Stalker le film référence de Leinhart. Bon je n'ai pas accroché, c'était beau, certaines des paroles étaient vraiment pertinentes mais j'ai ressenti l'ennui tout au long du film !
Les deux Anglaises et le continent , une nouvelle version du triangle amoureux selon Truffaut après Jules et Jim. Cette fois, ce sont deux soeurs qui vont craquer pour le même homme. Bien différent de ce que l'on peut voir d'habitude dans la construction, les relations amoureuses entre les personnages. Je n'ai pas vraiment accroché, ça me faisait peut-être trop bizarre de voir Doinel avec deux autres nanas
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Re: Cinéma
par Panzer » 25 Mai 2020, 21:47
Top 10 "polars"
1. Memories of Murder, mon classique
2. Entre le ciel et l'Enfer, une de mes plus belles découvertes récentes de Kurosawa.
3. 12 Hommes en Colère, le meilleur des huit-clos.
4. Pulp Fiction, le classique de Tarantino avec ses dialogues mythiques.
5. Drishyam, ma plus grande claque indienne était ce polar très ingénieux et surprenant, qui m'a pris à contre pied.
6. Fargo, loufoque, totalement décalé et délirant.
7. Zodiac, la traque d'un tueur en série retracé par David Fincher, qui présente quelques ressemblances avec la série Mindhunter.
8. Prisoners, l'atmosphère sombre installée par D.Villeneuve rend vraiment ce film captivant.
9. Spotlight, très belle enquête et reconstitution historique de ce scandale au sein de l'église catholique. Mark Ruffalo est très bon dans ce type de film, comme le solide Dark Waters.
10. The Guilty, un polar danois assez spéciale puisque le film se résume à de simples écoutes téléphoniques. Très efficace.
Le tout premier
500 Three Billboards 
Yes Burn After Reading, ça fait le boulot sans plus !
Mulholland Drive mérite probablement un second visionnage quelques semaines après.
Big Short et Stratège bien construits effectivement sur des univers que je connais pas tellement.
Etonnant que tu aies préféré Notorious et Rebecca. Je n'ai plus en mémoire toute l'intrigue, donc ça mérite un revisionnage très bientôt
Comme dit dans mon dernier message, si tu es motivé, tu as Les deux Anglaises et le continent si tu veux un nouveau triangle amoureux made in Truffaut, mais bien différent.
1. Memories of Murder, mon classique
2. Entre le ciel et l'Enfer, une de mes plus belles découvertes récentes de Kurosawa.
3. 12 Hommes en Colère, le meilleur des huit-clos.
4. Pulp Fiction, le classique de Tarantino avec ses dialogues mythiques.
5. Drishyam, ma plus grande claque indienne était ce polar très ingénieux et surprenant, qui m'a pris à contre pied.
6. Fargo, loufoque, totalement décalé et délirant.
7. Zodiac, la traque d'un tueur en série retracé par David Fincher, qui présente quelques ressemblances avec la série Mindhunter.
8. Prisoners, l'atmosphère sombre installée par D.Villeneuve rend vraiment ce film captivant.
9. Spotlight, très belle enquête et reconstitution historique de ce scandale au sein de l'église catholique. Mark Ruffalo est très bon dans ce type de film, comme le solide Dark Waters.
10. The Guilty, un polar danois assez spéciale puisque le film se résume à de simples écoutes téléphoniques. Très efficace.
ElRojo a écrit:Lequel des Monty Python tu as vu Panzer ?
Le tout premier
ElRojo a écrit:Mes visionnages récents :
- Three Billboards : très très bon drame, avec une réalisation discrète mais très efficace, un excellent scénario mais surtout des acteurs qui portent le film avec brio, que ça soit Woody Harrelson, Frances McDormand ou Sam Rockwell.
- The Big Short : j'ai rien compris au monde de la finance et aux enjeux du film donc, mais c'est tellement bien construit que j'ai pas décroché. Mention spéciale aussi au cast 5 étoiles.
- (500) jours ensemble : je suis pas un gros client des films romantiques, mais là j'ai été assez conquis, les acteurs aidant beaucoup. La chronologie en désordre rend le tout assez dynamique, et c'est servi par une excellente BO.
- Mulholland Drive : j'ai pas tout compris, mais dans l'absolu j'ai bien aimé : très étrange, barré, qui fait vraiment en dehors de la réalité sur la première partie. Est-ce que je le mettrai au statut de monument comme beaucoup ? Quand même pas.
- Le Stratège : sympathique biopic sur la montée des Athlets d'Oakland grâce aux maths. Surtout porté par Brad Pitt, ça reste assez intéressant et la forme est bien maitrisée entre la photographie et le rythme bien ajusté.
- Burn After Reading : pas un monument des Coen, qui même si c'est très divertissant a un défaut de rythme : la mise en place du plot est assez longue pour des péripéties et une résolution trop rapides. Les acteurs sont par contre vraiment excellents, notamment Pitt, Simmons, McDormand et Malkovich.
500
Three Billboards Yes Burn After Reading, ça fait le boulot sans plus !
Mulholland Drive mérite probablement un second visionnage quelques semaines après.
Big Short et Stratège bien construits effectivement sur des univers que je connais pas tellement.
Murungaru a écrit:rs non plus). Je comprends que ça ai pu faire un carton à l'époque et que ça ai parlé à toute une population (plutôt féminine).
Jules et Jim, François Truffaut (1962) : mitigé devant ce truffaut. Un peu comme devant Domicile Conjugal je suis un peu agacé par les personnages. Après c'est évidement bien foutu à tout niveau, et j'ai bien apprécié la fin. De toute façon les triangles amoureux ça a souvent tendance à me gonfler.
La mort aux trousses, Alfred Hitchcock (1959) : le Hitchcock que j'avais le plus envie de découvrir depuis un moment. Un peu déçu quand même. J'ai été bien embarqué par ce mélange de mystère et d'aventure, en plus j'adore Cary Grant, il y a plus d'une séquence assez folle (évidemment celle avec l'avion où il y a 2/3 plans à tomber) mais il manque ce petit truc (ce supplément d'âme je dirais) en plus pour en faire un de "mes" classiques, que j'ai pu trouver dans Rebecca ou Notorious.
Mais là où je revisionnerais un de ces deux là rien que pour le plaisir et les sensations qu'il me procurent, avec La mort aux trousses ce serait davantage pour apprécier le talent de metteur en scène de Hitchcock, qui reste encore aujourd'hui terriblement efficace.
Etonnant que tu aies préféré Notorious et Rebecca. Je n'ai plus en mémoire toute l'intrigue, donc ça mérite un revisionnage très bientôt
Comme dit dans mon dernier message, si tu es motivé, tu as Les deux Anglaises et le continent si tu veux un nouveau triangle amoureux made in Truffaut, mais bien différent.
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Re: Cinéma
par ElRojo » 25 Mai 2020, 21:57
@Panzer : dommage que t'aies pas aimé, Sacré Graal c'est quand même leur meilleur.
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Re: Cinéma
par bullomaniak » 26 Mai 2020, 07:55
ElRojo a écrit:@Panzer : dommage que t'aies pas aimé, Sacré Graal c'est quand même leur meilleur.
Le tout premier ça peut être La première folie (And now something completly different), reprise de leurs sketchs télé version ciné en moins bien (beaucoup plus mou).
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Re: Cinéma
par Leinhart » 26 Mai 2020, 09:46
Bon je me lance dans un petit top par pays, classé par ordre alphabétique des pays.
Je mettrai à jour au fur et à mesure de la journée pour allonger la liste
District 9 (Neil Blomkamp - 2009) : On ne peut pas dire que je croule sous les alternatives, mais c'était un chouette film.
La Bataille d'Alger (Gillo Pontecorvo - 1966) : Un film de guerre italo-algérien très bon, on va dire que son âme est plutôt algérienne
Nosferatu (Friedrich Wilhelm Murnau - 1922) : Un grand classique, mais je sais que j'ai encore plein de choses à voir dans l'âge d'or du cinéma allemand.
Wadjda (Haifaa Al-Mansour - 2012) : Film naturaliste saoudien. J'ai pas été entièrement conquis mais c'est quand même bon et je n'ai pas vraiment autre chose à proposer !
Pique-nique à Hanging Rock (Peter Weir - 1975) : J'en ai déjà parlé plusieurs fois, c'est un film complètement envoutant.
Le Vélo de Ghislain Lambert (Philippe Harel - 2001) : Je sais même pas si c'est vraiment belge. Ce top m'a montré que je ne connaissais rien à ce cinéma. Mais en tant que fan de cyclisme, j'aime bien ce film.
Incendies (Denis Villeneuve - 2010) : Déjà parlé, très bonne adaptation de la magnifique pièce de Mouawad
L'Etreinte du serpent (Ciro Guerra - 2015) : Déjà parlé aussi, j'ai adoré ce film
Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003) : Y'a de quoi faire en Corée mais je vais rester sur ce classique
Ordet (Carl Theodor Dreyer - 1955) : Déjà mentionné plein de fois. Un chef d'oeuvre
La Piel que habito (Pedro Almodovar - 2011) : Ca reste mon Almodovar préféré pour l'instant
Au loin s'en vont les nuages (Aki Kaurismaki - 1996) : J'ai vu que deux Kaurismaki et c'est celui-ci que j'ai préféré
La Passion de Jeanne d'Arc (Carl Theodor Dreyer - 1928) : Je l'avais mis en tête de mon top Fr, donc je maintiens...
Adults in the Room (Costa Gavras - 2019) : Bon, c'est peut-être pas 100% grec, mais n'ayant pas vu les premiers Lanthimos, j'ai peu d'alternatives et j'avais bien aimé celui-ci !
Chungking Express (Wong Kar-wai - 1994) : Je me rends compte ici que tous les films chinois que j'ai vu sont hong-kongais. Il y a un petit retard à rattraper là dessus. Enfin, j'ai vu Mekong, un blockbuster chinois débile en volant avec Air China, mais pas de quoi le mettre dans un top. Il y a bien l'Adieu, sorti en début d'année, mais je le considère davantage comme un film US
The Raid (Gareth Evans - 2011) : Film de baston survitaminé et jouissif
Le Goût de la cerise (Abbas Kiarostami - 1997) : J'en ai déjà parlé je crois, un très beau film
Claire Dolan (Lodge Kerrigan - 1998) : Pas le film du siècle mais un film irlandais plutôt bien foutu
La Dolce Vita (Federico Fellini - 1960) : Il y a de la concurrence niveau italien mais je pense que c'est celui-ci qui m'a le plus marqué pour l'instant
Hana-bi (Takeshi Kitano - 1997) : Là aussi il y a du lourd avec les Kurosawa ou Kobayashi, mais le coeur me convainc de choisir Hana-bi, l'un des films les plus touchants que j'ai vus.
L'Insulte (Ziad Doueiri - 2017) : Un film libanais qui est arrivé jusque dans les salles grand public chez nous. Très bon
Adam (Maryam Touzani - 2019) : Découvert au ciné lors d'un festival l'an dernier. Pas entièrement conquis mais c'était quand même plutôt réussi
La Montagne sacrée (Alejandro Jodorowsky - 1973) : Du Jodorowsky encore plus drogué que d'habitude. C'est assez déroutant mais j'avais passé un très bon moment.
What we do in the shadows (Taika Waititi & Jemaine Clement - 2014) : Bon c'est sympa mais c'est un peu faute de mieux. Il faudra que Cyro me donne des conseils pour la nz
Insiang (Lino Brocka - 1977) : Une belle porte d'entrée dans le cinéma philippin.
Cold War (Paweł Pawlikowski - 2018) : J'aurais bien mis Deep End de Skolimowski mais c'est plutôt un film anglais
Ikarie XB1 (Jindrich Pólak - 1963) : Sans être incroyable, c'est le mètre étalon du film de SF spatiale
Monty Python : Sacré Graal (Terry Jones, Terry Gilliam - 1975) : Un génial classique de l'humour.
Leviathan (Andrei Zvyagintsev - 2014) : Le digne successeur des grands réalisateurs soviétiques
La Noire de... (Ousmane Sembène - 1966) : Un film fondateur du cinéma africain (bon, et l'un des seuls que j'ai vus, accessoirement...)
Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman - 1982) : J'en ai déjà parlé plusieurs fois. Mon Bergman préféré
Ceux qui travaillent (Antoine Russbach - 2019) : Bon c'est pas dingue mais c'est pour diversifier ! Je suis même pas certain que le film soit suisse. Son réalisateur l'est, en tout cas.
Tropical Malady (Apichatpong Weerasethakul - 2004) : Une belle découverte du cinéma thaïlandais. Plutôt bien foutu dans sa deuxième moitié
(URSS) Stalker (Andreï Tarkovski - 1979) : Bon, je vais pas en rajouter une couche.
Mulholland Dr. (David Lynch - 2001) : Meilleur film pour les USA, c'est pas rien. Au coude à coude avec Il était une fois dans l'Ouest, mais j'ai une affection plus grande pour le cinéma de Lynch et pour ce chef d'oeuvre.
Je mettrai à jour au fur et à mesure de la journée pour allonger la liste
District 9 (Neil Blomkamp - 2009) : On ne peut pas dire que je croule sous les alternatives, mais c'était un chouette film.
La Bataille d'Alger (Gillo Pontecorvo - 1966) : Un film de guerre italo-algérien très bon, on va dire que son âme est plutôt algérienne
Nosferatu (Friedrich Wilhelm Murnau - 1922) : Un grand classique, mais je sais que j'ai encore plein de choses à voir dans l'âge d'or du cinéma allemand.
Wadjda (Haifaa Al-Mansour - 2012) : Film naturaliste saoudien. J'ai pas été entièrement conquis mais c'est quand même bon et je n'ai pas vraiment autre chose à proposer !
Pique-nique à Hanging Rock (Peter Weir - 1975) : J'en ai déjà parlé plusieurs fois, c'est un film complètement envoutant.
Le Vélo de Ghislain Lambert (Philippe Harel - 2001) : Je sais même pas si c'est vraiment belge. Ce top m'a montré que je ne connaissais rien à ce cinéma. Mais en tant que fan de cyclisme, j'aime bien ce film.
Incendies (Denis Villeneuve - 2010) : Déjà parlé, très bonne adaptation de la magnifique pièce de Mouawad
L'Etreinte du serpent (Ciro Guerra - 2015) : Déjà parlé aussi, j'ai adoré ce film
Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003) : Y'a de quoi faire en Corée mais je vais rester sur ce classique
Ordet (Carl Theodor Dreyer - 1955) : Déjà mentionné plein de fois. Un chef d'oeuvre
La Piel que habito (Pedro Almodovar - 2011) : Ca reste mon Almodovar préféré pour l'instant
Au loin s'en vont les nuages (Aki Kaurismaki - 1996) : J'ai vu que deux Kaurismaki et c'est celui-ci que j'ai préféré
La Passion de Jeanne d'Arc (Carl Theodor Dreyer - 1928) : Je l'avais mis en tête de mon top Fr, donc je maintiens...
Adults in the Room (Costa Gavras - 2019) : Bon, c'est peut-être pas 100% grec, mais n'ayant pas vu les premiers Lanthimos, j'ai peu d'alternatives et j'avais bien aimé celui-ci !
Chungking Express (Wong Kar-wai - 1994) : Je me rends compte ici que tous les films chinois que j'ai vu sont hong-kongais. Il y a un petit retard à rattraper là dessus. Enfin, j'ai vu Mekong, un blockbuster chinois débile en volant avec Air China, mais pas de quoi le mettre dans un top. Il y a bien l'Adieu, sorti en début d'année, mais je le considère davantage comme un film US
The Raid (Gareth Evans - 2011) : Film de baston survitaminé et jouissif
Le Goût de la cerise (Abbas Kiarostami - 1997) : J'en ai déjà parlé je crois, un très beau film
Claire Dolan (Lodge Kerrigan - 1998) : Pas le film du siècle mais un film irlandais plutôt bien foutu
La Dolce Vita (Federico Fellini - 1960) : Il y a de la concurrence niveau italien mais je pense que c'est celui-ci qui m'a le plus marqué pour l'instant
Hana-bi (Takeshi Kitano - 1997) : Là aussi il y a du lourd avec les Kurosawa ou Kobayashi, mais le coeur me convainc de choisir Hana-bi, l'un des films les plus touchants que j'ai vus.
L'Insulte (Ziad Doueiri - 2017) : Un film libanais qui est arrivé jusque dans les salles grand public chez nous. Très bon
Adam (Maryam Touzani - 2019) : Découvert au ciné lors d'un festival l'an dernier. Pas entièrement conquis mais c'était quand même plutôt réussi
La Montagne sacrée (Alejandro Jodorowsky - 1973) : Du Jodorowsky encore plus drogué que d'habitude. C'est assez déroutant mais j'avais passé un très bon moment.
What we do in the shadows (Taika Waititi & Jemaine Clement - 2014) : Bon c'est sympa mais c'est un peu faute de mieux. Il faudra que Cyro me donne des conseils pour la nz
Insiang (Lino Brocka - 1977) : Une belle porte d'entrée dans le cinéma philippin.
Cold War (Paweł Pawlikowski - 2018) : J'aurais bien mis Deep End de Skolimowski mais c'est plutôt un film anglais
Ikarie XB1 (Jindrich Pólak - 1963) : Sans être incroyable, c'est le mètre étalon du film de SF spatiale
Monty Python : Sacré Graal (Terry Jones, Terry Gilliam - 1975) : Un génial classique de l'humour.
Leviathan (Andrei Zvyagintsev - 2014) : Le digne successeur des grands réalisateurs soviétiques
La Noire de... (Ousmane Sembène - 1966) : Un film fondateur du cinéma africain (bon, et l'un des seuls que j'ai vus, accessoirement...)
Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman - 1982) : J'en ai déjà parlé plusieurs fois. Mon Bergman préféré
Ceux qui travaillent (Antoine Russbach - 2019) : Bon c'est pas dingue mais c'est pour diversifier ! Je suis même pas certain que le film soit suisse. Son réalisateur l'est, en tout cas.
Tropical Malady (Apichatpong Weerasethakul - 2004) : Une belle découverte du cinéma thaïlandais. Plutôt bien foutu dans sa deuxième moitié
(URSS) Stalker (Andreï Tarkovski - 1979) : Bon, je vais pas en rajouter une couche.
Mulholland Dr. (David Lynch - 2001) : Meilleur film pour les USA, c'est pas rien. Au coude à coude avec Il était une fois dans l'Ouest, mais j'ai une affection plus grande pour le cinéma de Lynch et pour ce chef d'oeuvre.
Modifié en dernier par Leinhart le 27 Mai 2020, 09:10, modifié 1 fois.
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Re: Cinéma
par Leinhart » 26 Mai 2020, 16:07
Voilà, fini. Je me rends compte que j'ai quelques trous niveau curiosité. Très peu de films sud-américains (même pas La Cité de Dieu ou Dans ses yeux), pas de films indiens, turcs, d'Europe centrale...
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Re: Cinéma
par Panzer » 26 Mai 2020, 20:40
J'espère n'avoir rien oublié !
District 9 (2009), par défaut.
La vie des autres (2006) classique.
Amour (2012), c'est le seul film Autrichien que j'ai vu, pas de grand souvenir.
Bullhead (2011), j'ai très peu de films belges dans mes visionnages. La prestation de Matthias Schoenaerts vaut le coup d'oeil.
La Cité de Dieu (2002), sans hésitation, une magnifique traversée des favelas brésiliennes.
Premier contact (II) (2016) très belle réalisation de Villeneuve
No (2012), plus trop de souvenir je dois l'avouer.
Sacrifices of War (2011) tire des cordes très faciles dans une certaine propagande anti japonaise mais touchant.
Memories of Murder (2003), j'en rajoute pas.
La piel que habito (2011) mon préféré des Almodovar, sombre, avec un duo principal glaçant.
12 Hommes en Colère (1957), très très difficile à choisir, peut changer selon mes humeurs. Je l'ai vu à deux reprises et il m'a toujours fait le même effet !
Olli Mäki (2016) paye pas de mine mais c'était bien rafraichissant.
Le Trou (1960), déjà mentionné à plusieurs reprises, authentique.
In the Mood for Love (2000) résume très bien ce qu'est l'amour, à la fois beau et déchirant, dans me Hong Kong ancien magnifié
Au nom du père (1993), la référence du duo Sheridan & Day-Lewis !
Drishyam (2012) mentionné plusieurs fois
The Raid (2011) pas 100% indonésien, mais l'ensemble du casting l'est.
Une séparation (2011) chef d'oeuvre d'Asghar Farhadi
Artic (2018) bon c'est le seul Islandais de ma liste, avec le très bon Mads Mikkelsen qui doit tenir tout le film sur lui.
The Bubble (2006) par défaut
Cinéma Paradiso (1988) 2h30 dans l'esprit d'un gamin cinéphile.
Harakiri (1962) un BIJOU
Capharnaüm (2018) très beau film mettant en avant la misère sociale des migrants.
Slumdog Millionaire (2008), un classique, original.
Sin nombre (2009), excellent film, frappant où une petite fille va tenter de traverser illégalement la frontière Mexique / USA.
Fanny et Alexandre (1982) mon Bergman préféré comme Leinhart.
Conviction (2010) ou plutôt sans conviction...
Mustang (2015), très belle critique des moeurs traditionnels turcs avec de très bonnes actrices. Touchant.
Quand passent les cigognes (1957) la guerre vue d'un côté oublié.
À la verticale de l'été (2000), drame familiale vietnamien, une bonne découverte.
District 9 (2009), par défaut.
La vie des autres (2006) classique.
Amour (2012), c'est le seul film Autrichien que j'ai vu, pas de grand souvenir.
Bullhead (2011), j'ai très peu de films belges dans mes visionnages. La prestation de Matthias Schoenaerts vaut le coup d'oeil.
La Cité de Dieu (2002), sans hésitation, une magnifique traversée des favelas brésiliennes.
Premier contact (II) (2016) très belle réalisation de Villeneuve
No (2012), plus trop de souvenir je dois l'avouer.
Sacrifices of War (2011) tire des cordes très faciles dans une certaine propagande anti japonaise mais touchant.
Memories of Murder (2003), j'en rajoute pas.
La piel que habito (2011) mon préféré des Almodovar, sombre, avec un duo principal glaçant.
12 Hommes en Colère (1957), très très difficile à choisir, peut changer selon mes humeurs. Je l'ai vu à deux reprises et il m'a toujours fait le même effet !
Olli Mäki (2016) paye pas de mine mais c'était bien rafraichissant.
Le Trou (1960), déjà mentionné à plusieurs reprises, authentique.
In the Mood for Love (2000) résume très bien ce qu'est l'amour, à la fois beau et déchirant, dans me Hong Kong ancien magnifié
Au nom du père (1993), la référence du duo Sheridan & Day-Lewis !
Drishyam (2012) mentionné plusieurs fois
The Raid (2011) pas 100% indonésien, mais l'ensemble du casting l'est.
Une séparation (2011) chef d'oeuvre d'Asghar Farhadi
Artic (2018) bon c'est le seul Islandais de ma liste, avec le très bon Mads Mikkelsen qui doit tenir tout le film sur lui.
The Bubble (2006) par défaut
Cinéma Paradiso (1988) 2h30 dans l'esprit d'un gamin cinéphile.
Harakiri (1962) un BIJOU
Capharnaüm (2018) très beau film mettant en avant la misère sociale des migrants.
Slumdog Millionaire (2008), un classique, original.
Sin nombre (2009), excellent film, frappant où une petite fille va tenter de traverser illégalement la frontière Mexique / USA.
Fanny et Alexandre (1982) mon Bergman préféré comme Leinhart.
Conviction (2010) ou plutôt sans conviction...
Mustang (2015), très belle critique des moeurs traditionnels turcs avec de très bonnes actrices. Touchant.
Quand passent les cigognes (1957) la guerre vue d'un côté oublié.
À la verticale de l'été (2000), drame familiale vietnamien, une bonne découverte.
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Re: Cinéma
par Leinhart » 27 Mai 2020, 09:08
Ah mais oui évidemment j'ai oublié The Raid en cinéma indonésien...
Sinon, il va falloir que je me penche sur Quand passent les cigognes
Sinon, il va falloir que je me penche sur Quand passent les cigognes
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Re: Cinéma
par Murungaru » 28 Mai 2020, 09:35
Leinhart a écrit:Ah mais oui évidemment j'ai oublié The Raid en cinéma indonésien...
Sinon, il va falloir que je me penche sur Quand passent les cigognes
Pareil, je l'ai râté l'an dernier quand il repassait en salle
D'ailleurs très hâte que celle-ci rouvre, La Rabbia prépare la ressortie de Pluie Noire, l'occasion de retenter du Imamura après la "déception" de La Ballade de Narayama.
Pas encore eu le temps de faire le top par pays mais merci à vous pour celui ci
J'en relance un aujourd'hui, on a déjà fait les tops de vos trois réalisateur favori en détaille, cette fois ci c'est simplement le top 10 (ou moins) de vos réalisateurs favoris. Si vous voulez préciser le top de vos films préférés pour chacun n'hésitez pas
Tops précédents :
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Re: Cinéma
par Aram » 28 Mai 2020, 10:01
J'ai jamais fait un top 10 réalisateurs, et je ne saurais pas qui mettre en premier.
Bon disons, dans l'ordre alphabétique :
Michelangelo Antonioni (un film : Blow-Up)
David Cronenberg (un film : Crash)
John Ford (un film : L'Homme qui tua Liberty Valance)
Philippe Garrel (un film : La Frontière de l'aube)
Jean-Luc Godard (un film : Le Mépris)
Alfred Hitchcock (un film : Vertigo)
Abdellatif Kechiche (un film : Mektoub My Love : Canto uno)
Stanley Kubrick (un film : Eyes Wide Shut)
Manoel de Oliveira (un film : La Lettre)
Otto Preminger (un film : Autopsie d'un meurtre)
Raoul Walsh (un film : La Femme à abattre)
Ca fait 11, mais je ne sais pas lequel enlever.
Bon disons, dans l'ordre alphabétique :
Michelangelo Antonioni (un film : Blow-Up)
David Cronenberg (un film : Crash)
John Ford (un film : L'Homme qui tua Liberty Valance)
Philippe Garrel (un film : La Frontière de l'aube)
Jean-Luc Godard (un film : Le Mépris)
Alfred Hitchcock (un film : Vertigo)
Abdellatif Kechiche (un film : Mektoub My Love : Canto uno)
Stanley Kubrick (un film : Eyes Wide Shut)
Manoel de Oliveira (un film : La Lettre)
Otto Preminger (un film : Autopsie d'un meurtre)
Raoul Walsh (un film : La Femme à abattre)
Ca fait 11, mais je ne sais pas lequel enlever.
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Re: Cinéma
par Murungaru » 28 Mai 2020, 17:02
Les cinémas rouvrent le 22 juin 
En croisant les doigts pour que la tendance positive se confirme évidemment.
En croisant les doigts pour que la tendance positive se confirme évidemment.
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